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STM - Achalandage dans les autobus


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  • Administrateur

Article dans la Gazette concernant l'achalandage dans les autobus
Voir l'article pour l'achalandage par ligne de 2012 à 2018

https://montrealgazette.com/news/local-news/despite-problems-bus-ridership-in-montreal-up-slightly-in-2018

Despite problems, bus ridership in Montreal up slightly in 2018

Passenger numbers are still far short of those from 2012 as complaints soar and punctuality hits its lowest mark since 2001.

JASON MAGDER, MONTREAL GAZETTE 

Updated: September 30, 2019

 

Punctuality plunged, a record number of vehicles were parked for repairs and complaints soared to record levels — and yet, Montreal’s transit authority saw a slight increase in bus ridership last year.

There were 637,908 more trips taken on city buses in 2018 compared with the year before — an increase of 0.28 per cent.

It was the first time since 2013 that bus ridership grew.

The figures, obtained through an access-to-information request, show 142 of 220 bus lines saw an increase in passengers.

And yet, 2018 was a trying one for the Société de transport de Montréal.

Because of a labour crisis in the maintenance department, an average of 1,341 buses out of a fleet of 1,807 were available for morning and afternoon peak periods.

That represents the lowest number in a decade, and far less than the 1,424 required to deliver full service.

The number of complaints soared by 32 per cent, and the on-time rate of buses was a meagre 79.5 per cent — the lowest since 2001, according to statistics from the STM’s website.

The year was also marked by buses running out of fuel in record numbers while on the road.

Despite the uptick in ridership, the numbers fall short of those from 2012. Since that time, 33.9 million fewer annual trips were recorded, accounting for a 13-per-cent overall decline.

The increase in ridership for 2018 was surprising to Nick Chaloux, a transportation planner and former researcher at TRAM — Transportation Research at McGill.

“The fact there is a slight growth is positive,” said Chaloux, who published a paper last year that highlighted concerns about the decline in the STM’s bus service.

“The STM was operating with 100 fewer buses on average, with all the side effects that come with that. When you take that into consideration and you see that ridership was stagnant overall, that’s kind of impressive.”

Sarah V. Doyon, the director of the transit lobby Trajectoire Québec, said her group was not surprised.

“We’re finding that people are making more sustainable choices, both for the environment and because congestion is so heavy that public transit is seen as an efficient mode of transportation,” she said.

It helps that the STM has been working to add more reserved bus lanes throughout its network, Doyon added.

As for the record number of complaints and high number of late buses, Doyon speculated congestion played a role as buses get stuck in traffic just like cars.

STM spokesperson Philippe Déry concurred, saying the agency is happy more Montrealers chose to take the bus during a trying year marked by major roadwork and traffic congestion.

Déry said several measures were put in place to improve performance, including creating two new bus lines to serve the Rivière-des-Prairies and Griffintown sectors, and the merging of bus lines No. 19 with and 53 in the Ahuntsic-Cartierville borough.

Altogether, the STM offered 68.9 million hours of service in 2018 — a 0.5 per cent increase from the year before, Déry said.

Last spring, STM chairperson Philippe Schnobb admitted 2018 had been a difficult year and said the bus network was plagued by a deliberate slowdown by unionized employees during a labour conflict.

In February, during a hearing of Quebec’s workplace tribunal, the STM blamed the union for a record number of buses parked in the garage for repairs.

0925-mg-bus-riderships-tables.png?w=1000

Breaking down the STM data by bus line, nine out of the 10 most-travelled routes continued to see ridership declines in 2018.

Only the 51 Édouard-Montpetit line saw a 1.98 per cent increase in its ridership. That increase was enough to make it the only route in the top 10 to gain riders in the period covered by the data, from 2012 to 2018.

Over that time, five of the 10 most-travelled buses saw declines of 20 per cent or more: the 69 Gouin, 139 Pie-IX, 121 Sauvé/Côte-Vertu, 165 Côte-des-Neiges and 67 Saint-Michel.

The most-travelled bus is the 141 Jean-Talon Est, with 8.2 million trips recorded in 2018.

The 51 Édouard-Montpetit was the second-most travelled bus with 7.7 million trips.

The 161 Van Horne, the 18 Beaubien and the 24 Sherbrooke round out the top 10, and all saw declines of between one and 13 per cent.

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3 hours ago, ScarletCoral said:

the STM blamed the union for a record number of buses parked in the garage for repairs

Ouin, pas à peu près !!

Particulièrement l'entretien/réparation des bus et le nettoyage de ceux-ci.

