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vanatox

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  1. Je me demande si les condos de ce projet seront du locatif. Du locatif ultra-luxueux. Ils auraient dû avoir débuté la vente des condos bien avant que les travaux débutent.
  2. Publié le 09 septembre 2011 à 07h20 | Mis à jour à 07h20 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Comme ses jeux vidéo multijoueurs qui n'en finissent plus, le studio montréalais de Funcom ne cesse de faire des embauches. Au départ, l'entreprise norvégienne Funcom devait employer 150 personnes à son studio de Montréal créé en 2009. Le studio passera de 205 à 250 employés d'ici la fin de l'année, notamment pour travailler sur The Secret World, plus important jeu vidéo multijoueurs (MMO) jamais conçu au Canada, selon Funcom. «C'est une belle surprise de faire des embauches supplémentaires, dit Miguel Caron, directeur du studio montréalais de Funcom. Nous avons besoin de plus de gens parce qu'on nous a transféré des projets d'ailleurs et qu'on a accéléré le développement de The Secret World. Nos ententes de financement avec la Banque Royale et Exportation et développement Canada nous ont aussi permis de financer plus de projets pour Montréal.» Pour accueillir les nouveaux employés, le studio de Funcom au centre-ville de Montréal passera de 22 000 à 26 000 pieds carrés. Montréal est le plus important des studios de jeu vidéo de Funcom, qui compte aussi des studios à Olso (90 employés), Pékin (60) et à Durham, en Caroline-du-Nord (160). Environ 120 des employés du studio montréalais de Funcom planchent actuellement sur The Secret World, dont le budget de production est de 45 millions de dollars. Le jeu sera lancé en avril 2012. Funcom, qui produit ce jeu en collaboration avec Electronic Arts, compte récupérer son argent rapidement: l'entreprise prévoit des revenus de 157 millions pour The Secret World la première année. Par surcroît, les MMO ont une durée beaucoup plus longue que les jeux traditionnels sur consoles. «Ce sera un MMO particulier, dit Miguel Caron. L'action se passe dans les temps modernes, où trois sociétés secrètes -les Templiers, les Dragons et les Illuminati- se battent entre elles pour que le bien triomphe du mal.» En attendant la manne prévue par The Secret World, Funcom peut compter sur les revenus d'un autre jeu conçu en partie à Montréal: Age of Conan. Le jeu vidéo a été lancé en 2008, mais la dernière mise à jour, lancée il y a deux semaines dans la foulée du film Conan The Barbarian, a été conçue dans le studio montréalais de Funcom. Depuis juillet dernier, Funcom distribue Age of Conan gratuitement. Au lieu de l'abonnement mensuel de 15$, Funcom vend plutôt des articles en cours de jeu par l'entremise de micro-transactions. «Nous avons doublé nos revenus mensuels pour Age of Conan avec cette formule développée en Asie, mais qui devient de plus en plus importante ici», dit Miguel Caron. L'an dernier, les abonnements de Age of Conan avaient généré des revenus d'environ 18 millions de dollars, soit environ 1,5 million de dollars par mois. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/technologie/201109/09/01-4432885-cent-emplois-de-plus-chez-funcom.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4
  3. Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Publié le 01 septembre 2011 à 06h26 (Montréal) L'entreprise japonaise Square Enix doublera la taille de son studio de jeu vidéo à Montréal, créant 350 nouveaux emplois chez Eidos Montréal grâce à une subvention de 2 millions de dollars d'Investissement Québec, a appris La Presse Affaire.Square Enix négociait depuis le début de l'année avec les gouvernements du Québec, de l'Ontario et de la Colombie-Britannique pour installer un nouveau studio de 350 employés au pays. L'entreprise japonaise a finalement arrêté son choix sur la métropole québécoise, qui abrite déjà son seul studio au Canada, Eidos Montréal. Square Enix n'a pas voulu confirmer hier l'agrandissement de son studio montréalais, qui porte le nom de son ancien propriétaire britannique Eidos, racheté par Square Enix en 2009. Aucune date définitive n'a été arrêtée pour l'annonce officielle, qui doit avoir lieu au cours des prochaines semaines. Une entente de principe est intervenue entre Eidos Montréal et Investissement Québec, mandaté pour négocier par un décret du gouvernement Charest adopté le 11 août et rendu public hier. Certaines modalités de l'entente de subvention restent à négocier. «Nous poursuivons toujours nos négociations», dit Chantal Corbeil, porte-parole d'Investissement Québec, qui n'a pas voulu faire davantage de commentaires. En plus des crédits d'impôt de 37,5% des coûts de main-d'oeuvre offerts à tous les studios de jeu vidéo, le gouvernement du Québec octroiera une subvention