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11 résultats trouvés

  1. Bonjour, quelqu'un qui n'a jamais obtenu des réductions sur les coupons de voyage avec service client groupon*???? Je l'ai vu des choses très intéressantes, mais je veux savoir avant d'appeler ou d'un livre
  2. Bonjour à vous! Je capote sur cette section, vraiment les plus belles photos de Montréal que j'ai vu sont ici. Je trouve ça très cool de voir qu'il y a autant de passionnés de la ville! Je suis aussi photographe et il y a quelques années je me suis rendu compte qu'il est très facile de décoré son salon avec des photos de Paris, New York, Londres... mais à l'époque il n'y avais rien de Montréal. Nada. Alors j'ai décidé de prendre les choses en main et j'ai créé Mirage Noir, une collection d'images de Montréal faite exprès pour la décoration d'intérieur. Vous pouvez voir la collection au complet ici: Mirage Noir, photos de Montréal Il y a en de nouvelles en préparation aussi! J'espère que vous allez aimer ça
  3. Démolie depuis peu si on mets les choses en perspective. Pourtant, peu de gens s'en souviennent.
  4. Pendant trois jours, Montréal deviendra la capitale des startups, ces entreprises en démarrage. Le Festival international du startup commence demain, le mercredi 11 juillet, et se termine vendredi. Il est exclusivement consacré à l’entrepreneuriat technologique et à ses acteurs. L’événement a lieu au Vieux-Port de Montréal et rassemble autant les entrepreneurs aguerris que les nouveaux venus dans l’industrie, des innovateurs ou des investisseurs, d’ici ou de l’étranger. Un événement vraiment international L’événement en est à sa deuxième année d’existence. L’an passé, il a attiré 1100 personnes et on s’attend à la même affluence cette année. Près de 32 % des participants venaient de l’extérieur du Québec en 2011 et, cette année, encore davantage de gens d’ailleurs sont attendus, en provenance notamment de New York et de Toronto. Le Startup Festival est l’endroit où se trouver cette semaine pour les entrepreneurs en technologie et les investisseurs. Des conférenciers de haut niveau Pour les gens de la scène techno, la liste des noms des conférenciers s’apparente à un véritable palmarès (même si ceux-ci ne sont pas très connus du grand public) : Stowe Boyd, analyste/recherchiste des nouvelles tendances Dave McClure, investisseur de San Francisco et fondateur de l’incubateur 500 Startups Craig Walker, qui a vendu à Google sa compagnie, Grand Central, aujourd’hui Google Voice Graham Hill, fondateur de Treehugger.com et vice-président interactif de Discovery’s Planet Green Tara Hunt, Américaine établie à Montréal et citée par Fast Company comme l’une des 25 femmes d’affaires à surveiller Et encore beaucoup d’autres… Philippe Telio, l’homme derrière le Startup Festival Ce festival n’aurait jamais eu lieu sans l’initiative de Philippe Telio, président d’Embrase, une société montréalaise de service-conseil pour entreprises en émergence. Passionné de réseautage, il avait déjà organisé à Montréal des startup camps, c’est-à-dire des non-conférences de geeks qui réunissent des passionnés de techno et d’affaires. Quand il a vu que près de 700 personnes y assistaient, il savait qu’il devait passer à la vitesse supérieure. Un des gros problèmes [sur la scène locale], c’est que nos entrepreneurs doivent être exposés à l’entrepreneuriat international. Ce n’est pas assez d’être juste ensemble et d’en parler. Il faut réellement s’inspirer et se connecter avec d’autres communautés dans le monde. On ne peut envoyer tous nos entrepreneurs partout dans le monde, c’est beaucoup trop cher. Il y en très peu qui peuvent se permettre de voyager à New York, à San Francisco ou à Paris. Alors, au lieu d’aller aux autres conférences, on amène le monde ici, à Montréal. Faire une différence Philippe Telio adore être un connecteur. Il a lancé son Startup Festival