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Expos de Montréal


mtlurb

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Just now, Né entre les rapides said:

If a waterfront site is critical, Las Vegas is doomed... then comes Montreal!:P

Maybe we can design a stadium with a silo au champ gauche.. a first in the MLB!

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Il y a 3 heures, Rocco a dit :

Maybe we can design a stadium with a silo au champ gauche.. a first in the MLB!

Ce serait malade honnêtement avec une terasse sur le toit du silo vue sur le centre-ville et sur le match. Best spot in town 

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Cet article du NY Times me donne le goût du Baseball ️.  Go Expos Go!

Avez vous entendu parler de Shohei Ohtani?

Shohei Ohtani Unleashed
https://www.nytimes.com/2021/05/14/sports/baseball/shohei-ohtani-unleashed.html?referringSource=articleShare

 

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Consultation au Bassin Peel

La Ville de Montréal avait oublié d’inviter Stephen Bronfman

PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE

La Ville de Montréal avait omis d’inviter le Groupe baseball Montréal de Stephen Bronfman à participer à sa concertation citoyenne ce printemps portant sur le développement du secteur Bridge-Bonaventure.

La Ville de Montréal avait omis d’inviter le Groupe baseball Montréal de Stephen Bronfman à participer à sa concertation citoyenne ce printemps portant sur le développement du secteur Bridge-Bonaventure, là où M. Bronfman veut bâtir un stade pour le retour du baseball majeur à Montréal.

Publié le 18 mai 2021 à 6h00

https://www.lapresse.ca/affaires/2021-05-18/consultation-au-bassin-peel/la-ville-de-montreal-avait-oublie-d-inviter-stephen-bronfman.php

André Dubuc
La Presse

La Ville s’est reprise à temps pour les deux derniers ateliers sur les cinq prévus ce printemps.

« On a participé le 13 mai dernier à l’atelier qui a été organisé par les consultants de la Ville de Montréal dans le cadre de la consultation privée, dit au téléphone Daniel Granger, porte-parole du Groupe baseball Montréal. On va y être aussi cette semaine. »

Les précédents ateliers, on n’a pas pu y aller. Il y a eu une petite erreur, un imbroglio, du côté de la Ville, on n’avait pas été prévenus. La Ville pensait nous avoir invités, mais ce n’était pas le cas.

Daniel Granger, porte-parole du Groupe baseball Montréal

« On avait participé à la consultation de l’Office de consultation publique de Montréal [à l’automne 2019]. On ne s’est jamais cachés. Quand on a finalement eu l’information au sujet de la consultation privée, on a appelé la Ville pour savoir si on pouvait y participer. La Ville a dit oui. »

Ce printemps, Montréal a mandaté l’Institut du Nouveau Monde et Espace Stratégies pour organiser cinq ateliers dans le cadre d’une concertation citoyenne sur invitation ayant pour but de recueillir les commentaires des participants « afin d’alimenter la réflexion sur l’élaboration du Plan directeur de mise en valeur du secteur Bridge-Bonaventure », selon ce qu’a expliqué la Ville dans un courriel. Le Plan directeur pourrait être connu plus tard dans l’année.

La concertation se compose de cinq ateliers. Quatre ont déjà eu lieu. Le dernier se tiendra le 20 mai.

PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Stephen Bronfman

Ni M. Bronfman ni son Groupe baseball Montréal n’apparaissaient sur la liste des invités à participer à la concertation que la Ville a transmise à La Presse le 11 mai. « Après vérification, Groupe baseball Montréal a bien été invité. Il y a eu un problème technique lors de la création de la liste. Je suis désolée de l’omission », a écrit une relationniste de la Ville le même jour.

Dans sa vision de développement du secteur Bridge-Bonaventure, la Ville de Montréal souhaite mettre en valeur le silo P&H Milling trônant au beau milieu du terrain de la Société immobilière du Canada (SIC), convoité par Stephen Bronfman.

Il s’agit de documents de discussion et non de positions formelles, précise la Ville.

La Ville a également déterminé que deux autres bâtiments situés à proximité du silo oublié sont d’intérêt patrimonial. La Ville propose aussi de prolonger une rue à travers le terrain de la société du gouvernement fédéral. Les documents de participation ne fournissent aucune indication quant à l’emplacement de la future gare du Réseau express métropolitain dans le secteur.