directe de 2 millions de dollars à Eidos Montréal, propriété de Square Enix. Il s'agit de la troisième subvention directe dans l'industrie québécoise du jeu vidéo. L'an dernier, Warner Brothers a reçu 7,5 millions de dollars pour créer un studio qui atteindra 300 employés en 2015, tandis que THQ a reçu 3,1 millions pour un studio de 400 employés en 2015. Selon nos informations, Eidos Montréal créera une première centaine d'emplois d'ici la fin de l'année 2012. Les 250 emplois restants seront créés d'ici 2015. En passant de 330 à 680 employés en 2015, Eidos Montréal deviendrait ainsi le numéro trois du jeu vidéo à Montréal derrière Ubisoft (2100 employés) et Electronic Arts (800 employés).Il s'agit de la deuxième bonne nouvelle cet été pour l'industrie montréalaise du jeu vidéo, qui a accueilli en mai dernier un nouveau studio de 200 employés, SAVA Transmédia, fondé par l'ex-grand patron d'EA Montréal Alain Tascan. SAVA Transmédia n'a pas reçu de subvention directe. Fondé en 2007, Eidos Montréal a lancé mardi dernier le premier jeu de son histoire, Deus Ex: Human Revolution, qui aurait coûté entre 20 et 35 millions de dollars à produire. Le studio travaille actuellement sur deux autres projets, dont un seul a été annoncé officiellement: Thief 4. Les nouveaux employés d'Eidos Montréal travailleront surtout sur des jeux à grand déploiement, dont les budgets de production se chiffrent en dizaines de millions de dollars. Inscrite à la Bourse de Tokyo, Square Enix a vu ses profits diminuer de 62% et ses ventes de 25% au dernier trimestre. Son titre est en hausse de 21% depuis six mois et en hausse de 3% depuis un an. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/technologie/201109/01/01-4430609-jeu-video-350-nouveaux-emplois-chez-eidos.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS3
  4. Ce vidéo datant de l'achat d'Ogilvy par FTQ et compagnie permet d'expliquer un peu pourquoi ils revendent le magasin. Écoutez particulièrement ce que M. Bélanger de FTQ dit vers la fin du vidéo. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/07/20100707-064530.html#video Seulement le terrain les intéressait finalement...
  5. J'aime bien le projet. Cependant, il y a tellement de terrain de stationnement dans ce coin, c'est déprimant. J'aurais préféré voir un terrain disparaître et que l'on conserve le stationnement étagé. Mais bon, on va espérer que d'autres projets se mijotent dans les alentours.
  6. Nouveau projet de la FTQ près de la Place Jean-Paul Riopelle. [ATTACH=CONFIG]29320[/ATTACH]
  7. Gabriel Béland La Presse Fini les hot dogs, les croustilles et la poutine : le restaurant du parc La Fontaine, fermé il y a trois ans parce qu'il n'était pas rentable, va rouvrir officiellement demain dans une livrée plus moderne, raffinée et santé. Le beau bâtiment moderne construit en 1953 a reçu une cure de jouvence de près d'un million. L'intérieur a été rafraîchi et le vaste espace est maintenant doté d'une trentaine de tables. Une terrasse attenante va aussi pouvoir accueillir les visiteurs du parc. L'arrondissement du Plateau-Mont-Royal a mené le projet. Son maire, Luc Ferrandez, est confiant de son succès. Selon lui, l'ancien menu de «stand à hot-dogs» ne répondait plus aux attentes des Montréalais. «On ne voulait pas faire un restaurant hyper haut de gamme, a-t-il expliqué ce matin lors de l'inauguration des lieux. Mais on voulait quand même une nourriture santé de qualité.» Au menu du restaurant Espace La Fontaine? Tartare de boeuf, saumon fumé et grilled-cheese, entre autres, seront vendus dans une fourchette de prix allant de 9 à 19$. Du vin et de la bière seront aussi en vente. «On voulait garder un côté populaire, en le mettant aux goûts de 2011, en montrant que la société québécoise est plus raffinée et articulée, mais que ça reste populaire quand même», a expliqué M. Ferrandez. «Moi je veux qu'un monsieur entre ici avec ses enfants pour acheter un chocolat chaud pour partager en trois et qu'il se sente bien. Je ne veux pas que quelqu'un regarde le menu et se dise 'on va sortir d'ici'. C'est le chalet du peuple.» Fini les cols bleus Depuis son ouverture dans les années 50, le restaurant du parc La Fontaine a connu un long déclin jusqu'à sa fermeture en 2008. Plusieurs projets avaient germé au fil des ans pour le remettre au goût du jour, sans se réaliser. La Ville avait même jusqu'à tout récemment un projet de 7 millions beaucoup plus ambitieux pour le lieu. «Mais il s'agit du budget total du service des parcs, alors je me suis dit ça se fera jamais, raconte le maire du Plateau. Alors, j'ai dit go!» L'arrondissement a décidé de reprendre le projet, à la condition que la gestion du restaurant soit remise à un organisme à but non lucratif. Avant, des cols bleus s'occupaient du restaurant. «À une époque, on ne pouvait plus justifier d'avoir trois cols bleus dans un restaurant où deux enfants venaient acheter un chips une fois par jour. Il fallait les mettre sur les nids de poule et des choses comme ça. On a obtenu que ce soit géré par un OBNL. Ça, c'était un blocage majeur dans le passé.» La renaissance du restaurant est un bon présage pour le parc La Fontaine, selon Luc Ferrandez. D'autres aménagements suivront l'année prochaine, a-t-il révélé, sans donner de détails. «On se dirige vers une amélioration en pente raide du parc La Fontaine», a-t-il lancé. L'Espace La Fontaine est ouvert du mercredi au dimanche, de 11h à 17h. Dès le 24 juin, le restaurant sera ouvert tous les jours de la semaine, de 11h à 21h.
