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p_xavier

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7 minutes ago, paulwillyjean said:

Je m'en doutais déjà, mais ce n'est pas du sans-contact. C'est juste un retour temporaire aux billets unitaires pré-opus, mais sur un écran de téléphone cette fois-ci.

J'imagine, qu'il y aura un compteur pour permettre au chauffeur de confirmer que ce n'est pas la capture d'écran d'un vieux billet.

Même à ça, dépendamment de comment ce sera fait, je pense qu'il sera assez facile de le simuler.

En effet, c'est pour cette raison que la STM n'avait pas retenue cette technologie.

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Peut-on modifier l'ARTM pour qu'elle arrête de quêter perpétuellement?

  • Lui offrir la captation foncière (le REM le fait et le REM phase 2 le fera sûrement)
  • Qu'il rentre dans le développement immobilier solide
  • Augmenter les tarifs pour mieux représenter la réalité des coûts de transport.

 

Taxer la banlieue pour financer le REM?

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2020-08-28/taxer-la-banlieue-pour-financer-le-rem.php

Citation

L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) va proposer au gouvernement du Québec d’imposer une taxe à l’immatriculation de 50 $ par véhicule dans les villes de banlieue de Montréal, entre autres mesures, afin de financer la mise en service du futur Réseau express métropolitain, d’ici 2025.

Publié le 28 août 2020 à 5h00

Selon un document interne obtenu par La Presse, l’ARTM a besoin de 1 milliard en nouveaux revenus d’ici cinq ans afin d’implanter sa réforme tarifaire métropolitaine et de payer sa part des coûts annuels de fonctionnement du nouveau métro aérien de 6,5 milliards financé par la Caisse de dépôt et placement du Québec.

La première antenne du REM, entre la Rive-Sud et le centre-ville de Montréal, doit entrer en service à la fin de 2021. Le réseau de la Caisse se déploiera ensuite dans l’Ouest-de-l’Île et en banlieue nord, d’ici 2024, et sera « intégré » aux autres réseaux de transports publics sous l’autorité de l’ARTM.

Besoins de financement d’ici 2025 :

• Mise en service du REM : 691 millions
• Implantation de la refonte tarifaire : 113 millions
• Manque à gagner 2020-2022 (COVID-19) : 204 millions

• Total : 1008 millions

Afin d’y arriver, l’organisme responsable du financement des transports collectifs dans la région métropolitaine veut proposer au gouvernement Legault un « pacte fiscal quinquennal » qui permettrait à la fois d’assurer le démarrage du REM jusqu’en 2025 et de combler un manque à gagner de 204 millions qui plombe la relance des transports collectifs.

En entrevue avec La Presse jeudi, le directeur exécutif planification des transports et mobilité à l’ARTM, Daniel Bergeron, a confirmé le montant des besoins financiers futurs liés au REM, d’ici 2025, et l’intention de l’Autorité de demander au gouvernement Legault de négocier un pacte fiscal particulier, « compte tenu de l’ampleur des changements qui s’en viennent ».

Il a toutefois indiqué qu’aucune discussion n’avait encore été engagée avec Québec quant au financement de la mise en service du REM.

Les sources possibles

Depuis 2017, l’ARTM est responsable du financement de l’ensemble des services offerts par la Société de transport de Montréal (STM), le Réseau de transport de Longueuil (RTL), la Société de transport de Laval (STL) et le réseau des autobus et trains de banlieue exo. En 2020, le budget de l’Autorité prévoyait des versements de près de 2,5 milliards pour assurer le fonctionnement quotidien de ces réseaux.

À sa mise en service, à la fin de 2021, le REM deviendra le cinquième réseau de transports collectifs de la région métropolitaine. Ses services ne seront pas gratuits. Entre 2022 et 2025, les coûts annuels du REM passeront rapidement de 111 millions, lors de la mise en service de la première ligne entre la Rive-Sud et le centre-ville de Montréal, à 237 millions par année, lorsque le réseau sera entièrement déployé.

