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REM (ligne A) - Discussion générale


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La grosse majorité des stations de la ligne orange etaient en milieu dense jusqua Cremazie. Et je trouve une occasion manquée de ne pas desservir le college john Abott et le campus mcdonald de Mcgill qui sont surement des destinations pour les habitants de l'ouest de l'ile surement que ca aiderai a remplir le REM en direction ouest. La logique est aussi de desservir des citoyens qui habitent deja dans ces zones . Meme si on devellope pres des stations de REM on n'atteindra pas le meme nombre de gens. Ne pas oublier que le long des Boulevard comme des Sources et St-Jean au nord de la transcanadienne il ya des immeubles a logements assez dense quand meme c'est pas des bungalow.

C'est très simple, la logique est que le projet est pour la densification "future" des stations. Comme la ligne orange lors de son ouverture, certaines stations étaient pratiquement au plein milieu de champs! Il est plus simple de créer de la haute densité que de convertir des zones existantes à basse densité.
Modifié par andre md
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p_xavier a dit :
C'est très simple, la logique est que le projet est pour la densification "future" des stations. Comme la ligne orange lors de son ouverture, certaines stations étaient pratiquement au plein milieu de champs! Il est plus simple de créer de la haute densité que de convertir des zones existantes à basse densité.

Effectivement, les gens parlent d'implantation dans des milieux déjà bâtis, mais il faut penser à densifier l'île de Montréal et ce, de manière intelligente (avec un réseau de transport structurant). Je préfère voir Pointe-Claire, Kirkland et Sainte-Anne-de-Bellevue se densifier que voir Blainville ou Mascouche s'étaler.

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J'appuie ton option AMmtFan1 Si on rapproche le REM des zone d'habitation on diminue la necessité d'avoir d'enorme parking incitatif. Je ne comprend pas la logique des stationnements alentour des stations de REM me semble que le but du transport en commun serait d'eliminer completement l'usage de la voiture. Par exemple viser le plus possible a avoir une voiture par foyer plutot que deux.La on va voir des voitures parcourir 3 ou 4 km pour aller passer le reste de la journée dans un parking ou est la logique? On doit favoriser l'acces au station de rem le plus possible au pietons et cycliste. La on met ca dans un champ et ca oblige les gens a utiliser un autre moyen de transport pour s'y rendre.

La logique serait selon moi d'avoir des stations a chaque boulevard important Il ya plein de parking sur des Sources ,St-Jean, St-Charles et terminer ca au cegep Abbot et campus Mcgill. Moins de bus moins de bagnole .

 

Le but du transport en commun est sans un premier temps de diminuer l'utilisation de la voiture, et plus tard (si possible) de l'éliminer. Il faut apprendre à marcher avant de courir un marathon. Le transport en commun de proximité est pratiquement inexistant dans des banlieues comme le West-Island et tous les avantages de la fréquence du REM seraient perdus s'il fallait attendre 30-60 minutes pour un autobus (à moins de faire partie de la petite minorité vivant à distance de marche du REM, même si on prend le tracé de la ligne électrique). Un automobiliste qui fait 2 km en voiture de chez lui jusqu'à un stationnement incitatif pour faire 18 km en transport en commun est plus avantageux qu'un automobiliste qui fait 20 km en voiture pour se rendre au travail. C'est quand même une amélioration importante.

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On se retrouve a zero personne a distance de marche pas tellement mieux. Et si je regarde les secteurs ou installe les stations combien de residence on peut y construire ? A distance de marche de l'intersection st-Jean et Salaberry on trouve pas mal d'immeuble a haute densité.

