Sun Life veut repartir à zéro avec le Québec

[Aurélien]

Si tu ne veux pas te plier aux lois de l'endroit, tu ne mérites tout simplement pas d'y être établi. C'est aussi simple que ça.

[Davidbourque]

bah c'est exactement ce qu'ils ont pensé à l'époque non?

[MtlMan]

Imposer ses valeurs et sa langue a autrui, je m'excuse, mais je trouve que c'est une attitude très cavalière...

 

Imaginez si Ottawa aurait voulu que tout les rapport d’impôts soit fait en anglais et exclusivement en anglais. ça n'aurait pas été une attitude cavalière ??? (ah non bien sur, quand ça va dans ce sens la, c'est vilain...)

 

Et puis concernant les montréalais qui sont aujourd'hui majoritairement bilingue c'est vrai... ceux qui ne l'était pas sont partit pour Toronto il y a très longtemps...

 

Et puis oui ils ont jouer le jeux politique lorsqu'ils ont déménager, ils ont voulu faire comprendre que cet indépendance était perçu par les anglophones comme une acte de guerre envers eux. Soudainement, leur façon de fonctionner n'était plus la bonne, et on les traitait d’esclavagistes des francophones et autres termes du genres... un peu normal qu'il se soit sentit insulté. Mais comme la plupart des indépendances ont été proclamé à la suite d'un conflit, on s'étonnera pas personne que sa finissent ainsi.

 

Faut pas oublier non plus qu'à Toronto, pendant qu'on s’entre-déchirait au Québec, eux courtisait les compagnies anglophones à tour de bras. "Pourquoi vous faire traiter ainsi par les francophones qui ont de très gros préjugé envers l'élite anglophones alors que nous on va vous accueillir à bras ouvert.

 

Après, que les francophones se sente insulté par la Sun Life et ne veulent pas voir leur coté de la médaille, c'est normal ! l'anglophone riche et vilain méprisant la francophonie est encore un préjugé difficile à faire partir. Mais des fois, je me demande bien si ces préjugé sur-véhiculer par les indépendantistes n'ont pas amplifier le phénomène...

 

Imposer sa langue, il y a même des américains qui pensaient il y a quelques années (c'est peut-être toujours le cas, je ne sais plus) imposer l'anglais dans certaines parties du pays vu la prépondérance de l'espagnol. Alors n'importe quel petit pays est certainement en droit de le faire, surtout s'il est entouré par une langue et une culture différente qui a un attrait immense (comme l'anglais). Cela ne veut pas dire qu'on rejette l'autre. SEULEMENT QU'ON TIENT À AFFIRMER QUE NOTRE IDENTITÉ CULTURELLE MÉRITE LE RESPECT ET LA PROTECTION. Voilà. That's it. Dans un même ordre d'idée, je trouve important que la culture anglophone québécoise (qui est belle et unique en son genre) dispose de suffisamment d'espace et de liberté pour pouvoir s'épanouir dans cedt espace francophone qu'est le Québec.

 

Bref, je vois bien ton point, mais je ne le partage pas sur certains aspects. Ce n'est pas plus grave que ça. We'll have to agree to disagree.......

 

Bonne journée!

Modifié 24 mars 2011 par MtlMan

[Davidbourque]

Je ne remet pas en question le droit d'un peuple de défendre ses valeurs et sa langue. Cependant, je conçoit parfaitement que cela se fait au détriment des autres. Mais la vie est ainsi faites. Faut juste comprendre que tous nos actes ont des conséquences positives et négatives et ignorer certaines conséquences n'est pas valable.

 

Lorsqu'on fait un choix, je pense qu'il faut le faire de manière réfléchit en acceptant tout les cotés de la médailles. Autant le PQ de l'époque était au courant et était prêt a vivre avec les conséquences, autant la Sun Life se doutait bien que ce geste n'était pas sans conséquence.

 

Je ne suis pas convaincu qu'on est si en désaccord que ça. Cependant, je pense qu'il faut toujours voir les 2 coté et que toute action a toujours des conséquences...

 

[mcgill]

Well one thing's for sure: Sun Life left us a nice building, one of Montreal's finest in my opinion.

