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franktko

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Tout ce qui a été posté par franktko

  1. Je pense qu'il y a des chances d'avoir 5 grues dans le secteur avant même qu'ils commencent à creuser! (2 Rocs + 2 TDC + Icône)
  2. Cette photo, c'est les résidences sur la partie nord de l'Ilot Voyageur, le projet de Aquilini Construction.
  3. 58000 mètres carrés sur 14 étages, ça fait 4150 mètres carrés par étage. J'ai calculé rapidement (au pif) la superficie du terrain en 'L' et ça donne environ 6500 mètres carrés. Donc oui, c'est possible. Et puis ce terrain est zoné 65 mètres (hauteur max) donc ça fait du bon sens 14 étages...
  4. En fait, le terminus est maintenant situé dans la partie nord de l'Ilot Voyageur (partie verte). L'annonce de ce matin va occuper la partie rouge.
  5. Wow, excellente nouvelle! À 246 millions, c'est un méga projet!
  6. Sites hospitaliers excédentaires à Montréal - Québec annonce la création d'un groupe d'experts chargé de se prononcer sur l'avenir des bâtiments hospitaliers MONTRÉAL, le 13 nov. 2013 /CNW Telbec/ - Le ministre des Relations internationales, de la Francophonie et du Commerce extérieur et ministre responsable de la région de Montréal, Jean-François Lisée, en collaboration avec le ministre de la Santé et des Services sociaux, Réjean Hébert, et le ministre de la Culture et des Communications, Maka Kotto, annonce la création d'un groupe d'experts qui se prononcera sur l'avenir des bâtiments excédentaires du CHUM et du CUSM. Cette annonce s'inscrit dans la foulée des travaux menés par le comité interministériel mis en place en juin dernier pour identifier des scénarios de réutilisation de ces immeubles. Le groupe d'experts, composé de Marie Lessard, Claude Corbo et Cameron Charlebois, est mandaté pour formuler des recommandations au comité interministériel quant aux scénarios de réutilisation les plus pertinents relativement à l'avenir de ces immeubles. Pour ce faire, le groupe devra notamment s'assurer de consulter les parties intéressées par ce dossier et d'envisager différentes possibilités. « Je suis très heureux que ces trois personnes crédibles aient accepté de faire partie de ce groupe d'experts. Je fais confiance à leur vision, leur expertise et leur connaissance globale des enjeux, qui leur permettront de faire une analyse judicieuse et des recommandations avisées. Étant donné le potentiel et la valeur inestimable de ces lieux stratégiques situés au cœur de la métropole, les décisions que nous devons prendre sont cruciales et s'inscrivent dans la dynamique de revitalisation de la métropole que soutient notre gouvernement », indique le ministre Lisée. Le déménagement prochain des activités des hôpitaux actuels vers les nouveaux centres hospitaliers du CHUM et du CUSM exige de prendre des décisions éclairées quant à l'avenir et au processus de disposition des immeubles suivants : l'Hôtel-Dieu, une partie de l'Hôpital Notre-Dame, l'Hôpital Royal Victoria, l'Institut thoracique de Montréal et l'Hôpital de Montréal pour enfants. Les divers enjeux en cause requièrent de prendre en considération les contextes financier, urbain et patrimonial, social et communautaire ainsi que les particularités de chacun des édifices fortement implantés dans le paysage urbain montréalais. Plusieurs d'entre eux ont une valeur historique et patrimoniale remarquable qui nécessitera le plus grand discernement dans la recherche de leur nouvelle vocation. Composition du groupe d'experts Le groupe d'experts qui viendra appuyer le Comité interministériel devra, à la lumière des travaux déjà réalisés et à la suite de ses consultations, déposer un premier avis le 15 décembre prochain, suivi d'un rapport en mars 2014. C'est Marie Lessard, professeure à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal et membre émérite de l'Ordre des urbanistes du Québec, qui agit comme présidente du groupe d'experts. Elle a été présidente, de 2017 à 2012, du Conseil du patrimoine de Montréal. Docteur en philosophie, auteur de plusieurs ouvrages en éducation et président de la Table de concertation du Mont-Royal, Claude Corbo a été professeur puis recteur de l'UQÀM durant plusieurs années. Il a à son actif de nombreuses réalisations qui ont donné lieu à des rapports d'expertise, notamment pour le compte du gouvernement. Architecte et gestionnaire d'expérience, Cameron Charlebois détient une vaste expérience notamment dans les domaines du développement urbain et de l'architecture, ainsi que dans la recherche et l'enseignement universitaire. Il sera possible de joindre le secrétaire du groupe d'experts, M. James McGregor, par téléphone au 514 873-3860 ou à l'adresse courriel suivante : groupe-expert-chu@mce.gouv.qc.ca. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Novembre2013/13/c7054.html
  7. franktko

