Aller au contenu

Messages recommendés

Il y a 9 heures, nephersir7 a dit :

Et l'ARTM qui devait dépolitiser tout ça... une vraie blague.

C’est plus fort qu’eux, les politiciens ne peuvent s’empêcher de faire du capital politique bas de gamme sur tout ce qui concerne les infrastructures publiques.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 5 heures, Megafolie a dit :

...et pouquoi les partis politiques ne laisseraient pas l'ARTM faire sa job avant d'annoncer quelque projet que ce soit? ?

Il y a 3 ans déjà, en avril 2015 le gouvernement a désavoué l'AMT et son mandat de planification (dont il se moquait déjà) et fait table rase. Depuis, il a été décidé que l'ARTM ne reprendra pas la job de planification avant 2019, "transition oblige". 

On ne peut pas blamer les politiciens d'occuper le vide qui a été créé. La table a été mise pour que tous s'improvisent experts et s'en donnent à coeur joie!

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Encore là, la ligne rose n'est pas une priorité pour la simple raison que la région de Montréal est fractionnée en plusieurs territoires et que chacun tire la couverte de son bord. Aussi, le discours des gens de la banlieue envers ceux de la ville centre peut causer problème, vise versa. La CMM c'est un bien beau concept mais ça ne sert à rien pour ce qui est de faire changer l'opinion des gens face à leur région. Les gens de l'île ne veulent pas être associés à ceux de la banlieue et vice versa, ce qui cause problème. Ici on juge les gens en fonction d'où ils habitent et de leur mode de transport. Si on regarde les stats de migrations interrégionales, on se rend compte que les banlieues sont souvent composées d'anciens Montréalais. Plus il y aura d'étalement urbain , plus le poids de l'île Montréal va diminuer, moins elle sera nécessaire pour gagner les élections.

  • Confused 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, vivreenrégion a dit :

Plus il y aura d'étalement urbain , plus le poids de l'île Montréal va diminuer, moins elle sera nécessaire pour gagner les élections.

C'est exactement le contraire qui arrive. Le taux d'accroissement annuel moyen de Montréal a été multiplié par 5 depuis 2001 et dépasse la moyenne québécoise maintenant.

2011-2016 a vu pour Montréal un taux d'accroissement de 10 par 1000, contre une moyenne 7.8 par 1000 pour le Québec. C'est une trajectoire à la hausse que l'on observe dans les 3 derniers recensements.

L'idée que Montréal perd de son importance de nos jours est tout aussi ancrée dans la tête de bien des gens que l'idée que la Ligne Rose serait payée par les régions (LEUR argent), alors que Montréal a toujours été une contributrice nette au budget provincial. Suffit de faire un tour sur www.stat.gouv.qc.ca pour voir le contraire. Mais c'est sur cette vision des choses que la CAQ mise. Un ressentiment qui n'est pas supporté par les chiffres. C'est à la mode partout dans les démocraties occidentales d'ailleurs, comme tactique.

  • Like 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si Montréal a un taux d'accroissement plus élevé c'est uniquement grâce aux nouveau arrivant , ils n'ont pas nécessairement le droit de vote et ils ont des très faible revenue . A Montréal ,  on a 1 habitant sur 10 sur l'aide sociale et des revenues inférieur au autre régions du Quebec .Donc , il est possible que les autre régions du Quebec paient en partie pour la ligne rose via leurs impôts . Les média parlent sans arrêt de Montréal comme une ville pauvre , en déclin et une ville de BS , on ne peut pas s'attendre a recevoir du soutient des banlieue ou des régions. . 

http://www.journaldemontreal.com/2013/03/27/montreal-figure-parmi-les-villes-les-plus-pauvres 

http://www.journaldemontreal.com/2018/05/23/plus-pauvres-simplement

  • Sad 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

De mémoire, quand l'idée d'une Ligne Diagonale a été lancée par Valérie Plante alors candidate à la mairie de Montréal,  les réactions furent plutôt partagées parmi la population montréalaise, les médias et les dirigeants.  Et peu ou pas d'écho de la part des politiciens à Québec et à Ottawa.  

Puis deux événements  surgirent: d'abord l'élection de Valérie Plante, à la grande surprise  de plusieurs. Et, parallèlement, l'étonnante montée de l'enjeu du transport en commun sur la scène politique québécoise:  REM, Grand Déblocage (Parti Québécois), Prolongement de la Ligne Bleue, Réseau Structurant (Ville de Québec), ainsi que déjà des «idées» pour des phases ultérieures du REM!  Et en toile de fonds, la perspective d'un accès à une gigantesque cagnotte fédérale dédiée aux infrastructures.

C'est dans ce contexte que la Ligne Diagonale, rebaptisée Ligne Rose,  est devenue un enjeu «incontournable», au sens où on ne peut plus éviter de se prononcer en sa faveur ou contre.  Un destin incroyable pour une idée qui ne faisait même pas partie des options parmi lesquelles les élus de la région montréalaise avaient été naguère appellés à établir leurs priorités!

Maintenant, dans une tournure que je trouve malheureuse, on en est rendu à opposer, dans certains cercles, les intérêts de la ville-centre à ceux des banlieues.  Et c'est quand même curieux que  certains arrondissements de la ville-centre,  comme LaSalle et Lachine, se trouvent ainsi «associés» aux bénéficiaires de ladite ligne, alors qu'il n'y a ni REM ni Ligne Rose pour eux --comme si la définition de «ville-centre» était à géométrie variable.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 15 minutes, vincethewipet a dit :

C'est exactement le contraire qui arrive. Le taux d'accroissement annuel moyen de Montréal a été multiplié par 5 depuis 2001 et dépasse la moyenne québécoise maintenant.

