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REM (ligne A) - Discussion générale


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La plupart des stations repoussées à 2024

 

Photo Hugo-Sébastien Aubert, archives LA PRESSE

Le bras immobilier de la Caisse de dépôt indique que « d’importants défis posés par le tunnel Mont-Royal » ont forcé ses équipes à « repenser la séquence de tests et d’essais » pour le lancement du REM.

La livraison de 18 stations du Réseau express métropolitain (REM), dont celles du centre-ville, de l’Ouest-de-l’Île et de la Rive-Nord, devra à nouveau être repoussée. Il faudra finalement attendre jusqu’à la fin de 2024, le chantier étant encore durement affecté par des explosifs centenaires découverts dans le tunnel Mont-Royal en juillet 2020.

Publié à 7h54 Mis à jour à 11h25

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2022-06-20/rem/la-plupart-des-stations-repoussees-a-2024.php

Henri Ouellette-Vézina La Presse

Dans un communiqué publié lundi, le bras immobilier de la Caisse de dépôt indique que « d’importants défis posés par le tunnel Mont-Royal » ont forcé ses équipes à « repenser la séquence de tests et d’essais » pour le lancement du REM. On dit procéder ainsi pour « éviter de décaler la mise en service en 2026 ».

Ainsi, les antennes du centre-ville, de l’Ouest et de la Rive-Nord – qui devraient respectivement être livrées à l’automne 2023, au printemps 2024 et à l’automne 2024 – seront plutôt achevées à la fin 2024. Ensemble, ces trois segments représentent 18 stations. L’antenne de la Rive-Sud, comprenant notamment Brossard et la gare Centrale – est toutefois maintenue à l’automne 2022. Cette portion du REM, qui avait déjà fait l’objet d’un report, devait d’abord être inaugurée à la fin 2021.

Consultez Mieux comprendre le Réseau express métropolitain

Quant au tracé devant relier l’aéroport Montréal-Trudeau au centre-ville, CDPQ Infra dit travailler avec Aéroport de Montréal (ADM) afin « d’optimiser le nouvel échéancier ». Le groupe espère pouvoir « confirmer la date de mise en service de cette antenne cet automne ». Pour les antennes Deux-Montagnes et Anse-à-l’Orme, on souhaite aussi préserver une livraison à la fin 2024. Si la séquence prévoyant une mise en service des stations du sud au nord avait été maintenue, le REM n’aurait pas atteint Deux-Montagnes avant 2026, affirme-t-on.

Pour maintenir l’ouverture des antennes Deux-Montagnes et Anse-à-l’Orme en 2024, CDPQ Infra compte « inverser » la séquence de ses tests, en déployant les tests depuis son centre de Saint-Eustache, plutôt qu’à Brossard. Il sera alors possible d’éviter le tunnel Mont-Royal et de ne pas retarder les essais.

Impacts encore présents d’explosifs

En novembre 2020, la Caisse de dépôt avait annoncé à regret que l’ouverture de la branche située sous le tunnel Mont-Royal allait devoir être reportée de 18 mois à la suite d’une détonation « imprévue » en juillet. « On a eu une détonation imprévue lors du forage, le 21 juillet. Aucun travailleur n’a été blessé. La cause la plus probable, c’est un ancien trou de forage contenant des résidus d’explosifs, datant de la construction, entre 1912 et 1918 », avait résumé le président et chef de la direction de CDPQ Infra, Jean-Marc Arbaud, lors d’une conférence de presse.

Selon les résultats de l’enquête, la détonation est survenue à la suite d’un contact thermique avec des résidus de nitroglycérine. En plus des dépassements de coûts, les méthodes de travail ont dû être rapidement modifiées. Par mesure de sécurité, les 30 000 trous de forage requis pendant les travaux ont dû être réalisés à l’aide d’une caméra et d’un système de contrôle à distance, par mesure de sécurité.

