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Échangeur Turcot


WestAust

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  • Administrateur

Ça peut être une bonne stratégie, non?

 

Tu proposes ce plan alors que tu es convaincu qu'il ne sera pas retenu par le gouvernement.

 

Après, pour "compenser" pour leur refus, tu leur proposes d'augmenter le budget pour le métro pour ainsi le prolonger.

 

Le gouvernement préfèra ce compromis.

 

 

C'est le principe de l'enfant qui demande à ses parents un chien pour qu'ils refusent et acceptent plutôt un chat, se qu'il voulait au départ.

 

Bref, je me comprend mais je m'exprime mal ce midi.:silly:

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Ça peut être une bonne stratégie, non?

 

Tu proposes ce plan alors que tu es convaincu qu'il ne sera pas retenu par le gouvernement.

 

Après, pour "compenser" pour leur refus, tu leur proposes d'augmenter le budget pour le métro pour ainsi le prolonger.

 

:silly:

 

Je suis convaincu qu'ils savaient dès le départ que Québec allait refuser ce projet. Tu as raison Gilbert. C'est juste une stratégie de négociation avec Québec. Et ça va porter fruit.:stirthepot:

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  • Administrateur

À RDI, ils ont interviewé un prof d'urbanisme de Concordia. Celui-ci, après avoir analysé le projet de la Ville, dit qu'il est tout à fait faisable et réaliste.

 

De plus, comme pas mal tout le monde, il se demande d'où le gouvernement est allé chercher le chiffre de 6 milliards $. Pour lui, c'est complètement irréaliste comme chiffre, surtout que le tunnel sous la Manche à couté 18 milliards et le viaduct de Milau, 600 millions.

 

Il a de la difficulté à comprendre comment le projet de la MTQ, après les modifications provenant des recommendations du BAPE, peut coûter aussi cher que 2,5 milliards.

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À RDI, ils ont interviewé un prof d'urbanisme de Concordia. Celui-ci, après avoir analysé le projet de la Ville, dit qu'il est tout à fait faisable et réaliste.

 

De plus, comme pas mal tout le monde, il se demande d'où le gouvernement est allé chercher le chiffre de 6 milliards $. Pour lui, c'est complètement irréaliste comme chiffre, surtout que le tunnel sous la Manche à couté 18 milliards et le viaduct de Milau, 600 millions.

 

Il a de la difficulté à comprendre comment le projet de la MTQ, après les modifications provenant des recommendations du BAPE, peut coûter aussi cher que 2,5 milliards.

 

Mais non, Gilbert, c'est un projet de "projet faillite montréal" - comment est-ce que ça pourrait être autre chose qu'une lubie d'un ex-hippie ?

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Mais non, Gilbert, c'est un projet de "projet faillite montréal" - comment est-ce que ça pourrait être autre chose qu'une lubie d'un ex-hippie ?

 

Il faudrait voir ce que comprennent les budgets, il se pourrait par exemple que le budget d'entretien soit inclus. Au premier coût d'oeil cependant, le projet de la ville semble extrêmement dispendieux...

 

Je suis un pro-TEC mais je reste sceptique devant la logique qui consiste à inciter les gens à du transfert modal en réduisant la capacité d'un échangeur puisqu'un échangeur est un collecteur de traffic, il ne génère aucun traffic per se... me semble que faire ça ne résulte qu'à un "débordement" du collecteur. Je sais bien que le coût d'opportunité de la file d'attente était une manière de réguler l'offre et la demande dans l'ancienne URSS, mais me semble qu'il y a des façons plus élégantes et moins dispendieuses d'arriver à ses fins.

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Échangeur Turcot

La ministre Boulet dévoile les plus récents plans

Agence QMI

23/04/2010 17h56

 

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Un des plans dévoilé par Québec, vendredi.

© Ministère des Transports du Québec

 

MONTRÉAL – La ministre des Transports, Julie Boulet, a dévoilé la dernière mouture du controversé projet de reconstruction de l’échangeur Turcot au cours d’une entrevue accordée à l’émission Larocque-Lapierre qui sera diffusée dimanche à TVA et à LCN.

 

Les plans présentés par la ministre comprennent un changement majeur, reprenant des éléments du projet du maire Gérald Tremblay devant réduire la capacité de la structure sur l’axe est-ouest.

