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yarabundi

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Tout ce qui a été posté par yarabundi

  1. Une équipe juchée dans une nacelle a commencé à nettoyer la façade au jet d'eau. La personne de chez Daoust & Destage à qui je parlais me faisait remarquer que malheureusement le résultat risque d'être peut-être pas décevant mais à tout le moins pas vraiment harmonieux parce la partie du mur sur laquelle se trouve la pub peinte ne pourra pas être touché, le gouvernement québécois l'ayant classée...
  2. En début de soirée, je marchais vers la Place du QDS pour voir l'avancement des travaux et j'ai remarqué que les clotûres étaient complètement ouvertes du côté de la rue Bleury. Alors, je suis allé sur la place...sournoisement. C'est là que j'ai remarqué que les bancs étaient déjà installés. Je me suis donc dirigé lentement et je me suis assis : ils sont confortables !! À intervalles réguliers, il y a des arêtes de quelques millimètres : ils sont là pour décourager les skatters des les utiliser. Même chose pour la rampe le long de laquelle ces bancs sont installés : il y a un creux à intervalles réguliers pour la même raison. J'ai appris d'une personne travaillant pour Daoust Lestage que la place devrait être officieusement inaugurée par le maire Tremblay cette semaine... Il y a 235 jets d'eau dont ceux du centre pourront atteindre 40 pieds !! J'ai aussi appris de cette personne que sur la partie sud de la place Daoust et Lestage ont adopté le partie pris de laisser les surfaces aussi attrayantes que possibles pour les skatters -sans doute pour les détourner du reste de la place.
  3. La petite histoire du Tour de l'île Émilie Côté La Presse Le Tour de l'île a contribué largement à l'engouement pour le vélo à Montréal depuis 25 ans. Si bien que, selon le magazine Forbes, la métropole occupe le quatrième rang des villes nord-américaines les plus accueillantes à bicyclette. Difficile de croire que, en 1985, une personne qui allait travailler en vélo était perçue comme «granole». Aujourd'hui, tout Montréal est vélo, que ce soit pour aller travailler, pour faire du sport et même pour... déménager! Pour raconter la naissance du Tour de l'île, il faut d'abord parler de Vélo Québec et de son ancêtre, la Fédération québécoise de cyclotourisme, donc du père Gabriel Lupien et de Gérald Larose. Et oui, l'ancien président de la CSN. Le petit Gérald Larose a grandi à Bury, dans les Cantons-de-l'Est. «Nous étions 11 enfants, mais nous avions deux bicyclettes. Quand c'était notre tour, on en profitait pour partir longtemps», raconte-t-il. Le jeune garçon part faire ses études classiques au séminaire Saint-Alphonse, à Sainte-Anne-de-Beaupré. Son professeur d'éducation physique, le père Gabriel Lupien, est un amoureux du vélo. «L'été, il nous emmenait faire le tour de l'île d'Orléans à bicyclette.» Après avoir créé une école de cyclotourisme, le père Lupien fonde en 1967 la Fédération cyclotouriste provinciale, où Larose déniche un emploi d'été. «On faisait la tournée des OTJ (Organisation des terrains de jeu) et on donnait des cours de sécurité et de mécanique, explique Gérald Larose. J'ai visité tout le Québec.» Des compétitions et de longues randonnées sont aussi organisées. Et en 1979, la Fédération devient Vélo Québec. À l'époque, le changement de nom ne fait pas l'unanimité car le mot «vélo» ne dit pas grand-chose au commun des mortels. «C'était la fin des années 1970. Le vélo n'était pas si populaire. Les cyclistes se connaissaient à peu près tous. Quand je marchais et que je voyais un vélo cadenassé, je me disais: Ah, c'est le vélo d'un tel», raconte Suzanne Lareau, aujourd'hui PDG de Vélo-Québec après y avoir travaillé toute sa vie. Mais c'est la crise du pétrole et le vélo - surtout associé aux enfants - connaît un certain engouement chez les adultes. «Il y avait une image granole associée au cycliste», signale Mme Lareau. À l'époque, elle travaille chez Vélo Québec avec Michel Labrecque - le président actuel de la STM - et Louise Roy - qui a dirigé les Outgames. «Au début des années 1980, on voulait organiser