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  1. COMMUNIQUÉS 31.05.12 Réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal : Trafic de marchandises record en 2011 En 2011, le volume total des marchandises manutentionnées au Port de Montréal a atteint 28,5 millions de tonnes, dépassant le record de 27,9 millions de tonnes enregistré en 2008. Ce résultat, dévoilé lors de la réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal (APM), représente une hausse de 10,1 % par rapport à l'année 2010. À la fin de 2011, le bénéfice net s'est élevé à 7,1 millions de dollars, grâce, notamment, à un contrôle rigoureux des dépenses. Le Port de Montréal manutentionne des conteneurs, du vrac liquide, du vrac solide, du grain, en plus d'accueillir des croisiéristes. En 2011, l'activité du secteur des conteneurs a augmenté de 3,6 % par rapport à 2010, pour atteindre 12,5 millions de tonnes de marchandises, ou 1,36 million de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds). Du côté du vrac liquide, le port en a manutentionné 10,1 millions de tonnes l'an dernier, soit 34 % de plus qu'en 2010. Cette hausse s'explique par l'augmentation des réceptions de produits raffinés par navires. Les autres produits liquides ont connu une hausse de 9,1 % par rapport à l'année dernière, grâce surtout à une augmentation de la demande d'éthanol. Le volume de manutention du vrac solide a, quant à lui, connu une augmentation de 7,1 %, due surtout aux chargements de gypse, d'engrais, de charbon et de minerai de fer. Cette augmentation ne tient pas compte du trafic céréalier, qui a connu une année de transition avec le transfert de la gestion des opérations du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, le 1er juillet dernier. Par ailleurs, la saison 2011 s'est clôturée par 40 croisières internationales et fluviales pour un total de 38 031 passagers. Le Comité croisières Montréal, initié en juin 2011, compte maintenant neuf partenaires de l'industrie touristique montréalaise qui travaillent à faire connaître l'escale Montréal auprès des professionnels du voyage. Les premiers résultats sont prometteurs : on attend cette année 55 500 passagers, soit une augmentation de 46 % du nombre de passagers. L'APM remercie tous les partenaires du Comité croisières Montréal pour le bon travail accompli. Faits marquants Le terminal céréalier - Le 1er juillet 2011, le Port de Montréal a procédé au transfert du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, qui depuis, en assure la gestion des opérations. Cette entente à long terme s'inscrit dans une démarche visant à consolider et à augmenter le trafic des céréales au port, tout en continuant de fournir un service de haut calibre aux producteurs québécois. « Avec l'arrivée de Vittera, toutes nos installations sont dorénavant exploitées par des compagnies spécialistes de leur domaine », a déclaré Mme Sylvie Vachon, présidente-directrice générale de l'Administration portuaire de Montréal. « Le Port de Montréal peut ainsi mettre toutes ses énergies à développer son créneau d'excellence : le commerce maritime mondial. » La Cité portuaire - Lors de son allocution, Sylvie Vachon a rappelé l'importance que le Port de Montréal accorde au projet de Cité portuaire, une initiative de la Ville de Montréal visant à développer l'Est de Montréal. La volonté de se rapprocher des communautés montréalaises fait partie des priorités de l'APM. Mme Vachon s'est également déclarée très encouragée par les travaux du comité provisoire qu'elle a présidé, et qui était chargé d'étudier la possibilité de créer une grappe industrielle de logistique et de transport pour le Grand Montréal. « J'ai bon espoir que tous les paliers gouvernementaux interpelés confirmeront leur participation financière sous peu.», a-t-elle déclaré. Développement durable À la suite de la politique de développement durable adoptée en 2010, le Port de Montréal a accueilli sa première locomotive à génératrices multiples, qui permet de réduire de 54 % la consommation de carburant, et de 90 % les émissions de gaz à effet de serre (GES). Trois autres locomotives seront livrées en août prochain. Quant au nouveau portail d'entrée des camions, inauguré en mars 2011, il réduit de moitié le temps d'attente des véhicules et, du coup, les émissions de GES. Le portail a d'ailleurs reçu le Grand prix d'excellence en transport de l'Association québécoise du transport et des routes, en mai 2011. De plus, le Port de Montréal a obtenu la plus haute cote de performance dans la catégorie Leaderhsip environnemental, décernée par l'Alliance verte, un programme environnemental volontaire destiné à l'industrie maritime du Canada et des États-Unis, et dont le Port de Montréal est l'un des membres fondateurs. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1800&lang=fr
