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Tour des Canadiens 2 - 53 étages (2019)


MARTY

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Moi aussi! Je suis allé à NYC au moins une dizaine de fois depuis quelques années, et le fait qu'il y a plusieurs édifices en hauteur ne m'a jamais empêcher d'apprécié mon expérience. et avec ses 1.6 milions d'habitants, je crois qu'on peut dire que les gens aiment vivre en hauteur à Manhattan! Les commentaires comme quoi que trop d'immeubles rendent la ville désagréable me font rire!

 

Amen! Fed up with those ridiculous height comments. Pure nonsense.

 

 

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Membres prolifiques

Oui mais la discussion ici n'est pas sur le fait qu'on aime pas la hauteur :P (personnellement tant mieux si on a des 50étages et +) mais sur le fait qu'on ne peut rivaliser avec Toronto à ce sujet. Donc on doit trouver notre spécificité (qualité de l,architecture, aménagements, etc. ) et être au top à ce niveau.

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Certaines villes réglementent la chose en interdisant la construction de tours susceptibles de projeter de l'ombre sur un jardin. Hormis cette exception, l'ombre ou les bourrasques de vent que génèrent les tours sont des éléments de la vie urbaine auxquels on s'y accoutume sans trop y prêter attention. Moi je trouve cela insolite et plutôt plaisant

 

Moi aussi! Je suis allé à NYC au moins une dizaine de fois depuis quelques années, et le fait qu'il y a plusieurs édifices en hauteur ne m'a jamais empêcher d'apprécié mon expérience. et avec ses 1.6 milions d'habitants, je crois qu'on peut dire que les gens aiment vivre en hauteur à Manhattan! Les commentaires comme quoi que trop d'immeubles rendent la ville désagréable me font rire!

 

C'est le cas à Manhattan et j'y retourne et j'y retourne constamment car j'ai un plaisir fou à arpenter ses rues :P

 

Exactement. Nobody complains that the buildings are too tall. I perceive that attitude as envy.

 

 

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Qui parle de New-York? Je commentais le quartier vide près du harbour front à Toronto. Ici on est à des années lumières de l'atmosphère et de l'ambiance new-yorkaise. D'ailleurs il faut plus qu'enligner des immeubles de 50 étages et + pour faire une ville, on peut justement faire exactement le contraire et c'est ce que les torontois on réussi à faire avec ce secteur près du lac. On ne prendra donc pas exemple sur eux, car c'est ce qu'il faut éviter de faire nous-mêmes avec le développement de notre propre centre-ville.

 

Heureusement nous avons déjà une belle diversité d'immeubles de hauteurs variables et aux fonctions diverses. Et ce qui est proposé va dans le même sens. Je ne me préoccupe donc pas du résultat final, car il y aura bien plus que des condos dans le périmètre du cv. Le PPU et le bureau d'urbanisme veillent au grains, car on ne veut pas d'un immense dortoir, mais d'un secteur animé où il sera possible de trouver tout le nécessaire, autant pour se divertir que pour consommer à proximité, comme ça se passe justement à New-York. C'est ça une vraie ville.

 

L'idée n'est donc pas de se faire venter entre deux tours, mais de vivre une véritable expérience urbaine qui ne se résumera pas à juste passer.

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Oui mais la discussion ici n'est pas sur le fait qu'on aime pas la hauteur :P (personnellement tant mieux si on a des 50étages et +) mais sur le fait qu'on ne peut rivaliser avec Toronto à ce sujet. Donc on doit trouver notre spécificité (qualité de l,architecture, aménagements, etc. ) et être au top à ce niveau.

 

Je suis d'accord avec toi. Oublions cependant l'idée de rivaliser avec Toronto ou toute autre ville. Nous n'avons qu'à rivaliser avec nous-mêmes. En d'autres mots: mettre en valeur ce que nous avons déjà et en plus: enrichir, optimiser, corriger, perfectionner, parfaire, embellir et compléter nos acquis, pour que la ville devienne un endroit où vivre sera encore meilleur qu'auparavant.

 

Tu as aussi bien compris: je ne conteste pas la hauteur des immeubles, mais l'environnement dans lequel on les déploie. J'ajouterais que Montréal a sa propre personnalité et n'a pas besoin d'imiter aucune autre ville pour être reconnue à sa juste valeur. Quand on regarde tous les projets qui sont en marche, autant pour les nouveaux édifices, que les parcs, les places, les boulevards, les promenades, les musées, les commerces, les ponts et autoroutes, TECs et j'en passe. Qui aurait cru cela possible en si peu de temps?

 

J'avoue que je suis vraiment impressionné par cette évolution toute aussi soudaine qu'inespérée et qui transforme et améliore incroyablement la métropole québécoise, et cela à vitesse grand V. On peut donc dire définitivement adieu à la morosité.

