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L'Économie du Québec


Habsfan

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Persos j'appuis les points sur l'éducation. C'est aberrant qu'il n'y aille pas plus d'efforts des gouvernement pour avoir une éducation performante et accessible. Le problème c'est que c'est un endroit ou couper ne parait pas trop. Les jeunes ne vote pas donc... Mais les décrocheur et les analphabètes coûte une fortune énorme a la société. Une dette que l'on accumule qui ne parait pas dans les chiffres officiels. 

Une personne avec une éducation sera probablement kiff kiff ou paiera de l'impôts. Une personne sans éducation sera une dépense à la charge de l'état pour toute sa vie. 

 

Autre chose, avec des revenu atteignant 100 milliards par ans,  un surplus de 2-3 milliars c'est du petit change. Cependant c'est important d'être au dessus qu'en dessous, comme dans la vrai vie. 

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Il y a 2 heures, Davidbourque a dit :

Persos j'appuis les points sur l'éducation. C'est aberrant qu'il n'y aille pas plus d'efforts des gouvernement pour avoir une éducation performante et accessible. Le problème c'est que c'est un endroit ou couper ne parait pas trop. Les jeunes ne vote pas donc... Mais les décrocheur et les analphabètes coûte une fortune énorme a la société. Une dette que l'on accumule qui ne parait pas dans les chiffres officiels. 

Une personne avec une éducation sera probablement kiff kiff ou paiera de l'impôts. Une personne sans éducation sera une dépense à la charge de l'état pour toute sa vie. 

 

Autre chose, avec des revenu atteignant 100 000 milliards par ans,  un surplus de 2-3 milliars c'est du petit change. Cependant c'est important d'être au dessus qu'en dessous, comme dans la vrai vie. 

Oui pour un effort en éducation, mais il faut que ce soit dans un contexte favorable au développement de l'économie.  Ça peut sembler  une affaire de la «poule et de l'oeuf», mais sérieusement, il serait mal avisé de tout miser sur l'éducation si on néglige le reste, tant du côté du fardeau fiscal que des autres dépenses structurantes: on assisterait alors à un exode des cerveaux, comme on le vit présentement dans certains pays du sud de l'Europe. Pas idéal...

Concernant le niveau actuel du surplus budgétaire, ramenons d'abord l'ordre de grandeur des revenus à 100 (pas 100 000 !) milliards  --en réalité autour de 80 milliards, constitués de 60 MM de revenus autonomes et de 20MM de transferts fédéraux.  Le surplus peut sembler modeste (en pourcentage), mais il ne faut pas oublier que cela se fait dans un contexte d'une structure des dépenses qui sont très majoritairement incompressibles: en d'autres mots, la marge de manoeuvre  (ce sur quoi on peut exercer un pouvoir discrétionnaire) est mince: il n'est pas si facile de réaliser des «économies»  substantielles en regard de la taille globale des dépenses.

Finalement, dans une perspective à long terme, on fait face à des défis persistants.  Le plus important est lié au vieillissement de la population, exerçant une pression toujours plus grande sur les dépenses de santé, et réduisant la part (pourcentage) des personnes actives contribuant aux revenus.  Il faudra aussi être capable de faire face à de possibles hausses des taux d'intérêts (impact sur le service de la dette),  une appréciation du dollar canadien et une diminution relative sinon absolue des transferts fédéraux pour la péréquation (dans la mesure où la capacité fiscale relative du Québec s'améliore).

Le Québec est en bonne posture budgétaire, mais ce n'est pas le nirvana.

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3 hours ago, Davidbourque said:

Persos j'appuis les points sur l'éducation. C'est aberrant qu'il n'y aille pas plus d'efforts des gouvernement pour avoir une éducation performante et accessible. Le problème c'est que c'est un endroit ou couper ne parait pas trop. Les jeunes ne vote pas donc... Mais les décrocheur et les analphabètes coûte une fortune énorme a la société. Une dette que l'on accumule qui ne parait pas dans les chiffres officiels. 

Une personne avec une éducation sera probablement kiff kiff ou paiera de l'impôts. Une personne sans éducation sera une dépense à la charge de l'état pour toute sa vie. 

 

Autre chose, avec des revenu atteignant 100 000 milliards par ans,  un surplus de 2-3 milliars c'est du petit change. Cependant c'est important d'être au dessus qu'en dessous, comme dans la vrai vie. 

Les grands responsable du decrochage avant le gouvernement se sont les parents. 

Quand bien meme on investirait de l'argent supplementaire ca changera pas tellement les choses. 

 

 

 

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On 11/5/2017 at 9:51 PM, Megafolie said:

Je suis d'accord qu'il fallait remettre de l'ordre dans le budget. Tout à fait! Mon point n'est pas de dénoncer ça, mais plutôt le fait de couper au début pour ensuite avoir des surplus en fin de mandat afin de pouvoir présenter un bilan posifif juste avant les élections. Ça fait magouille électorale... par contre j'avoue que tous les partis font ça. 