  8. Il y a le Ritz-Carlton qui est probablement comparable. Son penthouse s'est vendu 13 millions. Il y a un marché qui existe pour les riches. C'est juste que ça prend plus de temps à vendre. Il ne sont pas du genre à faire la file pour acheter un condo ceux-là... On a plusieurs projets de rénovation très luxueux tels que château Maplewood et marianopolis.
  9. By Brian Ker, Special to The Gazette The Gazette's panel of experts answer your questions on real estate. To ask a question, please email alampert@montrealgazette.com. There has been a lot of discussion recently regarding the bonanza of construction taking place in Montreal and certainly on these pages an inquisitive analysis of the quantity of condominium construction. We also hear about “the hot land market” and there are lots of questions as to its sustainability. I recently attended the Land and Development Conference in Toronto to determine the optimism in North America’s largest condominium market and compare that with what we have been witnessing here in Montreal as land values have rapidly increased over the past five years. In a hot market, land is not an asset but is priced more like a commodity: a raw material that is just one part of a final constructed product, including concrete, steel and labour. In a weak market, land values are more likely tied to its short-term income-producing potential, such as parking revenues less off-setting taxes. The rapidly diminishing land supply and a cultural shift toward urban living have lead to changes in the commercial land market. First, commercial land sales are principally divided between high- and low-density sites. High-density sites intended for office, hotel, mixed-use and multi-unit residential projects, while low-density sites incorporate retail, industrial and single-family home developments. The value of land is based on the total amount of density permitted on its property – a site permitting an office tower is considerably greater than a walkup row-house or an industrial facility – and the total volume of potential sales in a given year, which allow for larger projects. Restrictive zoning can adversely affect the site’s value, as can social-housing inclusions and lengthy, complicated and sometimes “out-of-control” zoning application processes that jeopardize a project’s economic vitality. On Montreal Island, the prevailing trend is that high-density sites are taking a larger market share of total land transaction sales volumes because of the increasing prominence of sales of larger development sites permitting significantly greater density, and higher pricing for each unit of density, also referred to as the price per square foot Buildable. Over the past five years, the value for each unit of density has doubled to an average price of approximately $30 per square foot buildable. This is primarily based upon the rapid increase (up to 50%) in values for condominiums during the same time period, and as such, sales of sites for residential projects have outpaced all other sectors. Developers will be happy to note that Montreal was the third-largest condominium market in North America in 2010, albeit in an aberration year for the U.S. housing market, and only trailing Toronto and Houston in overall condo starts. This buoyancy has been growing for some time as major developers have acquired land holdings to fuel future projects. Since October of 2008, there have been a 11 high-density development land transactions in the greater Montreal area that have traded above $5 million, with a total value of $148 million in high-density land sales. Major sales included the land for the Project Griffintown project, Angus Development in the Quartier des Spectacles, the Marianopolis site, the site for the Altoria project and most recently Prevel and Conceptions Rachel-Juilien acquiring the rights from Canada Lands to develop Les Bassins du Nouveau Havre for $20 million. These major land transactions were purchased by well-known, well-respected and well-capitalized condo developers, with the exception of the Angus Assembly and Altoria, both of which will feature