  2. Marché immobilier: la folie reprend-elle à Montréal? 8 décembre 2009 | 15h30 Louis-Pierre Côté Argent Récemment, un bungalow situé près du populaire marché Jean-Talon à Montréal a trouvé preneur pour la somme de 227 000$. Rien d'inusité dans cela, direz-vous. Sauf que le vendeur demandait 199 000$ pour sa propriété... La surenchère immobilière qui a sévi il y a à peine deux ans partout au pays semble de retour à Montréal. «Ces temps-ci, dans certains secteurs primés, ce n'est pas exceptionnel que des résidences soient vendues à un prix plus élevé que celui qui était demandé», a expliqué à Argent Marie-France Vachon, agente immobilière pour La Capitale du Mont-Royal. Ces secteurs primés sont ceux du centre-ville de Montréal, à savoir Rosemont, Petite-Patrie, Villeray, le Plateau, Notre-Dame-de-Grâce et Outremont. Les propriétaires du bungalow dont nous parlons ci-haut ont reçu un total de 31 offres. Plus souvent, ce seront de deux à quinze offres qui seront déposées, à la suite de 30 à 70 visites d'acheteurs potentiels, ce qui fait de Montréal un marché qui est définitivement en faveur des vendeurs, selon Mme Vachon. Dans les couronnes Nord et Sud de Montréal, le marché est plus équilibré, mais il demeure tout de même un marché à l'avantage des vendeurs. Mme Vachon ne croit pas pour autant qu'on assiste à une bulle immobilière, ou que les acheteurs paient trop cher pour leur chez-soi. «Les banques ont resserré leurs critères pour accorder les prêts, et dans les cas où le prêt est assuré par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), on voit arriver un évaluateur de la SCHL» pour s'assurer de la valeur réelle de la propriété, souligne-t-elle. Le phénomène n'est pas propre à Montréal. À Vancouver, une vingtaine de personnes ont campé toute une nuit pour être les premiers à mettre la main sur un des condos nouvellement construits dans un quartier recherché. Le lendemain, 163 condos sur les 224 mis en vente avaient été vendus. Selon une étude de la Banque TD, les ventes de maisons ont bondi de 74% en octobre et les prix ont grimpé de 20% depuis le creux de 2008. Dans certains marchés, les prix sont revenus à leur sommet de 2007 et même davantage. Les bas taux d'intérêt favorisent un tel engouement, estime les experts, qui craignent toutefois que la hausse des taux à venir au cours des prochaines années ne crée des problèmes financiers à ces nouveaux propriétaires
  3. Baisse de la population active: des économistes sonnent l'alarme Publié le 22 juillet 2009 à 15h52 | Mis à jour à 15h55 La Presse Canadienne À défaut d'une croissance de sa force de travail, le Québec s'expose à de graves conséquences préviennent des économistes de Desjardins. Si les récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) et de Statistique Canada prévoient que l'augmentation des taux de natalité et d'immigration vont freiner le déclin de la population québécoise d'ici 2056, les économistes de Desjardins constatent tout de même une baisse de la population active au même moment que le vieillissement de la population s'accentue. En entrevue à La Presse Canadienne mercredi, l'économiste Hendrix Vachon a rappelé que le déclin de la population des 15 à 64 ans devrait s'amorcer dès 2014 et se poursuivre au cours de la décennie suivante. Si rien n'est fait, Desjardins prévoit une diminution de la population active au Québec de 0,1 pour cent à 0,4 pour cent de 2014 à 2021. Les entreprises québécoises devront donc modifier leur façon de faire si elles désirent maintenir leur niveau de productivité d'ici 2021. Mais relever la productivité avec la même quantité de ressources, voire moins de travailleurs, n'est pas une tâche facile. À défaut de pouvoir augmenter la force de travail, les entreprises québécoises devraient notamment investir davantage dans de meilleures technologies, plus performantes, afin de pouvoir augmenter leur productivité, indique M. Vachon. Au cours des dernières années, le Québec a enregistré une hausse moyenne de sa productivité de travail d'environ 1 pour cent par année. Selon les nouvelles prévisions de Desjardins, les gains de productivité nécessaires au maintien d'une croissance du PIB potentiel sont de 2 pour cent d'ici 2021 M. Vachon propose donc à court terme de solliciter un plus grand nombre de travailleurs à se joindre à la population active ou à demeurer sur le marché du travail plus longtemps. Sinon, prévient-il, les problèmes et les défis à relever d'ici les 15 prochaines années vont demeurés entiers.
  4. Louis Vachon critique les dirigeants des autres banques qui ont renoncé à leurs bonis et reproche aux institutions étrangères d'avoir été à l'origine du fiasco du PCAA. Pour en lire plus...
  5. «L'économie du Québec tient bon» 25 septembre 2008 - 06h00 La Presse Martin Vallières Appréciés ou non, les banquiers sont aux premières loges de l'économie pour évaluer et réagir à la conjoncture de leur marché. À ce titre, le principal banquier québécois, Louis Vachon, président de la Banque Nationale, estime que «l'économie du Québec tient bon» face aux tumultes financiers et aux quasi-récessions de ses principaux partenaires commerciaux: les États-Unis et l'Ontario. Certes, la croissance sera très ralentie pour les prochains trimestres. Mais M. Vachon a dit, lors d'une entrevue avec La Presse, ne pas s'attendre à une récession au Québec et au Canada. En contrepartie, «notre scénario économique comprend une récession courte et modérée aux États-Unis, dont la reprise sera longue.» Pourquoi ce délai? «Ça prendra du temps pour corriger le problème de surendettement des consommateurs aux États-Unis», a résumé le président de la Nationale. Et si cette crise du crédit s'accentue, l'économie américaine risque une récession plus grave, avec des répercussions négatives au Québec et au Canada. «Même si nous ne prévoyons pas de récession ici, force est d'admettre que le risque lié à ce scénario peut augmenter avec la crise financière.» En attendant l'issue du méga-sauvetage financier à New York et Washington, Louis Vachon demeure confiant envers la capacité de l'économie du Québec de résister au pire. D'une part, «l'économie québécoise est mieux diversifiée qu'auparavant». Et d'importants investissements en infrastructures atténuent le ralenti industriel. D'autre part, selon Louis Vachon, le contexte bancaire et fiscal de ce côté-ci de la frontière aurait permis d'éviter un surendettement généralisé des consommateurs.