un grand rassemblement à vélo, comme le Five Boro Bike Tour de New York.» Puis à l'été 1985, le ministre des Transports de l'époque, Guy Tardif, mandate Vélo Québec pour «organiser une activité qui inaugurera les nouvelles pistes cyclables dans l'est de la ville». Délai: six semaines. Le tout premier Tour de l'île a donc lieu le 13 octobre 1985. «C'était effrayant comme temps. Il a plu à torrents. Il ventait et il faisait froid», résume Suzanne Lareau. Seulement 3500 des 7000 personnes inscrites se présentent. Les piles des cellulaires des organisateurs - transportés à l'époque dans des valises - sont déchargées avant même le signal de départ. Devant la foule parsemée, les policiers veulent même interrompre le Tour avant la fin. Mais Guy Tardif dit non. Découragés? «On était surtout inconscients, répond Suzanne Lareau. Mais pour l'équipe, il y avait sans aucun doute un potentiel.» Pour l'année suivante, l'activité est remise au mois de juin. Objectif: 15 000 participants. «Personne ne nous croyait. On nous trouvait ridicules», se souvient Mme Lareau. Le départ n'a pas lieu au Stade olympique, mais dans le Vieux-Port, qui n'est pas asphalté à l'époque. Les 15 000 personnes attendues sont au rendez-vous, mais aussi la pluie. Résultat: «De la boue.» Mais à 11h, le soleil se pointe à l'horizon. Les Tours de l'île suivants ne sont que des succès. On passe de 15 000 à 26 000 participants, à 32 000, puis à 45 000, raflant le record Guinness du plus grand rassemblement cycliste au monde. «La fête a dépassé nos espérances et nos rêves les plus fous, dit Suzanne Lareau. On a prouvé au gouvernement que le vélo était populaire et démocratique. On a pu réclamer des aménagements cyclables.» «On arrivait avec l'antithèse du marathon. Il n'y a pas de gagnant, de chronomètre ou de médailles», fait valoir la PDG de Vélo Québec, qui compte aujourd'hui 130 employés en période de pointe. Aujourd'hui, les cyclistes n'ont plus une image «granole». Il y a des gens en cravate qui roulent pour aller au bureau et de jeunes adultes qui enfourchent un Bixi à la sortie des bars. «À l'époque, on passait pour des hurluberlus, se souvient pourtant Gérald Larose. C'est là qu'on se rend compte qu'il y a des petites choses qui deviennent importantes...» Le Tour de l'île 30 000 cyclistes parcourront 52 km Point de ralliement: parc Jeanne-Mance Départ à compter de 9h15 (avec animation du Cirque du Soleil) Spectacle de clôture avec Daniel Bélanger à 14h30 Des bicyclettes et des chiffres > Selon le magazine Forbes, Montréal occupe le quatrième rang des villes nord-américaines les plus accueillantes à bicyclette. > Le magazine Time a classé le Bixi parmi les 50 meilleures inventions de 2008. (une invention??!!) > Selon Statistique Canada, le tiers des Montréalais de 25-34 ans se déplacent avec des moyens de transport «durables», soit en autobus, à pied ou à vélo. > Selon un rapport de Vélo-Québec datant de 2005, un adulte sur six (16%) utilise le vélo comme moyen de transport au Québec. À ces 900 000 personnes s'ajoutent 75 000 enfants. > Les déplacements à vélo des Montréalais sont passés de 1% à 1,6% de 1996 à 2006. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200906/06/01-863601-la-petite-histoire-du-tour-de-lile.php
  4. C'est marrant comme ici sur ce forum certains de ceux qui protestent le plus contre les orientations en développement urbain à Montréal sont des banlieusards !! Un réflexion comme ça en passant...
  5. Cette question aurait très bien pu être posée sur le fil du Waldorf-Astoria !!
  6. Moscou s'est désisté après avoir pris un an pour réfléchir (en effet, selon ce que j'en sais l'attribution à Moscou de l'organisation de l'exposition de 1967 aurait été annoncé en 1960). Cette années de réflexion a permis aux autorités soviétiques d'en arriver à la réflexion qu'il était imprudent de permettre cette exposition car les pays capitalistes en profiteraient pour mousser ce système politique, économique et idéologique. En pleine guerre froide, c'était un billet aller seulement pour une déstabilisation du communisme. Le reste de l'histoire : Montréal a finalement eu Expo '67.