    Vidéos sur Montréal

    http://www.youtube.com/watch?v=i1id_qAJc4w
  8. franktko

    Expos de Montréal

    Hey eastender, quand est-ce qu'on était supposé avoir des nouvelles de leur étude?? Ce n'était pas supporé être en novembre?
  9. De même pour moi - s'il fallait que tous les projets qu'on n'aiment pas ne lèvent pas de terre, il y aurait pas mal moins d'activité à Montréal!
  10. Il va toujours avoir des bus de la Rive-Sud qui vont emprunter le pont, même avec un SLR... Il y a en masse d'autobus de la STM qui se rendent au centre-ville malgré le métro. Haha! Damn right!
  11. C'est ce que Québec demande; reste à voir le projet proposé. Remarque les voies réservées aux autobus sous le tablier... http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201310/02/01-4695447-champlain-quebec-veut-une-structure-a-deux-niveaux.php
  12. Ils s'aprêtent à monter la grue présentement
  13. Sur la glace...? Le marasme minier pourrait durer jusqu'en 2020 La Presse | Publié le 13 novembre 2013 à 07h09 | Mis à jour à 07h09 Le consultant australien Richard Schodde, ancien de BHP Billiton, a prononcé un discours fort couru, hier, au congrès de l'Association de l'exploration minière du Québec, qui se tient dans la capitale jusqu'à demain. Selon lui, l'industrie risque de connaître des jours difficiles jusqu'en 2020. Les constats de Richard Schodde. 1. Un ralentissement prolongé Les dépenses d'exploration ont explosé au cours de la dernière décennie. Au Canada, elles sont passées de 430 millions en 2001 à 4,3 milliards de dollars en 2011. Elles ont reculé l'an dernier et, cette fois-ci, M. Schodde ne prédit pas un redressement rapide comme celui que l'industrie avait connu après la récession de 2008. Ses projections, fondées sur un cours de l'or à 1200$US l'once (le prix actuel est de 1290$US), laissent entrevoir des dépenses d'exploration de 2,9 milliards en 2020 au Canada, soit 33% de moins qu'en 2011. 2. Les «juniors» ne disparaîtront pas Entre 1960 et 2012, les petites entreprises minières (les «juniors») ont effectué 36% des dépenses d'exploration et réalisé 45% des découvertes au Canada. Les juniors prennent de plus en plus de place: l'an dernier, au Québec, elles étaient à l'origine de 67% des dépenses, comparativement à à peine 29% pour les «majeures». En revanche, les juniors ont de plus en plus de mal à trouver du financement pour leurs projets, si bien que plusieurs d'entre elles sont menacées. Richard Schodde croit toutefois que les entreprises les plus agiles survivront. 3. L'industrie doit revoir son modèle d'affaires «Au cours des dernières années, beaucoup d'argent a été dépensé en exploration sans donner de résultats probants», affirme Richard Schodde. À l'aide d'un graphique remontant à 1975, le spécialiste a montré que la relation entre les investissements en exploration et le nombre de découvertes, longtemps très étroite, se détériore depuis 2005. La raison principale de cet écart, d'après lui? Les coûts de forage et de main-d'oeuvre, qui ont bondi de plus de 80% depuis 2000. 4. Le Canada perd du terrain La part du Canada dans les dépenses d'exploration minière mondiales a atteint 13% en 2012, comparativement à 20% en 2004. Le pays frise le creux historique de 11% enregistré en 1997. Il faut dire qu'au cours des 10 dernières années, les investissements de la Chine dans ce domaine ont décuplé pour atteindre 14% du total mondial. Mais il y a plus. De 2003 à 2012, l'exploration a été moins rentable au Canada (lorsqu'on considère la valeur des découvertes) qu'en Afrique, en Australie et en Amérique latine. 5. Les réserves fondent à vue d'oeil Depuis 20 ans, les réserves canadiennes de plusieurs métaux rétrécissent de façon continue. C'est le cas pour l'or, le zinc, le nickel et le plomb. Seules les réserves de cuivre ont augmenté pendant cette période. La production a également reculé pour l'or, le zinc, le cuivre et le plomb. «Le problème devient urgent, dit Richard Schodde. La question qui se pose, c'est: est-ce qu'on aura assez de temps pour découvrir et développer de nouveaux gisements avant que les mines existantes ne ferment?»
  14. C'est 6 voies voitures + 2 voies autobus = 8 voies
  15. Chapeau MartinMTL! De la très belle photographie.
  16. Pour l'instant, on ne promet pas de cadeau pour les Québécois; au contraire! on parle de financer le pont avec un péage, c'est-à-dire que c'est les Québécois seulement qui payent pour un ouvrage de jurisdiction fédéral.