Ahh! Ok! :highfive:

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Le bas coût de l'électricité au Québec intéresse l'industrie mondiale du bitcoin

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1066336/cryptomonnaies-mineurs-bitcoins-quebec-hydro-electricite-centre-informatique

Publié aujourd'hui à 6 h 46 Mis à jour à 10 h 40
bitcoin-mineur.jpg
Photo : Radio-Canada/Bahador Zabihiyan
 

Un texte de Bahador Zabihiyan

Le cours du bitcoin progresse et de gros acteurs de cette industrie émergente jaugent le Québec pour installer possiblement leurs ordinateurs, qui consomment énormément d’énergie pour faire fonctionner le réseau informatique vital à cette cryptomonnaie.

Une dizaine d'entre eux, des entreprises asiatiques, ont contacté Hydro-Québec ces derniers mois.

Ce sont vraiment de très gros joueurs qui nous contactent […] Le Centre Bell de Montréal consomme l’équivalent de 5 mégawatts de puissance. Les joueurs qui nous contactent, ça peut être de 5 mégawatts à plusieurs centaines de mégawatts de puissance.

Éric Filion, vice-président clientèle d’Hydro-Québec

Qu’est-ce qu’un bitcoin?

C’est une unité d’un système de paiement virtuel (BTC) permettant à ses utilisateurs d’échanger des biens et des services sur Internet sans passer par une banque. Une fois un bitcoin échangé, il est impossible d’en garder une copie virtuelle.

Comment fabrique-t-on un bitcoin?

De puissants ordinateurs vérifient et sécurisent les transactions du réseau. On surnomme les propriétaires de ces ordinateurs les « mineurs » de bitcoin. Ces machines peuvent appartenir à des particuliers ou à des entreprises spécialisées qui sont rémunérées grâce à des frais sur les transactions.

Les plus importants « mineurs » de cryptomonnaies sont établis en Chine. Ces entreprises ont aussi installé d'immenses « mines » de bitcoins sur d'autres continents et pays, notamment en Islande.

Hydro-Québec espère les convaincre de s’installer ici.

L’énergie, qui est très propre, est souvent un facteur qui est très important pour eux. Le coût de notre énergie […], c’est le plus bas en Amérique du Nord. Notre température moyenne annuelle, qui est plus froide […], ça devient un facteur intéressant pour eux, parce que leurs coûts de refroidissement sont vraiment moindres.

Éric Filion, vice-président clientèle d’Hydro-Québec
Éric Filion, vice-président clientèle d’Hydro-Québec
Éric Filion, vice-président clientèle d’Hydro-Québec Photo : Radio-Canada

La prudence est de mise

Les cryptomonnaies sont souvent associées à la spéculation, aux pirates informatiques et à certains réseaux criminels. L’Autorité des marchés financiers du Québec précise qu’il faut être très prudent avant d’acheter des cryptomonnaies.

C’est une industrie qui est encore assez volatile. On est quand même assez prudents dans nos démarches, mais on voit de plus en plus que c’est une industrie qui s’établit, par exemple au Japon. C’est un mode de paiement qui est reconnu officiellement depuis avril.

Éric Filion, vice-président clientèle d’Hydro-Québec

La technologie des chaînes de blocs intéresse Hydro-Québec

Hydro-Québec regarde aussi de quelle manière elle peut utiliser la technologie derrière les cryptomonnaies pour faire des économies.

Celle-ci se nomme la technologie « chaîne de blocs » (blockchain en anglais). Il s’agit d’un registre électronique sécurisé et réputé infalsifiable, qui fonctionne sans organe de contrôle central. Une grande firme comptable québécoise s’y intéresse déjà.

« Un exemple d’application, ça peut être la façon dont on fait la facturation à nos clients. Vous savez qu’on émet environ 40 millions de factures par année, donc la technologie pourrait servir à améliorer nos processus d’affaires », suggère M. Filion.

Mais pas question pour l’instant de permettre aux clients de payer leur facture avec des bitcoins, précise M. Filion. « Ce n’est pas une monnaie qui est reconnue par la Banque du Canada », ajoute-t-il.

 

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De ce que je comprend, Québec ne s'intéresse pas tant dans les Bitcoin que dans le système d'échange de Bitcoin qui est très ingénieux(Décentralisé, anonyme, vérifier par de multiples pair pour garantir les transactions). Les bitcoins en ce moment sont très rentable coté investissement mais ça demeure de la pure spéculation. 

Ça peut crashé demain matin comme ça peut tripler. Les principaux vecteurs de croissance sont la spéculation ainsi que le crime organisé qui se sert beaucoup des monnaies électronique vu que les transaction ne sont pas retraçable.

