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  1. Bonjour à tous, voilà un moment maintenant que je surveille ce forum du coin de l'oeil, que je regarde régulièrement... disons que je suis suffisamment passionné d'urbanisme pour bien aimer ce que l'on trouve ici. Je me suis fait très discret jusqu'à présent et -faute de temps- je continuerais très probablement à rester très discret. J'avais quand même envie de vous présenter un petit projet personnel. Il ne s'agit pas de hauts buildings ou de plans de métro complètement fou. Simplement un projet à une échelle plutôt raisonnable : une piste cyclable reliant le boulevard de Maisonneuve au canal Lachine et aux berges du Saint Laurent. J'ai pris mon temps pour bien y réfléchir, et monter un dossier. J'avoue que j'apprécierais énormément des feedbacks et des commentaires ! C'est en pdf, téléchargeable par ici (1.3 Mo) : http://c-pp.biz/pistes_cyclables/plan_cyclable.pdf
  2. Le 24 août 2009 Les quartiers montréalais d'hier à aujourd'hui Agrandir Un des bijoux du quartier ouvrier né à l'époque de la Première Guerre mondiale: le marché Maisonneuve. Photo: David Boily, La Presse Marie-France Léger La Presse Découvrir et apprécier l'architecture et l'aménagement de différents quartiers montréalais, voilà ce que nous propose jusqu'au début octobre Héritage Montréal, grâce à ses circuits pédestres Architectours. Pour nous inciter à suivre le guide, Claudine Déom, professeure à l'École d'architecture de l'Université de Montréal, nous dévoile les origines et l'évolution d'un quartier ouvrier qui a opéré, depuis quelques années à peine, une reconversion: Hochelaga-Maisonneuve. «Héritage Montréal se penche sur les origines mais aussi sur les contributions contemporaines, les ajouts qui forment le patrimoine de demain. Ce qu'on dit aux Montréalais: il faut voir autrement ces aménagements et ces arrangements de bâtiments», souligne Mme Déom, qui accompagnera les mordus d'histoire et d'architecture dans ce quartier le 6 septembre. Bien penser les habitations Pour comprendre Hochelaga-Maisonneuve, il faut revenir au modèle souhaité par la municipalité de Maisonneuve au début du XXe siècle: un quartier pour les ouvriers qui serait sain, lumineux et aéré, comportant des logements superposés (les fameux «plex») proches des lieux de travail; les usines bordant le fleuve rue Notre-Dame. On était loin de l'idée des quartiers ouvriers insalubres. «On s'interroge encore sur l'origine de ces plex. On a des hypothèses sur les influences écossaises ou britanniques. Ces habitations typiques proposent une superposition de logements en groupe de deux, trois ou cinq pour régler le problème de densité. Ce sont des habitations en rangée auxquelles on accède par l'arrière par un réseau de ruelle. C'est Montréal qui a été la première à trouver cette solution au Canada. Il faut se souvenir que Montréal était alors la métropole.» Agrandir Un immeuble dont l'architecture ne contraste pas énormément avec des habitations superposées en rangée datant du XXe siècle. (Voir la photo plus bas) Photo: David Boily, La Presse De bons services En fait, les élus de l'époque voulaient ce qu'il y avait de mieux près des habitations, comme aux États-Unis: larges boulevards avec perspective (boulevard Morgan), architecture imposante de style Beaux-Arts (marché Maisonneuve et bain Morgan) et aménagements des espaces publics et des parcs (parc Morgan). «Les élus voulaient qu'il y ait de bons services pour les citoyens. L'idée de l'époque, c'était l'esprit sain dans un corps sain: au bain Morgan, il y avait non seulement une piscine et une palestre, mais aussi des douches et des toilettes, ce qui renforçait le principe de l'hygiène», précise Mme Déom. Agrandir Des plex en rangée remontant au début du XXe siècle dans la rue Nicolet. Au Canada, Montréal a été la première ville à innover avec ce type d'habitation