Aller au contenu
publicité

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'toucher'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

10 résultats trouvés

  1. Monique Jérôme-Forget demande au gouvernement Harper de ne pas toucher au système de péréquation lors de sa rencontre avec ses homologues à Saskatoon. Pour en lire plus...
  2. Pas si facile de toucher à l'ALENA * Anne Robert, Lesaffaires.com * 10:25 Les menaces de Barack Obama ne sont pas fondées. Photo: lesaffaires.tv Même si la révision de l’Accord de libre échange de l’Amérique du Nord (ALENA) était un des thèmes de campagne du futur président Barack Obama, le Mexique ne croit pas cette révision possible. Les menaces de Barack Obama ne sont pas fondées, a soutenu selon l’ambassadeur du Mexique au Canada, Emilio Goicoechea Luna, lors d’un déjeuner-causerie organisé mardi par le Conseil des relations internationales de Montréal. Pour Emilio Goicoechea Luna, les critiques de Barack Obama portent pour l’essentiel sur l’énergie et l’environnement, dossiers qui dépassent le cadre de l'ALENA. De plus, il affirme que l'ALENA serait presque figé dans le marbre. Le réviser impliquerait de verser aux pays perdants des compensations rédhibitoires. «Et pour cause. Il a été rédigé par les Américains eux-mêmes qui, quinze ans plus tôt, voulaient doter cet accord d’un élément de certitude et de continuité sans imaginer qu’ils seraient confrontés à la crise économique actuelle», a affirmé À son avis, si l'ALENA a mauvaise presse aux États-Unis, c’est qu’au vu des chiffres, les Américains ont le sentiment d’y avoir perdu au change. Les États-Unis sont en effet globalement importateurs de produits mexicains et canadiens, en raison surtout du poids des importations de pétrole. À l’exclusion du pétrole, le solde commercial est équilibré entre les pays. De plus, les problèmes à la frontière mexico-américaine sont, selon l’ambassadeur, injustement attribués à une l’immigration clandestine mexicaine. Or, les grandes arrestations sont attribuables aux trafics de drogue et d’armes, dossier sur lequel le Mexique collabore pleinement avec les États-Unis. En revanche, Emilio Goicoechea Luna, a lancé un appel au rassemblement des trois pays de l'ALENA pour améliorer le traité. Il a mis en garde contre les risques de négocier des accords bilatéraux qui affaibliraient les positions de chacun des pays.
  3. Les activités de l’usine cesseront à la fin de l’année 2008. Cette fermeture va toucher 59 employés et s'inscrit à l'intérieur du plan de redressement de PepsiCo dont Frito Lay Canada est la division. Pour en lire plus...
  4. La dégringolade du prix sensibles à la conjoncture économique signale que la crise financière commence à toucher l'économie réelle. Pour en lire plus...
  5. C'est ce que souligne la banque TD qui croit que l'économie canadienne sera touchée par les importantes pressions que subit le système financier américain, Pour en lire plus...
  6. La débâcle financière aux États-Unis et la menace d'une récession mondiale qui nuirait aux ventes des magasins ne semblent pas toucher les promoteurs immobiliers liés aux centres commerciaux. Pour en lire plus...
  7. Si les compagnies d'assurance-vie canadiennes paraissent encore peu touchées par les troubles d'AIG, la contagion de la crise financière américaine vers le monde de l'assurance pourrait venir toucher les consommateurs. Pour en lire plus...
  8. Ces risques diminuent en raison car les constructeurs devraient toucher jusqu'à 50 G$ US en prêts du gouvernement américain. Pour en lire plus...
  9. Le président de la Réserve fédérale américaine estime que la crise ne s'est pas affaiblie et qu'elle a commencé à toucher le reste de l'économie. Pour en lire plus...
