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Données et actualités démographiques - Montréal / Montréal métropolitain


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Ah ouais, ça prouve aussi une chose que je dit depuis un bout... Montréal se gériatrise!

 

Toutes ces mesures et règlements confirment que Montréal vieillit... est-ce que les jeunes sont destinés à rester dans les banlieu?

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De leur côté, les banlieues connaissent un accroissement de leur population plus rapide que celle de la métropole québécoise. La population de Laval a ainsi crû de 7,5 % entre 2001 et 2006 pour atteindre 368 709 personnes. La championne de l'augmentation démographique est la Ville de Terrebonne qui a connu une hausse de 17,6 % pour atteindre 94 703 habitants.

 

Personne ne veut vivre en banlieu...

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Les immigrants sont certes plus scolarisés parceque un diplôme compte pour beaucoup dans la sélection, mais on sait aussi que beaucoup de ces immigrés n'exploitent ou ne peuvent exploiter ces diplômes....

 

Oui C'est vrai ça, j'ai connu beaucoup de médecins qui conduisent un taxi pour payer les bills, généralement si tu as un diplôme obtenu à l'extérieur du Canada, c'est pas valide et tu dois refaire ta carrière ou presque toute et payer nombreux "examens" lesquels peuvent couter jusqu'à $1000 donc Y'a beaucoup de gens qui ne veulent pas rester 7 ans de plus en faisant sa carrière.

 

Une autre chose c'est la "expérience canadienne" sans elle c'est presque impossible de trouver un bon job, mais comment vas-tu obtenir de la expérience si personne ne t'embauche pas?

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Une autre chose c'est la "expérience canadienne" sans elle c'est presque impossible de trouver un bon job, mais comment vas-tu obtenir de la expérience si personne ne t'embauche pas?

 

Pour les frais diplomés c'est exactement la même chose, pas d'expérience, pas de job... (c'était comme ça dans mon temps)...

 

Ça te pousse à accepter n'importe quoi en attendant de trouver la bonne place.

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Census data show Montrealers continue to flee island

 

 

By Andy Riga, Montreal GazetteJanuary 13, 2009

 

 

Compared with its suburbs, the city of Montreal has an older population, more immigrants and more of its residents use public transit or bike or walk to work. And droves of Montrealers continue to flee the island.

 

That’s the demographic portrait that emerges from a report made public today by Statistics Canada. It is based on figures from the 2006 census.

 

Four key areas were studied:

 

Age – Fifteen per cent of Montrealers are under 15, compared with 21 per cent of residents of Terrebonne, for example. That fast-growing suburb north of Laval is popular with young families.

 

The city also has one of the oldest populations in the province – 15.2 per cent of Montrealers are over 65; across the province, 14.3 per cent of the population is over 65.

 

Demerged Montreal Island suburbs, most of which are on the West Island, have the highest proportion of residents over 65 of any part of the Montreal region.

 

Immigrants – 30.8 per cent of Montrealers were born outside Canada, by far the biggest proportion of any Quebec city.

 

Across Quebec, only 11. 5 of residents are foreign-born.

 

China, Algeria and France are Montreal’s biggest sources of immigrants. Before 1996, Italy, Haiti and France were at the top.

 

In Montreal, 59.7 of residents speak French most often at home.

 

Of the rest, 48 per cent speak English, seven per cent Spanish and seven per cent Italian; Arabic and Chinese are tied at six per cent. Immigrants are more likely to be university trained than non-immigrants.

 

Suburbs – Montreal is growing but at a slow rate.

 

Montreal’s population grew by 5.2 per cent between 1986 and 2006 (to 1.6 million). Over that period, Laval’s population grew by 30 per cent (to 369,000); Terrebonne, a suburb north of Laval, grew by 99 per cent (to 95,000).

 

In Montreal, the boroughs that lost the most residents between 2001 and 2006 were Plateau Mont-Royal, Outremont, Rosemont-Petite-Patrie and Villeray/St. Michel/Park Extension. The winners: Verdun, Pierrefonds-Roxboro, Anjou and St. Laurent.

 

Commuting – Just under half of Montrealers drive to work, the lowest proportion of any Quebec city. Thirty-five per cent of Montreal residents use public transit and 12 per cent either bike or walk to work, the highest level in Quebec.

 

 

-----------------------------

Note: 49% des montréalais utilisent l'auto, 35% prennent les TEC, 9% marchent et 3% utilisent un bicycle... (pour la ville, n'inclut pas les banlieu).

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Publié le 14 janvier 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

La langue de Montréal

Rima Elkouri

La Presse

 

Montréal grisonne de plus en plus. Montréal fait de plus en plus le saut vers la banlieue. Montréal est la ville la plus scolarisée de la province. Montréal parle de plus en plus d'autres langues que le français dans sa cuisine.

 

Dans le grand miroir que lui tendait Statistique Canada hier, Montréal avait ainsi l'air d'un personnage d'une peinture cubiste, avec des traits qui disent une chose et son contraire selon l'angle choisi par le spectateur.

 

Et puis, dans ce grand miroir, il y a encore et toujours cette langue que nous tire Montréal, source de tous les questionnements identitaires. La proportion de gens parlant le plus souvent français à la maison recule, rappelle-t-on. Sur le territoire de la Ville de Montréal, quatre personnes sur 10 parlent le plus souvent à la maison une autre langue que le français. Parmi ces gens, 48,4?% emploient le plus souvent l'anglais. Suivent loin derrière l'espagnol (6,9%), l'italien (6,8%), l'arabe (6,1%) et les langues chinoises (6%). Des statistiques qui viennent détailler encore davantage le portrait déjà dévoilé par Statistique Canada il y a plus d'un an selon lequel, pour la première fois en 2006, les Montréalais dont la langue maternelle est le français sont minoritaires sur l'île.

