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L'infrastructure du circuit a ete totalement renovee pour faire plaisir a ce clown.

 

C'est juste une question d'argent et de redevances. Bernie n'a rien a perdre, soit il renegocie un contrat plus lucratif avec Mtl, soit il part avec une autre place qui paye plus.

This man is a gaping a*****e.

 

J'espere que personne a la ville, a Quebec ou a Ottawa ne donnera a cette gang de crosseurs une seule cenne au dessus de ce qui etait dans le contrat original. Bernie and his goons can drive their shiny race cars to fuck off-ity land

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Bernie n'est plus le propriétaire de la F1, il a vendu ses parts pour 4 milliards il y a une couple d'années. Les droits appartiennent à un consortium de banques.

 

La F1 est un gros party des plus riches de la planète. Une partie de polo motorisée pour les gazillionnaires. Montréal peut rester dans le circuit, mais y a plus de cadeau. Il faut payer, je dirais, un minimum de 50 millions pour y rester. Et avoir une circuit et des installations à la hauteur.

 

Qu'en pensez-vous? Est-ce que ça vaut la peine? Si vous êtes dans l'hotellerie ou la restauration, et que le GP représente 30-30 pour cent de vos revenus, la réponse est facile.

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Vras que Bernie a vendu ses parts dans F1 à un consortium de banques Allemandes, mais il est toujours à la tête du board of governors. Il peut prendre prèsque n'importe quel décision qu'il le veut sans être obligé de faire approver par qui que ce soit!

 

POur revenir sur les raisons du départ du GP du Canada, c'est assez simple. MONEY!!! LE CASH!

 

Montréal paie entre 12 et 15 millions par année pour avoir le droit de tenir le GP. C'est de loin la moin grosse somme de tout les autre pays/villes. Juste comme comparaison, Valence a payé 35 millions D'euros pour avoir son GP(environs 40 millions$ Canadien). Singapour a payé 50 millions$.

 

La question qu'il faut maintenant se poser est: Sommes nous prêts à investir 15 ou 20 millions de plus de nos poches(via le gouvernement Provincial ou fédéral)???

 

Croyons nous que ça vaut la peine de payer 15 ou 20 millions$ de nos poches (une bagatelle), pour avoir des retombées économiques 3 à 4 fois plus importantes que notre investissement initial? Sommes nous prêts à investir ces 15-20 millions$ pour avoir de "l'Exposure" à l'échelle mondiale? Imaginez, nous payons de fortunes pour se payer des annonces aux USA pour faire venir les touristes, tandis que la F1 est le meilleur "branding" qu'on pourrait demander. Pendant 5 à 7 jours Montréal est LA ville au monde qui a le plus d'attention. SI ce nest pas du bon marketing, je ne sais pas ce qui pourrait l'être!?!

 

Allons nous se battre pour garder notre GP ou allons nous faire comme nous avons faits dsans le passé, C'est à dire baisser les bras et s'avouer vaincu, comme des lâches!!?

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Juste comme comparaison, Valence a payé 35 millions D'euros pour avoir son GP(environs 40 millions$ Canadien). Singapour a payé 50 millions$.

 

La question qu'il faut maintenant se poser est: Sommes nous prêts à investir 15 ou 20 millions de plus de nos poches(via le gouvernement Provincial ou fédéral)???

 

C'est 40 millions$ annuellement, indexé a 10% selon ce qu'ils mentionnaient aux nouvelles, on parle donc d'une indexation de presque 4 fois le niveau de l'inflation ici.

 

si on paie le 40m$ cette année, c'est 44, 48, 53, 58... ca monte vite en crime

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Bien avant les difficultés économiques actuelles, il est devenu évident que la Formule 1 n’est pas viable. Si nous ne réglons pas ça d’ici 2010, nous aurons un grave problème », prévient le Britannique.

 

Prévenant que « certains constructeurs sont déjà dans une situation difficile », Mosley estime que « perdre encore deux équipes placerait (ndlr : la F1) dans une situation intenable. »

 

« Actuellement, nous avons 20 voitures en compétition, si nous perdons deux équipes nous n’en aurions plus que 16 et la grille de départ cesserait d’être crédible. » La Formule 1 dépend du bon vouloir « de milliardaires qui la subventionnent, des gens comme Vijay Mallya de Kingfisher (Force India) ou Dietrich Mateschitz de Red Bull », explique Mosley. « Sans eux, ces équipes ne seraient pas là. »

 

Mosley tente actuellement de négocier avec les écuries un plan qui permettrait de réduire les coûts.

 

(d’après AFP)

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Publié le 08 octobre 2008 08h42 | Mis à jour 08h43

Un gros Fredericton ?

