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Avis aux pessimistes : ne lisez pas ceci => Montréal va bien !!


yarabundi

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Il y a plus de 20k fonctionnaires de tout niveau à Montréal (en incluant les sociétés para municipales, police...) c'est sur que sur 20k il y en a des malhonnêtes, après tout, un nombre si grand d'individus est une bonne représentation de la population!

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Membres prolifiques

Moi je suis rendu à croire qu'il n'y a rien à faire contre la corruption. Parce qu'en ce moment, ce n'est pas contre les entrepreneurs que je veux sévir, eux font de la business, mais plutôt contre les nombreux fonctionnaires qui se sont rempli les poches d'argent sale tout en empochant un excellent salaire avec de généreux avantages sociaux sans publier les scandales des régimes de pensions dont nous devons payer 70% alors que nous n'en avons aucun, pour la plupart d'entre nous. De plus, jusqu'à maintenant les fonctionnaires n'habitaient même pas à Montréal !

 

Un moment donné assez c'est assez Tabarnak ! Tanné de faire rire de nous autres !

 

Donc se faire fourrer par des entrepreneurs est une chose et nous allons avoir de la difficulté à se débarrasser de ce problème sauf qu'on pourrait se débarrasser de plusieurs employés de la ville, de cadres et du coup baisser les taxes municipales. De cette façon on ne sauvera peut-être pas sur les ''cuts'' des entrepreneurs mafieux mais on va au moins sauver sur les salaires des employés car pour l'instant la preuve est faite qu'ils sont incompétents et une gang de voleurs.

 

 

Rien à faire pour convaincre certains que la corruption au complet peut être éradiquée.

 

Par contre y a tout a faire pour réduire la corruption puisqu'elle ne pourra jamais être complètement éliminée.

 

 

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La commission Charbonneau aura une lourde tache a clarifier les declarations qui sont faites pour en arriver a des recommendations.

J'espere que tout ca va mener a quelques choses et qu'on va fermer ce "bar open".

 

Si on fait le decompte de tous les couts d'infrastructures pour la ville au cours des 20-30 dernieres annees, l'ensemble de ces fraudes represente des sommes d'argent immenses?

Suite a des deficit accumules successifs, quelle portion de la dette de la ville representent ces fraudes???

On peut faire nos calculs, ca serait bien de recevoir un cheque...

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"La réduction du nombre d’employés des travaux publics a accentué la corruption qui faisait déjà partie de la « culture d’entreprise » à la Ville de Montréal. C’est ce qu’affirme l’ingénieur retraité Luc Leclerc, qui a reconnu jeudi, devant la commission Charbonneau."

- Le Devoir, aujourd'hui.

 

Évidemment, la corruption ne pourra jamais être totalement éradiquée, mais en voulant diminuer le nombre de fonctionnaires, qu'on accuse de tous les maux (les médias de Québécor s'en chargent avec zèle), on ne fait qu'accentuer le mal qu'on essaie de combattre.

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Il faut réduire le nombre de fonctionnaires.

 

Montréal a probablement plus de conseillers, maires, etc. que Vancouver et Toronto réunies !!! ( Je dis ça sans preuve mais c'est l'impression qu'on a vous trouvez pas ??)

 

 

Il faut faire appel à des firmes externes redevables à la population.

 

 

Par exemple, pensez-vous que Brocolini accepterait qu'un ingénieur sur son chantier augmente les coûts de 30% ???? Cet ingénieur serait en prison depuis longtemps.

Il faut instaurer la même mentalité dans la fonction publique.

 

 

Je travaille moi-même pour le gouvernement et c'est incroyable les gaspillages qui s'y produisent, autant au fédéral qu'au municipal. Malgré que les fonctionnaires devraient en théorie être les plus redevables envers la population en général, le climat de travail n'est pas propice à cela. Il y a un espèce d'encouragement réciproque et silencieux à profiter le plus possible des nombreux avantages d'y être.

 

C'est la culture d'entreprise de toute organisation gouvernementale n'importe où dans le monde. Alors si à Montréal on peut réduire cela un peu, réduisons le nombre d'élus !!! La situation actuelle ne fait aucun sens !!

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Montréal | croissance

Il faut retrouver la fierté

Jean-François Lisée veut accroître la croissance de Montréal en redonnant confiance aux citoyens

Anne Caroline Desplanques

 

Journal de Montréal, Publié le: dimanche 04 novembre 2012, 21H07 | Mise à jour: dimanche 04 novembre 2012, 21H12

 

 

Montréal n’est pas uniquement la ville corrompue décrite un peu plus chaque jour devant la juge Charbonneau. C’est aussi une métropole qui fourmille de projets. Pour doper la croissance, le ministre Jean-François Lisée souhaite que ses citoyens retrouvent la fierté qui les habitait au temps de l’Expo 67.

 

Pour le ministre responsable de la métropole, si Montréal a pu avoir un taux de croissance économique de plus 4% ces deux dernières années, la créativité de ses entrepreneurs pourrait lui permettre d’atteindre «facilement» 6% et dépasser ainsi de 2% les chiffres d’une récente analyse du Mouvement Desjardins.

 

À ses yeux, le climat politique actuel et la frustration populaire qu’il engendre est le principal frein au décollage de la ville.

 

«Il y a quelque chose qui est intangible et incalculable, qui est la perception qu’on est en train de construire quelque chose. En ce moment, les Montréalais n’ont pas cette perception-là à cause des scandales, à cause de plusieurs dysfonctionnements», explique-t-il au Journal au terme d’une journée d’activités sur le terrain dans sa circonscription de Rosemont.

 

L’exemple de Québec

 

D’une poignée de main à l’autre, Jean-François Lisée voit une ville bouillonnante de projets et de volonté à l’aube d’un renouveau. «C’est comme si Montréal était un moteur de proposition en attente de quelque chose», décrit-il.

 

«Si on pouvait, en 2017, être aussi fiers d’être citoyens de la métropole que les gens de Québec sont fiers d’être de la capitale nationale, on aurait transformé notre réalité», estime-t-il. Le ministre se donne deux ans, d’ici le 375e anniversaire de la ville et le 50e anniversaire de l’Expo pour y parvenir.

 

Volonté d’agir

 

Du gymnase du Centre Épic de l’Institut de cardiologie de Montréal (ICM) au centre communautaire local, le ministre sert des mains, blague, questionne, mais surtout il écoute, souvent impressionné par les citoyens qu’ils rencontrent.

 

Ni apathiques ni décrocheurs, tous ont au contraire l’énergie et la volonté d’agir, de faire partie du changement. Médecins, éducateurs physiques, travailleurs de rue à Montréal-Nord ou à Saint-Michel, ils sont tous ravis que le ministre se soit déplacé pour les rencontrer.

 

Au Centre Épic, spécialisé dans la réadaptation des malades cardiaques et la prévention des maladies chroniques, c’était la toute première fois qu’un ministre visitait les locaux

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