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Le 2021-05-13 à 09:03, Rocco a dit :

Je me demande pourquoi le bassin Peel est si controversé. Je veux dire, on a fait tomber un projet du cirque du soleil il y a 15 ans et là encore, ça gosse comme pas possible. C'est quoi le foutu problème dans cette ville???

Il n'y a aucun rapport entre ces deux projets qui ne sont aucunement reliés. D'ailleurs poser la question sur le foutu problème de notre ville, c'est démontrer une méconnaissance profonde des enjeux, en les simplifiant de manière caricaturale.

Encore une fois développer un site majeur à proximité du centre-ville est une opération complexe qui demande des analyses poussées, des études de marché exhaustives pour chaque composante et des négociations (souvent ardus) entres les différents propriétaires concernés. Et ce n'est que la pointe de l'iceberg quand on sait le que le diable est dans les détails.

Quant au fameux projets de casino en partenariat avec le Cirque du Soleil. C'était un projet mal ficelé qui n'avait pas obtenu l'acceptabilité sociale, à cause justement de sa nature controversée. 

Voici deux articles sur le sujet: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/298900/casino-abandon

https://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201505/28/01-4873202-projet-avorte-du-cirque-a-pointe-saint-charles-tremblay-replique-a-coderre.php

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  • Administrateur
6 minutes ago, Rocco said:

Les nuages commencent à s'accumuler...

Le propriétaire accusé d'avoir menti à ses actionnaires: https://lp.ca/9RdLBX

Pourquoi ça serait négatif pour les Expos? Me semble au contraire, ça démontre l’acharnement du groupe de Bronfmann d’aller chercher une équipe depuis 2014. À moins que je comprends pas quelque chose ?!

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  • 5 semaines plus tard...

Stade de baseball

Un architecte-urbaniste bien connu fait équipe avec Stephen Bronfman

PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL

Groupe Baseball Montréal souhaite construire un stade de balle au bassin Peel, au sud-ouest du centre-ville.

L’équipe Groupe Baseball Montréal de Stephen Bronfman s’est adjoint les services d’un joueur étoile en la personne de l’architecte-urbaniste Clément Demers, à qui l’on doit la réalisation du Quartier international de Montréal et la mise en place du Quartier des spectacles.

Publié le 28 juin 2021 à 8h00

https://www.lapresse.ca/affaires/2021-06-28/stade-de-baseball/un-architecte-urbaniste-bien-connu-fait-equipe-avec-stephen-bronfman.php

André Dubuc La Presse

Le professeur retraité de la faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal a également siégé au comité d’experts sur la qualité architecturale pour le nouveau pont sur le Saint-Laurent. « Clément Demers travaille comme conseiller sur toutes les questions d’urbanisme et d’aménagement, ses domaines d’expertise à lui », indique Daniel Granger, porte-parole de Groupe Baseball Montréal. Il situe l’embauche de M. Demers entre la fin de 2020 et le début de 2021. Il a été impossible de parler à M. Demers la semaine dernière.

Groupe Baseball Montréal souhaite construire un stade de balle au bassin Peel, au sud-ouest du centre-ville. Jusqu’à présent, le promoteur s’est fait avare de détails en ce qui a trait à son projet. Devant l’Office de consultation publique de Montréal en octobre 2019, M. Bronfman avait parlé d’un stade vert, respectueux des principes de développement durable. En mars dernier, on a appris que son groupe avait pris contact avec le gouvernement provincial au sujet du financement de l’infrastructure. Le premier ministre Legault s’est dit prêt à en discuter.

PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Clément Demers, architecte-urbaniste

M. Demers a participé au nom de Groupe Baseball Montréal aux deux derniers ateliers de la concertation citoyenne sur l’aménagement du secteur Bridge-Bonaventure, les 13 et 20 mai dernier. La table est organisée par l’Institut du Nouveau Monde à la demande de la Ville de Montréal. Celle-ci avait oublié d’inviter M. Bronfman à participer aux trois premiers ateliers.