  7. On a pas perdu cet esprit de débauche et je ne crois pas que l'intention de la Ville soit de faire disparaître cet aspect de la personnalité de Montréal. Ce qui risque d'arriver au pire c'est que ces activités-là se déplace ailleurs. Ce serait naïf et vain de croire que ça disparaîtra. Par contre et de toute évidence les intentions de la Ville ici sont très clairs : terminer de "purifier" l'ancien Red Light, projet entamé sous Camilien Houde pendant la Deuxième Guerre Mondiale (fermeture des bordels) et poursuivi avec plus ou moins de succès par toutes les administrations successives !! C'est voué à se faire de toute façon. C'est surtout de la manière expéditive que ça se fait qui vous déplait.
  8. Je partage complètement tes sentiments !! Ça fait plaisir de savoir que je ne suis pas le seul à penser comme ça. Tu devrais me voir quand je passe devant sa statue avec des touristes : je suis bien obligé de me retenir sinon je cracherais mon venin à chaque fois. Bref, j'en dis le moins que possible à son sujet. Quant à l'épisode du "mont chauve", j'ignorais cela complètement. C'est la première fois que j'entend ça !! je me suis toujours demandé pourquoi la fôret du Mont-Royal n'était pas plus mature pour un parc qui avait plus de 130 ans !! Merci etienne : tu viens de me donner un peu plus de carburant pour détester un maire exécrable. Justement !! Il a eu tout le temps de se défendre. Après le scandale olympique, il a promis qu'il allait s'expliquer un jour. Il est mort sans donner sa version des faits -simplement parce qu'il ne se considérait redevable que devant Dieu !!
  9. Unwind : je suis agréablement surpris de constater que tu connais bien cette période et cet aspect de l'histoire de Montréal !! Cataclaw : rien ne pourrait me faire un plus grand plaisir !!
  10. ...sauf pour la partie centrale de l'île Ste-Hélène -celle qui est un boisé. Du côté nord, la seule partie qui soit artificielle se trouve là où sont les stationnements. En fait ce sont les deux extrémités de l'île qui sont artificielles.
  11. Je suis assez d'accord avec ceux qui disent que mtlurbs ne devrait pas être un lobby -un groupe de pression- de quelque type que ce soit. Par contre, je suggère que ceux qui souhaiteraient créer un tel groupe le fasse. Pourquoi ? Tout simplement parce que leurs voix -en tant que citoyens- ne semblent pas être bien entendu. Du moins c'est l'impression que certains forumeurs ont de la situation montréalaise. Si un tel groupe devait voir le jour, il serait souhaitable que ce forum ne devienne pas leur outil de propagande : ce forum est le point de rencontre de points de vue divergents et selon moi c'est ce qui le rend intéressant et aussi fréquenté. Malgré certaines prise de bec épisodiques -et prévisibles- le niveau de conversation et d'échange est très élevé.
  12. acpnc : tu viens de répéter une erreur qu'un grand nombre de personnes répètent : Jean Drapeau n'est en rien responsable de l'organisation d'Expo '67 à Montréal. Le dossier de candidature fût monté et déposé à la fin des années 1950 -alors que Drapeau n'était pas le maire de Montréal. Heureusement pour lui, il est revenu à la mairie en 1961 et comme tout bon politicien il a capitalisé sur un évènement qu'il s'est efforcé de s'attribuer.
  13. Vous avez le don de diminuer les efforts de notre ville !!
  14. De plus -et comme je l'ai déjà dit auparavant la Ville avait octroyé les permis pour la construction de la Place Montréal Trust parce que les promoteurs avaient promis d'y inclure la salle de l'OSM !!
  15. Évidemment, vu de même c'est très idiot. J'ai pu constater sur un autre fil que Carnalia ne fait pas dans la demie-mesure. Comme je n'étais pas au courant de cette partie de son message j'ai réagi sans avoir toutes les infos. Je m'en excuse et je me range auprès de ceux qui condamnent ce genre de réflexion. Ce n'est pas digne de ce site. Cela étant dit, l'idée d'un musée sur l'histoire de la prostitution -et en particulier de l'époque d'or du Red Lite District mérite qu'on s'y arrête. Il y a bien un musée du sexe à New-York !! Bien entendu, c'est marginal et ce ne serait pas une sortie familiale mais il y aurait certainement une demande pour un tel musée.