a mix of office and condominium use. Mixed-use projects are becoming the new normal, as developers put forth projects that feature greater overall site density to decrease the effects of higher land prices or kick start existing larger projects with an exclusively residential component. For land values to continue their ascent, Montreal developers and buyers need to develop an attitude shift with regard to larger projects. The traditional condo developer logic is that it is nearly impossible to sell more than 150 units for a project in one sales year. The rationale for this is, typically, that Montrealers will not pay a deposit for a condo unit until substantial pre-sales have been achieved or it is under construction, as they are not willing to wait two to three years for delivery. Recent project launches, though, are challenging this traditional thinking, with buyers (or their agents) waiting in line overnight and first-day sell-outs occurring with regularity, or buyers are asked to place a “deposit” to reserve a unit without seeing final plans. Buyers can no longer sit back and cherry-pick the best unit, as it will probably be reserved before they arrive on the scene. In addition, unless condominiums continue to experience strong price increases, Montreal condo developers will be facing increasing pressure for prime sites from alternative uses, such as office towers, hotels, or institutional (Healthcare, Educational, Student Residence) projects, where demand is steadily growing. Finally, our municipal government needs to develop a more flexible zoning application process with regard to major urban projects and the need for public consultations. Politicians should rely on the counsel of independent experts, but are elected to make decisions, and voters should judge them on these decisions, good or bad, at the ballot-box. Montreal home and condo owners have benefited from the rapidly rising values of their residential real estate over the past five years. Although rising interest rates are on the horizon and will clearly dampen demand for condos for home ownership and as an investment vehicle, demand is increasing for alternate site uses. Land values have also seen a rapid ascent, particularly for high density sites, and the economic fundamentals support continued growth and greater liquidity in this particular market. Brian Ker is associate vice-president, National Investment Team, at CB Richard Ellis Limited. He can be reached at 514 905-2141 or by email at brian.ker@cbre.com. Read more: http://www.montrealgazette.com/sustainable+Montreal+construction+bonanza/4889700/story.html#ixzz1OFFSPeAz
  10. Publié le 30 mai 2011 à 05h00 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse (Montréal) L'ex-grand patron d'Electronic Arts à Montréal Alain Tascan fonde un studio indépendant de jeux vidéo dans la métropole québécoise. SAVA Transmédia se spécialisera dans les jeux vidéo pour téléphones portables et sur les réseaux sociaux comme Facebook, a appris La Presse Affaires. L'entreprise veut aussi décliner ses jeux sur d'autres plateformes de divertissement. SAVA Transmédia créera 200 emplois au cours des cinq prochaines années. Quand le studio aura atteint sa maturité, en 2016, SAVA Transmédia devrait être le huitième studio de jeux vidéo en importance à Montréal. Alain Tascan présentera officiellement son nouveau studio et ses partenaires en conférence de presse ce matin au Musée des beaux-arts de Montréal, aux côtés du ministre québécois des Finances, Raymond Bachand, et de Michel Leblanc, président et chef de la direction de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Selon nos informations, les actionnaires de SAVA Transmédia sont tous québécois ou canadiens. Alain Tascan agira à titre de directeur du studio. L'une des personnes les plus influentes de l'industrie québécoise du jeu vidéo, Alain Tascan a dirigé les studios d'Electronic Arts à Montréal durant sept ans avant de partir en octobre dernier alors que l'entreprise californienne a procédé à une réorganisation de ses studios montréalais. Avant de devenir le patron d'Electronic Arts à Montréal, Alain Tascan a été l'un des premiers dirigeants du studio montréalais d'Ubisoft. Originaire de la France, il a déménagé au Québec pour aider à fonder Ubisoft Montréal. Il siège au conseil d'administration du Conseil du patronat du Québec. Contrairement à la plupart des poids lourds de l'industrie montréalaise du jeu vidéo, SAVA Transmédia est un studio indépendant qui n'est pas la propriété des grands éditeurs de jeux comme Ubisoft (France) ou Electronic Arts (États-Unis). SAVA Transmédia deviendra le deuxième studio indépendant en importance à Montréal après Behavior (anciennement A2 M), studio fondé en 1992 et dirigé par Rémi Racine. SAVA Transmédia a choisi de se spécialiser