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TGV: Liaison Windsor - Québec


mtl_yul

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On peut bien se plaindre des politiciens. Mais on a les politiciens qu'on mérite!

 

Ce sont nos attentes, nos expectatives par rapport au futur qui déterminent les décisions politiques d'aujourd'hui. Tout comme ce sont nos attentes dans nos propres vies personnelles qui déterminent nos choix dans le présent.

 

Si vous êtes cynique, vous invitez un avenir encore plus déprimant.

Si vous êtes confiant, optimiste, et exigeant, qu'est-ce que vous préparez pour l'avenir?

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Je en suis pas d'accord avec vous sur le manque de vision des nos politiciens dans le projet du TGV. Il n'y a pour l'instant pas d'études qui justifient clairement le besoin d'un TGV entre windsor et québec en comparaison de l'énorme investissement qu'il nécessiterait, et il ne faut pas oublier qu'un projet est en concurrence avec tous les autres. Les ressources sont rares et nos politiciens doivent les attribuer là où on en a le plus besoin.

 

Je ne suis pas, mais alors pas du tout convaincu qu'à l'heure actuelle au Canada ce soit le projet le plus prioritaire (nos infrastructures locales, bien plus utililes qu'un TGV, sont en lambeaux!).

 

Si ça se fait en Europe, c'est qu'il y a un énorme lobby du rail et du copinage politique...

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Des investissements de 18 G$ nécessaires

 

Le TGV a un fort potentiel de rentabilité

Agence QMI

 

02/02/2009 22h03

 

 

Le TGV permettrait franchir la distance Montréal-Québec en 50 minutes.

Collaboration spéciale Le corridor Québec - Windsor offre un fort potentiel de rentabilité pour une desserte par train à grande vitesse, estiment les dirigeants de la SNCF.

 

« Ce corridor réunit par ses caractéristiques démographiques, socio-économiques, géographiques et administratives toutes les conditions d'une rentabilité économique et sociale et d'une pertinence en terme de demande de transport pour la mise en service d'un réseau ferroviaire à grande vitesse, » écrivent les dirigeants de la SNCF dans une « proposition technique et financière » faite à la Ville de Québec le mois dernier. Trois critères

 

L'étude commandée à la SNCF permettra de démontrer cette affirmation du transporteur français, nous a-t-on dit lundi. Trois critères doivent être remplis pour rendre une ligne de TGV rentable, a exposé lundi le pdg de la SNCF Jean-Pierre Loubinoux: « Un bon tracé, un bassin de population suffisant et son pouvoir d'achat ». Québec - Windsor répond favorablement à ces critères, anticipe la SNCF.

 

Le corridor long de 1100 kilomètres joindrait les villes de Québec, Montréal, Ottawa et Windsor. Une population de 18 millions d'habitants serait ainsi desservie par le TGV.

 

Un atout

 

À entendre les dirigeants de la SNCF, les Canadiens ne savent pas ce qu'ils manquent. Un train circulant à 320 kilomètres heure permettrait de joindre Québec et Montréal en 50 minutes comparativement à trois heures présentement. Et le titre de passage coûterait entre le prix d'un billet d'avion et celui d'un billet de train actuel, affirme Jean-Pierre Arduin, conseiller du président Loubinoux.

 

Effet de rapprochement

 

Le TGV crée un effet de rapprochement entre villes éloignées, affirme le pdg de la SNCF. C'est ce qui s'est produit en Europe, affirme M. Loubinoux. Un résidant de Québec pourrait donc travailler quotidiennement à Montréal et revenir à la maison à tous les soirs, observe le maire Labeaume. Le TGV augmente la mobilité des gens à cause du temps réduit de déplacement, dit-il.

 

« En Europe, le TGV est devenu aussi vital que le gaz et l'école », affirme Jean-Pierre Loubinoux.

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La SNCF a toute l'expertise nécessaire pour donner son avis sur le sujet (il est même heureux que la société se prononce) mais il faut bien avoir en tête qu'elle aurait beaucoup d'argent à faire dans un tel PPP (que ce soit avec SNCF International en expertise ou avec Keolis pour l'exploitation).

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Tory Senator hopes to fast track rail link

 

By Mike De Souza, Canwest News Service

February 7, 2009 12:01 PM

 

OTTAWA -- The Harper government's new point man for Montreal has got a high-speed train in his sights.

