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Transports en commun - Discussion générale


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A magic tunnelbus is as ludicrous and useless infrastructure investment as a tried and true transit installation that is used in poor countries and even was used in Montreal and was quickly dismantled because of how useless and ineffective they are :) (Just ask anyone old enough to have rode them up the hills in the winter with the slippy wheels and the motors tripping the circuit breakers, LOL)

 

That was 50 years ago, technology changed since then.

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A magic tunnelbus is as ludicrous and useless infrastructure investment as a tried and true transit installation that is used in poor countries and even was used in Montreal and was quickly dismantled because of how useless and ineffective they are :) (Just ask anyone old enough to have rode them up the hills in the winter with the slippy wheels and the motors tripping the circuit breakers, LOL)

 

Inutile? J'espère que c'est sincèrement une blague! Le tramway a été central au développement de la ville de Montréal et le principal moyen de transport des montréalais jusqu'à son démantèlement. Tu as déjà regardé l'achalandage des transports en commun à l'époque des tramways? Les chiffres sont impressionnants. Juste avant la Seconde Guerre mondiale, c'était 200 millions de déplacements par année sur le réseau. J'imagine que c'était aussi inutile pendant la guerre, avec la pénurie de carburant et l'impossibilité de transporter autant de gens avec des moteurs à essence, une période où l'achalandage à doublé à 400 millions/année? Je crois que le mot juste ici serait "essentiel"!

 

Bien sûr, par la suite, le réseau était désuet, hétérogène, mal adapté à l'apparition de l'automobile sur nos routes, les deux utilisant le même espace et congestionnant les petites rues de l'époque (on a profité de la construction du métro pour en agrandir plusieurs, la situation aujourd'hui est tout de même différente). Le contrat de la compagnie s'occupant des tramways avec la ville de Montréal arrivait à terme, et il fallait agir vite pour moderniser le transport. C'est ça la raison du démantèlement du réseau. Certaines villes ont fait d'autres choix, comme Toronto, et ils ne regrettent pas...

 

Aujourd'hui, on peut évidemment avoir un débat sur la place du tramway, peser le pour et le contre sur l'espace qu'il occupe, son coût et si l'attrait qu'il suscite en vaut la chandelle. Mais dire que les tramways sont une technologie désuète et qu'ils ne peuvent monter une simple côte, c'est comme dire que les automobiles viennent dans la couleur que l'on souhaite, en autant que ce soit noir...

Modifié par vincethewipet
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Inutile? J'espère que c'est sincèrement une blague! Le tramway a été central au développement de la ville de Montréal et le principal moyen de transport des montréalais jusqu'à son démantèlement. Tu as déjà regardé l'achalandage des transports en commun à l'époque des tramways? Les chiffres sont impressionnants. Juste avant la Seconde Guerre mondiale, c'était 200 millions de déplacements par année sur le réseau. J'imagine que c'était aussi inutile pendant la guerre, avec la pénurie de carburant et l'impossibilité de transporter autant de gens avec des moteurs à essence, une période où l'achalandage à doublé à 400 millions/année? Je crois que le mot juste ici serait "essentiel"!

 

Bien sûr, par la suite, le réseau était désuet, hétérogène, mal adapté à l'apparition de l'automobile sur nos routes, les deux utilisant le même espace et congestionnant les petites rues de l'époque (on a profité de la construction du métro pour en agrandir plusieurs, la situation aujourd'hui est tout de même différente). Le contrat de la compagnie s'occupant des tramways avec la ville de Montréal arrivait à terme, et il fallait agir vite pour moderniser le transport. C'est ça la raison du démantèlement du réseau. Certaines villes ont fait d'autres choix, comme Toronto, et ils ne regrettent pas...

 

Aujourd'hui, on peut évidemment avoir un débat sur la place du tramway, peser le pour et le contre sur l'espace qu'il occupe, son coût et si l'attrait qu'il suscite en vaut la chandelle. Mais dire que les tramways sont une technologie désuète et qu'ils ne peuvent monter une simple côte, c'est comme dire que les automobiles viennent dans la couleur que l'on souhaite, en autant que ce soit noir...

 

:applause: Tu as parfaitement raison, le tramway partout où il s'est établi à nouveau est devenu un véritable "succès de popularité" autant pour les usagers que pour le côté pratique et le confort du déplacement. En plus il n'est absolument pas polluant et nous affranchit un peu plus du pétrole, surtout qu'ici l'électricité est abondante et peu chère, d'où des économies substantiels à long terme. En plus il demande moins d'entretien et sa longévité par rapport à d'autres moyens de transport le rend hautement compétitif.

 

Le tramway est peu bruyant, beaucoup moins coûteux qu'un métro souterrain et tout aussi efficace dans ses voies exclusives. On peut facilement en augmenter la fréquence et sa stabilité permettrait même d'offrir un petit café en route comme on fait en Suisse sur certains parcours.

