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3 minutes ago, Rocco said:

On s'ennuie de Michael Sabia. Un anglophone à la tête est tellement plus respecté et craint. Y'a pas eu de niaisage avec lui aux commandes pour le REM 1. Une gang de québécois francophones, ça finit toujours par se chamailler comme des matantes. Émond, Legault, Plante, Rouleau.... Personne se craint, tout le monde s'envoie chier... Je m'ennuie d'un leader anglo qui peut "get things done". Tabar....

 

Ouf, come on là. C'est n'importe quoi de dire que le succès du REM 1 est seulement grâce à Michael Sabia et de surcroît que c'est grâce à aa langue. Devrait-on outsourcer le projet en entier à un gouvernement de l'ouest du Canada? Ils parlent anglais là, ça doit vouloir dire qu'ils sont meilleurs, n'est-ce pas?

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il y a 27 minutes, Rocco a dit :

On s'ennuie de Michael Sabia. Un anglophone à la tête est tellement plus respecté et craint. Y'a pas eu de niaisage avec lui aux commandes pour le REM 1. Une gang de québécois francophones, ça finit toujours par se chamailler comme des matantes. Émond, Legault, Plante, Rouleau.... Personne se craint, tout le monde s'envoie chier... Je m'ennuie d'un leader anglo qui peut "get things done". Tabar....

 

Le REM 1 et le REM de l'Est  comportaient des défis bien différents.  Le premier bénéficiait d'infrastructures existantes, en plus de répondre à des besoins précédemment identifiés, comme la liaison avec YUL et surtout, selon moi, l'opportunité d'utiliser une travée du nouveau pont Samuel-de-Champlain afin de renforcer le TEC entre la Rive-Sud et Montréal.  Le REM 1 a bien sûr occasionné quelques nuisances qui ont été dûment publicisées, mais ce n'était rien en comparaison de ce que pourrait causer le REM de l'Est.  Concernant celui-ci, on fait face à des nuisances bien plus importantes, à des solutions plus complexes, à des coûts indéterminés mais qui s'annoncent très élevés, ainsi qu'à des doutes quant à l'achalandage.  Personne, pas même un magicien, n'aurait pu faire disparaître ces difficultés d'un seul trait.  

Tu sais, je ne prends pas au sérieux ton invective à l'endroit des francophones.  Tu connais certainement les nombreux rebondissements dans les projets de TEC à Toronto, où je ne vois pourtant aucune influence francophone.  Idem pour les USA et ailleurs (mais pas partout) dans le reste du monde. 

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58 minutes ago, Né entre les rapides said:

Le REM 1 et le REM de l'Est  comportaient des défis bien différents.  Le premier bénéficiait d'infrastructures existantes, en plus de répondre à des besoins précédemment identifiés, comme la liaison avec YUL et surtout, selon moi, l'opportunité d'utiliser une travée du nouveau pont Samuel-de-Champlain afin de renforcer le TEC entre la Rive-Sud et Montréal.  Le REM 1 a bien sûr occasionné quelques nuisances qui ont été dûment publicisées, mais ce n'était rien en comparaison de ce que pourrait causer le REM de l'Est.  Concernant celui-ci, on fait face à des nuisances bien plus importantes, à des solutions plus complexes, à des coûts indéterminés mais qui s'annoncent très élevés, ainsi qu'à des doutes quant à l'achalandage.  Personne, pas même un magicien, n'aurait pu faire disparaître ces difficultés d'un seul trait.  

Tu sais, je ne prends pas au sérieux ton invective à l'endroit des francophones.  Tu connais certainement les nombreux rebondissements dans les projets de TEC à Toronto, où je ne vois pourtant aucune influence francophone.  Idem pour les USA et ailleurs (mais pas partout) dans le reste du monde. 

Pour avoir parler avec des dirigeants/haut placés d'institution anglo de Montréal (principalement en éducation) un commentaire qui revient souvent c'est comment qu'as chaque fois il y as un meeting avec le ministère c'est un meeting typiques de "je me suis fait entendre et vu pour justifié ma présence/existence/salaire" c'est des heures de monde qui se passe la puck et personne veux prendre de décision et être tenu responsable. Des dossiers qui traînent pendant des années au lieu d'être réglé dans un espaces de quelle que mois, des réunions supposément décisionnelle qui n'aboutisse a rien parce qu'on à pas fini de se "couvrir le cul" avant de décider de procéder. C'est pas moi qui fait le liens entre le différence de culture c'est biens eux qui me l'ont souligné. 

Est-ce que c'est biasé comme opinion? Peut-être (malgré que certains d'entre eu sont eux-même québécois de souche) peut-être c'est juste de la bureaucratie. 