 

Réjean Tremblay

La Presse

 

Le Grand Prix du Canada ne fait pas partie du calendrier définitif de la prochaine saison de Formule 1. Montréal a été remplacée par Istanbul, dont le Grand Prix est la propriété de Bernie Ecclestone.

 

Remarquons toutefois qu'il y a exactement quatre semaines entre le Grand Prix de Hongrie et celui de Valence, en Espagne. On parle de la période entre le 26 juillet et le 23 août. Il y aurait donc un week-end qui pourrait permettre la présentation d'un 19e Grand Prix que les écuries ne veulent pas.

 

 

 

- Ou bedon Bernie Ecclestone se sert du Grand Prix du Canada pour bluffer les constructeurs, et Montréal et Normand Legault sont les victimes de cette autre bataille menée par Ecclestone pour forcer tout le monde à lui verser d'autres dizaines de millions...

 

- Ou bedon Bernie Ecclestone fait disparaître le Grand Prix du Canada pour forcer les gouvernements à venir à la rescousse de M. Legault en injectant une douzaine de millions par année pour faire le poids devant la concurrence internationale...

 

- Ou bedon le moment est venu de réaliser que Montréal n'est plus qu'un gros Fredericton et n'est plus capable de rivaliser contre des villes comme Singapour, Shanghai, Melbourne, Valance ou des États-villes comme Bahreïn ou Abou Dhabi, pour qui l'argent ne compte pas.

 

Si c'est la troisième hypothèse qui est la bonne, alors, on peut dire adieu au Grand Prix du Canada comme on a dit adieu aux Expos ou comme Québec a dit adieu aux Nordiques. Arrive un moment où une ville et un peuple ne sont plus assez gros et forts pour livrer bataille sur la scène internationale.

 

Toutes les conditions qui ont mené à cette décision de la FIA, une organisation internationale qui est à la botte de Bernie Ecclestone et de Max Mosley, sont inquiétantes. Surtout que le gouvernement Harper est en élections et qu'une campagne électorale se prépare au Québec pour la fin de l'année.

 

Ce n'est pas la première fois que Bernie Ecclestone fait le coup aux Montréalais. C'est arrivé pour le tabac en 2003 et c'est arrivé en 2007 pour les installations de presse et le paddock. À toutes les fois, Normand Legault s'est battu sur deux fronts pour convaincre les gouvernements et B'wana Be'nie de redonner à Montréal son Grand Prix.

 

Et on comprend les gouvernements d'avoir toujours aidé Legault. Le Grand Prix du Canada, c'est pas le NASCAR ni une course de bicycles sur le Mont Royal. C'est le plus gros événement au Canada en termes de retombées économiques directes. Ça se situe entre 75 et 100 millions et la visibilité et la crédibilité de Montréal jouissent d'un fabuleux coup de pouce lors du Grand Prix télévisé dans plus de 100 pays dans le monde.

 

Dans le passé, on a beaucoup joué sur le fait que le Grand Prix était la vitrine idéale pour les constructeurs et les commanditaires dans toute l'Amérique du Nord. Le hic, c'est qu'au cours des dernières semaines, l'ordre économique mondial a été bouleversé. Les constructeurs savent déjà qu'ils devront se contenter d'un marché en régression aux États-Unis pour les cinq prochaines années. L'avenir et le développement sont ailleurs. En Chine, évidemment, et en Inde, où on présentera le Grand Prix de New Delhi dans un an. La Corée est également en attente.

 

L'Amérique demeure un marché très important, mais un voyage à Montréal sans ajouter un détour aux États-Unis est moins vital qu'il ne l'était il y a même quatre ou cinq semaines.

 

Il y a le fait que Normand Legault, promoteur du Grand Prix du Canada, se bat contre des promoteurs qui sont des gouvernements ou des villes. Legault ne peut rivaliser avec le gouvernement chinois, avec le gouvernement turc, avec le gouvernement australien, avec le gouvernement de Singapour, avec Petronas, la compagnie de pétrole étatique de la Malaisie, avec les courses disputées dans les pays ou les sultanats du Moyen-Orient, des courses noyées par les petrodollars.

 

Qu'on pense que Valence, en Espagne, a signé un contrat de sept ans qui va rapporter à Ecclestone près de 75 millions de dollars à la dernière année. On est à des années-lumière des 18 millions environ payés par Legault à Montréal.

 

De plus, les installations de l'île Notre-Dame, quand on les compare à celles des nouveaux Grands Prix disputés dans les pays émergents, font très pic pic. Ça fait campagnard, disons. En fait, ça nous rappelle que Montréal devient un gros Fredericton.

 

Je n'ai pas parlé à Normand Legault hier. M. Legault est en Allemagne avec sa famille. Un voyage de vacances de plusieurs semaines.

