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  1. Voir la page 4 dans le document du budget pour voir la liste des projets en chantier (permis émis) en date d'août 2012. http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_VMA_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PR%C9SENTATION_BUDGET_2013VFBR.PDF
  2. Un nouveau projet dans le secteur Namur / Jean-Talon Il sera situé entre le Parc De La Savane et Côté Ouest Phase II Lien EDIT: I'm attaching the presentational document by the promoter and architectural firm
  3. LA ville vient de déposer un nouveau PPU pour Griffintown, avec les amenagements, revisions des hauteurs, parcs... Le document http://www.montreal2025.com/pdf/PPUGriffintownProjetOct2012Reduit.pdf
  4. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=24781&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques L'encadrement du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal approuvé 17 avril 2015 Montréal, le 17 avril 2015 - M. Russell Copeman, membre du comité exécutif, responsable de l'habitation, de l'urbanisme, de la gestion et de la planification immobilière et de l'Office de consultation publique de Montréal et maire de l'arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, est fier d'annoncer l'entrée en vigueur du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal, suite à la réception d'un avis favorable du ministre des Affaires municipales et de l' Occupation du territoire, M. Pierre Moreau. « L'entrée en vigueur du Schéma d'aménagement et de développement du l'agglomération de Montréal marque le début d'une nouvelle ère dans le développement harmonieux de notre île. En effet, le Schéma permet d'établir les orientations pour les 10 prochaines années en matière d'aménagement. Le document d'accompagnement, que le comité exécutif vient d'adopter, permet d'en entamer la mise en œuvre en facilitant l'exercice de concordance des plans et règlements d'urbanisme des arrondissements de la Ville et des municipalités reconstituées », a déclaré Russell Copeman. Rappelons que les orientations du Schéma portent notamment sur la qualité du cadre de vie, le dynamisme de l'agglomération et des pôles d'activité, la mise en valeur des territoires d'intérêt, l'affectation du sol et la densité de son occupation ainsi que sur le transport. Le document d'accompagnement du Schéma indique la nature des modifications que chaque municipalité et arrondissement de l'agglomération montréalaise devra apporter à ses plans et règlements d'urbanisme. La Loi sur l'aménagement et l'urbanisme prévoit que cet exercice doit être complété à l'intérieur d'un délai de six mois de l'entrée en vigueur du nouveau schéma. Le Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal est intégralement disponible sur le site internet de la Ville, voir : ville.montréal.qc.ca/schéma. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=9517,133997570&_dad=portal&_schema=PORTAL sent via Tapatalk
  5. À la lumière de ce document daté de novembre 2013 et déposé à l'OCPM, la petite tour (à construire ?) sur la portion bureaux du Centre Bell serait toujours dans les plans de CF : http://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P72/3b.pdf 14 étages, 140 unités résidentielles
  6. Voir la page 5 dans le document du budget pour voir la liste des projets approuvés en date d'août 2012. http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_VMA_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PR%C9SENTATION_BUDGET_2013VFBR.PDF
  7. La question de l'unilinguisme anglais dans les institutions francophones ne touche pas que la Caisse de dépôt et placement. Un autre fleuron du Québec inc., la Banque Nationale, a aussi des défis à ce sujet. Depuis 2007, le premier vice-président des technologies de l'information de l'institution est John B. Cieslak et il ne parle pas français. Par conséquent, tous les documents relatifs aux technologies de l'information qui lui sont transmis doivent être rédigés en anglais, selon nos informations. De plus, les informaticiens internes et les consultants externes qui travaillent sur des projets de M. Cieslak doivent avoir une très bonne maîtrise de l'anglais, sans quoi ils sont affectés à d'autres fonctions, nous dit-on. Le porte-parole de la Banque Nationale, Claude Breton, confirme que M. Cieslak parle seulement anglais. Mais il soutient que son cas est une exception. «La Banque Nationale est une institution où ça se passe en français partout: aux ressources humaines, sur le terrain, dans les unités d'affaires, dans les succursales», dit-il. L'institution de charte fédérale n'est pas assujettie à la loi 101, mais elle «suit la Charte de la langue française de [son] propre chef pour ce qui est de la langue de travail», dit M. Breton. Les cadres compétents et d'expérience dans le secteur des technologies de l'information sont rares, d'autant plus lorsqu'ils doivent aussi connaître le milieu financier, explique M. Breton. «Personne n'a été écarté de projets en raison de son incompréhension de l'anglais. Mais les technologies de l'information font partie d'un univers mondialisé, qui fonctionne essentiellement en anglais. Un employé qui veut envoyer un document en français à M. Cieslak peut le faire. Par courtoisie, on lui envoie souvent le document en anglais. L'employé peut faire traduire le document par le service de traduction de la banque», explique M. Breton. John Cieslak compte 26 ans d'expérience comme gestionnaire dans les secteurs technologique et financier. Avant de se joindre à la Banque Nationale, il était premier vice-président et chef de l'information du Groupe TSX, propriétaire de la Bourse torontoise du même nom. À la Banque, John Cieslak est aussi responsable de «l'approvisionnement et de la