Mais c'est une attitude et des comportements qui sont est assez observables, de ce que j'observe c'est pas un trait du peuple québécois (francophone ou non) c'est une culture généralisé dans les institutions et la bureaucratie publiques et en politiques. Le renvois de ball incessant entre les différent paliers de gouvernement, des prises de becs inutiles et interminable avec Ottawa (pour passer la responsabilité et faire paraitre qu'il y a du travail qui se fait), le refus catégorique d'être tenus responsable sur des critères quantifiable pour des transfers de fond sous le pretext de jurisdiction provincial. Des entités/organismes au acronyme interminable qui semblent travailler simplement pour justifier leur existences.

Si il y a une différence culturel anglo vs franco que je crois est véridique et qui me parais pertinent, c'est que du coté anglophone on ne se gène pas de mettre une personne à l'avant-scène, un responsable une personne pour porté le blame et a qui attribué le succès tandis que le coté francophone les dirigeants on plus tendance de se fondre, voir même se cacher dans leur institution. 

Andy Byford dans son rôle au TTC avant de partir pour la MTA et même à un certain niveau à New York quand il a claqué la porte en sortant, était beaucoup plus vu et influent que Philippe Schnobb.

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il y a 6 minutes, Spiter_01 a dit :

Pour avoir parler avec des dirigeants/haut placés d'institution anglo de Montréal (principalement en éducation) un commentaire qui revient souvent c'est comment qu'as chaque fois il y as un meeting avec le ministère c'est un meeting typiques de "je me suis fait entendre et vu pour justifié ma présence/existence/salaire" c'est des heures de monde qui se passe la puck et personne veux prendre de décision et être tenu responsable. Des dossiers qui traînent pendant des années au lieu d'être réglé dans un espaces de quelle que mois, des réunions supposément décisionnelle qui n'aboutisse a rien parce qu'on à pas fini de se "couvrir le cul" avant de décider de procéder. C'est pas moi qui fait le liens entre le différence de culture c'est biens eux qui me l'ont souligné. 

Est-ce que c'est biasé comme opinion? Peut-être (malgré que certains d'entre eu sont eux-même québécois de souche) peut-être c'est juste de la bureaucratie. 

Mais c'est une attitude et des comportements qui sont est assez observables, de ce que j'observe c'est pas un trait du peuple québécois (francophone ou non) c'est une culture généralisé dans les institutions et la bureaucratie publiques et en politiques. Le renvois de ball incessant entre les différent paliers de gouvernement, des prises de becs inutiles et interminable avec Ottawa (pour passer la responsabilité et faire paraitre qu'il y a du travail qui se fait), le refus catégorique d'être tenus responsable sur des critères quantifiable pour des transfers de fond sous le pretext de jurisdiction provincial. Des entités/organismes au acronyme interminable qui semblent travailler simplement pour justifier leur existences.

Si il y a une différence culturel anglo vs franco que je crois est véridique et qui me parais pertinent, c'est que du coté anglophone on ne se gène pas de mettre une personne à l'avant-scène, un responsable une personne pour porté le blame et a qui attribué le succès tandis que le coté francophone les dirigeants on plus tendance de se fondre, voir même se cacher dans leur institution. 

Andy Byford dans son rôle au TTC avant de partir pour la MTA et même à un certain niveau à New York quand il a claqué la porte en sortant, était beaucoup plus vu et influent que Philippe Schnobb.

Se couvrir le cul: La saga du REM de l'Est peut justement être le sous-titre de tout le mélodrame des derniers jours

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Il y a 3 heures, p_xavier a dit :

 Mais oui, c'est un trait de caractère qui m'a toujours irrité des québécois, où le processus semble être plus important que les résultats.

C'est plus un trait de caractère de la bureaucratie gouvernementale qu'un trait spécifiquement québécois.

Il y a 1 heure, Decel a dit :

Se couvrir le cul: La saga du REM de l'Est peut justement être le sous-titre de tout le mélodrame des derniers jours

Se couvrir le cul est le slogan non officiel des hauts fonctionnaires.

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L'idée de bifurquer sur la 25 revient à répétions et ça m'agace vraiment. Si il y a bien une chose dont j'ai horreur, c'est un corridor autoroutier. Faire usage d'un tel corridor, c'est de dire à l'usager de prendre sa voiture pour se rendre à la station et de faire usage du stationnement incitatif. L'autoroute, ce n'est pas une destination. Une autre chose qui est souvent revenu, c'est l'idée de construire un tramway plutôt qu'un REM pour desservir Montréal Est. Je vous propose donc une alternative dans cet optique.

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Je fais usage du corridor ferroviaire. La jonction avec la ligne verte se fait à Radisson. Je me permet d'utiliser l'emprise de la ligne électrique pour rejoindre Anjou. Alternative possible: Tunnel en cut and cover dans l'alignement de la ligne électrique (1.5 km).