Lorsque l’on est chanceux, on peut atteindre une productivité de 25% dans les shops d’entretien. Une vraie arnaque institutionnalisée.  (Source: un de mes amis superviseur – que je ne nommerai pas pour sa sécurité).

Le gouvernement devrait y imposer un gel d’embauche et donner au secteur privé une partie de l’entretien des bus.

Modifié par YUL
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3 hours ago, YUL said:

Ouin, pas à peu près !!

Particulièrement l'entretien/réparation des bus et le nettoyage de ceux-ci.

Lorsque l’on est chanceux, on peut atteindre une productivité de 25% dans les shops d’entretien. Une vraie arnaque institutionnalisée.  (Source: un de mes amis superviseur – que je ne nommerai pas pour sa sécurité).

Le gouvernement devrait y imposer un gel d’embauche et donner au secteur privé une partie de l’entretien des bus.

Concernant l'entretien je suis d'accord qu'il n'y a aucun principe qui impose des employés su secteur public.  En ayant accès au privé la STM pourrait mettre des fournisseurs en compétition.  Les service technique de la STM pourrait soumissionner sur un contrat au même titre qu'un fournisseur privé.

D'ailleurs, à ma connaissance, l'entretien des voitures su SPVM est confié au privé?  

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  • 1 mois plus tard...

Vers une organisation encore plus efficiente

Salle de presse  |  Nouvelles  |  15 novembre 2019

Au cours des derniers mois, la Société de transport de Montréal (STM) a mis en place une série de mesures concrètes soutenant une transformation organisationnelle qui permettra à terme d’augmenter la capacité d’entretien de l’organisation et offrir le service bus promis à la clientèle. Une transformation de cette ampleur ne pouvait se faire sans son lot de problématiques sur le réseau bus, mais surtout sur la satisfaction de la clientèle.

Aujourd’hui, la STM tient à apporter des éclaircissements et à rassurer sa clientèle sur les raisons entourant le manque de bus sur le réseau. Elle souhaite également réitérer que, malgré ce passage obligé, l’organisation et ses employés mettent tout en œuvre, tous les jours, pour que les 1425 bus requis aux heures de pointe soient sur la route.

Une première pour la STM

Depuis octobre, afin de maximiser l’utilisation de l’espace de travail et se concentrer sur les entretiens, incluant ceux prescrits par la SAAQ et les urgences sur la route, la STM a transféré à Nova Bus la responsabilité de réaliser les bulletins de service. Ces derniers, qui représentent près de 50 000 heures de travail, sont les interventions recommandées par le fournisseur pour assurer une fiabilité accrue des véhicules.

Réouverture du CT St-Denis

Avec la réouverture du Centre de transport St-Denis dans les premières semaines de janvier 2020, la STM gagnera en efficacité et en capacité. Notons que trois autres centres de transport sont présentement en agrandissement, ce qui occasionne temporairement une diminution de la capacité d’entretien, mais permettra, à terme, de l’augmenter.

De nouveaux employés

La STM a embauché, depuis juillet dernier, des employés d’entretien qui œuvreront sur des horaires de soirs et de fins de semaine obtenus avec la nouvelle convention collective. Environ 80 nouveaux mécaniciens sont présentement en formation auprès de confrères d’expérience, assurant ainsi un transfert des connaissances. Ces nouveaux employés devraient être progressivement en poste dès janvier 2020.

Un nouveau système informatique

Finalement, afin de soutenir la transformation organisationnelle et d’améliorer nos processus, un nouveau système informatique de planification et d’approvisionnement des pièces nécessaires à l’entretien des bus a été implanté le 21 octobre dernier. Par sa complexité, cela entraîne un certain ralentissement du rythme de travail et une période d’appropriation par les équipes.

La STM est consciente que ces démarches de transformation ont des répercussions, mais demeure confiante qu’avec la collaboration et l’expertise de ses employés et de ses équipes de gestion, elles porteront fruit et amélioreront dans des délais raisonnables tant l’organisation que le service bus.

http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2019/vers-une-organisation-encore-plus-efficiente

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  • 2 semaines plus tard...

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2400021/autobus-montreal-systeme-echoue-selon-experts/

L’autobus à Montréal: un système qui «échoue», croient des experts

05:00 25 novembre 2019
Par:  François Carabin
Métro

 

De 2012 à 2018, le réseau d’autobus de Montréal a perdu près de 34 millions de passages individuels, soit une moyenne d’environ 5 millions par année, selon des données obtenues par Métro. Cette tendance génère des questions sur la viabilité du circuit.