 

Nous sommes indéniablement en plein boum comme on ne l'a jamais été auparavant, et ce sont tous les aspects de la ville qui prennent du galon en même temps. Il y a donc de quoi être fiers et c'est finalement ce que je voulais souligner.

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Je suis d'accord avec toi. Oublions cependant l'idée de rivaliser avec Toronto ou toute autre ville. Nous n'avons qu'à rivaliser avec nous-mêmes. En d'autres mots: mettre en valeur ce que nous avons déjà et en plus: enrichir, optimiser, corriger, perfectionner, parfaire, embellir et compléter nos acquis, pour que la ville devienne un endroit où vivre sera encore meilleur qu'auparavant.

 

Tu as aussi bien compris: je ne conteste pas la hauteur des immeubles, mais l'environnement dans lequel on les déploie. J'ajouterais que Montréal a sa propre personnalité et n'a pas besoin d'imiter aucune autre ville pour être reconnue à sa juste valeur. Quand on regarde tous les projets qui sont en marche, autant pour les nouveaux édifices, que les parcs, les places, les boulevards, les promenades, les musées, les commerces, les ponts et autoroutes, TECs et j'en passe. Qui aurait cru cela possible en si peu de temps?

 

J'avoue que je suis vraiment impressionné par cette évolution toute aussi soudaine qu'inespérée et qui transforme et améliore incroyablement la métropole québécoise, et cela à vitesse grand V. On peut donc dire définitivement adieu à la morosité.

 

Nous sommes indéniablement en plein boum comme on ne l'a jamais été auparavant, et ce sont tous les aspects de la ville qui prennent du galon en même temps. Il y a donc de quoi être fiers et c'est finalement ce que je voulais souligner.

 

C'est drôle que le boum dont tu parles de façon si émotive ne se traduit pas ni dans le taux de chômage de la métropole qui frise des niveaux de récession, ni dans la vigueur du marché du détail qui est complètement écrasé. Même chose du côté du taux d'occupation des immeubles à bureaux qui est très élevé et rien pour se pamoiser. Il n'y a que la construction résidentielle qui fonctionne et pour combien de temps encore avant que la bulle des faibles taux d'intérêts éclate.. On peut remercier les dirigeants d'avoir créé cette bulle de toute pièce sans aucun fondement solide (ménages hyper endettés, 1 canadien sur 4 a dû emprunter en 2015 pour payer les dépenses courantes), mais on emprunte à 1.5% alors c'est cool... Ce 'boum' hi(y)sto(é)rique nous aura au moins donné une couple d'édifices de verre pour la postérité!

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C'est drôle que le boum dont tu parles de façon si émotive ne se traduit pas ni dans le taux de chômage de la métropole qui frise des niveaux de récession, ni dans la vigueur du marché du détail qui est complètement écrasé. Même chose du côté du taux d'occupation des immeubles à bureaux qui est très élevé et rien pour se pamoiser. Il n'y a que la construction résidentielle qui fonctionne et pour combien de temps encore avant que la bulle des faibles taux d'intérêts éclate.. On peut remercier les dirigeants d'avoir créé cette bulle de toute pièce sans aucun fondement solide (ménages hyper endettés, 1 canadien sur 4 a dû emprunter en 2015 pour payer les dépenses courantes), mais on emprunte à 1.5% alors c'est cool... Ce 'boum' hi(y)sto(é)rique nous aura au moins donné une couple d'édifices de verre pour la postérité!

 

Certes, mais il faut mettre les choses en perspective. Ce qui a l'apparence d'un «boum» est très localisé dans l'espace, et d'une importance (taille) plutôt mineure à l'échelle de l'économie globale de la RMR de Montréal. Quand on est au centre-ville, qui était resté virtuellement inchangé depuis plusieurs années, on a l'impression que soudainement tout bouge, de sorte que mentalement on a tendance à projeter cette impression sur l'ensemble du territoire partagé par quatre millions d'habitants. Mais quand on consulte les statistiques et qu'on calcule les variations, on réalise vite que l'actuel «boum» ne soutient pas la comparaison ni avec la période précédent Expo 67 dans le cas de Montréal, ni avec l'Espagne avant la récession, pour ne donner que ces deux exemples. Dans ces cas, le boum de la construction avait été si puissant qu'il avait poussé à une restructuration significative de l'économie, occasionnant notamment l'abandon de «secteurs traditionnels»; alors, à l'arrêt du boum, le chômage monta brusquement en même temps que les recettes fiscales s'écroulèrent. Ce fut plus grave en Espagne qu'à Montréal, parce qu'à cette époque d'autres villes canadiennes prirent le relais. Mais pour vendre une maison à Montréal en 1968 c'était la misère...

 

Aujourd'hui à Montréal pour moi: ni euphorie ni déprime, mais confiance raisonnée qui n'ignore pas les défis à venir.