Il ne sera donc pas possible de débuter les tests requis de mise en service dans le tunnel avant l’été 2024. Au bureau de projet du REM, on indique que les « conditions générales de dégradation du mur central de la voûte du tunnel sous la rue McGill College » sont aussi responsables de ces échéanciers allongés, citant aussi les impacts toujours clairs de la COVID-19 en « main-d’œuvre et en approvisionnement ».

Dépassements de coûts en vue

Ces nouveaux retards entraîneront une hausse des coûts. La plus récente estimation de 6,9 milliards ne sera donc pas respectée, mais on ignore le coût final. Appelé à réagir lundi, le ministre des Transports, François Bonnardel, a indiqué que la situation du tunnel Mont-Royal était « très imprévisible ». « Oui, on aurait aimé avoir une livraison plus tôt, mais les impondérables et ces situations nous amènent à continuer d’appuyer la Caisse. Ça va prendre un peu plus de temps, mais on sera très fiers de la livraison de ce REM », a-t-il noté.

M. Bonnardel juge toutefois qu’il est « prématuré » de s’avancer sur les dépassements de coûts à envisager et, surtout, sur qui devra payer la facture. Le ministre des Finances, Eric Girard, aura des discussions avec CDPQ Infra à ce sujet dans les prochains jours.

L’équipe du REM a également souligné que des discussions sont en cours avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et Mobilité Montréal pour le maintien des mesures d’atténuation mises en place avec la fermeture complète de la ligne exo Deux-Montagnes et les entraves liées à la ligne exo Mascouche. Ces deux lignes de train de banlieue utilisaient le tunnel du mont Royal avant sa fermeture.

« Présentement, les services que nous offrons font le boulot. Et si on doit améliorer ces mesures dans les prochaines semaines, les prochains mois, sinon les deux prochaines années, on le fera », a dit M. Bonnardel.

Au cabinet de la mairesse Valérie Plante, on précise que « le REM de l’Ouest est grandement attendu ». « Bien que nous comprenions les raisons invoquées par CDPQ, on espère qu’il n’y aura pas de nouveaux délais au projet », a évoqué lundi l’attacheé de presse Catherine Cadotte.

Avec La Presse Canadienne

À propos du REM

Première pelletée de terre effectuée le 12 avril 2018 ;

Reliera à la gare centrale de Montréal les banlieues de Brossard, Sainte-Anne-de-Bellevue, Pointe-aux-Trembles, Montréal-Nord, Deux-Montagnes, ainsi que l'aéroport Montréal-Trudeau ;

Le tracé du centre-ville du REM de l'Est est abandonné en mai. CDPQ Infra est exclue du projet ;

Coût : 6,9 milliards de dollars.

Source : rem. info et https://www.cdpqinfra.com/fr/projets/rem

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Il y a 2 heures, Rocco a dit :

La débandade

Business as usual dans ce genre de projet il me semble.

Pour référence, l’épopée de la ligne Elisabeth à Londres: https://news.sky.com/story/elizabeth-line-years-of-delays-and-billions-over-budget-but-can-crossrail-transform-the-capitals-fortunes-12619900

Tu peux aller voir le projet de Honolulu aussi qui ne finit plus de finir. 

 

ÉDIT: Ils ont complété les tunnels de la ligne Elisabeth en… 2015. Ils ouvrent la ligne 7 ans plus tard. Donc à côté de ça, les délais du REM me semblent raisonnables.

Modifié par champdemars
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Il y a 19 heures, champdemars a dit :

Business as usual dans ce genre de projet il me semble.

Pour référence, l’épopée de la ligne Elisabeth à Londres: https://news.sky.com/story/elizabeth-line-years-of-delays-and-billions-over-budget-but-can-crossrail-transform-the-capitals-fortunes-12619900

Tu peux aller voir le projet de Honolulu aussi qui ne finit plus de finir. 

 

ÉDIT: Ils ont complété les tunnels de la ligne Elisabeth en… 2015. Ils ouvrent la ligne 7 ans plus tard. Donc à côté de ça, les délais du REM me semblent raisonnables.

