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REM (ligne A) - Discussion générale


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il y a 13 minutes, Fortier a dit :

Je ne m’explique toujours pas que CDPQ Infra n’arrive pas encore à assumer pleinement le fait qu’ils construisent un réseau de métro.

En général on parle de “métro léger” quand seulement une partie de la ligne est grade separated.

À ma connaissance aucun autre système qui utilise des Alstom Metropolis ne se définit pas comme tel. Je doute encore plus qu’il y ait d’autres exemples de réseaux dans le monde qui se rétrograde ainsi volontairement. En général les gens sont assez fiers d’avoir une nouvelle ligne de métro.

L’excuse qu’il y ait “moins de wagons” ne fait aucun sens. Il y a plénitude de réseaux de métro dans le monde avec 2, 3 ou 4 wagons. La ligne 17 du métro de Paris (GPE) aura des rames Metropolis avec 3 wagons...

Ont-ils peur à ce point que les gens assimilent leur réseau à celui de la STM? Pourquoi ne pas appeler un chat un chat?

Récemment, ils ont mentionné la construction de la "station de métro Panama"... Mais bon, je comprends mal aussi cette volonté d'affubler de "léger" le système de métro qu'ils construisent.

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It’s a bit of semantics, but the common use of “grade-separated” means the ROW is segregated from all other forms of traffic. REM is indeed entirely “grade-separated.” That said, I’m with you. The lingo used in different parts of the world is a mishmash of terms that overlap or micro-identify. The heavy rail trains in Sydney as they all converge on the main trunk under the CBD, for example, are pretty indistinguishable from what we’d call metro or subways elsewhere; ditto Tokyo’s mostly-elevated Yamanote loop line. On the other hand, is Vancouver’s SkyTrain not a metro? There is no standard, and in fact REM’s own English-language pages identify it as a “light metro,” implying the use of heavy rail stock but in a lower-capacity configuration. The confusion comes when North Americans freely interchange “light rail” — generally low-floor vehicles on partly-grade-separated ROW — and “light metro,” both of which are seldom used outside this continent. 

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Il y a quand même eu du progrès côté communication depuis l’époque du “train électrique de la caisse”, et CDPQ et la plupart des médias utilisent au moins partiellement le terme métro (La Gazette utilise encore bien souvent light rail). Sinon, à part les membre du forum et autres geek d’infrastructures, les gens pense que c’est un train de banlieue.

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28 minutes ago, mk.ndrsn said:

Il y a quand même eu du progrès côté communication depuis l’époque du “train électrique de la caisse”, et CDPQ et la plupart des médias utilisent au moins partiellement le terme métro (La Gazette utilise encore bien souvent light rail). Sinon, à part les membre du forum et autres geek d’infrastructures, les gens pense que c’est un train de banlieue.

Et en éffet, n’ont pas tort. L’écart entre plusieurs paires de stations, la densité de certains quartiers desservis... 

Ce sera plutôt un métro léger de banlieu. 😁

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Son argument principal n'est pas mauvais. Hâte de voir la conclusion de ce cas.

C'est 1km partout sauf Gare Centrale et McGill?

Un promoteur veut être exempté de la redevance du REM

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-07-31/un-promoteur-veut-etre-exempte-de-la-redevance-du-rem.php

Citation

Le lot au cœur du litige est situé à moins d’un kilomètre à vol d’oiseau de la station REM du Centre Fairview–Pointe-Claire, mais la présence de l’autoroute Métropolitaine fait en sorte qu’il faut faire un détour de 2,5 km, soit plus de 30 minutes à pied, pour se rendre du lot à la gare de train.

Le promoteur immobilier Quartier One West s’adresse au tribunal pour rendre inopérant le règlement sur la redevance du Réseau express métropolitain (REM) à l’encontre du terrain qu’il possède à Pointe-Claire, sur lequel il prévoit ériger des maisons en rangée.

Publié le 31 juillet 2020 à 6h00

ANDRÉ DUBUC
LA PRESSE

Le plaignant fait valoir que le règlement aurait dû tenir compte des obstacles physiques comme la présence d’autoroutes pour déterminer les lots assujettis à la redevance.