 

Ces données ont surpris le démographe Marc Termote considéré, à tort ou à raison, comme un pessimiste. «Je n'aurais jamais pensé que mes prévisions se concrétiseraient aussi vite», me disait hier celui que l'on connaît maintenant comme l'auteur de la célèbre étude cachée de l'Office québécois de la langue française.

 

En 1999, Marc Termote avait bel et bien prédit la minorisation du français dans les foyers montréalais. Mais le scénario qu'il prévoyait pour 2021 s'est réalisé 15 ans plus tôt. Ainsi, même le scénario le plus pessimiste du démographe s'est révélé plus optimiste que la réalité exposée par le recensement de 2006. Dans son étude finalement rendue publique par l'OQLF, le démographe persiste et signe en observant que si la tendance se maintient, l'avenir du français à Montréal est menacé.

 

On peut bien sûr contester le fait que l'étude de Marc Termote définit comme «francophones» ceux qui déclarent le français comme langue d'usage à la maison. Car dans les foyers immigrants, il n'est pas rare d'entendre parler plusieurs langues, incluant le français. En ce sens, l'indicateur de la langue parlée à la maison a certainement quelque chose de réducteur, car il exclut de la catégorie «?francophone?» bien des gens qui sont tout à fait francophones.

 

Cela dit, à long terme, si on songe au Montréal de 2021 ou de 2031, la question que pose le démographe est fondamentale et appelle à la réflexion. Est-ce qu'on peut imaginer un Montréal schizophrène où les gens parleraient très peu français à la maison, mais continueraient majoritairement à fonctionner en français à l'extérieur?

 

À la suite de la tempête linguistique autour de son étude tenue secrète, Marc Termote s'est joint à l'Institut de recherche sur le français en Amérique, une institution citoyenne indépendante née de cette controverse. Que peut-on faire pour renverser la tendance? lui ai-je demandé. Pas grand-chose, m'a-t-il répondu, un haussement d'épaules dans la voix. «Ce n'est pas en rafistolant à gauche et à droite la loi 101 qu'on va renverser des tendances démographiques qui sont dominantes».

 

Les tendances dominantes sont le déficit de naissance chez les francophones, l'étalement urbain et l'arrivée d'une proportion importante d'immigrants non francophones. Or, il est très difficile de faire bouger ces tendances. Miser sur des politiques natalistes? Bien mal venu serait celui qui voudrait donner des bébé-bonus uniquement aux mères francophones...

 

Contrer l'étalement urbain? Pas évident d'aller à l'encontre du choix personnel d'un nombre croissant de familles qui vont s'établir en banlieue.

 

Miser davantage sur l'immigration francophone? «?Si l'immigration internationale était à 80?% francophone, il n'y aurait pas de problème?», dit-il. Mais comment y arriver?

 

Alors quoi? Imposer l'unilinguisme français à Montréal comme on l'a fait avec le flamand en Flandre? Si Marc Termote, lui-même d'origine belge, a souvent évoqué l'exemple de la Flandre, il ne croit pas qu'il soit pertinent pour Montréal. «C'est une solution impensable en contexte nord-américain où la primauté des droits de l'individu prime sur les droits collectifs.»

 

Bref, selon Marc Termote, si la tendance se maintient, Montréal n'a d'autre choix que de se résigner à la minorisation de sa voix francophone. Une vision pessimiste? C'est ce qu'on avait dit de ses prédictions en 1999. Sauf que 10 ans plus tard, les chiffres lui donnent raison. À méditer.

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  • 3 semaines plus tard...

Bon une sixième année de suite ...

 

 

 

Démographie

Montréal perd des plumes

 

Mise à jour le lundi 2 février 2009, 15 h 43 .

 

 

La métropole continue de perdre des résidents. Selon les dernières données de l'Institut de la statistique du Québec, Montréal a perdu quelque 21 500 résidents en 2007-2008. Au cours de cette période, 61 870 personnes ont quitté la ville, et 40 405 sont venus y habiter.

 

Or, les quatre régions administratives voisines de la métropole ont gagné des résidents. Au total, 18 400 personnes ont rejoint la Montérégie, Lanaudière, les Laurentides et Laval.

 

Pour Jean-François Lachance, démographe à l'Institut de la statistique, la tendance à l'étalement urbain en périphérie de Montréal observée au cours des dernières années se poursuit. Cette tendance semble s'effectuer au détriment de la métropole.

 

Portrait général

 

Au total, quelque 900 000 Québécois ont déménagé en 2007-2008. De ce nombre, 207 436 personnes ont migré vers une région différente.

 

Dans les régions dites éloignées, les pertes migratoires se situent seulement dans la tranche d'âge des 15 à 24 ans. La migration à partir de ces régions s'est toutefois résorbée depuis le tournant des années 2000. Voici les pertes dans ces régions en 2007-2008

 

* Saguenay-Lac-Saint-Jean: - 400 résidents

* Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine: -300 résidents

* Nord-du-Québec: -300 résidents

* Côte-Nord: - 900 résidents

* Abitibi-Témiscamingue: - 400 résidents

 

http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2009/02/02/006-montreal-demographie.shtml

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