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plb

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  1. Merci Chris pour l'info! C'est génial. En effet, si on fait ces travaux, Montréal a un très bel avenir (PQ ou pas...). Est-ce possible d'avoir une partie de recouverte pour 2017 si on fait l'appel d'offre cette année?
  2. plb

    L'Économie du Québec

    http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/emploi-quebec-demarre-2014-en-force/566101 Alors, ils sont où nos oiseaux de malheurs? On ne les entends pas beaucoup... C'est qui le premier qui va dire: "oui, mais ce sont des jobs à temps partiel"? Emploi: Québec démarre 2014 en force La région métropolitaine de Québec se distingue au chapitre de la création d’emplois en ce début d’année. À l’échelle canadienne, elle arrive au deuxième rang des villes les plus dynamiques avec la création de 6000 emplois en janvier. Seule Vancouver la devance avec 10 400 emplois. Dans toute la province du Québec, 12 700 emplois ont été créés; la région de la capitale nationale a donc contribué pour près de la moitié de ces gains. La croissance de l’emploi (+1,4%), supérieure à celle de la population active (+0,9%), a fait reculer le taux de chômage à 4,3%, ce qui représente le plus faible taux au pays. À l’échelle du Québec, le taux de chômage a reculé de 0,2% à 7,5%. La région de Québec comptait 431 900 emplois en janvier, ce qui approche du nombre record de 432 300 atteint en avril 2012. La performance du marché du travail dans la région métropolitaine de Québec est surtout attribuable au secteur des services et au secteur manufacturier. Le secteur de la construction, quant à lui, laisse entrevoir une pause. L’ombre au tableau, c’est que depuis l’automne 2013, ce sont davantage des emplois à temps partiel qu’à temps plein qui sont créés, note l’économiste principal de Québec International, Louis Gagnon. Malgré tout, les entreprises continueront à chercher des candidats dans un marché qui atteint le plein-emploi. Un sondage Léger sur la confiance des entrepreneurs publié en janvier par Québec International, la Chambre de commerce et d’industrie de Québec, et la Chambre de commerce de Lévis a révélé que 61% des chefs d’entreprises de la région prévoyaient des embauches au cours de 2014.
  3. Si je me souviens bien, après un mois de mai ordinaire, certains lançaient déjà les hauts cris sur ce forum: "vous voyez bien que ça va mal à cause du PQ, des carrés rouges, du pastagate, de notre médiocrité collective, blablabla... " Quand on leur disaient de respirer par le nez, ils nous disaient quoi déjà? Qu'on se mettaient la tête dans le sable, qu'on ne comprenait pas la réalité... En tout cas, je me réjouis de cette nouvelle. Montréal s'améliore sur le plan de l'offre touristique et j'emmerde tous ces prophètes de malheurs qui disent aimer Montréal et qui malgré tout, n'ont jamais rien de bon à dire sur notre ville. Croisons les doigts pour que le Palais des Congrès s'agrandisse et que l'autoroute soit recouverte au plus vite. Montréal a un excellent potentiel touristique.
  4. Bonne nouvelle ! Il me semble que le projet est dans les délais prévus. J'ai hâte à 2016.
  5. plb