[montréaliste]

Oui on a voulu jeté le bébé avec l'eau du bain, la barre de savon puis la débarbouillette forcée par les petits trous du drain... Les nationalistes avaient besoin d'être contents. Les immigrants italiens qui pour la plupart sont arrivés pauvres comme la galle ont tous des propriétés aujourd'hui, malgré que nos québécois de souche ont encore de la misère à se voir proprio. On a montré la porte à Sun Life et bien d'autres compagnies et on continue de le faire au profit de Toronto la Magnifique. On a charpenté une partie de notre Québec Inc. avec les deniers publics, ces derniers (PKPéladeau) ont un discours qui ont passé du marxisme au Chicago School of Economics en moins de deux...C'est dommage, mais même avec un peu de jugeotte, c'est facile à comprendre que les ponts et chaussées, l'éducation post-secondaire, ça coûte quelque chose. On est encore à rêvasser à un quartier des spectacles puis à notre supposée supériorité culturelle alors qu'on s'appauvrit depuis belle lurette à bien des égards. On a qu'à contempler les péripéties d'un Pierre Curzi pour se rendre compte de la vacuité du rêve indépendantiste. Un gars qui s'élève contre la participation d'un Paul McCartney au 400ième de Québec est adulé par la frange des bien-pensants souverainistes peureux de l'avenir de la langue, ben câlisse...

 

On va tourner en rond longtemps comme çà à chérir la nation en même temps qu'on pille ce qu'on veut bien de la culture d'à côté, l'hypocrisie nous a rendu malhabiles; ce qui équivaut à se tirer dans le pied à répétition...

 

Depuis longtemps que je pense à Montréal comme ville essentiellement bilingue, ce qu'elle est historiquement, le Montréal anglophone précède cui de la côte ouest américaine ou que l'Australie. Personne ou presque défend cette option, préférant la cohabitation civile et modérément polie pour éviter de froisser la fibre pure-laine. En tout cas, ça vieillit mal le maîtres chez soi...

[montréaliste]

Refroidis! Refroidis! (bis)

 

Merci Gilbert, tu as bien compris, tout ce qui ne ce passe pas comme dans ta tête, n'est que du mépris. C'est avec çà qu'on avance lentement mais sûrement vers la sacrosainte indépendance et peut-être, qui sait? Quelques gratte-ciels de plus...

 

Haut Cinq! mon Gilbert!

[mtlurb]

Oui oui, parle-moi de mépris s'il-te-plait!

 

Après tout, ce n'est qu'un forum, n'est-ce pas? Qui suis-je pour proposer mes idées pour un Québec prospère...

[Aurélien]

Mais tout de même, j'ai toujours pensé que nous devrions raser Hochelaga, le Plateau et les régions pour envoyer les Souverainistes et les Québécois de souche dans des camps de travail dans le Nord canadien. Tiens, envoyons les Souverainistes pelleter la neige et briser la glace dans le Nord pour permettre d'exploiter le pétrole et le gaz naturel qui s'y trouve plus rapidement. Ceux-ci passent leur temps à pelleter des nuages, ils ne verront pas la différence avec la neige en plus de se rendre utile à la société à la place de lui nuire. Bref, ils justifieront leur existence d'emmerdeur et empêcherons la province de niveler par le bas comme elle le fait depuis Duplessis et en particulier depuis Lessage.

 

Le Canada pourra enfin prospérer sans cette vermine insolante et stupide de souverainistes à la con. S'ils ne veulent rien comprendre à leur histoire et au fonctionnement du monde, ils ne méritent pas d'en faire partie.

 

Alors que le monde est à l'entraide et à l'unification, une gang de consanguin rêve de se séparer. C'est une pensée arriéré tenue par des arriérés.

 

 

La culture québécoise, c'est de la foutaise. C'est de l'américain snob. On la croit unique ; c'est d'un ridicule fou. Vouloir la défendre est la seule chose encore plus ridicule que la "culture québécoise" en elle-même.

Les Québécois de souche se gavent de soaps américains ; ils rêvent de la vie des personnages, de leur argent, leur prospérité, mais ils ne bougent pas leur gros cul du divan pour y arriver. Ils préfèrent rêvasser et se convaincre qu'ils sont une nation.

 

J'en pleure la nuit.

 

C'est tout drôle, je croyais avoir affaire à des parangons du second degré en lisant ça. Je ne sais pas si j'avais raison. J'espère que oui.

[mtlurb]

C'est tout drôle, je croyais avoir affaire à des parangons du second degré en lisant ça. Je ne sais pas si j'avais raison. J'espère que oui.

 

Je ne crois évidemment pas ce que j'ai écrit. Je tiens à le préciser!