superposées en rangée. Photo: David Boily, La Presse L'ancien quartier ouvrier a connu un boom immobilier depuis quelques années et s'embourgeoise sous l'appellation HoMa. Les tours modernes se multiplient et les chantiers s'activent toujours en 2009 sur les lieux d'anciennes usines et de terrains vagues. Édifiée à l'emplacement d'une ancienne voie ferrée, la place Simon-Valois tente quant à elle de recréer le design d'une vieille gare de triage... Les visites Le centre-ville ouest, domaines et jardins Samedi 22 août, dimanche 4 octobre Départ: 14h, angle Atwater et Sainte-Catherine (métro Atwater, sortie Sainte-Catherine) Le 25e de l'Affaire McGill College Samedi 12 septembre, dimanche 23 août Départ: 14h, angle McGill College et Sherbrooke Ouest (métro McGill) Le square Dorchester Samedi 29 août Départ: 14h, angle Peel et rue du Square Dorchester (métro Peel, sortie Peel est) Agrandir Le Bain Morgan, construit en 1915 dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve. Photo: Alain Roebrge, La Presse Hochelaga-Maisonneuve Dimanche 6 septembre Départ: 14h, angle Notre-Dame Est et Pie-IX (métro Pie-IX et autobus 139 sud) Vieux-Montréal/ Une autoroute pour la rue Saint-Paul Samedi 5 septembre Départ: 14h, angle avenue Viger et rue Saint-Urbain (métro Place-d'Armes) De la Gauchetière, passage oublié Samedi 19 septembre, dimanche 30 août Départ: 14h, angle rue Saint-Hubert et boulevard de Maisonneuve Est (métro Berri, sortie Place-Dupuis) Places et squares au centre-ville Samedi 3 octobre, dimanche 13 septembre Départ: 14h, angle Belmont et Côte du Beaver Hall (métro Square-Victoria, sortie Belmont) Les espaces verts de Westmount Dimanche 20 septembre Départ: 14h, angle boulevard de Maisonneuve et avenue de Vendôme (métro Vendôme) Plus d'info sur les visites et les tarifs: http://www.heritagemontreal.org Voilà quelque chose de positif venant d'Héritage Montréal
  3. Quand Maisonneuve rêvait de devenir la cité idéale Alexandre Shields Édition du mardi 22 juillet 2008 Le boulevard Pie-IX représenté sur une carte postale, à l'époque où une allée piétonnière avait été aménagée au milieu du terre-plein central. Le quartier Hochelaga-Maisonneuve fête cette année son 125e anniversaire. Dans le premier de deux articles consacrés à ce secteur mal aimé de la métropole, Le Devoir se penche aujourd'hui sur l'histoire méconnue de la Cité de Maisonneuve, qui était autrefois une ville indépendante et prospère. Pour plusieurs Montréalais, elle n'est qu'une portion du quartier défavorisé d'Hochelaga-Maisonneuve. Mais avant d'être annexée à la métropole québécoise, la cité de Maisonneuve, qui fêterait cette année son 125e anniversaire, a déjà été le cinquième centre industriel en importance au Canada. En fait, ceux qui l'ont bâtie rêvaient d'en faire le Westmount des francophones. Si leurs idées de grandeur ont provoqué sa perte, elles ont tout de même laissé un patrimoine architectural hors du commun. Maisonneuve, qui comptait au départ 287 habitants, est effectivement née de la seule volonté de grands propriétaires fonciers et d'industriels. Détenteurs de vastes terrains dans ce secteur compris entre les actuelles rues Bourbonnière et Vimont, délimité au sud par le fleuve et au nord par ce qui est aujourd'hui la rue Rosemont, ils obtiennent leur indépendance municipale en décembre 1883, au moment où Hochelaga, criblée de dettes, est forcé de se joindre à Montréal. Avant cette date, les deux entités formaient une seule ville, Maisonneuve se résumant à une vaste zone rurale. Comme les dirigeants politiques associaient alors le progrès à une industrialisation massive, ils ne tardent pas à mettre en place les conditions financières susceptibles d'attirer de grandes manufactures, notamment par des subventions et des exemptions de taxes. On leur promet ainsi «une fortune rapide et solide». Les services publics s'y développent rapidement, tandis que des lignes de tramway suivront bientôt le tracé des rues Ontario, Sainte-Catherine et du chemin du Roy (l'actuelle rue Notre-Dame). Bref, il s'agissait de jeter les bases du «Westmount des francophones», selon les mots du directeur du Musée du Château Dufresne, Paul Labonne. L'établissement présente d'ailleurs une exposition intitulée «Hochelaga-Maisonneuve en trois temps. 