 

Mais j'ai longuement discuté avec le maire Gérald Tremblay, avec le ministre responsable de Montréal Michael Fortier, avec d'autres leaders politiques et avec plein de contacts dans le milieu.

 

Normand Legault est donc en Allemagne. Mais avant de partir, il a demandé des soumissions pour refaire l'asphalte du circuit Gilles Villeneuve. Selon une source, il a préparé son prochain Grand Prix comme si tout était normal. Surtout qu'il a un contrat valide jusqu'en 2011 avec Ecclestone et la Ville de Montréal. Mais on sait qu'un contrat de B'wana compte toujours des échappatoires.

 

Gerry Frappier, président de RDS, a lui aussi négocié un contrat jusqu'en 2011 avec Ecclestone. Il a obtenu une légère baisse pour les premières années tout en garantissant à B'wana un solide réseau jusqu'à la fin du contrat. Mais sans un Grand Prix du Canada, Frappier va se retrouver avec un produit dévalué à vendre à ses commanditaires.

 

En temps normal, Normand Legault serait rentré à Montréal dès hier après-midi. S'il ne l'a pas fait, c'est qu'il ne se sentait pas prêt à affronter les médias et les politiciens. J'ai appris que M. Legault négociait depuis des mois avec Ecclestone pour tenter de maintenir le prix des redevances à un niveau raisonnable pour le marché québécois. Il avait laissé percevoir son inquiétude et une certaine lassitude depuis plusieurs mois à ses proches.

 

Un assistant de Legault, Paul Wilson s'est rendu à Paris hier après-midi et devrait rentrer à Montréal ce midi pour tenir un point de presse. Wilson, selon mes sources, a discuté avec Legault hier matin et son patron était d'une humeur massacrante.

 

Il est certain que les gouvernements fédéral et provincial sont prêts à intervenir dans le débat. La position officielle de Michael Fortier, qui ne sera peut-être plus ministre dans une semaine, c'est qu'un gouvernement responsable ne peut laisser tomber un événement comme le Grand Prix du Canada. Si on aide les manufacturiers, on peut aussi aider ceux qui «fabriquent» du tourisme au pays: «Mais je ne peux négocier contre moi-même. Il faut au moins que Normand Legault nous revienne avec les exigences de Bernie Ecclestone. On pourra se pencher sur le problème à ce moment là», a-t-il dit.

 

Mais quand on parle à d'autres ministres, et à M. Fortier également, on voit un autre problème poindre à l'horizon. Si les gouvernements deviennent de véritables partenaires à hauteur de 12 ou 15 millions par année, ils voudront avoir accès aux livres de Normand Legault. Or, c'est une des grandes forces de M. Legault, de garder son jeu de cartes pour lui et d'affronter ses adversaires avec trois as au moins dans sa main.

 

L'autre problème, c'est que les lobbies sont féroces au Québec. Ils sont contre. Point. Ils sont contre. Et un gouvernement qui coupe dans la culture peut-il se permettre de verser une dizaine de millions pour sauver un Grand Prix? Je n'ai pas osé déranger Josée Verner pour obtenir une réponse.

 

Et enfin, il y a la grande question. Normand Legault est-il fatigué de ce cirque sans fin qui l'oblige à monter aux barricades pour satisfaire les caprices d'un bientôt octogénaire milliardaire qui n'en a jamais assez?

 

Si Normand est écoeuré, alors c'est officiel. Nous sommes un gros Fredericton!

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Bernie avait pourtant prévenu!

 

Luc Domenjoz - La Presse

08 octobre 2008 | 09 h 05

 

Dans le grand cirque de la F1, il est vrai que l'île Notre-Dame fait désormais pâle figure au regard des dernières extravagances du calibre de Singapour , avec sa course de nuit, ou d'Abou Dhabi, dont la piste passe en partie sous l'eau, dans un tunnel de verre.

 

Dans le milieu de la Formule 1, personne n'est surpris de la suppression du Grand Prix du Canada. Et ses chances de revenir au calendrier semblent extrêmement minces.

 

Bernie Ecclestone n'a jamais été réputé pour son sentimentalisme. Mais, depuis qu'il a vendu sa société à un groupe d'investissement, CVC Capital Partners, il n'en est plus que l'employé. Il doit rendre des comptes à ses actionnaires, et il cherche à maximiser les bénéfices annuels avec encore moins de scrupules que par le passé.

 

Avec la prise de contrôle de CVC, les derniers restes de romantisme sont définitivement disparus de la gestion de la F1. Désormais, seuls comptent la gloire et les euros.