S’il obtient gain de cause, de nombreux propriétaires fonciers pourraient demander à leur tour pareille exemption, notamment ceux de l’antenne de l’Ouest-de-l’Île du REM dont le tracé longe l’autoroute Métropolitaine.

Le lot au cœur du présent litige est situé à moins d’un kilomètre à vol d’oiseau de la station REM du Centre Fairview–Pointe-Claire, mais la présence de l’autoroute Métropolitaine fait en sorte qu’il faut faire un détour de 2,5 km, soit plus de 30 minutes à pied, pour se rendre du lot à la gare de train.

Quartier One West demande à la Cour le remboursement de la redevance de 318 170 $ qu’il a dû payer, plus les intérêts, par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et Pointe-Claire

Le terrain en question, au coin du boulevard Hymus et de la rue Alston, apparaît dans la liste des lots assujettis à la redevance pour tout ajout de mètre carré de plancher. Le règlement prévoit une mise en vigueur progressive de la redevance jusqu’en 2021. En 2020, la redevance s’élève à 88,80 $ le mètre carré, soit 80 % de la redevance complète de 111 $.

Deux conditions doivent être remplies pour que la redevance s’applique. La valeur des travaux doit excéder 782 308 $ et la superficie de plancher doit égaler ou excéder 186 mètres carrés, ou 2000 pieds carrés.

Le règlement provincial sur les redevances du REM est entré en vigueur le 1er mai 2018. La redevance a pour objectif de payer une partie des frais d’exploitation du REM. Le règlement permet d’amasser jusqu’à un maximum de 600 millions, sur 50 ans.

Distance de marche

La logique derrière cette histoire de redevances est que les propriétés situées à 1 km ou moins d’une station du REM profitent d’une plus-value foncière découlant directement de la proximité à un réseau de transports collectifs structurant.

« Il appert des connaissances scientifiques qu’une infrastructure comme une station du REM génère une plus-value pour les immeubles situés à une distance de marche de celui-ci [environ 800 mètres ou dix minutes de marche] », est-il allégué dans la requête préparée par Me Axel Fournier, de Prévost Fortin D’Aoust, de Saint-Jérôme.

La demanderesse s’appuie sur un rapport du professeur Jean Dubé de l’École supérieure d’aménagement du territoire et de développement régional (ÉSAD), de la faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design de l’Université Laval.

Mais « la présence de contraintes urbaines ou naturelles s’avère un facteur incontournable » pour déterminer la portée spatiale des impacts de l’amélioration du transport en commun sur les valeurs résidentielles, soutient la demanderesse, toujours sur la base du rapport du professeur Dubé.

Or, à partir du terrain en question, le « temps pour rejoindre la station [Fairview–Pointe-Claire] s’avère largement supérieur à ce qui est identifié dans la littérature » comme étant un temps susceptible d’avoir un impact sur les valeurs immobilières, indique-t-on.

Le règlement prévoit des exceptions quand la barrière physique est un cours d’eau, mais pas pour les autoroutes, confirme l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) dans un courriel.

Pour un acheteur d’une maison de ville dans le projet de la demanderesse, cela représente une charge de plus de 15 000 $. Il s’agit d’une somme déraisonnablement élevée pour un service situé à une trentaine de minutes de marche de leur maison.

Extrait de la requête du promoteur Quartier One West

« En assujettissant le Terrain à une Redevance REM, au même taux qu’un immeuble situé à 200 mètres de marche de la station, avance la demanderesse, le Règlement vient imposer indirectement une charge disproportionnée à des acheteurs d’unités d’habitation qui devront traverser une autoroute et marcher 30 minutes pour atteindre la station Fairview–Pointe-Claire. »

Pas de redevance, pas de permis

Qui plus est, dans cette affaire, le promoteur a subdivisé une partie du terrain en 14 lots pour y bâtir sur chacun une maison en rangée. Il soutient que, prise individuellement, chacune des maisons est exemptée de la redevance puisque le montant des travaux reste inférieur au seuil de 782 308 $ à partir duquel la redevance s’applique.

Or, la Ville de Pointe-Claire a refusé de délivrer le permis de construction tant que le promoteur ne payait pas la redevance.