performance organisationnelle». Le gestionnaire est également membre du Bureau de la présidence, groupe composé des 10 principaux gestionnaires de l'institution, dont le PDG, Louis Vachon. Les réunions de ce comité de direction se déroulent-elles en anglais en raison de la présence de M. Cieslak? «Au bureau de la présidence, ça se passe dans la langue du choix de celui qui veut parler. Les interventions sont parfois en français, parfois en anglais. Et personne n'en fait de cas», dit M. Breton. En plus du comité de direction, l'institution a un conseil d'administration, comme toutes les grandes entreprises. Au dire de M. Breton, les réunions de ce conseil d'administration se déroulent en français. Les consultants externes qui travaillent à la Banque Nationale proviennent généralement de la firme CGI. «Jamais aucun professionnel de CGI n'a été écarté à la Banque Nationale parce qu'il ne parlait pas suffisamment anglais», affirme le porte-parole de CGI, Sébastien Barangé. Cette semaine, la Caisse de dépôt et placement du Québec a fait les manchettes parce que deux de ses cadres supérieurs sont des anglophones unilingues. Les deux travaillent pour la filiale immobilière de la Caisse, Ivanhoé Cambridge. Il s'agit du président, exploitation, Kim McInnes, et du premier vice-président, ressources humaines, David Smith. La Caisse de dépôt a pris des mesures cette semaine pour que les deux cadres accélèrent leur apprentissage du français. À la Banque Nationale, John Cieslak ne suit pas de cours de français, nous indique Claude Breton. http://www.cyberpresse.ca/actualites/201111/19/01-4469596-un-patron-unilingue-anglophone-a-la-banque-nationale.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3
  8. Un tribunal de New York a ordonné à Bernard Madoff, accusé d'une gigantesque fraude de 50 milliards $ US, de fournir d'ici au 31 décembre la liste de ses avoirs et de ses dettes, un document qui devrait permettre de déterminer ce qui pourrait être distribué aux investisseurs victimes de son escroquerie présumée. Pour en lire plus...
  9. Selon un document interne obtenu par Radio-Canada, la Caisse de dépôt et placements du Québec éprouve de graves problèmes de liquidités. Pour en lire plus...
  10. Les discussions sur la vente TQS ont visiblement été mouvementées derrière les portes closes. Michel Morin a cru bon d'inscrire sa dissidence dans un document de 13 pages. Pour en lire plus...
  11. En science Les élèves canadiens sont les 3e meilleurs du monde La Presse Canadienne 04/12/2007 17h37 En science - Les élèves canadiens sont les 3e meilleurs du monde © Rob Melnychuk/Corbis Les étudiants de la Finlande seraient les meilleurs au monde en science, d'après une étude publiée ce mardi par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Les élèves de 15 ans de Hong Kong et du Canada se sont respectivement classés en deuxième et en troisième positions. L'Alberta a obtenu le plus haut score des 10 provinces canadiennes, suivie dans l'ordre par la Colombie-Britannique, l'Ontario et le Québec. Les élèves de Terre-Neuve-et-Labrador, de l'Ile-du-Prince-Edouard, de la Nouvelle-Ecosse, du Nouveau-Brunswick, du Manitoba et de la Saskatchewan ont un rendement égal ou supérieur à la moyenne de l'OCDE, mais celui-ci est significativement inférieur à la moyenne du Canada. L'Alberta est la seule province à afficher un rendement significativement supérieur à la moyenne canadienne. L'OCDE a évalué pour cette étude plus de 400 000 élèves dans 57 pays. L'évaluation s'intéressait principalement aux sciences, mais les élèves étaient aussi interrogés sur leurs connaissances en mathématiques et sur leur habileté à la lecture. La Grande-Bretagne a terminé en 14e place, tandis que la France s'est classé 25e et que les Etats-Unis ont obtenu le 29e meilleur score. Les élèves du Canada se sont en moyenne classés parmi les meilleurs des pays étudiés dans toutes les matières à l'évaluation. Entre 2003 et 2006, le rendement des élèves canadiens s'est maintenu au même niveau en lecture et en mathématiques, mais davantage de pays devancent désormais le Canada dans ces domaines. Les Québécois se classent au-dessus de la moyenne canadienne en mathématiques et obtiennent la moyenne en lecture, tandis que l'Ontario, le Manitoba, l'Alberta et la Colombie-Britannique ont un rendement égal à la moyenne canadienne en lecture comme en mathématiques. Les autres provinces sont en-deça de la moyenne nationale dans les deux matières. Au Canada et dans la plupart des autres pays, aucune différence entre les sexes n'est constatée en sciences, ni sur l'échelle globale, ni sur l'échelle du sous-domaine de l'utilisation des faits scientifiques. Cependant, les garçons ont de meilleurs résultats pour ce qui est d'expliquer les phénomènes de façons scientifiques, tandis que les filles devancent les garçons lorsqu'il faut identifier des questions d'ordre scientifique. «Les garçons semblent avoir plus de facilité à maîtriser les connaissances scientifiques, tandis que les filles semblent avoir une meilleure vue d'ensemble, qui leur permet d'identifier les questions d'ordre scientifique dans une situation donnée», lit-on dans un document d'analyse conjoint de Ressources humaines et Développement social Canada, de Statistique Canada et du Conseil des ministres de l'Education du Canada. Si on se réjouit des résultats globaux de l'étude de l'OCDE dans le document d'analyse, on y identifie malgré tout certains points préoccupants, notamment le fait que le pays en tête de liste dans chacun des domaines évalués devance largement le Canada sur le plan du rendement des élèves. «En outre, des écarts provinciaux considérables subsistent dans plusieurs domaines», poursuit le document.
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