l’an passé sans savoir si ce serait un succès ou échec (ça a été un succès). L’assistance est principalement composée de passionnés qui adorent échanger sur le domaine des entreprises dans le domaine des technologies. C’est très « organique ». On organise, mais pas trop. On laisse de la place pour que les choses se fassent naturellement. C’est quand on crée le bon environnement et qu’on met les bonnes personnes dans la salle que de bonnes choses se produisent. Cette logique d’organisation commence à intéresser les gouvernements. Pour Philippe, rassembler de la sorte les gens et les opportunités constitue de plus en plus une façon de faire aboutir les choses. Par ailleurs, organiser de tels événements est beaucoup plus facile qu’avant grâce aux nouvelles technologies de réseautage. Il croit qu’éventuellement le gouvernement soutiendra davantage ce genre d’initiative, même si les retombées sont difficiles à mesurer, en termes par exemple d’emplois créés, d’investissements ou d’entreprises étrangères qui s’établissent ici. Son Startup Festival joue ici un rôle structurant dans le milieu. Il offre de réelles opportunités d’affaires en favorisant les rencontres. C’est aussi un excellent véhicule pour transmettre les connaissances et éduquer les entrepreneurs aux meilleures pratiques du monde entier. Pour ceux et celles qui « désirent faire leur marque dans l’univers » (pour reprendre une phrase de feu Steve Jobs), voilà un bel endroit pour commencer… ou pour observer ce qui demain sera à la une de la section techno des médias. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2012/07/10/startup-festival-2012-lentrepreneuriat-technologique-qui-change-le-monde/
  5. J'ai découvert que "football" au Québec désignait ce que les Français appellent le "football américain", je trouve cela amusant. Mais ce que les Français appellent le "football", qu'est-ce que c'est au Québec, c'est le "soccer" ou il y a un mot français ? Et est-ce qu'il y a une équipe nationale de "soccer" au Québec ? Ou ce sport est-il un peu marginal ? J'indique par ailleurs un forum qui n'a rien à voir avec le sport mais tout avec l'architecture. Il y a des choses très bien sur le Québec et le Canada : http://www.skyscrapercity.com/
  6. Dans les deux cas, les travaux sont maintenant suffisamment avancés pour que l'on soit certain qu'ils seront complétés (en 2010 pour le tronçon "est" de l'A-30, en 2011 pour le pont de l'A-25 et en 2012 pour le reste de l'A-30, y compris les ponts sur le Saint-Laurent et le canal de Beauharnois) Le pont de l'A-25 sur la rivière des Prairies permettra un lien "direct" entre Laval (+ Laurentides et Lanaudière) et l'est de Montréal (+ la Montérégie "est" et l'A-20 est vers les Maritimes) sans passer par la Métropolitaine. Les nouveaux tronçons de l'A-30 , à partir de l'actuel échangeur A-20/A-540 à Vaudreuil-Dorion jusqu'au tronçon existant à Candiac permettront de contourner entièrement l'Ile de Montréal par le sud. Tout le monde sait (déjà) cela! J'aimerais qu'on discute de trois choses: 1) L'impact sur les trajets (origine, destination, ou les deux) hors de l'Ile de Montréal--par exemples: Boisbriand-Boucherville, Terrebonne-Quartier Maisonneuve, Toronto-Lévis, en termes de parcours et de durée. 2) L'impact sur les trajets entièrement sur l'Ile de Montréal --par exemple: Kirkland-Anjou. 3) L'impact sur la localisation des entreprises d'envergure régionale, nationale ou continentale--par exemple: centre de distribution de Canadian Tire.
  7. Le Conseil de l'industrie forestière du Québec (CIFQ) qualifie de bon augure l'ouverture d'esprit du président américain. Le CIFQ demeure toutefois prudent quant à la suite des choses. Pour en lire plus...
  8. Vos employés se trouvent aux premières lignes. Ils savent beaucoup de choses et leur attitude est la clé de votre succès. Mais pensez-vous à tendre l'oreille? Pour en lire plus...