Merci pour ton commentaire éclairé qui montre qu'il est plus difficile que jamais de respecter les échéanciers des grands projets, pas seulement pour leur complexité grandissante, mais aussi pour l'inflation galopante qui fait exploser les budgets, les décisions politiques qui s'immiscent dans le processus, les difficultés logistiques imprévisibles qui apparaissent en cours de route, la rareté de la main-d'oeuvre très qualifiée et les défis que posent la situation internationale. Entendu que tous les pays font face actuellement à ces mêmes défis avec plus ou moins de succès. 

Je me rappelle au début de l'immense chantier du REM, certains disaient que la CDPQ était la seule garanti du respect de l'échéancier, comme si les autres organismes publics, dont l'ARTM, étaient incompétents ou trop politisés. On est bien obligé aujourd'hui d'admettre que l'image surfaite de la Caisse n'a pas pu mieux performer que la moyenne des autres grandes entreprises dans le domaine.

Non pas que cette dernière soit fautive, mais comme les autres elle subit les aléas de l'économie mondiale sur fond de pandémie, d'inflation internationale des matériaux et de l'énergie, ajoutée à une guerre en Ukraine déstabilisante et dont l'issue demeure le plus grand danger immédiat pour la planète. Or même avec la meilleure intention du monde, toutes les grandes entreprises privées et publiques ne peuvent plus fonctionner normalement dans ce monde mondialisé qui échappe complètement à leur contrôle, en affectant négativement à divers degrés absolument toutes les économies nationales sans distinction.

C'est pour cela qu'il faut toujours mettre les choses en perspective et conserver un regard global sur le monde, sinon on ne comprendra jamais objectivement les véritables causes et les nombreux défis du monde moderne actuel. Pas facile évidemment de garder le cap dans un monde en ébullition comme aujourd'hui, qui demande la plus grande lucidité possible pour pouvoir tirer avantageusement son épingle du jeu.

Or, les émotions et surtout l'autoflagellation pratiquée par certains sur ce forum, démontrent une totale ignorance des grands enjeux et fait certainement l'affaire de la pensée complotiste qui carbure essentiellement à la désinformation, au mensonge et au sensationnalisme.

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3 hours ago, acpnc said:

Merci pour ton commentaire éclairé qui montre qu'il est plus difficile que jamais de respecter les échéanciers des grands projets, pas seulement pour leur complexité grandissante, mais aussi pour l'inflation galopante qui fait exploser les budgets, les décisions politiques qui s'immiscent dans le processus, les difficultés logistiques imprévisibles qui apparaissent en cours de route, la rareté de la main-d'oeuvre très qualifiée et les défis que posent la situation internationale. Entendu que tous les pays font face actuellement à ces mêmes défis avec plus ou moins de succès. 

Je me rappelle au début de l'immense chantier du REM, certains disaient que la CDPQ était la seule garanti du respect de l'échéancier, comme si les autres organismes publics, dont l'ARTM, étaient incompétents ou trop politisés. On est bien obligé aujourd'hui d'admettre que l'image surfaite de la Caisse n'a pas pu mieux performer que la moyenne des autres grandes entreprises dans le domaine.

Non pas que cette dernière soit fautive, mais comme les autres elle subit les aléas de l'économie mondiale sur fond de pandémie, d'inflation internationale des matériaux et de l'énergie, ajoutée à une guerre en Ukraine déstabilisante et dont l'issue demeure le plus grand danger immédiat pour la planète. Or même avec la meilleure intention du monde, toutes les grandes entreprises privées et publiques ne peuvent plus fonctionner normalement dans ce monde mondialisé qui échappe complètement à leur contrôle, en affectant négativement à divers degrés absolument toutes les économies nationales sans distinction.

C'est pour cela qu'il faut toujours mettre les choses en perspective et conserver un regard global sur le monde, sinon on ne comprendra jamais objectivement les véritables causes et les nombreux défis du monde moderne actuel. Pas facile évidemment de garder le cap dans un monde en ébullition comme aujourd'hui, qui demande la plus grande lucidité possible pour pouvoir tirer avantageusement son épingle du jeu.