1er temps: de villes ouvrières à cité modèle (1870-1918)». Gros boom Les efforts portent fruit puisque les industries du textile, du cuir, de la métallurgie, de l'alimentation, de la fabrication de meubles et du papier peint affluent à la fin du XIXe siècle. En 1910, Maisonneuve, devenue la cinquième ville industrielle du Canada, est même la capitale de la chaussure: on en produit 3,5 millions de paires annuellement. Et avant qu'elle ne soit forcée de s'annexer à Montréal, elle compte pas moins de 30 manufactures liées à ce secteur. Au sud de Pie-IX, la Canadian Vickers implante par ailleurs un important chantier naval où on construira des sous-marins durant la Première Guerre mondiale. Cette multiplication des usines, dont les sirènes rythment littéralement la vie des habitants, attire des milliers de travailleurs. La plupart vivent bien sûr dans une très grande pauvreté. À titre d'exemple, un menuisier gagne en moyenne 17 cents l'heure en 1901, alors qu'une livre de beurre lui en coûte 24. Et les six journées de travail hebdomadaires durent chacune 12 heures, même pour les enfants. En se baladant dans le quartier, on peut encore observer plusieurs exemples des logements qu'ils habitaient au tournant du siècle, notamment dans la rue Létourneux et l'avenue de LaSalle -- où on retrouve de typiques «maisons en rangées». Les riches industriels de Maisonneuve, eux, se font construire de somptueuses maisons, principalement dans les rues Adam et Lafontaine. Un grand nombre se dressent encore, avec leurs larges galeries en bois couvertes et décorées de frontons. Autre preuve de la prospérité économique de l'époque, deux banques sont construites l'une à côte de l'autre, rue Ontario, en moins de cinq ans, pour les besoins de l'industrie. La superbe église Très-Saint-Nom-de-Jésus, rue Adam, témoigne elle aussi de l'héritage laissé par cette période faste. Folie des grandeurs Les dirigeants politiques voient toutefois beaucoup plus grand. En 1910, le maire Alexandre Michaud et le conseiller Oscar Dufresne élaborent un plan d'aménagement urbain très ambitieux, trop ambitieux, même. Dans son ouvrage Montréal, son histoire et son architecture, l'historien Guy Pinard qualifie d'ailleurs de «vent de folie des grandeurs» les idées qui sont alors mises de l'avant. Il faut dire que le conseil municipal de l'époque ressemblait davantage à une chambre de commerce qu'à une institution démocratique. Un club fermé qui refile une note salée aux locataires et aux petits propriétaires. L'exécution de ce plan est d'ailleurs confiée à Marius Dufresne, frère cadet d'Oscar, alors ingénieur municipal de Maisonneuve et industriel prospère. Ce sont eux qui se feront construire le Château Dufresne. Le mégaprojet urbanistique prévoit la construction de cinq édifices grandioses, en plus des boulevards Pie-IX et Morgan. Les quatre qui seront finalement réalisés existent encore et constituent autant de chefs-d'oeuvre architecturaux qui détonnent dans un quartier aujourd'hui défavorisé. Il s'agit d'abord de l'hôtel de ville, situé à l'angle d'Ontario et Pie-IX, terminé en 1912. Le marché Maisonneuve suit, avec sa silhouette rappelant le style beaux-arts. Marius fait même installer sur sa grande place une fontaine monumentale du sculpteur Alfred Laliberté. L'endroit deviendra un marché public important pour la vente de bétail, en plus d'un lieu de débats politiques. Juste à côté, l'équipe de crosse de Maisonneuve, le National, a droit à son stade. En face