Dans le document obtenu par La Presse, l’ARTM énumère plusieurs sources de financement possibles afin de remplir ces obligations financières quand le REM sera en exploitation. La possibilité d’imposer une taxe à l’immatriculation de 50 $ dans les banlieues de Montréal, et ce, dès 2021, en fait partie.

Depuis bientôt 10 ans, les résidants de l’île de Montréal paient déjà cette taxe destinée au financement des transports collectifs qui est passée de 45 $, au moment de son introduction en 2011, à 50 $ depuis 2018. Jusqu’à présent, les maires des banlieues ont repoussé toute tentative d’imposer cette surtaxe aux résidants du « 450 ». Selon l’ARTM, elle pourrait rapporter 333 millions sur cinq ans.

Cinq sources de financement déterminées par l’ARTM :

• Maintien du soutien gouvernemental à l’ARTM pour 4 années de plus : 360 millions
• Imposition des frais d’immatriculation de 50 $ en banlieue de Montréal : 333 millions
• Maintien de subventions à l’exploitation perdues à cause la COVID-19 : 106 millions
• Remboursement des coûts des mesures sanitaires dus à la COVID-19 : 61 millions
• Compensation pour les revenus perdus de la taxe sur l’essence : 56 millions

• Total des sources de financement possibles : 916 millions

Un effort collectif

L’utilisation de ces cinq sources potentielles de financement pour les transports collectifs requiert une approbation de Québec. Et même si le gouvernement Legault disait oui à toutes ces suggestions, les revenus attendus ne suffiraient pas à couvrir la totalité des besoins financiers de l’ARTM, estimés à plus de 1 milliard d’ici 2025, a reconnu M. Bergeron, jeudi.

C’est pour cela qu’il faut ouvrir un dialogue avec Québec et négocier un nouveau « pacte fiscal » de cinq ans, assure-t-il.

Le document obtenu par La Presse, dit le directeur exécutif, « visait à faire le point avec notre conseil d’administration sur l’état de la situation de l’ARTM dans le contexte de la COVID-19 ». Il visait aussi la mise à jour de prévisions budgétaires déjà présentées à Québec en vue de l’entrée en service du REM, pour tenir compte de la « nouvelle réalité » créée par la COVID.

M. Bergeron a tenu à défendre le plan de redressement des finances des transports collectifs de l’ARTM, qui a imposé aux quatre sociétés de transport collectif de la région de Montréal des compressions budgétaires de 400 millions sur trois ans, en raison des centaines de millions de dollars en revenus tarifaires perdus depuis le début de la pandémie.

« On est conscients que ce n’est pas facile pour les sociétés de transport, affirme M. Bergeron, mais en même temps, n’est-il pas raisonnable de la part de Québec de s’attendre à ce que, collectivement, comme sociétés de transport, on fasse un effort pour réduire nos dépenses ? »

« On doit travailler sur les deux plans, et non pas seulement demander à Québec de nous avancer davantage d’argent », a-t-il conclu.

Prenez le bus, qu’ils disaient…

https://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/2020-08-28/prenez-le-bus-qu-ils-disaient.php

Citation

Pour passer à travers la crise, les sociétés de transports en commun auront besoin de plus d’aide de Québec et d’Ottawa. Car, pour l’instant, elles ont reçu une mission quasi impossible : réduire leurs services tout en répondant de façon sécuritaire aux besoins de leur clientèle.

Publié le 28 août 2020 à 5h00

Le calcul est simple : si le nombre d’autobus et de wagons diminue trop, le nombre de passagers par autobus augmentera. Il y aura donc plus de proximité et plus de risques de contamination.

Et même si cet écueil était évité, il en resterait un autre : les compressions empêcheront les sociétés de transport de reprendre leurs services ordinaires lorsqu’un vaccin sera découvert.

Il est vrai que même après la crise, le télétravail demeurera plus fréquent, ce qui réduira un peu la fréquentation des transports collectifs – une baisse de 5 %, prévoit-on. Et il est aussi vrai qu’il est normal que les sociétés de transport fassent elles aussi un effort pour réduire leurs dépenses. On comprend donc que Québec et l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) leur demandent un « plan d’optimisation » pour réduire leurs dépenses.

PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE

« L’ARTM défend l’équité régionale pour que chaque ville offre des services comparables. Ce principe est important, mais il ne devrait pas mener à un nivellement par le bas », juge notre éditorialiste.

Ajoutons que le ministre des Transports, François Bonnardel, s’est montré à l’écoute. La semaine dernière, il a lui-même reconnu que l’aide annoncée d’environ 340 millions pour le Grand Montréal était insuffisante. Le ministre maintient aussi avec raison la pression sur Ottawa pour que le Québec reçoive sa part. Mais on a hâte d’en voir les résultats…

Comme l’a rappelé notre collègue Bruno Bisson jeudi, la Colombie-Britannique et l’Ontario offrent nettement plus d’argent. Ces comparaisons ont leurs limites – par exemple, puisque les usagers québécois payent moins cher, leurs sociétés de transport souffrent moins de la crise. Mais elles font bel et bien face à un casse-tête.

Le Réseau de transport de Longueuil offre un programme de départ à la retraite volontaire à ses employés. Montréal et Laval pourraient-ils eux aussi trouver de telles économies ? Cela reste à prouver. D’ailleurs, 85 % des dépenses de la STM sont incompressibles – il s’agit du service de la dette ou de salaires protégés par la convention collective, qui prévoit des clauses anti-mises à pied.

L’ARTM juge que la commande, une baisse de 6 % sur trois ans, est raisonnable. Mais cette baisse survient alors que la COVID-19 entraîne une hausse des dépenses à cause du nettoyage. L’Autorité permet aux sociétés de puiser dans leurs surplus pour payer ces dépenses exceptionnelles. Mais elle leur refuse de puiser dans ce coussin pour payer d’autres dépenses récurrentes qui continueront d’augmenter, comme les intérêts sur la dette.

La STM et la STL pourraient-elles offrir un programme de départ anticipé et volontaire à la retraite, comme c’est le cas à Longueuil ? Possible, mais on ne sait pas combien de personnes en profiteraient ni si les effectifs seraient suffisants lors de la reprise.

Il est normal que l’ARTM et Québec veillent à ce que les économies possibles soient faites et que la capacité de payer des contribuables soit respectée. Reste que leur volonté se heurte à l’autonomie municipale.

Par exemple, les villes n’ont pas le droit de hausser le financement de leur réseau au-delà de l’inflation. Pourquoi les en empêcher si elles acceptent de s’en remettre ensuite à leurs électeurs ?

L’ARTM défend l’équité régionale pour que chaque ville offre des services comparables. Ce principe est important, mais il ne devrait pas mener à un nivellement par le bas.

L’année dernière, on s’inquiétait déjà pour la capacité des villes à financer leurs transports en commun, à cause entre autres de la chute des revenus de la taxe sur l’essence. Avec la COVID-19, cela commence à faire beaucoup de « défis »…

Après tout, ce ne sont pas des canards boiteux. Les sociétés de transports en commun n’ont pas de problème systémique de gestion des dépenses et il ne s’agit pas d’un simple marché où on s’en remet à l’offre et à la demande. L’objectif est d’augmenter leur usage tant pour s’attaquer à la congestion et à la pollution que pour améliorer la qualité de vie. Pour cela, il faudra s’assurer qu’elles gardent la tête hors de l’eau pendant les prochains mois.

 

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il y a 48 minutes, Decel a dit :

Je ne comprends pas pourquoi les banlieues sont si réfractaires à ça (je comprends que c'est 50$ de plus à payer), mais reste qu'on développe beaucoup de TeC pour les déplacer.. Bref, à mon avis, c'est un no-brainer (ça et d'autres façons de capter du revenu). Mais avec la CAQ qui a sa majorité de sa base en couronne et banlieue, ça serait très surprenant qu'ils acceptent. 