Le chargé de cours Pierre Barrieau, expert en planification des transports, condamne avec virulence le modèle d’autobus de la Société de transport de Montréal (STM). Selon lui, la chute totale de 13% en sept ans de l’achalandage du bus est «symptomatique d’une crise du transport en commun à Montréal».

Il constate que la formule de rabattement du bus vers le métro est abandonnée par les Montréalais, entre autres au profit des vélos BIXI.

«Plusieurs des lignes qui ont la chute d’achalandage la plus violente [dans les sept dernières années], ce sont des axes où on voit des déplacements en BIXI», souligne M. Barrieau.

Parmi les lignes qui ont perdu des plumes, on compte la 139 Pie-IX et la 121 Sauvé, dont les parcours sont désormais couverts par des travaux qui mèneront à la mise en place de services rapides de bus (SRB). En 2018, elles ont respectivement amassé 3,3 M et 3,5 M de passages annuels en moins qu’en 2012.

La 45 Papineau, la 69 Gouin et la 165 Côte-des-Neiges ferment la marche parmi les cinq lignes qui ont perdu le plus d’achalandage.

Selon M. Barrieau, «c’est parce que le transport en commun est si mauvais» que les usagers de la route adoptent le BIXI, qui a enregistré des records d’utilisation cet été.

Le professeur à la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal (UdeM) Jean-Philippe Meloche abonde dans le même sens. «La saignée des bus est plus importante que les gains du métro. Le réseau complet perd des joueurs. On n’est pas en train de développer le transport en commun à Montréal», constate-t-il.

Autres possibilités

En plus de se tourner vers BIXI, les ex-usagers de l’autobus peuvent même retourner à la voiture individuelle, pense M. Barrieau. «Le transport en commun est tellement peu prévisible que, des fois, on va prendre la voiture», observe l’expert en mobilité.

«Et en même temps, c’est la montée d’Uber, de Car2Go, toutes ces choses-là qui viennent gruger dans l’autobus», ajoute-t-il.

Selon M. Meloche, la perte d’utilisateurs va plus souvent qu’autrement se faire au sein du service d’autobus.

«Le seul moyen d’avoir plus de gens dans les autobus, c’est d’accroître les contraintes à l’usage de l’automobile», relativise-t-il.

300 nouveaux autobus

Des critiques qui surviennent alors que la STM, appuyée par la Ville de Montréal, fait mousser l’ajout de 300 autobus sur son circuit et l’augmentation de son offre de service. Selon Pierre Barrieau, cette décision aura très peu d’impact.

«Ces 300 autobus n’ajoutent presque pas de capacité. Leur rôle principal, c’est de compenser pour la perte de la vitesse moyenne des bus déjà en circulation», lance-t-il.

«Une ligne d’autobus qui avait besoin de dix autobus en a maintenant besoin de douze ou treize pour offrir la même fréquence» – Pierre Barrieau, spécialiste en planification des transports

Autobus «intra-quartier»

M. Barrieau invite la Ville à repenser le modèle actuel.

«À Montréal, on prend pour acquis que personne ne va avoir un autobus direct pour aller où il veut aller. On dit: tu vas prendre un autobus qui va t’amener au métro. Puis, du métro, on va t’amener au centre-ville», constate-t-il.

C’est «à l’intérieur d’un même quartier» que l’autobus devrait servir, soutient l’expert.

«Il y a plein de ville à travers le monde où les autobus ont le rôle de se déplacer à l’intérieur du quartier. À Los Angeles, ils font des circuits de deux à quatre kilomètres en boucle qui relient les pôles de résidences avec les commerces», explique-t-il.

Pierre Barrieau déplore l’attitude de la STM dans ce dossier. «On se fait dire qu’on n’a qu’à marcher, analyse M. Barrieau. Quand on dit que l’achalandage ne le justifie pas, c’est sûr que les gens ne prendront pas le bus. Ça devient un cercle vicieux.»

 

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L'utilisation de mots comme "crise du transport en commun", "chute d'achalandage la plus violente" et j'en passe quand on parle de transport collectif ne fait qu'augmenter le cynisme de la population.  Les coupes de niveau de service par l'administration Coderre y a beaucoup à y voir, de même que le nombre de bus en immobilisation.   

Ce qui compte c'est la vitesse et oui un système quartier à quartier serait pertinent.

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  • Administrateur
il y a 41 minutes, ScarletCoral a dit :

«Le seul moyen d’avoir plus de gens dans les autobus, c’est d’accroître les contraintes à l’usage de l’automobile», relativise-t-il.

Classique lol 😂🙄

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