  16. Carnalia : il y a eu diverses causes au déficit olympique. La maire Drapeau a choisi unilatéralement et seul l'architecte du stade. La Ville n'avait aucune expertise pour cosntruire un tel stade et à un an des Jeux en 1975, on frisait la catastrophe avec un chantier très en retard. C'en éatait au point où le gouvernement a commencé à envisager la possibilité d'organiser les Jeux ailleurs qu'au stade !! L'augmentation du côut de l'essence (le "choc pétrolier") et de l'acier sont venus enfoncer d'autres clous !! Je conviens que peu de gens ont été imputables dans ce gigantesque fiasco financier mais vouloir jeter le blâme en entier sur les syndicats est de l'aveuglement.
  17. Son commentaire n'est pas haineux !! Je n'ai rien lu qui soit haineux. Il a décrit une situation d'une façon qui peut vous paraître biaisée mais il n'a jamais attaqué l'intégrité de ceux qu'il décrit : un alcolo, ç'est un alcolo ; un drogué, ça reste un drogué ; un paumé de la vie, ça reste un paumé de la vie -peu importe que tu utilises un discours politiquement correcte ou non. C'est ça qui arrive ici. Il y a des choses qu'il ne faut pas dire au risque de se faire suspendre. De plus, je compare son discours au tien malek dans la mesure où plus personne ici sur ce fil ne semble capable de discuter sans faire voler des couteaux !!Plusieurs ici sont sur le bord de l'insulte dès qu'on attaque un projet. Ceux-là même deviennent des NIMBY's en ce moment avec le projet en question et continuent de cracher sur ceux qui éventuellement voudraient défendre le projet. On se plaint que rien ne se fait dans notre ville et on en vient à défendre des projets aussi loufoques et irréalistes qu'un téléférique dans le Vieux-Port et on monte aux barricades contre un projet qui -je vous l'accorde est laid (là-dessus au moins je suis d'accord avec vous)- sur un ton qui ne fait pas honneur à ce forum.
  18. Ça vaut bien les commentaires rétrogrades qu'on entend depuis quelques mois de la part des NIMBY's (Malek et cie) !! Ça vole très bas en ce moment !! Pour délit d'opinion. On se croirait en Chine -vous savez, ce pays à l'économie contrôlée à coup de plans quinquénaux !! Ainsi que les discussions censurés. Le commentaire de Carnalia ne valait pas cette suspension. C'est une décision tout à fait arbitraire.
  19. On l'a échappé belle !! Non seulement on aurait hérité d'un édifice monotone et brutal mais en plus la possibilité de créer (ou même d'y penser !!) la place du QDS devenait impossible.
  20. C'est aussi essentiel qu'elle ne soit pas entièrement et exclusivement conçue pour recevoir des évènements de foule. La partie gazonnée et ombragée permettra en tout temps en été aux promeneurs et riverains de venir prendre un peu de temps de pause (j'imagine qu'il y aura des bancs de parcs ?!).
  21. yarabundi

    Le concept Müvbox

    Ça pourrait être la réponse montréalaise et design aux comptoirs à bouffe qu'on trouve partout ailleurs en Amérique du Nord. En permettant aux restaurateurs déjà établis (et d'autres, également) d'acheter (ou de louer) le concept, on pourrait installer ce genre de comptoir ailleurs que dans le Vieux-Port : le QDS par exemple... Excellente innovation signé Montréal !!
  22. Nous comparions deux places en terme de superficie, rien d'autre. je ne vois rien d'injuste lè-dedans !! S'il y a une injustice elle est du côté du square Vic puisque je l'utilise en comparaison pour faire valoir l'importance de la place du QDS !!
  23. JFrosty : j'ai toujours eu l'impression que la place avait plus ou moins la même superficie que le Square Victoria (de Viger à Saint-Jacques) et de l'est à l'ouest. J'ai utilisé l'outil de règle de GooglerEarth pour vérifier et je confirme : à peu de chose près le Square Vic fait (plus ou moins) 200m. X 40m. En comparaison, la Place du QDS fera 180m. X 40m.
  24. Probablement un problème de digestion !!
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