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il y a 25 minutes, Mtloulou a dit :

Je ne comprends pas pourquoi les banlieues sont si réfractaires à ça (je comprends que c'est 50$ de plus à payer), mais reste qu'on développe beaucoup de TeC pour les déplacer.. Bref, à mon avis, c'est un no-brainer (ça et d'autres façons de capter du revenu). Mais avec la CAQ qui a sa majorité de sa base en couronne et banlieue, ça serait très surprenant qu'ils acceptent. 

Arrêtez de taxer les automobilistes et faites payer le prix qu'il faut aux utilisateurs. C'est pas tous les automobilistes qui se rendent à Montréal, et beaucoup de ceux qui vont y travailler vont sur les chantiers pour développer votre ville de bobo. Naturellement, étant Montréalais c'est nécessairement un no-brainer de pénaliser les automobilistes, même là où les TeC dont tu parles sont moins accessibles. "Mais pourquoi donc sont-ils réfractaires à l'idée ? hmm..."

Modifié par Charlemagne
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il y a 18 minutes, Charlemagne a dit :

Arrêtez de taxer les automobilistes et faites payer le prix qu'il faut aux utilisateurs. C'est pas tous les automobilistes qui se rendent à Montréal, et beaucoup de ceux qui vont y travailler vont sur les chantiers pour développer votre ville de bobo. Naturellement, étant Montréalais c'est nécessairement un no-brainer de pénaliser les automobilistes, même là où les TeC dont tu parles sont moins accessibles. "Mais pourquoi donc sont-ils réfractaires à l'idée ? hmm..."

Faire payer les utilisateurs ? Okay péage sur les ponts et les autoroutes ? C'est pas tous les automobilistes qui les utilisent... donc le principe d'utilisateur payeur devrait s'appliquer là aussi alors ? C'est pas tous les automobilistes qui se rendent sur l'île, mais c'est une grande majorité, donc les banlieues doivent payer pour les services qu'elles demandent et utilisent. 

C'est bien beau pas vivre en ville, mais la raison pourquoi la banlieue existe c'est qu'il y a une ville centre... et si on veut désengorger les autoroutes et amener plus de gens dans les TeC, il faut les financer, car de plus en plus de ces moyen de transport lourd sont pour faire transiter les banlieusards vers le centre. De plus, avec le gouvernement qu'on a, il pousse pour développer les TeC en banlieue, car là aussi la congestion commence à être un gros problème.

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Il y a 2 heures, Dominic723 a dit :

Faire payer les utilisateurs ? Okay péage sur les ponts et les autoroutes ? C'est pas tous les automobilistes qui les utilisent... donc le principe d'utilisateur payeur devrait s'appliquer là aussi alors ? C'est pas tous les automobilistes qui se rendent sur l'île, mais c'est une grande majorité, donc les banlieues doivent payer pour les services qu'elles demandent et utilisent. 

C'est bien beau pas vivre en ville, mais la raison pourquoi la banlieue existe c'est qu'il y a une ville centre... et si on veut désengorger les autoroutes et amener plus de gens dans les TeC, il faut les financer, car de plus en plus de ces moyen de transport lourd sont pour faire transiter les banlieusards vers le centre. De plus, avec le gouvernement qu'on a, il pousse pour développer les TeC en banlieue, car là aussi la congestion commence à être un gros problème.

J'imagine que continuellement pénaliser les automobilistes chaque fois qu'il se passe un truc ce n'est que de la justice.

On paie déjà des taxes et impôts pour payer les infrastructures routières et le reste. Les gens quittent l'île de Montréal parce qu'ils y trouvent pas de logements qui conviennent à leurs besoins, mais faites-les quand même payer quand ils déménagent en périphérie.

Les projets de transports structurants amènent des investissements et développements dans les secteurs où le TEC est accessible, en plus de faire augmenter les prix et taxes des établissements et résidences déjà en place. J'vois aucunement l'intérêt à faire payer le reste du monde qui se rendent très peu à Montréal et auxquels les services en TEC ne comblent pas les besoins.