 

Je trouve que c'est un super moyen de transport qui mérite vraiment sa nouvelle réputation. A Paris on a développé de nouvelles lignes et d'autres sont prévues car il est prouvé que partout où il passe le nombre de véhicules individuels diminue considérablement et tout le monde y gagne au change.

 

C'est de loin un excellent outil de développement durable et un atout certain pour toute ville qui a à coeur un développement harmonieux et une véritable qualité de vie urbaine.

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  • 1 mois plus tard...

Montréal : le Plan de transport est en retard

17 septembre 2010 | 07h02

 

Jean-Louis Fortin

Agence QMI

 

La Ville de Montréal devra accélérer la cadence des investissements si elle veut réaliser son Plan de transport à temps.

 

 

Elle n’a dépensé que 30 % de ce qu’elle aurait dû investir depuis 2008, révèle un bilan présenté jeudi soir.

 

À ce rythme, les 21 grands chantiers comme le tramway, le prolongement du métro et la navette de l’aéroport ne seront pas réalisés en 10 ans, comme prévu par l’administration Tremblay, mais bien en 33 ans.

 

Adopté en 2008, le Plan de transport prévoyait des investissements totaux de 2,4 milliards $ par la Ville, jusqu’en 2018. C’est 240 millions $ par année.

 

Or, seulement 58 millions $ en 2008 et 88 millions $ en 2009 ont été consentis pour la réalisation du Plan, soit 334 millions $ de moins que ce qu’il aurait fallu pour maintenir le rythme.

 

« Dans le cadre financier actuel, cet objectif de 240 millions $ par année dépasse la capacité de payer de Montréal et nécessite une solution de financement à l’échelle régionale, soutenue par les gouvernements supérieurs », reconnaît le Bilan 2009-2010 de mise en oeuvre du Plan de transport, épais de 94 pages.

 

« Une hausse de la taxe sur l’essence, qui pourrait passer graduellement de trois cents à 13 cents par litre :yikes: serait l’option la plus simple à implanter, alors que le péage routier serait plus coûteux », propose la Direction des transports de la Ville.

 

À ce jour, 10 % des projets ont été réalisés, 58 % ont fait l’objet de travaux de planification, et 32 % n’ont pas encore été abordés.

 

Quant au projet de réaménagement de la rue Notre-Dame, il est tout simplement « en suspens et en attente d’une redéfinition ».

 

Quelques réalisations

La responsable des transports au Comité exécutif de la Ville, Manon Barbe, a qualifié de « magnifique » et « fort encourageant » ce bilan, jeudi soir.

 

Elle a insisté sur les réalisations qui ont été faites depuis 2008, comme l’implantation réussie de BIXI, l’amélioration du service d’autobus et la piétonnisation de certaines rues.

 

« Le réseau de transport collectif a été renforcé. Le plan d’amélioration de service de la STM a porté fruits », a-t-elle notamment décrit.

 

« On réalise que tous les grands projets de transport collectif, que ce soit le métro ou le tramway, présentent des retards », a cependant observé Daniel Bouchard, responsable des transports au Conseil régional de l’environnement de Montréal.

 

La Ville a aussi calculé que les gouvernements provincial et fédéral devront dépenser 3,55 milliards $, en 10 ans, pour que l’ensemble du Plan de transport se concrétise.

 

*************************************

 

Y'a quand même des limites à exploiter les automobilistes...

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  • 2 mois plus tard...

Alexandre Lampron

Actualités - Publié le 4 décembre 2010 à 09:00

 

BROSSARD. Le Brossard Éclair a appris que la construction d’un stationnement étagé est «sérieusement envisagée» pour permettre un développement harmonieux du secteur Panama et améliorer la configuration de cette zone lourdement achalandée de Brossard.

 

De plus, afin d’assurer une meilleure intégration du développement urbain et du transport en commun dans ce secteur, la Ville de Brossard oriente ses recherches en fonction d’un développement de type TOD (Transit Oriented Development). Le TOD vise à combattre la congestion urbaine et routière, à réorganiser et optimiser le tissu urbain d’un secteur, à répondre aux enjeux sociaux et environnementaux et à accroître la prospérité.

 

L’axe du pont Champlain compte un volume de déplacements facilement comparable aux lignes principales du métro, le secteur Panama figure donc parmi les endroits où un mode de transport en commun plus efficace serait souhaitable.

 

«Pour nous, cela veut surtout dire un développement optimal du secteur Panama, a mentionné en entrevue au Brossard Éclair le maire Paul Leduc. Il faut aussi envisager la possibilité que le système léger sur rail (SLR) arrive un jour dans ce secteur. Il s’agit d’une belle occasion pour élaborer une vision stratégique, mais cela demande évidemment plusieurs études pour satisfaire les partenaires – l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et le Réseau de transport de Longueuil (RTL) – et qu’ils y trouvent leur compte.»