 

In a wide-ranging interview, newly appointed Senator Leo Housakos said he would be pushing the high-speed rail option between Quebec City and Windsor onto the government's agenda.

 

Housakos, 41, who served for a year on the board of VIA Rail until 2008, said he recognized that Canada was built on its railway system and should use a new train infrastructure project as part of an economic stimulus plan.

 

"I think this is an opportunity with high-speed rail to take Canada into the 21st century with an infrastructure program that's environmentally green, that can create tons of jobs, and can really connect this country quickly, especially starting off with the Quebec City-Windsor corridor," said Housakos, 41, who was among 18 Conservative senators appointed by Prime Minister Stephen Harper in December.

 

In its latest budget, the Harper government announced it would increase funding to VIA Rail Canada by $407 million to improve service, particularly between Montreal, Ottawa and Toronto. But most infrastructure experts have said that the proposal for a full-blown high-speed link would require construction of a new track solely for passenger trains and would likely carry a multibillion-dollar price tag.

 

"The 21st century is about speed, and I think that (a high-speed rail link) is a project that's dear to my heart. It's something that I want to put on the forefront of the agenda."

 

The Tory Senator's comments come nearly a year after the premiers of Quebec and Ontario announced a joint feasibility study for a new high-speed rail project that would cover a territory that is home to about half of the Canadian population. In the House of Commons, an all-party committee led by Conservative MP Dean Del Mastro, from Peterborough, Ont., has also been advocating a new high-speed link for Central Canada.

 

But Housakos admitted that he still had a lot of work to do in order to convince his government to buy into the plan.

 

"Unfortunately, in government, you have to appreciate that things move in millimetres and the yardsticks have to go forward," he said. "So I think the first step is to sensitize all the key players and to just keep at it until it gets done. I don't think I have a particular target in terms of (whether it would be approved) next year or the year after, but I will definitely do the best that I can to keep it on the floor."

 

Housakos said this is just one aspect of his mandate as the Conservative government's lone representative in Parliament from Montreal where the party has virtually been shut out in elections for the past 20 years.

 

"Obviously we have a lot of work to do in the greater Montreal area," said Housakos, who was a Canadian Alliance candidate in the region during the 2000 federal election. "There's no secret it's one of the toughest parts of the country for us."

 

He said Harper has asked him to engage with Montrealers, cultural groups and communities throughout the city to listen to their concerns and be their voice in the Conservative caucus. He said he hopes that federalists in Montreal will recognize that they have an alternative to the Liberal party and begin to play a "vibrant" role in the Conservative party.

 

"I think they should never forget that the Liberal party was ready to form a coalition government with a leader who was not worthy to remain leader of the Liberal party," he said. "But they were willing to make him prime minister of Canada with a knife at the throat from Gilles Duceppe and the Bloc Quebecois supporting that government. I think that's unacceptable."

 

Housakos, a longtime fundraiser for the Conservatives and provincial Action democratique du Quebec parties, said he has always supported an elected and effective Senate and will gladly support legislation to reform Parliament's upper chamber when it's introduced by the government, possibly in the coming weeks.

 

mdesouza@canwest.com

© Copyright © The Montreal Gazette

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  • 2 semaines plus tard...

TGV : Des villes embarquent

 

Mise à jour le mardi 17 février 2009, 11 h 17 .

 

La Ville de Québec va diriger une coalition de maires qui feront la promotion auprès des gouvernements d'un train à grande vitesse (TGV) dans le corridor Québec-Windsor. Lors de la séance du conseil municipal, lundi soir, le maire Labeaume a annoncé que Toronto, Windsor, Montréal, Laval et la communauté métropolitaine de Montréal se ralliaient au projet.

 

Régis Labeaume a indiqué que la Société nationale des chemins de fer français, la SNCF, réalisera une étude d'impact socio-économique sur le projet de TGV Québec-Windsor. Les coûts de cette étude, qui s'élèvent à plus de 300 000 $, seront partagés entre les villes qui font partie de la coalition. Ainsi, Québec paierait environ 80 000 $ pour cette étude d'impact.

 

D'autres villes pourraient également s'ajouter au cours des prochaines semaines.