  17. On vient de remplacer la partie est du Bay Bridge à San Francisco: - 3.5 km - 10 voies véhicules - piétons et bicyclettes - 6.4 milliards US Champlain: - 3.4 km - 8 voies véhicules - piétons et bicyclettes - 2 voies train léger - 5 milliards CAN 5 milliards, c'est certainement cher, mais je ne pense pas qu'ils soient complètement dans le champs avec cet estimation. Et puis, j'espère qu'on est tous d'accord que le prochain pont devrait durer plus que 60 ans!! Donc, Dollorama-Brasilia-Bridge, s'abstenir de soumissioner s.v.p. http://en.wikipedia.org/wiki/Eastern_span_replacement_of_the_San_Francisco%E2%80%93Oakland_Bay_Bridge Edit: j'avais oublié de dire, le pont de SF s'est bâti en 11 ans, de 2002 à 2013...
  18. Cette nouvelle a peut-être aussi un sujet trompeur; "les délégués au conseil national" peuvent bien voter n'importe quoi, non? Je ne pense pas que ça fasse officiellement parti du programme du PQ...
  19. Le monorail, la voie à suivre selon le PQ La Presse | Publié le 10 novembre 2013 à 13h18 | Mis à jour le 10 novembre 2013 à 21h00 (Montréal) Le projet de monorail, mu par le moteur-roue du scientifique Pierre Couture, pour relier Québec et Montréal, apparaîtra très haut sur la plate-forme électorale du Parti québécois. Les délégués au conseil national du Parti québécois ont endossé à l'unanimité l'idée de réaliser une étude de préfaisabilité sur le projet dont la réalisation est évalué à 3 milliards$. La proposition a été menée devant les congressistes par Pierre Dubuc, un des fondateurs du SPQ Libre, le «club politique» qui avait été créé sous l'ex-chef du PQ Bernard Landry. Le militant a suggéré que la promotion du monorail devrait se déployer comme un «porte-étendard» du parti, lors du prochain scrutin. Pierre Couture a commencé des travaux sur un moteur-roue fonctionnant à l'électricité dans les années 1980. Il avait démissionné avec fracas lorsque l'IREQ, la branche qui s'occupe de la recherche chez Hydro-Québec, lorsque la société d'État lui a coupé les fonds en 1994. Une heure entre Québec et Montréal M. Dubuc a vanté les caractéristiques de ce mode de transport prévoyant que le déplacement de l'une à l'autre ville ne prendrait qu'une heure. Il a souligné que sa réalisation coûterait trois fois moins cher que l'aménagement d'un TGV, un train à grande vitesse. Les délibérations au conseil national ont confirmé la place centrale que l'électrification des transports en général occupe au PQ. Les partisans ont endossé formellement que la stratégie dans ce domaine soit confié à un secrétariat relevant de la première ministre Pauline Marois. Hydro suscite de la méfiance dans ce dossier. La création d'un véhicule électrique, «pensé et construit au Québec», a notamment fait l'objet d'une proposition. Un vote a porté sur l'adoption d'une politique pour encourager les flottes de taxis et d'autos vers les véhicules électriques, mais aussi celles du gouvernement québécois et des villes. Aucun coût n'a été mentionné. C'est aussi le cas pour la résolution visant à inciter au «déploiement de la voiture électrique» par un crédit d'impôt aux citoyens. Favorables à l'exploitation du pétrole Les positions retenues sur l'électrification n'ont pas empêché les congressistes de se montrer favorables à l'exploitation du pétrole au Québec même. Le député Daniel Breton a rappelé à l'auditoire qu'il serait illusoire de prétendre que la société québécoise pourra se passer des hydrocarbures à court terme. Les militants ont été beaucoup plus critiques face au projet d'inverser le flux d'un pipeline existant, le projet «9-B» d'Enbridge pour que le pétrole des sables bitumineux de l'Ouest soit acheminé vers Montréal. Le ministre Yves-François Blanchet a accepté avec enthousiasme la demande de conduire une évaluation des risques environnementaux et des retombées économiques. L'oléoduc a été installé en 1975 et «nous n'avons aucune idée de l'état de corrosion» de la conduite, a plaidé une déléguée.
  20. Les tunels, je crois que c'est très chers à construire et à maintenir, et que c'est une raison qu'on n'en voit pas plus sur les nouveaux projets. Obliger les propriétaires qui sont proches du réso rendrerait ces terrains moins compétitifs et attrayants à mon avis. Ce que l'on devrait avoir, c'est un programme d'agrandissement de réso qui encouragerait les propriétaires en défrayant une partie des coûts.
  21. J'allais dire la même chose... pas parce que c'est vieux qu'il faut absolument le garder. Rien de très spécial ce bâtiment; peut-être a-t-il une histoire?
  22. LaRonde! Comment as-tu pris la photo du bas?? Travailles-tu sur le chantier? On a toujours la même vue pourrie à partir des marches du train de banlieu....
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