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Je conserve également la branche L'Accordaire, mais je la fais traverser le fleuve et je l'envoie à Longueil plutôt que de dédoubler au centre-ville comme beaucoup reprochent au projet actuel. Il faut dire que lorsque j'habitais à Longueil, j'aurais vraiment aimé avoir un trajet direct vers Pie-IX. Le maillage est une composante importante des diverses cartes que j'ai posté sur ce forum à travers les années et c'est ce qui justifie ce choix.

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Vous en pensez quoi?

C'est une version modifié des cartes que j'ai publié précédemment sur le forum.
Version Interactive: https://www.google.com/maps/d/u/0/edit?mid=1MgLKVfhr-usQYt7tGEJBhfmSNvoLlqdw&usp=sharing

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8 hours ago, Decel said:

Par contre, je crois qu'il faudrait plutôt aligner le financement de la STM (et peut-être tous les exploitants de l'ARTM) sur celui de la CDPQi, qui a mon avis est plus explicite, transparent, mesurable et surtout prévisible.

Je suis tellement d'accord avec toi!!

Ça permettrais de responsabiliser totalement les décideurs.

Si on prend de mauvaises décisions (prévisions d'achalandage / modes / tracés etc) ou si ont fait une mauvaise gestion du projet (dépassement de coûts, retards / mauvaise qualité), la STM en assumerait alors totalement les conséquences (le compte de taxe en fait...). 

Si Montréal veux se payer du sous-terrain ($1B/km?) partout, et bien qu'elle en assume totalement les frais supplémentaires. Même chose pour des SRB Pie-IX partout.

Et inversement si la conception d'un projet fait en sorte que l'ont peux transporter plus d'usagers à moindre coûts, alors la STM en récolterait totalement les bénéfices (baisse de tarifs? On baisse de taxes?). Il faut récompenser la compétence.

Pour l'acceptabilité sociale, la STM est mieux placé que n'importe qui pour en juger.

Avoir eu ce type de financement, ont aurait jamais dépensé $700M pour le train Mtl-Mascouche, qui ne transportais que 3500 passagers par jour (avant la pandémie).

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6 hours ago, Decel said:

Ce rapport défavorable, ou plutot l'article sur le rapport défavorable, a néanmoins crevé l'abcès et démarré la machine à popcorn 😁

Il y a une raison que l'extension de la ligne bleue a pris 30-40 ans à potentiellement se réaliser...

Trop de mains sur le volant

There’s a lot to like about the REM business model, namely cutting multiple layers of bureaucracy out of the picture — no pre-pre-feasibility studies followed by studies of studies followed by……. — as well as the blind pursuit of profits for the benefit of the Caisse.

But we also have to make sure our bas de laine isn’t funded by des gougounes Phentex.

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Il y a 6 heures, p_xavier a dit :

La ligne rose apporterait probablement 0% de transfert modal de la voiture. Donc qui selon l'ARTM, devrait être encore un bien plus mauvais projet que le REM B, et à plus du double de côuts...  Pour ça je trouve risible les interventions.  Et les libéraux qui chialent que ça va enlever de l'achalandage sur la ligne verte, euh, c'est quoi pour eux un système de transport collectif?  Mais sérieux, c'est quoi qui est proposé à la place? Absolument rien!

 

Un no man's land va attirer qui en particulier ?  Que ce soit un usager régulier du transport en commun ou celui qui utilise la bagnole. 

Faut viser a avoir le plus de maillage possible pour attirer les utilisateurs de voiture.  Faut couvrir le plus de secteur possible. Ne pas faire du dédoublement.  Un bon transport en commun efficace vise a desservir le plus de zone géographique. Tu habite a Repentigny et tu travaille dans le parc industriel de Anjou qui ne sera pas vraiment desservi par le TEC  a part les bus, ya de bonne chance que tu continu a utiliser ton auto tout le long du trajet. 

J'habite a Lasalle je travaille a Lachine on oublie le transport en commun c est mal foutu tout est conçu direction centre-ville. A Montreal peut être 25% des jobs sont au centre-ville pas beaucoup plus. On fait quoi avec le reste de 75%. 

La ligne Rose avait l avantage de desservir des secteurs dense mal desservi.Par contre ce que je n'aime pas de la ligne rose c est qu'elle se trouve en parallèle de la ligne verte et orange au centre-ville. Deja bien desservi en TEC. 

Le rem de l'est aussi a ses bon point.  

 

 

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RAPPORT DE L’ARTM SUR LE REM DE L’EST

DOIT-ON TOMBER DES NUES ?