  6. Les institutions financières canadiennes tireront profit des déboires des banques d'affaires américaines, dont le modèle est déficient, selon le PDG de la Banque Nationale. Pour en lire plus...
  7. Banque Nationale: Montréal perd des postes 16 septembre 2008 - 06h00 La Presse Denis Arcand Des cadres et employés de la Banque Nationale (NA) perdront leur poste au siège social de Montréal et les effectifs seront augmentés plus près des lignes de front où la Nationale va livrer ses prochaines batailles commerciales. Mais les créations de postes compenseront les abolitions; à la fin de la restructuration annoncée hier par la Nationale, il n'y aura pas moins d'employés que les 17 232 personnes qui y travaillent actuellement. Voilà un des aspects centraux discutés hier par le président Louis Vachon lors d'une allocution téléphonique diffusée hier à l'interne. La Banque Nationale déplacera des effectifs et investira dans de nouvelles technologies pour "mettre les ressources au bon endroit afin d'offrir une approche (...) centrée sur le client", a annoncé hier la Nationale. Cette refonte, baptisée "Un client, une banque" en 2007 par le président Louis Vachon, aura des impacts autant dans le réseau de succursales qui servent les particuliers que dans le secteur commercial et sa clientèle d'entreprises, a dit hier le porte-parole, Denis Dubé. «Cela signifiera plus de ressources sur le terrain, plus de postes dans le réseau de succursales, avec plus de pouvoir et de responsabilités pour répondre aux besoins du client», affirme la sixième banque canadienne. «Les directeurs de comptes commerciaux et les directeurs de succursale auront plus de pouvoirs décisionnels», a dit M. Dubé. Cette "décentralisation" s'accompagnera d'une "responsabilisation accrue", a-t-il dit. «Le président Louis Vachon a évoqué plusieurs fois sa vision "Un client, une banque" depuis son entrée en fonction, il y a plus d'un an. C'est un plan de transformation au niveau de la structure et de la culture d'entreprise, qui vise à déployer nos ressources en ligne avec les axes de croissance prioritaires identifiés par la direction», a dit M. Dubé. Ces axes de croissance sont notamment la gestion de patrimoine, les services de conseil financier offerts aux gens fortunés. On sait aussi qu'il y aura plus de planificateurs financiers pour les particuliers et plus de gestionnaires de comptes pour les entreprises, a dit M. Dubé. Selon M. Dubé, la refonte annoncée hier n'a rien à voir avec le fiasco du papier commercial adossé à de mauvaises créances qu'a vécu la Banque Nationale (et d'autres banques) durant l'année dernière.«L'annonce par M. Vachon du concept "Un client, une banque" a été faite avant le PCAA (papier commercial adossé à des actifs). Même sans le papier commercial, la refonte aurait eu lieu.» Au quatrième trimestre de 2007, la Nationale avait essuyé une perte de 575 M$ avant impôts liée au papier commercial. Les derniers résultats trimestriels faisaient état d'une perte de 37 M$ avant impôts liée au PCAA. M. Dubé reconnaît que les spécialistes en ressources humaines de la Nationale ont fait des "estimations" du nombre de postes "corporatifs" qui seront supprimés, et des calculs semblables du nombre de nouveaux postes à créer dans sur le terrain. Mais il n'a pas voulu donner ces chiffres. Par ailleurs, le nombre d'employés au siège social de la rue De La Gauchetière n'est pas pertinent à l'annonce d'hier, a dit M. Dubé: «Les fonctions corporatives qui seront affectées ne sont pas seulement au siège social, ces employés sont répartis dans divers bâtiments de la Banque.» Et combien d'employés sont aujourd'hui affectés à des tâches "corporatives" ? «Je n'ai pas de chiffre», a dit M. Dubé. La restructuration annoncée hier pourrait être un prélude à une réouverture du dossier des fusions de banques au Canada, une éventualité qu'a soulevée spontanément M. Dubé hier. La banque veut aussi être "agile" et prête à sauter sur des occasions éventuelles, si le dossier des fusions de banques canadiennes évoluait, a-t-il dit.
  8. Rencontre avec un homme passionné qui est le nouveau président d'ABC-Québec. Pour en lire plus...
  9. Aux prises avec le déclin des petits gâteaux Vachon, le transformateur laitier n'exclut pas de se départir de sa division boulangerie. Pour en lire plus...
  10. Le PDG de la banque, Louis Vachon, assure que son institution a agi avec rigueur dans le dossier du PCAA. Pour en lire plus...
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