 

Une vision d’avenir

 

Rappelons qu’en mars 2009, la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) avait réalisé, en collaboration avec les agglomérations de Longueuil et Montréal, une vaste étude intitulée «Étude sur le potentiel de développement urbain d’un corridor de transport collectif renforcé dans l’axe du pont Champlain et dans l’axe du boulevard Taschereau». L’étude présentait le stationnement Panama actuel comme étant une zone ayant «un important potentiel de développement urbain».

 

C’est d’ailleurs à cette étude que fait référence M. Leduc quand il rappelle, entre autres, que «le conseil municipal de Brossard a conclut, en octobre dernier, un contrat avec la firme Gérald Bolduc-Urbaniste conseil pour qu’il réalise une planification stratégique des secteurs et Panama et Chevrier».

 

Le PTI 2011-2013

 

«Il faut également se souvenir que l’AMT avait déjà prévu des fonds à son programme triennal d’immobilisations (PTI) dans le passé, mais ceux-ci ont été retirés en grande partie, indique le maire Leduc. Par contre, nous avons récemment appris que dans le prochain PTI, celui de 2011-2013, des projets et des fonds devraient réapparaître.»

 

En effet, dans le PTI dont le Brossard Éclair a obtenu copie, une somme de 421 000$ est prévue en 2011 pour la réalisation d’une étude du secteur Panama. Le document confirme aussi la volonté de la Ville de Brossard de relancer et d’intensifier le développement commercial.

 

«Cette étude sera mise à jour pour tenir compte des multiples enjeux du secteur Panama, dont la congestion routière, la croissance de la demande ainsi que le potentiel de réaménagement urbain. Ces enjeux importants viendront grandement augmenter le niveau de complexité des études», lit-on dans le document de l’AMT.

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Revitalisation du secteur Panama

 

Publié le 19 Novembre 2010

 

L’aménagement d’une bretelle, appelée bretelle J, donnera sous peu un accès direct au secteur Panama. Elle reliera l’autoroute 10 au boulevard Pelletier et desservira le stationnement De Panama. Un projet de réaménagement du terminus Panama, le long du boulevard Taschereau, est sur la table. Le président-directeur général de l’Agence métropolitaine de Transport (AMT), Joël Gauthier, travaille actuellement de concert avec la Ville de Brossard.

(D.F.)

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Une vision d’avenir

 

Rappelons qu’en mars 2009, la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) avait réalisé, en collaboration avec les agglomérations de Longueuil et Montréal, une vaste étude intitulée «Étude sur le potentiel de développement urbain d’un corridor de transport collectif renforcé dans l’axe du pont Champlain et dans l’axe du boulevard Taschereau». L’étude présentait le stationnement Panama actuel comme étant une zone ayant «un important potentiel de développement urbain».

 

 

 

 

some folks just have a knack for stating the obvious... it just makes you wonder what the typical work day is like for these ppl .. i mean, good god ...

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  • 1 mois plus tard...

Bonjour à tous, j'ignore si c'est le bon endroit pour ce genre de Fil, même si c'est au sujet des infrastructures.

 

J'ai souvent tenté de trouver le nombre total de Km d'autoroutes pour chaques provinces du Canada, mais j'ai jamais trouvé ! ...

 

En effet, je serais curieux de constater si nottament nous sommes prés de l'Ontario à ce sujet surtout avec tous nos projets d'autoroutes.

 

Ou si l'Alberta et la Colombie-Britanique se talonent aussi à ce sujet.

 

Est-ce quelqu'un a une piste ou un site où il serait possible de trouver ces données?!

 

Merci à l'avance.

Modifié par Franks
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Réseau routier moderne et efficace

 

Le réseau routier du Québec comprend environ 185 000 km de routes. Le Ministère gère quelque 29 000 km d'autoroutes, de routes nationales, de routes régionales et de routes collectrices ainsi que 4 700 ponts et viaducs; 1 200 km de chemins d'accès aux ressources et 3 600 km de chemins de mine. Pour leur part, les municipalités gèrent 92 000 km de routes, rues et chemins locaux. Le Ministère verse une aide financière pour l’entretien et l’amélioration de la voirie locale ainsi que pour la réfection des ouvrages d’art municipaux. Les quelque autres 60 000 km sont gérés par d'autres ministères provinciaux ou fédéraux et par Hydro-Québec. La valeur à neuf des infrastructures routières sous la responsabilité du Ministère, dans l'ensemble de la province, est estimée à plus de 30 milliards de dollars.

 

http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/entreprises/camionnage/reseau_routier

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