Le but du transport en commun est sans un premier temps de diminuer l'utilisation de la voiture, et plus tard (si possible) de l'éliminer. Il faut apprendre à marcher avant de courir un marathon. Le transport en commun de proximité est pratiquement inexistant dans des banlieues comme le West-Island et tous les avantages de la fréquence du REM seraient perdus s'il fallait attendre 30-60 minutes pour un autobus (à moins de faire partie de la petite minorité vivant à distance de marche du REM, même si on prend le tracé de la ligne électrique). Un automobiliste qui fait 2 km en voiture de chez lui jusqu'à un stationnement incitatif pour faire 18 km en transport en commun est plus avantageux qu'un automobiliste qui fait 20 km en voiture pour se rendre au travail. C'est quand même une amélioration importante.

St-Jean boulevard.jpg

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Le but du transport en commun c'est aussi de desservir les habitants deja la , pas seulement develloper des nouveaux secteurs. Et surtout viser a desservir le plus grand bassin possible de gens. Dans un article du journal les affaire on parlait de ville intelligente Montreal est loin de l'etre.

Pourquoi le REM ne se rend pas au cegep Abbott et Campus Mcdonald par exemple. On doit rendre Montreal le plus marchable posssible. Je reverai d'un Montreal ou 90% des deplacements se font a pied ,en transport en commun en biciclette. Comme Hong Kong l'est en quelques sortes on peut demander a p_ xavier il revient de Hong Kong justement.

 

Non, Montreal n'est pas une ville intelligente! | LesAffaires.com

 

Effectivement, les gens parlent d'implantation dans des milieux déjà bâtis, mais il faut penser à densifier l'île de Montréal et ce, de manière intelligente (avec un réseau de transport structurant). Je préfère voir Pointe-Claire, Kirkland et Sainte-Anne-de-Bellevue se densifier que voir Blainville ou Mascouche s'étaler.

Modifié par andre md
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On se retrouve a zero personne a distance de marche pas tellement mieux. Et si je regarde les secteurs ou installe les stations combien de residence on peut y construire ? A distance de marche de l'intersection st-Jean et Salaberry on trouve pas mal d'immeuble a haute densité.

[ATTACH]30170[/ATTACH]

 

Je ne dis pas qu'il ne faut pas s'installer proche de la population, mais simplement que les stationnements incitatifs sont une partie essentielle du transport en commun en banlieue. Il faut donc une balance. On peut ajouter à ça que les stationnements incitatifs peuvent être étagés ou souterrains, mais ça augmente les coûts.

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andre md a dit :
Le but du transport en commun c'est aussi de desservir les habitants deja la , pas seulement develloper des nouveaux secteurs. Et surtout viser a desservir le plus grand bassin possible de gens.

Il ne faut pas oublier que CDPQ Infra va tirer certains revenus de la captation foncière sur des projets immobiliers... Elle a donc un intérêt à placer ses stations dans des endroits développables plutôt que des endroits développés. Cela revient au concept "Build it and they will come". Comme j'ai dit, il faut penser à densifier l'île avant tout, particulièrement autour des axes de transport structurants. Si on veut faire revenir des familles sur l'île et rendre la ville plus attirante que la banlieue, c'est ce qu'il faut faire.

 

Bien sûr, je ne dis pas qu'il faut laisser tomber les secteurs déjà denses dans l'Est qui sont en manque total de transport rapide, mais pour ce projet, dont un des objectifs est de servir les gens du West Island, il faudrait vraiment penser à densifier les secteurs autour des stations. C'est de cette manière que plus de gens abandonneront leur voiture pour aller au travail.

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REM : de héros à zéro

*PASCALE DÉRY. JDM

A Mardi, 31 janvier 2017 11:50

MISE à JOUR Mardi, 31 janvier 2017 12:32

Encore une commission parlementaire ! C’est ce que réclament maintenant de nombreux groupes écologistes pour répondre aux récentes conclusions du BAPE, qui disait il y a quelques jours qu’il était prématuré d’aller de l’avant avec le projet de train électrique de la Caisse de dépôt.

Et pourtant, ça ne fait pas si longtemps que ça, les réactions étaient unanimes, l’enthousiasme débordant. Le Réseau électrique métropolitain était le projet de transport en commun le plus spectaculaire jamais réalisé au Québec, le plus ambitieux depuis l’inauguration du métro il y a 50 ans, celui qui allait révolutionner le transport collectif.