    L'Économie du Québec

    Pour ceux qui ne l'auraient pas lu: http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201402/06/01-4736123-les-bons-coups-du-quebec.php Les bons coups du Québec Et si l'on voyait les choses autrement? Si l'on s'attardait un instant aux bons coups du Québec, plutôt qu'aux cauchemars économiques publiés au cours des dernières semaines? Car des bons coups, il y en a eu. Entendons-nous, les études de l'économiste Robert Gagné, de HEC Montréal, et de l'équipe Godbout-Fortin-Arseneau, de l'Université de Sherbrooke, gardent leur pertinence. Ces études occultent toutefois les succès du Québec ces dernières années. Essentiellement, la première étude soutient que le Québec vit au-dessus de ses moyens, tandis que la seconde estime que si rien n'est fait, le Québec verra son déficit croître sans cesse d'ici 15 ans à cause du vieillissement de la population. Voyons voir certains de nos bons coups économiques. D'abord, le Québec a fait un rattrapage spectaculaire sur le plan de l'emploi depuis 20 ans. À cet égard, la meilleure statistique pour mesurer la vigueur du marché du travail est le taux d'emploi, soit la proportion de la population qui occupe un emploi. Au Canada, le taux d'emploi en 2013 était de 61,8%. Or, depuis la dernière grande récession, il y a 20 ans, le taux d'emploi au Québec a progressé de 6,3 points de pourcentage, plus que partout ailleurs au Canada. En comparaison, l'Ontario a progressé de 2,0 points de pourcentage, l'Alberta, de 4,8 points, et le Nouveau-Brunswick, de 5,1 points. Pendant ce temps, la Colombie-Britannique a fait du surplace. Aujourd'hui, le taux d'emploi au Québec, à 60,3%, demeure sous l'Ontario (61,3%) et l'Alberta (69,7%), mais il est au-dessus de la Colombie-Britannique (59,9%) et du Nouveau-Brunswick (56,6%). Surtout, le bond du Québec depuis 20 ans est exceptionnel, notamment chez les jeunes, dont le taux de chômage est plus faible que dans le reste du Canada ou en Europe. Deuxième bonne nouvelle: le niveau de vie a davantage progressé au Québec qu'en Ontario, selon l'étude de HEC Montréal. Ce niveau de vie, exprimé par le produit intérieur brut (PIB) par habitant, a crû au rythme annuel de 1,29% au Québec depuis 1981, comparativement à 1,17% en Ontario. Dans l'ensemble du Canada, en dépit du boom des provinces pétrolières, le niveau de vie a bondi de seulement 1,3% par année, guère plus qu'au Québec. Cela dit, le niveau de vie demeure inférieur au Québec, toutes proportions gardées, mais notre économie n'a pas été stagnante. Autre signe de réjouissance: les dépenses publiques annuelles par habitant ont crû moins vite au Québec qu'ailleurs au Canada depuis 30 ans, selon HEC Montréal. Le bond est de 40% au Québec, après inflation, comparativement à 56% en Ontario et 48% dans l'ensemble du Canada. On s'entend, les administrations publiques du Québec continuent de dépenser nettement plus qu'ailleurs au Canada, à 16 139$ par habitant (14 690$ par habitant au Canada). Le Québec offre toutefois plus de services aux citoyens et, surtout, il y a une volonté de contrôler la croissance des dépenses, comme en témoignent les derniers budgets du gouvernement. Autre bonne nouvelle depuis cinq ans: les investissements. Depuis la crise de 2009, le volume annuel des investissements en immobilisations a crû à un rythme légèrement supérieur au Québec que dans celui des provinces non pétrolières. En 2013, le volume des investissements en immobilisations au Québec était de 21,3% supérieur à celui de 2009, comparativement à 20,5% en Ontario et à 20,3% en Colombie-Britannique. En Alberta, le boom se poursuit, avec une croissance de 53% par rapport à 2009. Et au Nouveau-Brunswick, les investissements sont en baisse de 6%. Aujourd'hui, la part des investissements globaux au Québec est même supérieure à celle de l'Ontario, toutes proportions gardées, soit 9,4% du PIB comparativement à 8,4% du PIB chez notre voisin. Ces données ne sauraient masquer le retard relatif du Québec en matière d'investissement dans les machineries et équipements, mais encore une fois, elles donnent une perspective différente de la question. Bien franchement, je crois que le Québec a des défis économiques très importants à relever et qu'il faut éviter de porter des lunettes roses. La dette publique est la plus importante des provinces canadiennes - et de loin - et elle ne cesse de croître. Les dépenses publiques annuelles sont les troisièmes au monde, à 47% du PIB, et les impôts sont aussi à un sommet. Notre productivité est plus faible qu'ailleurs au Canada et beaucoup plus faible que celle des principaux pays industrialisés. Et notre population vieillit. Néanmoins, il est faux de dire que les Québécois n'ont rien fait de bon depuis un quart de siècle et qu'ils sont des incapables, comme le répètent certains détracteurs. Plusieurs données comme l'emploi le démontrent, tout comme le succès mondial de nombreux entrepreneurs, artistes, sportifs et scientifiques.
  6. plb

    L'Économie du Québec

    It's been more than 40 years that the Gazette and anglo medias repeat the same propaganda every day, like if Apocalypse was coming after each PQ election. I am sure they make more damage on economy than anyone else. Though, we can't blame people who just repeat the same negative message all the time. They have only acces to an every day Quebec bashing dose for breakfast. This is how you make people getting paranoïac. And this is why we have surrealistic debates like that.
  7. plb