GÉRARD BEAUDET URBANISTE ÉMÉRITE ET PROFESSEUR TITULAIRE, ÉCOLE D’URBANISME ET D’ARCHITECTURE DE PAYSAGE, UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL

 

Les réactions outrées au rapport de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) de quelques défenseurs inconditionnels du REM de l’Est ont de quoi étonner.

Comment peut-on insinuer que le rapport de l’ARTM est revanchard quand plusieurs des critiques formulées ont déjà été avancées par des experts en transport et des professionnels de l’aménagement, et ce, dans certains cas, dès le dévoilement du projet par CDPQ Infra ? Comment peut-on écarter d’un revers de main le problème insoluble, d’un point de vue urbanistique, du raccordement du tunnel et du tablier aérien au centre-ville de Montréal ?

Comment peut-on avaliser une mise en concurrence des réseaux qui ne peut se justifier que par le modèle d’affaires de CDPQ Infra et un financement sur la base de passagers-kilomètres ? Comment peut-on s’accommoder d’une desserte qui laisse en plan plusieurs secteurs de l’Est, notamment le quartier Rivière-des-Prairies ? Comment peut-on être surpris par la réaction des gens qui découvrent l’horreur des caténaires, que les présentations préliminaires prenaient évidemment bien soin de dissimuler ? Comment peut-on justifier les conséquences fâcheuses du projet du REM sur les finances de la Société de transport de Montréal et, par conséquent, sur les services offerts ?

Comment peut-on banaliser le fait qu’un investissement de 10 milliards n’engendre qu’un transfert modal extrêmement faible de l’auto au transport collectif ? Et comment peut-on imposer à la mairesse de Montréal de faire le boulot de l’ARTM – par ailleurs court-circuitée sciemment par le gouvernement −, au prétexte qu’elle a des réserves légitimes sur le projet ?

Ce qui serait étonnant, c’est qu’au vu de ces données, on persiste à voir dans ce projet la seule solution aux problèmes de transport collectif dans l’Est montréalais. Qu’elle soit la seule proposée − par un porteur de projet qui est juge et partie et n’a de comptes à rendre qu’à lui-même − ne garantit pas qu’elle soit la meilleure.

Qu’à cela ne tienne, certains persistent et signent. Et on n’hésite pas, au besoin, à tordre la réalité.

On prétend notamment que le projet est une commande de l’ARTM, ce qui est erroné. Le projet du REM de l’Est a été élaboré à l’insu de l’ARTM, qui l’aborde comme une option parmi d’autres dans son plan stratégique de 2021. Un plan stratégique déposé, au demeurant, après l’annonce du REM de l’Est par CDPQ Infra. L’équipe responsable du projet de prolongement de la ligne bleue n’a par ailleurs été informée du projet de CDPQ Infra que quelques jours avant l’annonce du lancement du REM de l’Est, en décembre 2020.

On affirme aussi que la gouvernance du projet est exemplaire, alors que la mairesse de Montréal soutient que les demandes de la Ville concernant une participation concrète aux travaux de CDPQ Infra ont été repoussées d’un revers de main et que, manifestement, comme il est rappelé plus haut, l’ARTM n’a jamais été véritablement mise dans le coup, si ce n’est pour rediriger à qui de droit les demandes de CDPQ Infra. Sans compter l’imposition d’ententes de confidentialité, outrageusement justifiée par le secret industriel, mais qui, en fait, inhibent tout débat public éclairé.

Mais on n’en reste pas là. On prétend que le rapport de l’ARTM est biaisé, entre autres parce qu’il ne tient pas compte des retombées du REM de l’Est, en particulier en termes de développement immobilier.

Sans insister sur le fait que de telles retombées ne sont jamais assurées, il importe de souligner que, jusqu’à nouvel ordre, le mode de transport privilégié n’a pas le monopole des effets structurants, tant s’en faut.

Mais on fait, par ailleurs, peu de cas des impacts négatifs du mode retenu − un train léger aérien – sur les milieux d’accueil. Comment justifier ce « deux poids, deux mesures » ?

On évoque également qu’il s’agit d’un des plus importants investissements en transport collectif de la planète. Comme si cela suffisait à garantir la pertinence et la qualité du projet et justifiait le refus d’un examen critique fondé sur une comparaison avec une alternative. Ça nous fera une belle jambe si les appréhensions qui se sont multipliées au cours des derniers mois se révèlent fondées et sont bien bétonnées. Quand on sait que de telles infrastructures sont inscrites dans le paysage pour plusieurs décennies − comme nous le rappelle l’autoroute Métropolitaine –, n’est-il pas plus raisonnable et prudent de ne pas confondre vitesse et précipitation et, surtout, de ne pas se laisser impressionner par de telles esbroufes, qui occultent généralement un manque d’arguments crédibles ? Il y a d’autres moyens plus socialement acceptables d’épater la galerie.

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