 

Québec avait toujours souhaité maintenir la capacité de l'échangeur alors que Gérald Tremblay proposait de la réduire.

 

Mme Boulet a confié à Larocque-Lapierre qu’elle veut réduire la capacité autoroutière de 15 à 25% dans l'axe est-ouest. L'axe nord-sud conservera ses voies de circulation, mais sur les autoroutes 20 et 720, l'espace pourrait être réduit du quart. Dans le nouvel échangeur, il y aura donc moins de place pour les camions et les voitures que dans l’échangeur actuel mis en service en 1967.

 

Ainsi, après avoir rejeté le projet du maire de Montréal, voilà que la ministre s'en inspire, indique TVA Nouvelles, suggérant qu’il s’agit peut-être d’une façon de gagner l'appui de Montréal après la rebuffade qu’elle lui a servie plus tôt cette semaine.

 

«Ce sont tous les contribuables du Québec qui vont payer cette facture-là, a-t-elle dit à Larocque-Lapierre. On pense que si on peut remplir le mandat, donc de répondre aux besoins économiques de la Ville de Montréal, aux déplacements des personnes, des biens et de la marchandise et qu’on ait un échangeur qui soit au sol qui nous coûte moins cher à construire et à entretenir, je pense que c’est ce que le gouvernement souhaite.»

 

Cette plus récente mouture du projet semble aller à l'encontre du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement et devra recevoir l’aval du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs.

 

TVA rappelle qu’en septembre dernier, le BAPE réclamait des modifications importantes mais soulignait aussi que le «complexe routier devrait conserver sa capacité actuelle pour répondre à long terme aux besoins en mobilité de la région métropolitaine».

 

Julie Boulet promet toutefois plus de place pour le transport en commun et moins d'expropriations, tel que recommandé par le BAPE. Elle compte obtenir les autorisations nécessaires dans les plus brefs délais.

 

Par ailleurs, Mme Boulet a rappelé à TVA que sa décision de rejeter le projet de Gérald Tremblay était une décision gouvernementale et que le premier ministre Charest n’interviendrait pas. Devant le rejet de sa récente proposition d’échangeur circulaire, le maire Tremblay avait demandé que le premier ministre intervienne puisqu’il ne s’agit pas que d’un simple dossier montréalais, mais d’un dossier d’envergure nationale.

 

Lorsque joint par TVA, vendredi, le bureau du maire de Montréal a indiqué que M. Tremblay n'avait pas été informé de ces derniers développements et qu’il souhaitait voir l’ensemble du projet final avant de faire part de ses commentaires.

 

La ministre Boulet espère que la reconstruction de l’échangeur, qui pourrait coûter jusqu'à 2,5 milliards $, débute dès cet automne - soit un an plus tard que prévu à l'origine.

Modifié par monctezuma
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L'échangeur ne peut pas être bloqué. Comme le dit GregBX ce n'est pas un générateur de trafic.

 

Mais l'idée importante qui sert de prémisse au projet de la ville, c'est les mesures de mitigation en transport en commun AVANT les travaux.

 

Si des lignes d'autobus additionnelles, une meilleure fréquences des trains de banlieue, voire la réalisation express de la navette ferroviaire avec l'aéroport pouvaient être fait en amont, avant même de commencer les travaux, on éviterait ainsi le bordel pendant les travaux et ça permettrait de reconstruire l'échangeur avec une capacité réduite (moins de voies).

 

On peut ensuite conserver les mesures de mitigations comme service permanent. On a forcé un transfert modale important. Il y a moins d'autos solos sur le réseau, ça permet aux camions de circuler plus facilement, et au résidents de pas avoir à respirer la pollution de 30 000 véhicules de plus par jour.

 

Ensuite le reste, ben c'est pas compliqué. La ville a fait la démonstration qu'on peut faire un projet qui élimine les expropriations, ne crée pas de barrières comme le font les talus prévus par le MTQ, et libère des espaces qu'on pourra redévelopper et mettre en valeur.

 

Si le MTQ est pas capable de changer son projet pour respecter ces conditions essentielles posées par la Ville de Montréal, ben c'est simple, Montréal dira non. Ce gouvernement Libéral est trop discrédité pour rentrer un projet dans la gorge d'un Montréal uni, unanime, et qui demande que Charest soit cohérent avec ses engagements de Copenhague vis-à-vis des émissions de GES.

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