    L'Économie du Québec

    Bien dit! Je pense exactement la même chose. Et je suppose que je ne suis pas le seul.
  8. Bel immeuble avec du potentiel. Le vieux prend vraiment du mieux !
  9. Avec le rabaissement de l'autoroute Bonaventure, ce coin de la ville va connaître un beau développement.
  10. plb

    L'Économie du Québec

    Premièrement, mark, je n'ai jamais affirmé que la dette était la faute à Charest. Tout ce que je sais, c'est qu'elle a augmenté de 55 milliards avec lui. D'autre auraient sûrement fait la même chose. Ce que je dis c'est qu'il n'y a pas beaucoup de différence entre le PQ et le PLQ sur le plan économique et les différents bilans se comparent. Et dire que le PQ n'a aucune politique économique, c'est vraiment se discréditer. C'est complètement ridicule et démagogue. On peut ne pas les aimer, mais ils ont fait plusieurs interventions pour favoriser l'emploi au Québec et il y a eu 4 annonces de compagnies des secteurs de point qui viendront s'établir seulement la semaine dernière. Tu vas dire que tu n'est pas d'accord avec les crédits d'impôts, on le sait... Mais serait-ce possible d'arrêter de raconter toujours les mêmes niaiseries sur la charte, sur le français, les impôts trop haut, les syndicats trop forts, le PQ qui fait peur aux investisseurs et les Québécois qui doivent se réveiller? C'est une obsession ou quoi? Combien de fois doit-on lire "wake up Quebec" avant de décider d'aller voir ailleurs? Personnellement, j'en ai mare qu'on nous prenne pour imbéciles avec les mêmes idées simplistes. Malheureusement, comme les nouvelles sont souvent négatives, on a le droit au même refrain tous les jours. Je pense qu'on a atteint le point de saturation. Alors, si on veut faire avancer Montréal, ça prendra plus que des slogans et plus de gens qui apportent de vraies idées constructives !
  11. plb

    L'Économie du Québec

    Je ne pense pas qu'on puisse comparer notre taux de diplomation avec ceux au Canada car les diplômés du cégep faussent le calcul. Au sujet de la santé, ce n'est pas seulement une quesiton d'argent investi, mais du "comment" l'argent est investi. Les structures de gestion et de services (je ne parle pas de privatisation) doivent être modifiées. Finalement, à savoir si le PQ nous a plus endette que le PLQ, c'est une question piège. Charest est responsable de 33% de la dette (hausse de 55 milliards $), mais tant qu'à moi, leur modèle de gestion économique se ressemblent beaucoup (vs Landry+Bouchard) n'en déplaise aux partisans d'un clan ou d'un autre. C'est surtout la situation économique internationale qui a le plus influencé l'endettement et le retard économique historique (je parle de l'ensemble du siècle) du Québec vs les autres provinces qui est en cause.
  12. Si on pose la question: est-ce que l'entreprise privée peut nuire à la société? Pourquoi ne peut-on pas répondre "non"? Les entreprises privées n'ont-elles pas fait les manchettes durant les deux ou trois dernières années pour tous les contrats truqués qu'on doit payer à grands frais? Pour les déversements de pétrole? La question est seulement mal posée. C'est une évidence que les entreprises privées pensent d'abord à leur profit et non pas à l'ensemble de la société. Les gens savent bien qu'ils créent des emplois mais ils ne sont pas dupes non plus.
  13. plb

    L'Économie du Québec

    Je suis bien d'accord pour dire que l'économie est en déclin, qu'on aura à faire face à des problèmes importants dans le futur et qu'il faut se préoccuper la dette, qui est une véritable plaie. Mais l'économie n'est pas une science exacte et il n'y a pas une seule solution. Ceux qui le pensent n'ont rien compris à la complexité de la situation. Faut-il couper les dépenses? La rigueur budgétaire ne va pas relancer l'économie. Baisser les impôts? Ça ne va pas permettre de diminuer la dette, au contraire. Comment être plus productif? Il y a plusieurs façons de le faire. Quel est le juste taux d'imposition à imposer selon les revenus? Comment rester compétitif? Si il y avait une réponse simple et évidente, on l'aurait déjà trouvée. Mais ce n'est pas le cas. J'ai étudié tous les modèles économiques du XXe siècle et ses penseurs, de Keynes à Milton Friedman, et chacun estiment pouvoir donner des réponses à aux problèmes économiques. Au final, ils ont tous leurs défauts et leurs valeurs sous-jacentes. Moi, j'estime que le modèle de Friedman est une arnaque intellectuelle et malheureusement, c'est d'évidence celui que vous préférez et celui qui domine encore chez les économistes aujourd'hui. Je suis convaincu que son modèle a échoué et il faut éviter de prendre chez lui et ses apôtres des solutions qui ne font qu'amplifier le problème. Traitez-moi d'imbécile et d'autruche tant que vous voulez, ça ne me fera pas changer d'avis.
  14. plb