« Obsédé par la qualité des projets »

« C’est sûr que quand Clément Demers touche à un projet, le projet sera meilleur », témoigne le promoteur Christian Yaccarini, PDG de la Société de développement Angus, qui a collaboré récemment avec lui sur une réflexion au sujet du REM de l’Est. « Il est obsédé par la qualité des projets. Il sait calculer. Il ne fait pas des éléphants blancs. Il a une culture architecturale et urbanistique absolument fabuleuse. Il veut que Montréal soit belle. »

M. Demers est un défenseur de l’importance de la beauté en matière de développement urbain. Selon lui, un projet de qualité supérieure sera plus rentable pour la collectivité à la longue que le projet réalisé au plus bas coût possible. « Pour avoir du succès, il faut faire du beau. Dans la vie, c’est toujours l’effort supplémentaire qui est payant », avait-il confié à l’auteur de ces lignes en 2006 au moment où il dirigeait le Quartier international de Montréal, secteur qui se démarque par le mobilier urbain esthétique du designer industriel Michel Dallaire et la présence de la sculpture La Joute de Riopelle.

Avoir quelqu’un de sa trempe qui s’implique dans un projet fait partie de la base pour créer des conditions gagnantes.

Jean Laurin, PDG de l’agence immobilière Avison Young Québec

« Si Clément Demers s’implique dans le projet de baseball, c’est qu’il en voit le potentiel et il veut le rendre meilleur », poursuit M. Laurin, qui préside aussi le conseil de Montréal International.

En tant que coresponsable du Codex de l’Observatoire Ivanhoé Cambridge du développement urbain et immobilier, M. Demers a récemment dirigé un travail de recherche sur l’acceptabilité sociale de grands projets urbains dans le quartier Griffintown, pas loin du site projeté pour le futur stade.

Une ombre au tableau, toutefois, l’organisme (Quartier international de Montréal devenu AGIL OBNL depuis) que dirige M. Demers a été montré du doigt en 2015 par le Bureau de l’inspecteur général qui critiquait sa gestion de projet dans un contrat obtenu auprès de la Société du parc Jean-Drapeau.

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Il y a 5 heures, acpnc a dit :

M. Demers est un défenseur de l’importance de la beauté en matière de développement urbain. Selon lui, un projet de qualité supérieure sera plus rentable pour la collectivité à la longue que le projet réalisé au plus bas coût possible. « Pour avoir du succès, il faut faire du beau.

(ci-dessus: un extrait de l'article cité par acpnc)

Remarquez bien: "...un projet de qualité supérieur sera plus rentable pour la collectivité..."  (mon souligné).

Cela se tient, mais ça implique sans le dire que la collectivité (nous les citoyens, par le biais du secteur public) devra consentir un effort financier pour bonifier le projet.  Le secteur privé doit s'assurer que son investissement soit rentable pour lui.  Un plus beau projet, présumément plus coûteux, apporte des retombées dont une partie importante lui échappe.  Ces retombées se manifestent sous la forme d'une plus grande renommée pour la ville, avec à l'avenant des recettes touristiques plus juteuses -- qui profitent au gouvernement, mais aussi aux entreprises oeuvrant dans le secteur touristique surtout.  En principe, ces entreprises devraient aussi contribuer directement (et pas seulement par les taxes supplémentaires qu'elles récolteront);  mais c'est pratiquement impossible de quantifier ces avantages.  Des gens d'affaires seront en faveur d'une participation de l'Etat, mais ils ne voudront pas y contribuer).

On se retrouve donc avec deux joueurs seulement: le promoteur privé et l'Etat (province et ville).  Supposons un projet dont la variante "ordinaire" coûte 1000 U, et la variante "supérieure" coûte 1500 U.  Pour simplifier, on suppose que les recettes attribuées au projet sont fixes (indépendantes de la variante).  Arrive l'Etat qui propose une contribution ayant une valeur de 500 U.  L'Etat calcule qu'il y trouverait son compte, pour les raisons sus-mentionnées.   On pourrait donc avoir un projet d'une valeur totale de 1500 U.  Une question surgit: qui serait propriétaire de ce projet amélioré?  -- Si c'est le promoteur privé à hauteur de 100%, c'est comme si on lui avait fait un cadeau.  Mais si c'est 66,6% pour lui et 33,3% pour l'Etat, et que les recettes directes sont inchangées, le promoteur privé se retrouve perdant.  Solution possible (simplifiée): on laisse au promoteur privé 100% des recettes, mais on insère une clause spécifiant qu'en cas de revente, le tiers du montant obtenu reviendrait à l'Etat.  Prochain défi: comment expliquer une telle entente à la population et la convaincre qu'elle est juste et équitable?   

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