2011-2016 a vu pour Montréal un taux d'accroissement de 10 par 1000, contre une moyenne 7.8 par 1000 pour le Québec. C'est une trajectoire à la hausse que l'on observe dans les 3 derniers recensements.

L'idée que Montréal perd de son importance de nos jours est tout aussi ancrée dans la tête de bien des gens que l'idée que la Ligne Rose serait payée par les régions (LEUR argent), alors que Montréal a toujours été une contributrice nette au budget provincial. Suffit de faire un tour sur www.stat.gouv.qc.ca pour voir le contraire. Mais c'est sur cette vision des choses que la CAQ mise. Un ressentiment qui n'est pas supporté par les chiffres. C'est à la mode partout dans les démocraties occidentales d'ailleurs, comme tactique.

non, en 2001, 1.81M sur l'île de Montréal, 3.42M au total, donc elle était encore plus de 50%. Même chose en 2006, 1.85M sur l'île, 3.63M total, en 2011, c'est à ce moment que la banlieue est passée devant.
1.88M sur l'île, 3.82M total, et en 2016, au mieux 2M sur l'île, mais 4.2M total. entre 2006 et 2016, l'île a gagné environ 150,000 habitants tout au plus, le total de la RMR est de +500,000, donc 350,000 pour la banlieue.

   
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La CAQ est pourtant en avance dans les banlieues de Montréal.

Citation

...et se place en tête dans la couronne de Montréal, avec 36 % des intentions de vote, devant le PLQ (29 %).

https://www.ledevoir.com/politique/quebec/526821/la-caq-en-tete-des-intentions-de-vote-selon-un-nouveau-sondage

la ligne rose, il est possible qu'elle déplaise aux gens de la couronne nord et sud, voilà pourquoi la CAQ veut construire le REM en banlieue rapidement,

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 32 minutes, redfu a dit :

Si Montréal a un taux d'accroissement plus élevé c'est uniquement grâce aux nouveau arrivant , ils n'ont pas nécessairement le droit de vote et ils ont des très faible revenue . A Montréal ,  on a 1 habitant sur 10 sur l'aide sociale et des revenues inférieur au autre régions du Quebec .Donc , il est possible que les autre régions du Quebec paient en partie pour la ligne rose via leurs impôts . Les média parlent sans arrêt de Montréal comme une ville pauvre , en déclin et une ville de BS , on ne peut pas s'attendre a recevoir du soutient des banlieue ou des régions. . 

http://www.journaldemontreal.com/2013/03/27/montreal-figure-parmi-les-villes-les-plus-pauvres 

http://www.journaldemontreal.com/2018/05/23/plus-pauvres-simplement

Le poids du PIB de Montréal est bien au dessus de son poids démographique, et le gouvernement sort (parfois) des chiffres sur les revenus et les dépenses dans toutes les régions. Plutôt que de supposer, il est possible de le calculer, et plusieurs médias ont fait le travail durant les dernières années. La pauvreté à Montréal et son poids dans l'économie, ce sont deux choses.

Quand on associe à cela que les dépenses en immobilisation à Montréal sont loin d'être exceptionnelles (la tendance est plutôt à être le fond du baril), la conclusion plus logique serait que Montréal manque d'investissement par rapport au reste de la province, si on avait une notion d'équité entre les habitants de la province.

Le taux de croissance de Montréal qui a explosé ne tient pas qu'à l'immigration internationale. C'est aussi la croissance naturelle (et son amélioration à retenir les familles et augmenter la taille des ménages qu'on voit dans les derniers recensements) et le solde interrégional négatif qui est relativement de plus en plus faible par rapport à la taille de la ville (ce solde n'a pas suivi la croissance démographique). D'ailleurs l'immigration est certainement importante dans notre économie, dire "que ça ne compte pas parce que c'est seulement des immigrants", c'est un peu insultant pour les immigrants :P.

il y a 28 minutes, vivreenrégion a dit :

non, en 2001, 1.81M sur l'île de Montréal, 3.42M au total, donc elle était encore plus de 50%. Même chose en 2006, 1.85M sur l'île, 3.63M total, en 2011, c'est à ce moment que la banlieue est passée devant.
1.88M sur l'île, 3.82M total, et en 2016, au mieux 2M sur l'île, mais 4.2M total. entre 2006 et 2016, l'île a gagné environ 150,000 habitants tout au plus, le total de la RMR est de +500,000, donc 350,000 pour la banlieue.

   

Tu n'as pas lu mes propos. La croissance de Montréal n'est plus à la traîne. Elle l'était en 2001, comme j'ai dis. Elle dépasse celle du Québec depuis quelques années. Elle a dépassé celle de nombreuses banlieues en 2017, et a continué d'augmenter à 11.9 par 1000. Le poids de Montréal AUGMENTE au Québec.

D'ailleurs Legault veut être premier ministre du Québec, pas de la région métropolitaine. Le poids de Montréal dans sa zone d'influence n'est pas un facteur pour la marginaliser. Ça veut juste dire que son influence va de plus en plus loin. Et aucune autre ville de la région ne va remplir son rôle.

J'ai parfaitement raison de dire que le poids de Montréal est en augmentation au Québec.

L'idée que Montréal perd de son importance relative au Québec est fausse. Tout simplement. Montréal renforce son poids démographique dans la province.

  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...