Qu'ils viennent miner du Bitcoin, Ethereum et autre monnaie ici. Tant mieux, on leur vendra de l'électricité et on mettra de l'argent neuf dans nos poche. Cependant les crypto monnaies me font un peu chier parce qu'elles ont entraîner à la hausse le prix de beaucoup de matériel informatique. (les cartes graphiques par exemples...)

 

 

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Publié le 15 novembre 2017 à 05h00 | Mis à jour à 06h16

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201711/14/01-5143577-pres-de-1-milliard-de-cadeaux-par-quebec-aux-contribuables.php

Près de 1 milliard de cadeaux par Québec aux contribuables

La synthèse des opérations financières de Carlos Leitão... (Photo Jacques Boissinot, archives La Presse canadienne)

La synthèse des opérations financières de Carlos Leitão sera déposée mardi prochain, le 21 novembre, à l'Assemblée nationale.

Photo Jacques Boissinot, archives La Presse canadienne

 
Denis Lessard
Denis Lessard
La Presse

(Québec) Le gouvernement Couillard se prépare à annoncer une baisse générale de l'impôt des particuliers, un allègement de près de 1 milliard à même les surplus de 2 milliards dégagés après trois ans d'austérité budgétaire.

La synthèse des opérations financières de Carlos Leitão sera déposée mardi prochain, le 21 novembre, à l'Assemblée nationale, à temps pour réconforter les militants libéraux réunis en congrès la fin de semaine suivante.

Les entreprises devront attendre le budget du printemps prochain pour bénéficier d'un allègement de leur fardeau fiscal. Pas question non plus de réduire la taxe de vente, ajoutent les sources de La Presse. Le mini-budget contiendra deux ou trois mesures fiscales importantes ; pas question de saupoudrage. À tour de rôle, les ministres ont commencé à se rendre au ministère des Finances pour prendre connaissance des éléments qui touchent leur ministère.

Réduction de 200 $ par contribuable

 

La baisse d'impôt touchera l'ensemble des contribuables - enfin, ceux qui paient des impôts (presque 40 % des citoyens ne paient pas d'impôts si on tient compte des fiscalités provinciale et fédérale). Une règle admise indique que pour réduire l'impôt de 50 $ à l'ensemble des contribuables, Québec se prive de 250 millions de revenus. Une baisse aussi réduite avait été ridiculisée par l'opposition au dernier budget.

Des sources fiables indiquent qu'il faut s'attendre à ce que Québec injecte près de 1 milliard dans l'allègement de l'impôt des particuliers, ce qui réduirait le fardeau fiscal d'environ 200 $ par contribuable. 

Car des 2 milliards de surplus, il faut comprendre qu'une partie seulement est devenue « structurelle », donc qu'elle sera récurrente à la suite de compressions des dépenses et de hausses pérennes des revenus.

En octobre dernier, le premier ministre Couillard avait prévenu que tous les surplus ne seraient pas balancés en baisses d'impôt. « On va bien évaluer de façon prudente, j'insiste sur le mot "prudente", la partie du surplus budgétaire qui va se répéter année après année, et on va faire un sage équilibre entre l'allègement fiscal et les investissements essentiels, surtout en éducation, en santé et pour la nouvelle économie », avait indiqué M. Couillard.

Lutte contre la pauvreté

En annonçant ses intentions avant le 1er janvier, Québec fait en sorte que les employeurs pourront appliquer les nouvelles tables dès le début de l'année. Les contribuables à haut revenu profiteront aussi de la fin de la taxe santé - une réduction d'environ 1000 $ de leur impôt.

La synthèse annoncera aussi les fonds aiguillés vers le troisième plan de lutte contre la pauvreté, visant essentiellement les personnes qui vivent seules. 

Le budget du printemps dernier s'engageait à sortir de la pauvreté 100 000 personnes en cinq ans. Le seuil de pauvreté est établi autour de 18 000 $ de revenu annuel. On visera des salariés à faible revenu, mais aussi des bénéficiaires de l'aide sociale qui verront une augmentation des incitatifs financiers à accepter un emploi. 

Le ministre de la Solidarité sociale, François Blais, annoncera les détails de son plan de lutte dans les jours qui suivront l'annonce de son collègue Leitão.

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Quelle drôle d'idée quand même : retourner l'argent "non-dépensé" qu'on avait soutiré aux contribuables serait un "cadeau". Je te donne 10$ pour acheter un sac de chips et une boisson gazeuse, ça t'en coûte 7$. Tu me fais un cadeau quand tu me remets le 3$ de change?

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Plutot on devrait prendre le milliard de $ est baissé les taxes sur la masse salarial . Ca coute cher a nos entreprises et ca decourage l'embauche. 

Si je ne me trompe nous sommes la provinces ou les taxes sur la masse salarial sont les plus elevés. 

 

 

 

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