 

Le maire Labeaume a convaincu les maires de villes qui longent le corridor Québec-Windsor de l'importance du projet, mais pas l'opposition qui favorise plutôt un projet de tramway. Le conseiller du district des Faubourgs, Pierre Maheux, a souligné qu'il fallait d'abord assurer la mobilité des citoyens de Québec au quotidien. « Ce que je remarque, c'est qu'on peut féliciter le maire parce que grâce à lui, effectivement, tous ses projets marchent. Ça va prendre 55 minutes faire Québec-Montréal, et ça va prendre une heure faire Sainte-Foy-Beauport », a fait valoir le conseiller.

 

Le maire Labeaume maintient que le projet de TGV est prioritaire. « Pendant des années, on nous a dit qu'il fallait payer avec l'argent public une étude sur le tramway de 8 millions de dollars, 100 fois plus que ce qu'on va payer pour ça [l'étude sur le TGV]. Tant qu'à moi [sic], c'est 100 fois moins de résultats parce que le TGV, je pense que c'est majeur », a déclaré le maire.

 

Près de 60 % de la population canadienne vit dans le corridor Québec-Windsor.

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Ignatieff appuie le TGV Québec-Windsor

 

Le Devoir

Robert Dutrisac

Édition du mercredi 18 février 2009

 

Mots clés : Régis Labeaume, Michael Ignatieff, Train à grande vitesse (TGV), Transport, Québec (ville), Canada (Pays)

 

Québec -- Le chef libéral Michael Ignatieff a donné son plein appui au projet d'un train à grande vitesse (TGV) Québec-Windsor que chérit le maire de Québec, Régis Labeaume.

 

«Je suis entièrement pour ce projet», a déclaré, hier, Michael Ignatieff, qui s'est présenté devant la presse en compagnie du maire de Québec, Régis Labeaume, après une rencontre entre les deux hommes. Michael Ignatieff est présentement en tournée au Québec.

 

«J'ai vu en France et en Europe l'impact du TGV sur le développement régional», a indiqué M. Ignatieff. «J'ai vu ce que le TGV apporte aux régions de la France, par exemple, et je veux qu'un TGV au Canada [fasse] le même effet sur les régions du Québec.»

 

La semaine dernière, c'est le chef du Nouveau Parti démocratique, Jack Layton, qui apportait son appui au maire Labeaume pour ce projet de TGV. De même, la chef du Parti québécois, Pauline Marois, a récemment fait connaître son engagement en faveur du projet. Quant au premier ministre Jean Charest, il s'est entendu l'an dernier avec son homologue de l'Ontario, Dalton McGuinty, pour qu'une étude de préfaisabilité portant sur le TGV Québec-Windsor soit réalisée.

 

Du côté du gouvernement Harper, on ne veut pas s'engager avant de voir les résultats des études de faisabilité. Par ailleurs, le gouvernement conservateur continue d'investir dans le train conventionnel: il a annoncé l'octroi de 400 millions de dollars à Via Rail afin d'améliorer les voies ferrées en Ontario. Et rien en ce sens pour le Québec.

 

De son propre chef, le maire Labeaume vient de commander une étude sur les bénéfices d'un TGV entre Québec et Windsor à la Société nationale des chemins de fer de France (SNCF). M. Labeaume a révélé lundi que la Ville de Québec ne serait pas seule à assumer les coûts de cette étude, évalués à 350 000 $. Les villes de Montréal, Toronto, Laval et Windsor ainsi que la Communauté urbaine de Montréal ont accepté de financer l'étude. La part de la Ville de Québec s'élève à 85 000 $.

 

Michael Ignatieff s'est dit «impressionné» par le maire Labeaume, «un grand homme pas seulement à l'échelle de la région de Québec, mais à l'échelle nationale». Le maire de Québec a «une vision nationale de l'importance de la ville de Québec au sein du Canada et au sein de la province de Québec», estime M. Ignatieff. Outre le projet de TGV, le chef libéral a cité l'exemple du projet de doter Québec d'un anneau de glace pour y tenir des compétitions. Cette installation ferait partie d'un prochain «réseau national» de centres sportifs. «C'est un projet qui peut faire se réunir [sic] les Canadiens», s'est réjoui le chef libéral.

 

http://www.ledevoir.com/2009/02/18/234481.html (18/2/2009 10H29)

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