s'ouvre le large boulevard Morgan, que ces concepteurs voyaient carrément comme l'avenue des Champs-Élysées version locale. C'est là qu'est érigé le Bain public Maisonneuve, achevé en 1915. Il s'agit d'un bâtiment encore une fois majestueux, coiffé d'immenses sculptures qui évoquent l'époque de la Renaissance. À la même époque, Marius Dufresne dirige en outre la construction d'une caserne de pompiers, située au bout de Létourneux, dans un style inspiré de l'architecte américain Frank Lloyd Wright. Le cinquième projet, prévu sur le site de l'actuel parc Maisonneuve, ne verra jamais le jour. Et il s'agissait sans aucun doute du plus insensé de tous. «Le conseil a voulu créer un vaste parc qui serait pour l'est de l'île ce qu'est le mont Royal pour l'ouest. De 1910 à 1916, la ville achète de quelques propriétaires des terrains situés dans la partie nord-est de son territoire. Ces achats lui coûteront 6 445 615 $ dont une bonne partie ira à des spéculateurs», rappelle l'historien Paul-André Linteau dans sa thèse de doctorat intitulée Histoire de la ville de Maisonneuve, 1883-1918. «Un projet d'aménagement grandiose est proposé: piste de course, amphithéâtre, étangs, hôtels, galerie d'art, musée, bibliothèque, jardin botanique, aquarium, jardin zoologique, etc., poursuit-il. La ville espère tirer de l'exploitation de ce parc des revenus importants.» Un hippodrome de plus de 10 000 places devait y être bâti. L'administration de Maisonneuve songeait même à y organiser rien de moins qu'une exposition internationale en 1917, afin de marquer le 50e anniversaire de la Confédération. Mais les idées de grandeur de ses dirigeants auront raison des finances d'une ville alors considérée comme la «Pittsburgh du Canada» -- la ville américaine était un centre économique majeur. Lourdement endettée, elle sera forcée de se joindre à Montréal en 1918. Elle compte alors plus de 30 000 résidants. *** L'exposition Hochelaga-Maisonneuve en trois temps. 1er temps: de villes ouvrières à cité modèle (1870-1918) est présentée jusqu'au 2 février 2009 au Musée du Château Dufresne. Objets et photographies d'époque témoignent des divers aspects de la vie urbaine à l'époque de l'industrialisation des municipalités d'Hochelaga et de Maisonneuve. Information: http://www.chateaudufresne.com http://www.ledevoir.com/2008/07/22/198766.html
  4. Quebecor World hors de l'édifice de Quebecor 26 juin 2008 - 16h04 Presse Canadienne Signe de plus que Quebecor (QBR.B) et Quebecor World (IQW) prennent des chemins séparés: l'imprimeur déménagera cet automne son siège social à l'extérieur de l'édifice du conglomérat médiatique. Les deux entreprises n'ont pas réussi à s'entendre sur le renouvellement du bail pour les locaux que Quebecor World loue à Quebecor au siège de cette dernière, en face du square Victoria, à Montréal. C'est ce que révèle le plus récent rapport du contrôleur de Quebecor World, la firme comptable Ernst & Young, déposé plus tôt ce mois-ci en Cour supérieure du Québec. Quebecor World a donc fait le tour des locaux disponibles au centre-ville de Montréal et a déniché trois étages libres au 999 de Maisonneuve ouest, un édifice appartenant à la firme torontoise OP Trust Office. Selon des documents déposés au tribunal, Quebecor World économisera 3 ,1 M$ sur dix ans en optant pour le 999 de Maisonneuve. Quebecor World s'est placée à l'abri de ses créanciers en janvier et tente actuellement de se restructurer sous la protection des tribunaux au Canada et aux États-Unis.
  5. Pendant au moins 1an et demi ils ont créer des bouhons d'enfer sur Décarie entre les rampes Sherbrooke et de l'autoroute 20. Maintenant il y a une belle rampe d'accès toute neuve qui mène directement sur la Rue Mainsonneuve. Ils ont finis la construction depuis plus de 6 mois maintenant et la rampe est toujours fermée. Quelqu'un peut me dire ce qui se passe à cette endroit ?