Or, les émotions et surtout l'autoflagellation pratiquée par certains sur ce forum, démontrent une totale ignorance des grands enjeux et fait certainement l'affaire de la pensée complotiste qui carbure essentiellement à la désinformation, au mensonge et au sensationnalisme.

On peut se consoler en regardant l'échangeur Dorval pas encore tout a fait terminer. Faut se rappeler que ca a débuter en 2008.

Le principal facteur des retards dans l'échéance  des travaux. C'est le manque de main d'oeuvre. Partout je vois des chantiers mais avec une poignée d'ouvriers. 

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On 2022-06-20 at 12:33 PM, acpnc said:

La plupart des stations repoussées à 2024

 

Photo Hugo-Sébastien Aubert, archives LA PRESSE

Le bras immobilier de la Caisse de dépôt indique que « d’importants défis posés par le tunnel Mont-Royal » ont forcé ses équipes à « repenser la séquence de tests et d’essais » pour le lancement du REM.

La livraison de 18 stations du Réseau express métropolitain (REM), dont celles du centre-ville, de l’Ouest-de-l’Île et de la Rive-Nord, devra à nouveau être repoussée. Il faudra finalement attendre jusqu’à la fin de 2024, le chantier étant encore durement affecté par des explosifs centenaires découverts dans le tunnel Mont-Royal en juillet 2020.

Publié à 7h54 Mis à jour à 11h25

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2022-06-20/rem/la-plupart-des-stations-repoussees-a-2024.php

Henri Ouellette-Vézina La Presse

Dans un communiqué publié lundi, le bras immobilier de la Caisse de dépôt indique que « d’importants défis posés par le tunnel Mont-Royal » ont forcé ses équipes à « repenser la séquence de tests et d’essais » pour le lancement du REM. On dit procéder ainsi pour « éviter de décaler la mise en service en 2026 ».

Ainsi, les antennes du centre-ville, de l’Ouest et de la Rive-Nord – qui devraient respectivement être livrées à l’automne 2023, au printemps 2024 et à l’automne 2024 – seront plutôt achevées à la fin 2024. Ensemble, ces trois segments représentent 18 stations. L’antenne de la Rive-Sud, comprenant notamment Brossard et la gare Centrale – est toutefois maintenue à l’automne 2022. Cette portion du REM, qui avait déjà fait l’objet d’un report, devait d’abord être inaugurée à la fin 2021.

Consultez Mieux comprendre le Réseau express métropolitain

Quant au tracé devant relier l’aéroport Montréal-Trudeau au centre-ville, CDPQ Infra dit travailler avec Aéroport de Montréal (ADM) afin « d’optimiser le nouvel échéancier ». Le groupe espère pouvoir « confirmer la date de mise en service de cette antenne cet automne ». Pour les antennes Deux-Montagnes et Anse-à-l’Orme, on souhaite aussi préserver une livraison à la fin 2024. Si la séquence prévoyant une mise en service des stations du sud au nord avait été maintenue, le REM n’aurait pas atteint Deux-Montagnes avant 2026, affirme-t-on.

Pour maintenir l’ouverture des antennes Deux-Montagnes et Anse-à-l’Orme en 2024, CDPQ Infra compte « inverser » la séquence de ses tests, en déployant les tests depuis son centre de Saint-Eustache, plutôt qu’à Brossard. Il sera alors possible d’éviter le tunnel Mont-Royal et de ne pas retarder les essais.

Impacts encore présents d’explosifs

En novembre 2020, la Caisse de dépôt avait annoncé à regret que l’ouverture de la branche située sous le tunnel Mont-Royal allait devoir être reportée de 18 mois à la suite d’une détonation « imprévue » en juillet. « On a eu une détonation imprévue lors du forage, le 21 juillet. Aucun travailleur n’a été blessé. La cause la plus probable, c’est un ancien trou de forage contenant des résidus d’explosifs, datant de la construction, entre 1912 et 1918 », avait résumé le président et chef de la direction de CDPQ Infra, Jean-Marc Arbaud, lors d’une conférence de presse.