    L'Économie du Québec

    Wow, les gars, si je vous comprends bien: si les gens sont de gauche ou ne pensent pas comme vous, c'est parce qu'ils n'ont rien compris, qu'ils sont imbéciles qu'il faut éduquer. Et il faut leur répéter mille fois les mêmes arguments. Avez-vous déjà pensé au fait que vous pouviez avoir des arguments dont la qualité ne donne vraiment pas envie de vous écouter? Et je ne parle même pas du ton. Mais bon, si ça vous fait du bien, continuez...
  15. plb

    L'Économie du Québec

    Pour ceux qui ne l'auraient pas vu, voici la réplique dans le Devoir d'aujourd'hui d'un spécialiste de la démographie. Exode des Québécois? Une étude trompeuse 24 janvier 2014 | Alain Bélanger | Québec Le 9 janvier, le quotidien The Gazette publiait un article intitulé « Number of Quebecers leaving the province is on the rise ». On y rapporte les résultats d’une étude du Canadian Institute for Identities and Migration. On peut y lire, par exemple, que le nombre de sortants du Québec vers une autre province canadienne enregistré entre janvier et septembre 2013 atteignait le niveau le plus élevé au cours du « siècle » pour une période de trois trimestres. En entrevue, Jack Jedwab, historien et vice-président exécutif de l’Institut, signale que cette hausse n’est pas liée au débat sur la charte de la laïcité, mais ne peut résister évidemment d’en parler. Il s’empresse aussi de signaler qu’une telle hausse des départs correspond normalement à une grave crise économique alors qu’en réalité, nous ne sommes pas en récession. Du même souffle, il note que cette période coïncide avec la présence du Parti québécois au gouvernement et que si cela devait persister pour un autre trimestre, on serait en droit de penser que des considérations non économiques (lire politiques) seraient à l’oeuvre ici. Il laisse ainsi habilement planer le doute sur le fait que cette hausse puisse être le début d’un exode des anglophones et des immigrants récents vers l’Ontario pour des raisons politiques : élection du Parti québécois et débat sur la charte de la laïcité. L’article a été à l’origine d’un reportage semblable à CTV News, d’un blogue sur Yahoo actualités et bien sûr de centaines de commentaires plutôt défavorables au Québec sur leurs sites Web respectifs. Malheureusement, l’étude est trompeuse, car elle utilise des données de sources différentes qui ne sont tout simplement pas comparables entre elles. Il existe deux sources de données utilisées par Statistiques Canada pour estimer les mouvements interprovinciaux : les fichiers de prestations fiscales pour enfant et les fichiers de déclarations de revenu. La première source, moins fiable mais plus précoce, est utilisée pour établir les estimations provisoires, et la seconde pour calculer les estimations définitives. L’agence statistique nationale met en garde ses utilisateurs sur les risques de comparer les estimations provenant des deux sources, mais Jack Jedwab omet de le souligner. Pour toutes les provinces, pas seulement le Québec, les données provisoires surestiment généralement le nombre de sortants interprovinciaux par rapport aux données définitives disponibles quelque 18 mois plus tard. En ce qui concerne le Québec, pour un même trimestre, le nombre de sortants provenant des données provisoires est en moyenne (depuis 1996) de 21 % supérieur à celui des données définitives. C’est entre autres grâce à cette surestimation bien connue que Jack Jedwab a pu affirmer que le nombre de sortants du Québec atteignait le niveau le plus élevé au cours du siècle au cours des trois trimestres de 2013. Sans compter qu’utiliser le terme « siècle » pour qualifier une période de 13 ans depuis l’an 2000 apparaît abusif, il aurait mieux valu comparer les données provenant d’une même source. Ainsi, si on analyse des données comparables (données provisoires) pour les trois premiers trimestres d’une année, on se rend compte que le nombre de sortants pour les trois premiers trimestres de 2013 est inférieur à celui estimé pour les trois premiers trimestres de 2000, 2001, 2002, 2006, 2007 et 2008, soit presque une année sur deux depuis le début du « siècle ». Alain Bélanger - Professeur agrégé et directeur des programmes de démographie, Institut national de la recherche scientifique Centre Urbanisation Culture Société L’auteur a travaillé pendant 17 ans à Statistique Canada, où il a notamment été chef de l’analyse et de la recherche à la Division de la démographie pendant plusieurs années.​ http://www.ledevoir.com/politique/quebec/398092/exode-des-quebecois-une-etude-trompeuse
  16. Je me demande quand même si le gouvernement fédéral aurait été si intransigeant si le pont était situé en banlieue de Toronto ou de Vancouver. Mais bon, je ne m'attends à rien de positif des Conservateurs. Ils sont mauvais depuis le début et conservent une superbe constance à cet égard. On ne peut pas leur reprocher ça.
  17. plb

