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Données et actualités démographiques - Montréal / Montréal métropolitain


mtlurb

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Je les comprends dans un sens... Je me suis moi même posé sérieusement la question aujourd'hui : est-ce que j'aimerais élever mes enfants à Montréal ? Après les avoir imaginés jouer dans une rue résidentielle où les voitures roulent à 70 km/h.

Les avoirs imaginés dans une école primaire où les Bleus ou les Rouges font du recrutement, où les professeurs sont à la merci des élèves et où s'ils ne mesurent pas 6'5'', ils se feront intimider, menacer, battre parce qu'ils ne voudront pas fumer, foxer, voler, tagger, diner à chaque jour au McDo, etc. Et ensuite les imaginer voyager en métro, dans un environnement malpropre et gorgé de graffitis (bel exemple pour des enfants) ou en autobus côtoyant des déficients intellectuels et itinérants qui empestent la pisse ou qui crient à tue tête ou qui parlent à leur siège.

 

Finalement, non, je ne veut pas élever mes enfants à Montréal et voilà pourquoi probablement tous ces gens quittent Montréal.

 

Montréal, dans sa condition actuelle, est une ville pour les 20 ans et +. Je vis à Montréal et je suis assez mature pour faire la part des choses. Mais un enfant en bas âge qui prend exemple sur ce qu'il voit pour se former n'a pas la même capacité de distinction que nous. Voilà.

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Wow !! méchante réflexion !! J'habite à Montréal et mon fils grandit dans cette ville. On a de la famille en banlieue -ce qui fait qu'on voit ce que c'est de vivre en banlieue. Ni mon ex, ni lui ni moi ne pouvons imaginer vivre autrement ni ailleurs !!

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Wow !! méchante réflexion !! J'habite à Montréal et mon fils grandit dans cette ville. On a de la famille en banlieue -ce qui fait qu'on voit ce que c'est de vivre en banlieue. Ni mon ex, ni lui ni moi ne pouvons imaginer vivre autrement ni ailleurs !!

 

Peut être que le tout dépend de où on a été élevé ? Ou de l'impression que j'ai à tout les jours de ma ville. Dans quel quartier ton enfant grandit-il ? Le même que toi j'imagine...le Plateau. Quartier qualifié d'exceptionnel. L'exception ne fait pas la règle désolé. C'est triste, mais Ahuntsic, Saint-Michel, Montréal Nord, Hochelaga et Saint-Léonard sont plus représentatif de Montréal que le Plateau.

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Alors, j'ai vécu toute ma vie dans un quartier non-représentatif ? Il y a combien de Montréalais qui habite le Plateau ? 101K sur 7.74km carrés.

A ce compte-là, Rosemont n'est pas non plus représentatif ; pas plus qu'Outremont ou Lasalle ou Lachine.

Alors, quel quartier est le plus représentatif de Montréal ? Rivière-de-Prairies ? Saint-Laurent ? Saint-Léonard ? Pierrefond/Roxboro ?

Tu vois : il n'y aucun de ces quartiers qui soient comme l'autre. Je ne vois pas comment défénir Montréal dans ce cas-là !!

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j'habite mtl, et la seule raison que je resterais a mtl c'est si j'ai les moyens d'envoyer mes enfants dans une ecole privée comme le college de mtl ou ceux a outremont, sinon je les eleve en banlieue, pas mal plus securitaire et educatif qu'à mtl

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  • 11 mois plus tard...

Statistique Canada

Montréal connaît une hausse démographique

Mise à jour : 13/01/2009 13h42

 

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/01/20090113-134243.html

 

La population est en hausse à Montréal et dans l'ensemble du Québec, non pas à cause de l'augmentation du taux de natalité, mais bien en raison de l'immigration.

 

C'est ce que Statistique Canada a annoncé ce matin.

 

La ville de Terrebonne, au nord-est de Montréal, remporte la palme de la croissance démographique, avec une augmentation de la population de presque 100 pour cent en 20 ans.

 

À l'inverse, la ville de Saguenay, en 20 ans, a perdu 5 pour cent de ses résidants.

 

Les données dévoilées par Statistique Canada montrent qu'à Montréal, 40 pour cent des gens ne parlent pas français à la maison.

 

Dans l'île de Montréal, il y a plus d'immigrants que de Québécois dits de souche qui détiennent un diplôme universitaire. (Je crois que dans tout ça, elle est là la bonne nouvelle. Les immigrants s'éduquent !)