« Le ou vers le 14 avril 2020, à la demande de la défenderesse Ville de Pointe-Claire, qui refusait l’émission d’un permis de construction, la demanderesse a dû remplir un formulaire visant à déterminer la contribution payable pour les maisons de ville qu’elle souhaitait construire, lit-on dans la requête.

« À ce titre, la demanderesse a dû payer sous protêt à la défenderesse Ville de Pointe-Claire la somme de 318 170,40 $ à titre de Redevance REM et ce, bien que cette somme ne soit pas exigible en vertu du Règlement. »

Le demandeur allègue également que la redevance constitue une taxe indirecte, pouvoir exclusif du fédéral selon la Constitution, et que le règlement constitue un exercice « déraisonnable du pouvoir habilitant et incombant au ministère du Transport et à l’ARTM ».

L’ARTM et la Ville de Pointe-Claire n’ont pas voulu commenter le cas.

— Avec la collaboration de Louis-Samuel Perron, La Presse

 

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Il y a 12 heures, SameGuy a dit :

 

Et en éffet, n’ont pas tort. L’écart entre plusieurs paires de stations, la densité de certains quartiers desservis... 

Ce sera plutôt un métro léger de banlieu. 😁

Encore une fois. La distance entre les stations ou la densité des quartiers riverains ne sont pas des critères pour distinguer un métro d'un métro léger. Sinon, la ligne jaune de Montréal ou le métro de Washington seraient aussi des "métros léger"! Et en poussant cette logique au bout, s'il ne s'agissait que de densité et distance des stations, le métro de Montréal serait un "métro léger" comparé à ceux de Paris ou de Londres...

Un métro léger est un métro léger car seulement une partie de son réseau répond aux critères d'un métro et l'autre partie répond davantage aux critères d'un tramway.

Ici les définitions standardisées de l'American Public Transportation Association (APTA) :

Light Rail (fr: SLR ou métro léger) : Light Rail is a mode of transit service operating passenger rail cars singly (or in short, usually two-car or three-car, trains) on fixed rails in right-of-way that is often separated from other traffic for part or much of the way. Light rail vehicles are typically driven electrically with power being drawn from an overhead electric line via a trolley or a pantograph; driven by an operator on board the vehicle; and may have either high platform loading or low level boarding using steps. Passenger stations or stops are usually farther apart than the normal spacing for streetcar systems.

Heay Rail System Heavy Rail is a mode of transit service (also called metro, subway, rapid transit, or rapid rail) operating on an electric railway with the capacity for a heavy volume of traffic. It is characterized by high-speed and rapid acceleration passenger rail cars operating singly or in multi-car trains on fixed rails; separate rights of-way from which all other vehicular and foot traffic are excluded; sophisticated signaling, and high platform loading.

Le nombre de wagons ou la distance entre les stations ne sont pas des critères (et encore moins la densité des quartiers riverains).

Ainsi ;

Sont des métros : Rennes, Toulouse, REM, ligne rouge de Los Angeles, M2 de Lausanne

Sont des métros légers : Ottawa, Québec, ligne bleue de Los AngelesM1 de Lausanne

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Le SkyTrain est reconnu comme Automated Guideway par l'APTA.  Le REM le serait également.

Automated Guideway Transit
Also called personal rapid transit, group rapid transit, or people mover is an electric railway (single or multi- car trains) of guided transit vehicles operating without an onboard crew. Service may be on a fixed schedule or in response to a passenger activated call button.

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il y a 9 minutes, p_xavier a dit :

Le SkyTrain est reconnu comme Automated Guideway par l'APTA.  Le REM le serait également.

Automated Guideway Transit
Also called personal rapid transit, group rapid transit, or people mover is an electric railway (single or multi- car trains) of guided transit vehicles operating without an onboard crew. Service may be on a fixed schedule or in response to a passenger activated call button.

Oui et comme les métros de Rennes, Toulouse et Lausanne que j'ai mentionné... Également comme le métro de Dubaï et les nouvelles lignes du Grand Paris Express qui utiliseront également les Alstom Metropolis. ;) 

Les métros sont de plus en plus automatisés, mais ça n'en fait pas moins des métros!

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