dans les jeux vidéo pour téléphones portables et sur les réseaux sociaux, un secteur en pleine expansion. Comme son nom l'indique, SAVA Transmédia voudra décliner ses jeux sur d'autres plateformes médiatiques de divertissement. Pas de subvention directe La fondation de SAVA Transmédia est un développement important pour l'industrie québécoise du jeu vidéo, qui a accueilli trois nouveaux studios d'importance en moins de deux ans. Le gouvernement du Québec a accordé des subventions directes de 7,5 millions de dollars à Warner Brothers et 3,1 millions de dollars à THQ pour les convaincre de s'installer à Montréal. Dans le cas de SAVA Transmédia, aucune subvention directe n'a été nécessaire. Comme ses studios concurrents, SAVA Transmédia bénéficie du crédit d'impôt québécois de 37,5% sur les coûts de main-d'oeuvre. L'arrivée de SAVA Transmédia risque toutefois de faire grincer des dents plusieurs directeurs de studios existants, qui se plaignent déjà du manque de main-d'oeuvre qualifiée à Montréal. De surcroît, l'entreprise japonaise Square Enix négocie actuellement avec le Québec, l'Ontario et la Colombie-Britannique afin d'ouvrir un studio d'au moins 100 employés au Canada en 2012. Avec sa prévision de 200 employés, SAVA Transmédia serait le huitième studio en importance à Montréal en 2016, derrière Ubisoft (2100 employés), Electronic Arts (800 employés), Gameloft (400 employés), THQ (400 employés), Behavior (360 employés), Eidos (330 employés) et Warner (300 employés).
  11. D'autres images dans cet article, dont une vue d'ensemble: http://blogs.montrealgazette.com/2011/05/25/montreals-old-port-getting-a-beach-next-year-but-no-swimming-allowed/
  12. Il y a une image accompagnant cet article: http://www.cyberpresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201105/25/01-4402696-une-plage-urbaine-dans-le-vieux-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-cyberpresse_267_accueil_ECRAN1POS1
  13. Je ne l'ai pas essayé encore. Mais j'aime le concept. Les gadgets techno, c'est vendeur avec moi!
  14. lien video: http://www.youtube.com/watch?v=BRHTZ7TnMAA BRANCHEZ-VOUS! est allé manger dans un restaurant d'un tout nouveau genre au centre-ville de Montréal, l'iBurger. À cette occasion, nous avons pu tester leur table techno, qui intègre un écran tactile permettant aux clients de consulter le menu et de passer leur propre commande. Ouvert depuis la fin janvier à Montréal par Alexandre Maher (président), Frank Roche (VP aux opérations) et Jonathan Cyr (chef cuisinier), l'iBurger se distingue par la présence d'une surface tactile animée par un Mac Mini sur le dessus de chaque table. Le véritable défi des fondateurs de l'iBurger est de rentabiliser leur projet notamment en vendant des franchises, car chaque table coûte environ 3 200$. Pour l'instant, des personnes basées au Canada et au Maroc se sont montrées intéressées par l'achat d'une franchise iBurger. Évidemment, l'expérience du restaurant ne se résume pas uniquement à son aspect technologique. Lors de notre passage à l'iBurger, nous avons mangé un burger d'agneau accompagné d'un verre de vin rouge, proposé sur le menu pour accompagner le plat. Lors d'un deuxième passage au resto, nous avons aussi pu déguster l'assiette de fromage. Nous nous sommes régalés!L'écran est protégé par un verre tactile remplaçable en cas d'usure, mais les fondateurs du restaurant veulent garder leur technologie tactile secrète. L'écran tactile sert principalement à afficher et à détailler le menu ainsi que les différents plats, à l'aide d'images dignes de relever de l'art culinaire. Un petit historique est aussi proposé pour expliquer l'origine de chaque catégorie de plats (burger, hot dog, salade, pizza, etc.). Les usagers peuvent ainsi se laisser tenter par un plat et se le commander eux-mêmes. Les commandes sont directement dirigées vers la cuisine depuis la table, mais les clients peuvent aussi s'adresser directement au serveur. Une excellente utilisation de la surface tactile survient à l'heure de l'assiette de fromage. Grâce à des applications spécifiquement conçues pour contrôler le système à distance depuis un iPhone, les serveurs peuvent afficher le nom et la description des fromages. lien pour l'article: http://www.branchez-vous.com/techno/actualite/2011/03/iburger-montreal-restaurant-branche-mac-mini-table-tactile.html Autre article: http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/en-vrac/201103/21/01-4381388-iburger-des-ecrans-tactiles-pour-commander.php site internet: http://iburger.net/
  15. Merci pour l'image. Cependant, la tour à bureau sera plutôt située en face du 1250 rené-Lévesque/tour IBM. Aussi Altitude sera visible dans le trou entre la place Ville-Marie et la tour Telus. Altoria ne sera pas vraiment visible de ce point de vue mais de l'est, on pourra bien la voir.