  10. Québec ferme la porte à Vidéotron pour un crédit d'impôt 5 juin 2008 - 06h00 La Presse Francis Vailles Ce changement oblige Vidéotron à «considérer toutes les options pour demeurer concurrentielle, dont le offshoring (sous-traitance à des pays à faibles salaires)». Sans tambour ni trompette, le gouvernement du Québec a resserré les critères d'admissibilité de son programme de crédit d'impôt pour affaires électroniques, privant ainsi Vidéotron de substantiels avantages fiscaux. Désormais, une entreprise ne pourra plus créer une filiale et y transférer des employés afin de toucher le fameux crédit équivalent à 30% des salaires jusqu'à un maximum de 20 000$. Une telle stratégie avait été mise en place par Vidéotron. Cette affaire, rappelons-le, avait fait les manchettes au début de mai dans la foulée de l'annonce de l'implantation de Morgan Stanley à Montréal pour y développer des logiciels financiers. La Presse Affaires avait révélé que 200 des 500 postes promis par Morgan Stanley existaient déjà et que, par conséquent, le gouvernement se trouvait à subventionner des emplois existants. Après cette révélation, le péquiste François Legault avait dévoilé que Vidéotron aussi s'apprêtait à bénéficier du crédit d'impôt de 30% pour des emplois existants. L'entreprise avait expressément créé une filiale, Vidéotron Technologies, y mutant un peu plus de 100 employés dans le seul but de profiter de l'avantage fiscal. Vidéotron Technologies avait comme unique client sa société mère, Vidéotron. Outrée, la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, avait indiqué qu'elle corrigerait la situation. Cette correction a pris la forme d'un bulletin du Ministère, daté du 15 mai. Désormais, une entreprise ne peut plus bénéficier du crédit si ses clients sont apparentés. Plus précisément, une entreprise est admissible seulement si ses services sont fournis, dans une proportion de 75%, à des clients qui n'ont aucun lien de dépendance. Le bulletin du 15 mai entre en vigueur rétroactivement au 13 mars 2008. Ce faisant, la modification ferme la porte à la stratégie de Vidéotron, qui prévoyait toucher 2 millions de dollars par année de cette façon. Chez Vidéotron, on est fort déçu de cette volte-face. D'autant plus que l'organisme qui accorde les attestations, Investissement Québec, avait verbalement donné son assentiment à Vidéotron, affirme l'entreprise. «Initialement, l'objectif de la mesure était de stopper l'exode de talents vers de pays émergents. Aujourd'hui, on ne vise plus qu'à soutenir des firmes de consultation informatiques», a déclaré la porte-parole, Isabelle Dessureault. Ce changement oblige Vidéotron à «considérer toutes les options pour demeurer concurrentielle, dont le offshoring (sous-traitance à des pays à faibles salaires)», a dit Mme Dessureault, qui indique qu'un tel projet «n'est pas sur la table pour la semaine prochaine». Desjardins aussi Par ailleurs, La Presse Affaires a appris que Vidéotron n'était pas la seule à vouloir profiter de l'échappatoire. Le Mouvement Desjardins envisageait également la possibilité de structurer ses activités pour en tirer partie. «Nous avions tout simplement demandé des clarifications de la mesure budgétaire à Revenu Québec, sans faire de demande officielle d'attestation. Le bulletin d'information du 15 mai est venu répondre à nos questions», a expliqué le porte-parole du Mouvement Desjardins, André Chapleau. Ce bulletin spécifie d'ailleurs que le critère de lien de dépendance s'applique aussi pour des services fournis «par une société aux membres d'une coopérative ou d'une fédération de coopératives», faisant ainsi référence à Desjardins. Cela dit, le ministère des Finances a utilisé une contorsion pour que Morgan Stanley bénéficie tout de même de la mesure. En effet, en vertu de la règle du lien de dépendance, le géant financier ne pourrait toucher le crédit de 30% puisque ses logiciels développés à Montréal lui sont exclusivement destinés. Le bulletin précise donc qu'une société peut toucher le crédit si les produits électroniques développés sont utilisés «exclusivement à l'extérieur du Québec». Hier, Investissement Québec n'a pas voulu donner plus de détails, sa porte-parole, Josée Béland, affirmant que les dossiers des clients de l'organisme sont confidentiels lorsque de nature fiscale. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080605/LAINFORMER/806050801/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
×
×
  • Créer...