 

Dans ce contexte, personne, dans les paddocks, n'a été franchement surpris de l'annonce d'hier. Car plusieurs facteurs s'étaient conjugués pour menacer le Grand Prix du Canada.

 

À commencer par l'apparition d'Abou Dhabi au calendrier 2009. De 18 épreuves, la saison passait à 19 courses. Un détail apparemment anodin, mais qui ne l'était pas tant, car le contrat négocié entre Bernie Ecclestone et les écuries (les fameux «accords Concorde») prévoient un maximum de 18 Grands Prix par saison. L'apparition d'Abou Dhabi obligeait ainsi le Britannique à dédommager les écuries pour ce déplacement supplémentaire. Ces dernières semaines, Flavio Briatore, le responsable commercial de la nouvelle FOTÀ (la Formula One Teams Association, l'association des écuries de F1) avait publiquement expliqué son différend avec Ecclestone quant au montant du dédommagement exigé pour ce 19e Grand Prix.

 

Pour le grand manitou de la F1, il était finalement plus simple de supprimer le Grand Prix du Canada du calendrier, et plus logique de s'attaquer à celui qui lui versait le montant le plus faible et dont le contrat était résiliable.

 

Ecclestone l'avait expliqué à La Presse, dans une entrevue donnée à Monaco, l'an dernier: de toute la saison, c'est le Grand Prix du Canada qui verse le plus petit montant pour faire venir la F1. La rumeur veut que Montréal, en 2008, ait ainsi déboursé 12 millions (environ 8 millions d'euros), soit moins du quart des 35 millions d'euros consentis par Singapour et Valence.

 

CVC Capital Partners n'ayant d'autre but que de maximiser le bénéfice annuel de la F1, il était devenu évident, depuis plusieurs mois, que le Grand Prix du Canada était dans le collimateur d'Ecclestone. Sans compter que le Britannique montrait aussi du doigt la vétusté des installations du circuit de l'île Notre-Dame. «Montréal donne le mauvais exemple», avait-il confié à La Presse en 2007. En juin dernier, il en rajoutait une couche: «Je ne vois vraiment pas pourquoi la ville ne devrait pas disposer d'installations à la hauteur de Singapour ou de Shanghai. Je ne comprends pas les raisons qui font que nos amis, là-bas, ne consentent pas de petits efforts.»

 

Il est vrai que le circuit de Montréal fait désormais pâle figure au regard des dernières extravagances du calibre de Singapour (avec sa course de nuit) ou d'Abou Dhabi (dont la piste passe en partie sous l'eau, dans un tunnel de verre).

 

Montréal a bien essayé d'améliorer ses installations cette année, en investissant dans une nouvelle salle de presse (sous une tente!) et en refaisant l'asphalte de la piste. Hélas, c'était une mauvaise idée, le revêtement ayant commencé à s'effriter dès le premier jour des essais du Grand Prix 2008. Pour sauver la course, il a fallu faire appel à des solutions d'urgence qui n'ont pas redoré l'image du Grand Prix du Canada.

 

À Montréal, plusieurs observateurs supputaient que la Formule 1 ne pouvait se passer d'au moins une épreuve en Amérique du Nord. Encore un voeu pieux. Si Ecclestone avait réussi à rayer le Grand Prix des États-Unis du calendrier - à l'encontre du souhait des écuries -, il n'allait naturellement pas hésiter à faire de même pour le Canada.

 

Il n'empêche que c'est peut-être des écuries que pourrait venir le salut. Leurs patrons ont souvent répété leur intérêt pour le continent nord-américain, un marché essentiel pour des marques présentes en F1 comme Toyota, BMW, Mercedes ou Honda. «Je déplore réellement la suppression du Grand Prix des États-Unis, tonnait ainsi Nick Fry, le patron de l'écurie Honda, au début de la saison. Si cela ne tenait qu'à moi, nous n'aurions pas qu'une seule, mais deux ou trois épreuves là-bas.»

 

Il faudra néanmoins davantage que l'avis des écuries - qui ne disposent d'aucun réel moyen de pression sur Bernie Ecclestone - ou que les regrets sincères des pilotes - tous adoraient se balader dans le centre de Montréal - pour redonner vie au Grand Prix du Canada.

 

Tant sur le plan financier que sur celui de l'architecture de ses installations, l'épreuve de l'île Notre-Dame semble appartenir à un autre âge de la Formule 1, celui ou le sport et la passion avaient encore un sens.

 

En 2009, la F1 poursuivra sa route vers le spectacle, les courses de nuit, les circuits urbains ou ceux sortis du désert. New Delhi, Séoul et Moscou comptent parmi les projets de Bernie Ecclestone, tandis qu'il ne voit plus Montréal que dans son rétroviseur. Qui pourrait inverser le cours de l'histoire?

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