Selon les résultats de l’enquête, la détonation est survenue à la suite d’un contact thermique avec des résidus de nitroglycérine. En plus des dépassements de coûts, les méthodes de travail ont dû être rapidement modifiées. Par mesure de sécurité, les 30 000 trous de forage requis pendant les travaux ont dû être réalisés à l’aide d’une caméra et d’un système de contrôle à distance, par mesure de sécurité.

Il ne sera donc pas possible de débuter les tests requis de mise en service dans le tunnel avant l’été 2024. Au bureau de projet du REM, on indique que les « conditions générales de dégradation du mur central de la voûte du tunnel sous la rue McGill College » sont aussi responsables de ces échéanciers allongés, citant aussi les impacts toujours clairs de la COVID-19 en « main-d’œuvre et en approvisionnement ».

Dépassements de coûts en vue

Ces nouveaux retards entraîneront une hausse des coûts. La plus récente estimation de 6,9 milliards ne sera donc pas respectée, mais on ignore le coût final. Appelé à réagir lundi, le ministre des Transports, François Bonnardel, a indiqué que la situation du tunnel Mont-Royal était « très imprévisible ». « Oui, on aurait aimé avoir une livraison plus tôt, mais les impondérables et ces situations nous amènent à continuer d’appuyer la Caisse. Ça va prendre un peu plus de temps, mais on sera très fiers de la livraison de ce REM », a-t-il noté.

M. Bonnardel juge toutefois qu’il est « prématuré » de s’avancer sur les dépassements de coûts à envisager et, surtout, sur qui devra payer la facture. Le ministre des Finances, Eric Girard, aura des discussions avec CDPQ Infra à ce sujet dans les prochains jours.

L’équipe du REM a également souligné que des discussions sont en cours avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et Mobilité Montréal pour le maintien des mesures d’atténuation mises en place avec la fermeture complète de la ligne exo Deux-Montagnes et les entraves liées à la ligne exo Mascouche. Ces deux lignes de train de banlieue utilisaient le tunnel du mont Royal avant sa fermeture.

« Présentement, les services que nous offrons font le boulot. Et si on doit améliorer ces mesures dans les prochaines semaines, les prochains mois, sinon les deux prochaines années, on le fera », a dit M. Bonnardel.

Au cabinet de la mairesse Valérie Plante, on précise que « le REM de l’Ouest est grandement attendu ». « Bien que nous comprenions les raisons invoquées par CDPQ, on espère qu’il n’y aura pas de nouveaux délais au projet », a évoqué lundi l’attacheé de presse Catherine Cadotte.

Avec La Presse Canadienne

À propos du REM

Première pelletée de terre effectuée le 12 avril 2018 ;

Reliera à la gare centrale de Montréal les banlieues de Brossard, Sainte-Anne-de-Bellevue, Pointe-aux-Trembles, Montréal-Nord, Deux-Montagnes, ainsi que l'aéroport Montréal-Trudeau ;

Le tracé du centre-ville du REM de l'Est est abandonné en mai. CDPQ Infra est exclue du projet ;

Coût : 6,9 milliards de dollars.

Source : rem. info et https://www.cdpqinfra.com/fr/projets/rem

Donc en gros, ils ont besoin de 6 mois pour les tests. Ok mais alors pourquoi ils continuent d'affirmer que le REM entre Brossard et le centre-ville va ouvrir dans 6 mois quand nous sommes encore loin des tests pour la portion Pelletier -  Gare Centrale (les fils sont encore entrain d'être installé!)  2022 me semble peu probable, probablement Avril 2023.. 

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Il y a 10 heures, Philippe a dit :

Donc en gros, ils ont besoin de 6 mois pour les tests. Ok mais alors pourquoi ils continuent d'affirmer que le REM entre Brossard et le centre-ville va ouvrir dans 6 mois quand nous sommes encore loin des tests pour la portion Pelletier -  Gare Centrale (les fils sont encore entrain d'être installé!)  2022 me semble peu probable, probablement Avril 2023.. 

Et j'ai l'impression que les tests entre Brossard et Panama sont encore très timides. Bien loin des fréquences au 2 minutes... Aussi d'accord pour printemps 2023...

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