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Publié le 13 janvier 2009 à 23h45 | Mis à jour le 13 janvier 2009 à 23h45

Montréal vieillit

 

Louise Leduc

La Presse

 

On s'en doutait, c'est maintenant confirmé: Montréal vieillit. On y trouve maintenant plus de personnes âgées que de jeunes, beaucoup de diplômés universitaires et moins de gens qui parlent français à la maison. Et l'attrait pour la banlieue est très fort. Statistique Canada continue de décortiquer le recensement de 2006.

 

Ses conclusions sont tout sauf ennuyeuses.

 

Une raison qui renforce l'importance de bien déglacer les trottoirs?: pour la première fois, Montréal compte plus de personnes de 65 ans et plus (246 090) que de jeunes de moins de 15 ans (244 450).

 

Au terme d'une année à distiller les données du recensement de 2006, Statistique Canada est maintenant en mesure de brosser un tableau assez complet de Montréal.

 

La ville vieillit, donc. De plus, dans l'ensemble de l'île, la proportion de personnes parlant le plus souvent français à la maison recule?: de 56,4% en 2001, elle se situe maintenant à 54,2?%.

 

Le transfert ne se fait cependant pas nécessairement au profit de l'anglais, cette langue n'ayant gagné que 0,2?% entre les deux recensements (passant de 25,% à 25,2?%).

 

Dans la ville de Montréal même, l'anglais est parlé par 296 475 personnes à la maison.

 

Des données de Statistique Canada, dévoilées en décembre 2007, avaient fait grand bruit quand il avait été révélé que, pour la première fois, moins de 50% (49,8%) des résidants de l'île s'étaient déclarés de langue maternelle française (ce qui n'exclut pas que le Maghrébin qui se dit de langue maternelle arabe parle souvent un français impeccable).

 

Par ailleurs, on vit en solo à Montréal?: près de 4 ménages sur 10 sont composés d'une seule personne.

 

Terrebonne, un cas à part

 

Avec sa croissance modeste de 2,3?% depuis 2001, Montréal, qui compte 1 620 693 habitants, peut se consoler en se comparant à Longueuil (+1,6%) et à Saguenay (-2,3%). Par contre, la métropole fait pâle figure devant Terrebonne (+17,6%).

 

Dans l'analyse du dernier recensement, Terrebonne est un cas à part. «?Sa population a doublé en 20 ans?», fait observer Guy Oddo, directeur de la région de l'est du Canada à Statistique Canada. Au surplus, Terrebonne est, de toutes les villes du Québec, celle qui compte le plus grand nombre de jeunes de moins de 15 ans. Un résidant sur cinq à Terrebonne a moins de 25 ans, alors que la moyenne québécoise est de 16,6?%.

 

Montréal plus scolarisé

 

Là où Montréal l'emporte sur Terrebonne, et de loin, c'est sur sa proportion de diplômés universitaires?: grâce à une immigration importante et plus scolarisée que les Québécois nés ici, Montréal est la ville la plus scolarisée au Québec (37,6% ont un diplôme universitaire), comparativement à la moyenne provinciale qui se situe à 26,2% (et à Terrebonne, à 17,9%).

 

L'exode vers la banlieue est frappant quand on s'attarde aux questions sur mobilité de la population. Montréal a attiré plus de résidants de Québec qu'il n'en a vu partir pour la capitale (2370 de plus). Le Saguenay et son fjord ont aussi été généreux envers la métropole (1085 de plus). À l'inverse, quand ils quittent leur île, les Montréalais mettent massivement le cap sur Laval (où près de 22 000 personnes de plus ont déménagé que l'inverse), Vaudreuil-Soulanges et Longueuil.

 

Les villes de banlieue font mal à Montréal qui, heureusement, peut compter sur les immigrants. «?Trente et un pour cent de la population de Montréal sont nés à l'extérieur du Canada, relève Guy Oddo, de Statistique Canada. Il y a trois fois plus d'immigrants à Montréal qu'ailleurs au Québec.?»

 

Enfin, soulignons que dans l'île de Montréal, 34,6% des locataires consacrent plus de 30?% de leurs revenus au logement, ce qui est aussi le cas de 18,7% des propriétaires.

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Ça dit pas ce qu'on veut vraiment savoir, la population de la RMR.

 

Le reste, c'est du pareil au même, les Montréalais partent pour les banlieux et se font remplacer par des immigrants (en attendant de relever leur niveau de vie et quitter pour la banlieu aussi).

 

Les immigrants sont certes plus scolarisés parceque un diplôme compte pour beaucoup dans la sélection, mais on sait aussi que beaucoup de ces immigrés n'exploitent ou ne peuvent exploiter ces diplômes....

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