Remettre sur la table la taxation des automobilistes est la chose la plus simpliste que les Montréalais nous ressortent constamment.

Modifié par Charlemagne
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1 hour ago, Charlemagne said:

J'imagine que continuellement pénaliser les automobilistes chaque fois qu'il se passe un truc ce n'est que de la justice.

On paie déjà des taxes et impôts pour payer les infrastructures routières et le reste. Les gens quittent l'île de Montréal parce qu'ils y trouvent pas de logements qui conviennent à leurs besoins, mais faites-les quand même payer quand ils déménagent en périphérie.

Les projets de transports structurants amènent des investissements et développements dans les secteurs où le TEC est accessible, en plus de faire augmenter les prix et taxes des établissements et résidences déjà en place. J'vois aucunement l'intérêt à faire payer le reste du monde qui se rendent très peu à Montréal et auxquels les services en TEC ne comblent pas les besoins.

Remettre sur la table la taxation des automobilistes est la chose la plus simpliste que les Montréalais nous ressortent constamment.

Les automobilistes payent peu à l'utilisation du réseau routier en bout de ligne, et une très faible part des coûts communs. C'est pour ça que la question ressort toujours, il y a une iniquité fiscale énorme, et contraire à nos objectifs de société. Le TEC devrait être plus subventionné, parce qu'il est plus désirable sur tous les plans en termes d'impact.

D'ailleurs, les banlieues ont leur quote-part à payer à l'ARTM. Si ce n'est pas avec 50$ sur l'immatriculation, ça va être 50$ sur le compte de taxes. Ces villes occasionnent des coûts sur le TEC, même s'il est moins utilisé là.

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Je suis d'accord qu'on fasse payer les automobilistes, mais il faut aussi qu'on leur donne quelque-chose.  Si cet argent est investit en TEC qui font diminuer la congestion à l'année, c'est déjà quelque-chose.  Cependant, on ne peut pas en demander constamment plus aux automobilistes et leurs enlever des voies de transit pour faire des pistes cyclable.  Les cyclistes paient encore moins que les automobilistes pour l'utilisation des routes, il ne faudrait pas que certains suggèrent de les faire payer à leur tour.

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Si jamais il fallait taxer, faisons-le selon les accessibilités aux TEC, pas tout simplement ''les automobilistes''. ToxiK, j'comprends l'intention de compromis, mais personne voudra compenser pour les automobilistes, particulièrement à Montréal. J'ai un peu de mal à comprendre comment les Montréalais voient pas les banlieusards qui viennent travailler sur leur île ou simplement visiter des amis, des commerces et des lieux publics d'un bon oeil, étant donné que ça crée directement de la richesse là où ils vivent, mais j'peux comprendre qu'ils veulent la paix et pas entendre parler des banlieusards autant que j'ai pas envie d'entendre parler des Montréalais à Mont-Laurier. On dirait que certains pensent que Montréal ne fait qu'apporter des bénéfices aux banlieues sans que ce soit en fait du donnant-donnant et que les banlieues apportent leur bénéfice à la ville.

Limite j'étais pas nécessairement contre les points de péage sur les routes et les ponts. J'vais rarement à Montréal, comme plusieurs autres et je vois mal pourquoi tous les automobilistes de banlieue devraient payer pour un transport qui bénifiera qu'à certaines autres personne, c'est au moment où tu donnes des subventions qui ont pas de lien avec le service, que le service devient moins efficace. Les services hospitaliers, scolaires et plusieurs autres services publics, j'ai pas autant de difficulté à accepter, mais pour les questions de transports, j'suis d'avis que c'est un peu plus ambiguë. Il y a déjà beaucoup de paiements à faire lorsque quelqu'un est propriétaire d'une voiture, et j'verrai mal les personnes travaillant au salaire minimum et/ou ne sachant pas gérer leur argent jongler avec un 50$ de moins dans leur poche.

Peu importe. En fin de compte, ça m'affecterait probablement pas dans tous les cas.

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