Le maire de Montréal, Projet Montréal, la STM, la Chambre de commerce, la communauté universitaire, bref, tout le monde a encensé le projet, même des écologistes.

Le 22 avril dernier, tout juste après l’annonce officielle de la Caisse de dépôt et placement, Équiterre diffusait un communiqué de presse dans lequel le directeur général félicitait la Caisse pour ses efforts dans la concrétisation de ce projet de si grande envergure. On pouvait y lire : « La CDPQ va réaliser en 5 ans ce que nous mettons 15, voire 20 ans à réaliser au Québec normalement, c’est rafraîchissant! ».

Déraillement

 

 

 

 

Mais cette lune de miel avec la Caisse et le REM n’aura été que de courte durée. Quelques semaines plus tard apparaît le premier grain de sable dans l’engrenage. Les couleuvres brunes, les blongios et la fameuse rainette faux-grillon viennent gâcher le party. Les premières études environnementales estiment que les travaux auraient un impact important sur ces espèces menacées.

À partir de ce moment, les critiques se sont multipliées. En septembre, une coalition formée de groupes écologistes et syndicats, baptisée Trainsparence, a commencé à dénoncer l’empressement de la Caisse dans la réalisation du projet. Il faut savoir que les travaux devaient débuter ce printemps, la livraison du train étant prévue en décembre 2020. Soudainement, la pertinence même du REM était remise en question. Cette coalition trouvait que ce projet faisait une trop grande place au privé et que l’unique but de la Caisse était de générer des revenus et du rendement.

Et même si ce train est électrique, la coalition est allée jusqu’à dire que ce projet n’entraînerait pas de réduction de gaz à effet de serre puisque les gens prendraient leur véhicule pour se rendre à la gare.

Trainsparence a mené une mégaopération anti-REM au cours de laquelle 100 000 tracts ont été distribués dans les réseaux de transport en commun dans la grande région de Montréal.

Le chef du Parti vert du Québec en a remis, soulignant que ce projet n’était qu’un simple stratagème électoral. Pour le président d’Option transport durable, le REM coûte trop cher et, selon lui, on pourrait avoir 10 fois plus de stations et déplacer cinq fois plus de monde avec un tramway.

Le récent rapport du BAPE a ajouté une couche en déclarant qu’il était prématuré d’aller de l’avant avec le projet, même si l’organisme a outrepassé son mandat en se penchant sur des questions économiques plutôt qu’environnementales.

Les groupes écologistes, eux, font preuve d’obstruction systématique en demandant la tenue d’une commission parlementaire.

L'histoire se répète

Nous voilà donc avec un grand projet de 5,5 milliards de dollars, porteur de développement économique, que les groupes de pression bloquent encore une fois. L’histoire se répète : dès qu’il y a un projet d’investissement au Québec, on l’empêche de voir le jour pour mille et une raisons.

On balaie du revers de la main un projet de train électrique, un projet « vert ». Ce sera quoi pour les projets de pipeline, de mines, de développement urbain, de développement forestier, etc. ?

Quelle ironie de repenser au concert d’éloges venant de divers groupes, alors qu’on n’entend plus que des critiques en ce moment. Je ne vous dis pas que le REM est parfait, certainement pas. Un projet de cette ampleur peut toujours être amélioré un peu. Mais doit-on le mettre de côté comme l’exige Québec solidaire ? Ce n’est pas en privilégiant l’immobilisme qu’on fait croître l’économie. Et, au Québec, cet immobilisme est devenu endémique.*

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Pour le président d’Option transport durable, le REM coûte trop cher et, selon lui, on pourrait avoir 10 fois plus de stations et déplacer cinq fois plus de monde avec un tramway.

 

On aurait pu aussi acheter 400 autobus supplémentaires, construire une ile avec des palmiers dans le fleuve, et acheter une franchise de la NFL.*

 

Au secours.*

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