  6. Édifice maigrichon sur Maisonneuve que je trouve vraiment mal intégré à son environnement! Autre façade cheap sur Maisonneuve. Vivement une restauration! Enfin, les fenêtres déplacardées du La Baie. Le magasin retrouve sa beauté d'antan Quelqu'un sait ce qui se passe à la Place d'Youville??? Enfin un projet de réaménagement qui se concrétise??? Le square des Frères Charon qui commence à prendre réellement forme Un projet en attente sur la rue Queen Nouveau parc à chiens rue Duke ma photo coup de coeur du jour
  7. First the Main, now it's downtown's turn Construction. Major projects have merchants, drivers in grumble mode Motorists negotiate the traffic and construction at de Maisonneuve Blvd. and Guy St. yesterday. The statue of Norman Bethune has been removed while work is under way.DAVE SIDAWAY THE GAZETTE, JASON MAGDER, The Gazette If you want to know how much it has snowed this winter, head for Place Norman Bethune at de Maisonneuve Blvd. and Guy St. The square, which is the cornerstone of a $22-million facelift for the Concordia University neighbourhood, has been cordoned off with metal fences since October. As a result, snow banks have grown to three metres. However, the transformation of Place Bethune is only one of three major construction projects under way on the corner. Motorists negotiate the traffic and construction at de Maisonneuve Blvd. and Guy St. yesterday. The statue of Norman Bethune has been removed while work is under way Like the merchants caught up in the seemingly endless construction on St. Laurent Blvd., those in this corner of downtown feel choked by street work. While improvements are wrapping up on the Main, crews are just getting started on the Place Bethune beautification project that is expected to last at least until 2011. In the meantime, it' a corner of hell for motorists and pedestrians. "Nobody passes by here anymore," said Mohammad Saken, 28, the manager of Dépanneur Beau Prix on de Maisonneuve west of Guy. "It's already our second year with construction here, and it looks like we're going to have long-term construction. That's going to screw up our business big time." Some merchants complain the constant construction is also dangerous. Saad Salem, the kitchen manager at the Château Kabab restaurant, said he saw a man fall into a hole, which had been dug three weeks ago by the city's Electrical Services Commission to work on underground wiring on Guy north of de Maisonneuve. "A few days ago, a handicapped man fell right into the hole because he didn't see it," Salem said, adding the man wasn't seriously injured. "The company came the next day and put up a fence around the area. But they made the hole and then left it like that, without doing any work. That wasn't a great idea." Serge Boileau, president of the Electrical Services Commission, did not return calls yesterday. Merchants say they are pleased the city is spending money to beautify the area, but say the timing is bad, coming after a summer in which they had to contend both with construction on a new Concordia business school and jackhammers installing a bike path along de Maisonneuve's south side. The bike path is completed, but cyclists, pedestrians and motorists have an obstacle course of four construction sites to negotiate just to cross the street. A southbound lane of Guy is closed from de Maisonneuve to Ste. Catherine St. while crews working on Concordia's new John Molson School of Business building, as is part of de Maisonneuve west of Guy. The north side of de Maisonneuve between Mackay and Guy Sts. is also blocked by traffic cones and trailers, which are used by construction foremen as offices. "It's slushy and dirty and it hasn't been cleaned up in ages," said Melissa Ajamian, 21, who lives on St. Mathieu St. "You used to be able to just walk through this area, but now it's very difficult." Sylvain Ducas, the city's project manager of Place Bethune, said it will take two years to complete the work on the square. "We could have done it in one year, but we need to keep the street open," Ducas said. "I'm sure the merchants will agree with that."
  8. Montréal Presse Canadienne (PC) 24/08/2007 15h17 Un affaissement engorge le centre-ville On s'inquiète d'un affaissement de terrain en plein centre-ville de Montréal. Les pompiers sont sur place pour vérifier l'impact de cet effondrement sur le Montréal sous terrain et la structure du magasin La Baie et d'autres commerces du secteur. La circulation est interrompue sur le boulevard de Maisonneuve Ouest entre les rues Union et Aylmer. Le métro est fermé entre les stations Berri et Lionel-Groulx. La STM offre un service d'autobus complémentaire. L'affaiblissement apparent de la structure du métro a forcé les autorités à évacuer des centaines de personnes, en début d'après-midi, vendredi, au centre-ville de Montréal. Personne n'a toutefois été blessé, selon le Service des incendie. Un appel a été logé au 911, vers 13h30, au sujet de fissures apparues au niveau sous-terrain du magasin La Baie, dans les tunnels menant au métro. Une partie du deuxième sous-sol se serait affaissé. Des fissures étaient aussi visible dans la chaussée du boulevard Maisonneuve Ouest. Un périmètre établi entre les rues Union et Aylmer a été évacué. Des ingénieurs sont sur place pour examiner les lieux et l'état des structures. Le service a été suspendu sur la ligne verte du métro, entre les stations Atwater et Berri-UQAM.