    L'Économie du Québec

    Well, if I can suggest mark, the first thing would be to stop acting like a child if you want us to treat you as an adult. Avoid the cry baby behavior, respect others opinions, try to understand that there is two sides of a medal, stop bullying people and then people will maybe listen to what you say. Otherwise, the only option we have, is to ignore you.
  18. I admit that The Gazette is a shitty newspaper with a terrible editorial board, but I don't think that Lampert is a bad reporter. I spoke with her many times and she seems to be really honest and bright with a great work ethic. Maybe I am wrong on this, but journalists have to fulfill their papers, and sometimes, they have to find an new angle about old stuff. I don't see any plot on this topic.
  19. plb

    L'Économie du Québec

    Good try, greenlobster but: “Never argue with stupid people, they will drag you down to their level and then beat you with experience.” - Mark Twain.
  20. plb

    L'Économie du Québec

    En effet, le troll a besoin d'attention par la provocation. Ils vont dire le contraire de tout ce qui est sensé pour qu'on entre dans leur jeu. J'ajouterais, dans le cas qui nous occupe, qu'on peut maintenant s'appuyer sur les études de Robert Altermeyer pour comprendre la psychologie particulière de ce qu'il appelle les autoritaires de droite. http://quebec.huffingtonpost.ca/Bruno%20Mass%C3%A9/psychologie-conservateurs-canada_b_3279747.html 1. La pensée illogique 2. Un esprit hautement compartimenté 3. Le double discours 4. L'hypocrisie 5. L'absence d'autocritique 6. L'ethnocentrisme profond 7. Le dogmatisme
  21. So, is there any relevant French community in Ontario or in Manitoba? And do you hear them complain they cannot speak French with bus drivers? Do you hear them complain because their province banned French schools in the past? Nope. In a perfect world, they would deserve bilinbual service as well, idem for anglo-montrealers. But the reality is that Quebec is officially French now and the English minority, wich had a great impact on economic development of Montreal, don't control the political agenda anymore. We are not in 1960. And we should notice it for once.
  22. La question de l'anglais comme langue d'échanges internationaux est une chose. Mais quel est le rapport avec le droit de recevoir un service public en anglais au Québec? La question est de savoir quels sont les services publics qui doivent être offerts en anglais dans la province? Si on suit la même logique que partout au Canada, les services fédéraux doivent être offerts dans les deux langues, mais aucune base juridique n'impose que l'anglais soit offert dans les transport municipaux. Pourtant, la plupart des agents municipaux font l'effort de parler anglais par courtoisie, même si rien de les oblige. Mais si on monte en épingle dans les médias anglos l'histoire d'un agent qui a décidé de faire du zèle et qu'on en parle dans les médias anglais pendant des semaines comme si on vivait sous l'Allemagne nazie, c'est normal qu'un Américain se dise "wait a minute: are you getting nuts, guys? Where do you think you live?"
  23. I just want to say thanks, IluvMTL. It's nice to have some balanced and intelligent comments on this board, dispite all the disgusting, simplistic and xenophobic ones we have to support from some "angryphones" trolls.
  24. Non, la langue parlée à la maison ne veut rien dire sur la capacité à parler une langue à l'extérieur, mais il est vrai que si moins de gens parlent français à la maison sur l'île (phénomène d'exode en banlieue+immigration) ça rend la langue moins attractive, donc favorise l'anglais comme langue d'usage. Cela dit, je suis d'accord avec les autres intervenants, cet article est fort intéressant. http://www.montrealgazette.com/life/...099/story.html
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