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L'économie montréalaise ne va pas si mal que ça. Historiquement, le taux de chômage est toujours plus élevé dans les grandes villes (et c'est vrai autant pour Montréal qu'ailleurs) pour plusieurs raisons. Grand nombre de nouveaux arrivants qui ne parlent pas la langue, concentration plus forte de sans-abris, tendance à avoir des quartiers moins favorisés, population souvent moins éduquée. À Montréal, tout ça est en train de changer tranquillement. Comme partout en Amérique, le centre de la ville connait un boom immobilier (somme toute modéré comparé au reste du Canada), il y a beaucoup de jeunes professionnels qui choisissent de vivre en ville plutôt qu'en banlieue, et le taux de chômage pour les professionnels est 3 fois plus bas que les autres types d'emplois. Par contre cela n'est pas une solution aux autres problèmes types d'une grande ville. Après tout, on ne peut pas avoir une ville peuplée seulement de comptables et d'avocats.

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Si on détaille tous les projets en marche à Montréal, on voit bien qu'ils ne sont pas seulement résidentiels. Turcot et l'autoroute 20, le CHUM, le pont Champlain, le boulevard Robert-Bourrassa, P-E-T, pour ne nommer que les plus visibles dans le domaine public. Il y a d'autres projets institutionnels en marche, comme des musées et autres projets pour le 375ème de Montréal, le territoire du QdS, etc. D'autres imminents comme le SLR et le prolongement du métro vers l'est et j'en passe. Alors le cynisme est à proscrire, à moins qu'il ne soit chronique chez certains.

 

Donc le verre est-il à moitié vide ou à moitié plein? Je crois que l'on accuse un sérieux rattrapage qui n'a pas fini d'influencer positivement les autres secteurs de l'économie. Ne dit-on pas: quand la construction va, tout va? Faisons donc une liste exhaustive de l'ensemble des projets de toutes natures et on verra que le verre est bien plus plein que certains voudraient l'admettre.

 

Rappelons-nous aussi que notre hyper concentration sur l'économie, fait que l'on ne sera jamais satisfait, parce qu'on en veut toujours plus. Puisque que beaucoup pour notre belle société matérialiste, n'est jamais assez.

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chaque rue devient un corridor de vents désagréables en toutes saisons.

 

Je n'ai pas la même opinion sur le sujet. En été quand il fait chaud, les bourrasques font du bien en titi. Et en hiver, elles seront moins fortes quand il y a plus de densité. Fait l'effort de venir te promener à -20 en janvier : tu ressentiras bien plus de vent froid dans des endroits très espacés (comme près de Rad-Can par ex., ayoye!!) que dans des rues très densément bâties (le Vieux, genre).

 

Je constate que la critique du facteur vent des gratte-ciels est souvent basée sur des impressions.

 

Si on peut faire changer les chiffres, on ne peut jamais, jamais, faire mentir la nature.

 

Beaucoup de plantes poussent très mal en campagne, mais sont très bien à Mtl. Pourquoi? Pcq les vents froids d'hiver les tuent. Déduction inévitables : les vents sont bien pires en campagne qu'au cv. Pcq ils n'ont aucun obstacle. Voilà pourquoi il est préférable d'avoir des gratte-ciels plus collés. Quand on laisse des grandes surfaces libres entre, on ressent bien plus le froid (en hiver). Et en été, pendant les canicules, on est bien content d'avoir de l'ombre. Les vents dans Charlevoix en hiver sont pour ma part INFINIMENT plus désagréables que ceux du cv. À -20, c'est pas drôle.

 

Qui plus est Mtl est encore loin de NY, alors quand bien même un secteur (celui autour du Centre Bell) deviendrait très dense avec moins de soleil, franchement, y va en rester EN MASSE des coins pas trop loin de là pour prendre du soleil.

 

Faut relaxer avec ça. C'est comme la hauteur limite. On dirait que c'est plus émotif que vraiment pragmatique ce débat.

Modifié par MtlMan
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Rappelons-nous aussi que notre hyper concentration sur l'économie, fait que l'on ne sera jamais satisfait, parce qu'on en veut toujours plus. Puisque que beaucoup pour notre belle société matérialiste, n'est jamais assez.

 

Nous nous concentrons sur l'économie parce qu'il y a encore trop de bonnes personnes qui n'ont pas d'emplois et qui doivent recevoir des prestations de l'État et des dons de banques alimentaires ou d'autres organismes de charité. Quand tout le monde aura un emploi leur permettant de subvenir à leurs besoins, là on pourra se concentrer sur autre chose.

 

De plus, si l'économie va bien, ça fait plus de revenus pour les gouvernements pour développe le transport en commun, soigner les malades et ré-investir dans l'éducation.

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