  9. Éric Clément La députée péquiste d'Hochelaga-Maisonneuve, Louise Harel, et le député du Bloc québécois dans Hochelaga, Réal Ménard, ont proposé, ce mardi matin, à Montréal, la mise en place d'une ligne de tramway sur la rue Ontario, entre le marché Maisonneuve et la Place des Arts. Les deux politiciens, qui ont dit s'exprimer plus au nom de leurs concitoyens qu'en celui de leur parti respectif, ont présenté un mémoire conjoint lors de la dernière journée de consultation publique de la commission municipale qui se penche sur le Plan de transport dévoilé ce printemps. Tous deux ont estimé que le Plan de transport a occulté une desserte de tramway sur la rue Ontario alors que les Montréalais font aussi des déplacements est-ouest et pas seulement nord-sud. Mme Harel a rappelé que jusqu'en 1959, la population du sud-est de Montréal était desservie par un tramway dont l'emprise se trouvait sur la rue Ontario. La ligne proposée, ont fait valoir les deux politiciens, permettrait de relier de grandes institutions culturelles, religieuses, commerciales et touristiques telles que la Maison de la culture Maisonneuve, la Maison de la culture Frontenac, le cégep du Vieux-Montréal, la grande bibliothèque, l'UQAM, l'Ilot Voyageur, la Place des Arts, etc. «La rue Ontario qui se termine présentement en cul-de-sac à l'est de l'ancienne biscuiterie Viau, où se réalise un important projet de développement résidentiel, pourrait se déployer incluant son tramway jusqu'au boulevard de l'Assomption et servir d'appui à la revitalisation de ce secteur urbain», a dit Mme Harel. Pour Louise Harel et Réal Ménard, ce projet de tramway permettra de rendre ce quartier majoritairement francophone plus attrayant pour l'installation de nouvelles familles immigrantes. Plus d'informations demain dans La Presse
  10. 18/03/2007Les Amis du parc Morgan, dans le quartier Maisonneuve, demandent à la Ville de cesser son «vandalisme institutionnel» et de remettre en place la clôture «patrimoniale» du parc Morgan. Monique Désy Proulx, porte-parole des Amis du parc Morgan, s'en prend à l'arrondissement Mercier - Hochelaga - Maisonneuve pour son tout dernier «acte de vandalisme», soit d'avoir enlevé l'historique clôture ornementale de fer forgé devant le parc, au pied de la grande avenue Morgan. À la demande de marchands de la rue Sainte-Catherine, qui veulent y faire une place publique pour organiser des fêtes populaires, l'arrondissement a donné suite à son projet de démantèlement de la clôture sur la façade du parc à l'été 2006. Plus convivial Le conseiller municipal Laurent Blanchard (Vision Montréal) ne croit pas que les opposants aient raison quant au caractère «patrimonial» de cette clôture et il appuie les commerçants. «Le fait d'enlever la clôture rend le site plus facile d'accès et plus convivial pour la population, comme le suggèrent les marchands», commente le conseiller, précisant que la mesure n'a aucun impact sur la sécurité publique. Mais Les Amis du parc Morgan font la vie dure au conseiller Blanchard et à la mairesse Lyn Thériault Faust et exigent que la clôture soit réinstallée pour sauvegarder l'intégrité du lieu. Dalles de ciment «Nous craignons que le parc Morgan subisse le même sort que la devanture du Marché Maisonneuve, où l'on a fait disparaître les pommiers qui entouraient la fontaine d'Alfred Laliberté pour couvrir le site de dalles de ciment. Un geste scandaleux», dit Mme Désy Proulx. Pour sa part, le conseiller Blanchard ne cache pas le peu d'attention qu'il accorde à la demande du groupe. «Ils sont quatre dans cette vaste mobilisation», ironise-t-il, rappellant que l'arrondissement a obtenu plusieurs appuis dans sa décision, dont ceux de la députée Louise Harel, du SPVM et des Loisirs Saint-Clément. Monique Désy Proulx n'a toutefois pas jeté l'éponge. Elle précise que «le noyau dur de cette mobilisation comprend actuellement huit personnes qui ont fait signer à ce jour une pétition de 500 noms pour le retour de la clôture.
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