  9. Publié le 27 septembre 2008 à 10h20 | Mis à jour le 27 septembre 2008 à 10h21 Le Québec jaloux de l'Alberta François Cardinal La Presse On a beau montrer l'Alberta d'un doigt accusateur, cracher sur son pétrole et mépriser son indifférence pour l'environnement, dans le fond, avouons-le, on est un peu jaloux Jaloux des «chèques de prospérité» distribués annuellement aux Albertains, des milliards qui s'empilent dans les coffres du gouvernement et de la relative insouciance de cette province face à la crise économique qui s'étend. Pourquoi eux et pas nous? Pourquoi l'Alberta, Terre-Neuve et la Saskatchewan peuvent-elles tirer profit de l'or noir, tandis que nous nous contentons de tirer une grande fierté de notre or bleu? C'est la question que pose le Parti québécois qui, depuis son voyage estival en Norvège, s'est converti aux bienfaits des pétrodollars. À preuve, cet important changement rhétorique dans le discours péquiste: il est moins question de réduire notre dépendance au pétrole, que de réduire notre dépendance au pétrole étranger. Remarquez, sur le plan économique, les intentions de Pauline Marois se défendent très bien. Le Québec se ruine en important son pétrole. L'an dernier, la balance commerciale du secteur énergétique affichait un déficit de 10 milliards. Sur le plan environnemental, par contre, les choses sont moins claires. Pour convaincre les Québécois du bien-fondé de l'exploration pétrolière et gazière dans le Saint-Laurent, le Parti québécois devra répondre à de nombreuses questions et pas seulement celles qui concernent les baleines. Est-il pertinent, par exemple, de se lancer dans une aventure aussi coûteuse et risquée, au moment où un nombre grandissant de pays occidentaux se fixent l'objectif de s'affranchir du pétrole? Rappelons d'ailleurs que Mme Marois a affirmé dans le passé pouvoir libérer le Québec de sa dépendance pétrolière en seulement 10 ans. Dépenserait-on la même énergie pour atteindre cet objectif au lendemain d'un forage réussi dans le Saint-Laurent? Le PQ fait miroiter des redevances de 20 milliards en 10 ans. Mais pour que l'État touche autant d'argent, il ne pourra se contenter de forer dans les basses-terres du fleuve, là où l'impact environnemental est limité. Il devra explorer au large des Îles-de-la-Madeleine, ce qui est une tout autre histoire sur le plan environnemental. Certes, il y a sur les tablettes un rapport du BAPE qui trace la voie à suivre pour réduire l'impact des levés sismiques dans le Golfe, mais rien sur les autres impacts potentiels (risques de déversements, construction d'énormes plateformes, etc.). Comment la formation de Mme Marois convaincra-t-elle les groupes écolos, qui ont toujours eu une grande influence au sein de son parti? En réponse à ces questions, le PQ dit vouloir s'inspirer de la Norvège, qui fait les choses autrement. On y émet par exemple une quantité limitée de gaz à effet de serre par baril de pétrole produit ce qui se traduit néanmoins par de grandes quantités d'émissions lorsque l'on additionne tous les barils. La Norvège est d'ailleurs très loin de sa cible Kyoto. Que fera-t-on pour éviter que les émissions globales du Québec explosent? Si le PQ compte faire de ce projet un cheval de bataille des prochaines élections, il devra donc préciser ses intentions dans le menu détail, énumérer les avantages autres qu'économiques de son projet, et prouver qu'il peut faire les choses sans trop de dégâts. Bref, il devra aller au fond de la question avant de creuser au fond de l'eau. courriel Pour joindre notre journaliste francois.cardinal@lapresse.ca Ne manquez pas dans le cahier PLUS: L'Alberta saoudite, une grande série sur l'exploitation des sables bitumineux et ses effets, de Agnès Gruda et François Cardinal. Treize chars! On savait que John McCain possède sept maisons. On apprend maintenant ce que contiennent ses nombreux garages: 13 rutilantes voitures, révèle Newsweek. Alors que le couple Michele et Barack Obama se contente pour sa part d'une seule auto. On pourrait croire que cela fait scandale dans un pays aux prises avec de si graves problèmes économiques. Mais ce n'est pas vraiment le cas. La seule véritable indignation a été manifestée par les United Auto Workers (Travailleurs unis de l'automobile), qui se désolent que dans le lot, on compte une Volskwagen et une Honda. Deux autos étrangères, quelle honte! Le courrier VERT QQu'est-ce qui pollue moins, la conduite avec ou sans «cruise control»? (Anonyme) RTout dépend de la route sur laquelle vous vous déplacez, selon le site spécialisé Edmunds.com. Sur une autoroute plane, le régulateur de vitesse vous permettra en effet de réduire votre consommation d'essence et, ainsi, de moins polluer. La conduite est alors plus douce, moins agressive, ce qui réduit les à-coups. Sur une route montagneuse, par contre, le régulateur a l'effet inverse: il exige plus de carburant, parce qu'il oblige la voiture à s'ajuster continuellement au terrain changeant. Edmunds.com Supermarché de CO2 Alors que l'Amérique du Nord s'éveille aux bienfaits de l'échange de droits de polluer, l'Europe bat des records. La Presse a révélé cette semaine la création prochaine de la deuxième Bourse du carbone en importance au monde, à laquelle le Québec participera. Comme pour lui donner raison, le marché climatique européen (Bluenext) a annoncé le jour même avoir enregistré un nombre de transactions record en une seule journée: plus de 2 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre. Chaque tonne échangée (au coût de 37$ CAN) signifie qu'une entreprise a réussi à polluer moins que permis.
  10. Le Québec ne produit pas de gaz naturel. Mais une technologie d’extraction, récemment mise au point au Texas, pourrait changer les choses. Pour en lire plus...
  11. La suite des choses: une assemblée syndicale est prévue pour le mercredi 2 juillet pour les employés de bureau et de la rédaction. Pour en lire plus...
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