  16. C'est les trois, mais la banlieue en très grande majorité! La région de Montréal (l'île) grossit mais lentement. 2006: 1 873 589 2010: 1 934 082 environ 60 000 personnes en 4 ans
  17. Pour tous les mélodramatiques qui aimerait avoir 26 fois plus de tours en bureau en contruction... Montréal: la ville aux 162 chantiersPublié le 29 mars 2011 à 09h00 | Mis à jour à 10h35 Martine Letarte, collaboration spéciale La Presse (Montréal) CHUM, CUSM, CHU Sainte-Justine, Quartier des spectacles, Faubourg Pointe-aux-Prairies, Pointe-Nord de L'Île-des-Soeurs: voilà quelques-uns des 162 chantiers de plus de 5 millions en cours à Montréal. De ce nombre, on compte 70 projets institutionnels et commerciaux, 65 projets résidentiels, 29 projets de génie civil et de voirie ainsi que 2 projets industriels. Somme des investissements: 13,4 milliards. Après des années de stagnation, et au moment où la ville de Québec regorge de projets, Montréal est-elle en train de se réveiller? «On a longtemps dit qu'à Montréal, il n'y avait pas de projets et que ça reflétait le manque de confiance des investisseurs dans l'économie montréalaise. Là, avec tous les chantiers importants, il faut admettre l'inverse: les investisseurs croient au potentiel de Montréal», affirme Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Pourtant, Montréal a été plus touché par la crise économique que l'ensemble du Québec. «Il y a eu 32 000 pertes d'emplois au Québec en 2009, dont 30 200 à Montréal. C'est plus de 90%. L'an dernier, l'ensemble du Québec a récupéré et dépassé les emplois perdus, alors que Montréal les a récupérés, mais pas dépassés», indique Hugues Leroux, économiste pour la direction régionale d'Emploi-Québec de l'île de Montréal. Il affirme toutefois que la métropole s'est bien sortie de la crise économique. «Montréal met toujours plus de temps à recouvrer la santé sur le marché du travail, entre autres, parce qu'il accueille la grande majorité des immigrants et beaucoup de jeunes des autres régions, explique le spécialiste. Ces personnes qui doivent intégrer le monde du travail y arrivent plus difficilement lorsque le marché de l'emploi est déprimé.» Les retombées En matière de développement économique, il semble qu'un projet en attire un autre. «Le meilleur exemple de ça, c'est le Quartier international, affirme le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Les gouvernements y ont investi 90 millions et il a géré des projets d'investissements de plus d'un milliard.» Le Quartier des spectacles viendra renforcer aussi, selon Michel Leblanc, l'offensive internationale faite à l'image de marque de Montréal. «On reverra des photos dans les grands magazines, comme on en avait vu pour le Quartier international, et c'est important, puisque ça montre que Montréal est une ville de créateurs, une ville où il se passe quelque chose.» Le Quartier de la santé construit autour du CHUM pourrait aussi entraîner des investissements importants. «Le défi sera d'attirer des entreprises du secteur des sciences de la vie. De plus, les firmes qui travaillent sur ces projets à la fine pointe de la technologie pourront par la suite exporter leur expertise», affirme le président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Et c'est sans oublier les projets de condos, plus nombreux que jamais, et l'effervescence du quartier Griffintown. «Ça signifie que nous avons réussi à créer un environnement favorable pour les investisseurs», croit le maire Tremblay. Dollar et productivité Emploi-Québec est également optimiste pour Montréal, particulièrement pour le secteur des services et pour les gens qui ont un niveau de compétence élevé. «D'ici à 2014, 55% des emplois créés exigeront un niveau de compétence universitaire ou collégial», indique Hugues Leroux. «Plusieurs emplois de qualité sont créés dans les grappes technologiques comme celle en aérospatiale, mais aussi, celles en finance, en logistique et celle sur les technologies propres», indique Gérald Tremblay. Certains secteurs demeureront toutefois en difficulté cette année, croit-on à Emploi-Québec. «Entre autres parce que le dollar canadien est toujours à parité et, selon les prévisions, il le demeurera», affirme M. Leroux. Selon Michel Leblanc, le grand défi des entreprises est donc d'améliorer leur productivité pour demeurer concurrentielles dans ce contexte. «Elles doivent investir dans de l'équipement et dans la formation, revoir leurs processus, penser à la délocalisation, indique-t-il. C'est important puisque notre productivité est plus faible que celle des États-Unis et nous avons de moins en moins de travailleurs disponibles. Heureusement, les entrepreneurs montréalais se concentrent déjà là-dessus alors qu'ailleurs dans le monde, ils sont encore à se demander comment ils sortiront de la récession.» Évolution des projets Le maire garde le cap Conflits avec le vérificateur général et enquête de l'Agence du revenu du Canada sur les contrats municipaux en lien avec des allégations de collusion et de corruption mises au jour depuis plus d'un an. Est-ce que tout cela rend la réalisation des projets à Montréal plus difficile? «Je fais abstraction de tout ça, dit le maire Gérald Tremblay. S'il faut revoir certaines décisions, comme dans le cas des compteurs d'eau, je remets toute l'information aux autorités compétentes pour qu'elles vérifient s'il y a eu collusion.» L'avancement des projets est-il ralenti par ce contexte? «Moi, j'ai décidé de me concentrer sur deux grandes responsabilités: répondre aux besoins essentiels des citoyens et créer de la richesse en mettant en place un environnement favorable aux investisseurs. C'est ce que nous faisons depuis trois mandats», ajoute-t-il. Montréal en bref Superficie: 498 km2 Population: 1934082 (2010), soit 24% des habitants de la province Solde migratoire interrégional: -23 640 (2009-2010) Taux de chômage: 9,6% (février 2011) Taux d'activité: 64,2% (février 2011) PIB par habitant: 50 012$ (moyenne provinciale: 36 161$) Revenu disponible par habitant : 27 262$ Secteur d'emploi le plus important: Tertiaire (plus de 85% de l'emploi) Source: Institut de la statistique du Québec et MDEIE http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/portrait-2011/201103/29/01-4384286-montreal-la-ville-aux-162-chantiers.php
  18. J'espère!! J'aimerais tellement aussi que leur projet inclus le développement des terrains de stationnement au sud du centre bell. Je ne suis plus capable de voir ces terrains et les édifices délabrés qui y sont situés.
  19. Everytime I walk in front of this bank, I have the same thought. Il y a beaucoup de piéton dans ce coin là. Être TD j'en profiterais pour y insérer un peu de pub.
  20. Moi je compte 17. Les deux dernières rangées de fenêtres ont l'air d'avoir deux étages chacune.
  21. Je me permet de rajouter ci au commentaire de Habsfan: Trois tours vont monter en même temps, au centre-ville. Ça c'est en excluant le séville, le triomphe, le CHUM... qui sont des moins hautes tours mais des tours tout de même. L'Île des soeurs et Griffintown vont aussi commencer à compétitionner le centre-ville dans les prochains mois également. Bref, de quoi alimenter les discussion sur le forum pour un bout!
  22. Est-ce qu'il est possible qu'ils ne démolissent que certaines parties des batiments (car ils ne peuvent supporter le poids de la tour)? Ils ont peut-être planifier de conserver les facades par exemple. Si ils rasent tout, j'avoue que c'est une déception. Je conserverais au moins la facade de l'ancienne imprimerie.
  23. Je pense que c'est plutôt le nouveau stade saputo qui serait utilisé dans le cas d'une participation de Montréal.
  24. J'aime beaucoup! Bien mieux que l'ancien design.
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