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STM : Prolongement : Ligne 02 orange vers le nord-est


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:rolleyes: guéguére de clocher:

Tannés de payer plus cher pour prendre le métro

 

GROGNE CHEZ LES USAGERS LAVALLOIS

 

Par JEAN-CLAUDE GRENIER

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Les usagers du transport en commun ont salué à grands coups de chapeau la venue du métro à Laval. Toutefois, ils sont nombreux à crier à l'injustice en raison de la tarification.

 

L'utilisateur occasionnel déplore que le prix soit plus élevé pour prendre le métro à partir de Laval pour se rendre au centre-ville comparativement à l'usager de la Rive-Sud qui peut atteindre le cœur de la métropole avec un titre de transport réduit.

 

Par exemple, une lisière de six billets coûte 11,75 $ sur le réseau montréalais de la STM. Même prix pour l'usager qui achète sa lisière de l'autre côté du fleuve St-Laurent. À Laval, le refrain est différent. Le tarif réduit pour l'achat de six billets n'existe pas. Pour six titres, l'usager de Laval devra débourser 16,50 $. Au bout de l'année, c'est presque 220 $ de plus.

 

" On nous casse les oreilles en répétant qu'il est économique d'acheter les titres mensuels mais pour nos besoins, la lisière de six billets est suffisante. Je dois acheter une lisière de billets pour revenir de Montréal et des titres supplémentaires pour prendre le métro de Laval. Nous sommes les payeurs de ce gros jouet du maire Vaillancourt ", s'exclame Valérie Toussaint, étudiante à temps partiel à l'UQAM.

 

" Pourtant, c'est la même société de transport qui gère le système et les tarifications sont différentes. Un non sens ", ajoute à son tour Julie Saulnier qui écoutait la conversation.

 

Ancien résidant de Longueuil, André Robillard, 27 ans, admet qu'il n'avait pas à payer davantage quand il demeurait sur la Rive-Sud. " Quand je demande des explications aux échangeurs ou à des gens de la STM, je ne comprends absolument rien. C'est très nébuleux. "

 

Étudiant et travailleur à temps partiel dans un cinéma du centre-ville, Alexandre Touchette ajoute à son tour qu'il ne réalise aucune économie en montant à bord du métro à Laval.

 

" Il est plus économique de traverser le pont Viau et de stationner ma voiture sur la rue Berri et prendre le métro à la station Henri-Bourassa. Le métro à Laval ne me procure aucun avantage ", conclut-il.

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Popularité au-delà des attentes

 

Jean-Maurice Duddin

Le Journal de Montréal

03/10/2007 05h49 - Mise à jour 03/10/2007 08h51e-journaldemontreal.gif

 

 

pix.gifpix.gif20071003-054900-g.jpgLe métro à Laval, un succès d’achalandage depuis l’ouverture, mais un succès qui coûte cher puisque les trois stations entraînent des dépenses plutôt que des profits pour la STM.

Photo d’archives Pascal Ratthé

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S'il y a eu un scandale au sujet de leur coût de construction, les trois stations de métro de Laval connaissent néanmoins un succès d'achalandage imprévu, de près de 20% supérieur aux prévisions.

 

 

Après cinq mois d'exploitation, les stations Montmorency, Concorde et Cartier accueillent chaque jour de la semaine une moyenne de 40 000 usagers, soit 6000 de plus que prévu.

 

 

Mieux, il y a certains jours où l'achalandage a atteint les 42 000 usagers, soit 23,5 % de plus que les prévisions originelles.

 

 

«Devant ce succès, nous avons dû ajouter une rame de neuf voitures supplémentaires le matin», a précisé au Journal la porte-parole de la Société de transport de Montréal (STM), Odile Paradis.

 

 

Au-delà des prévisions

 

 

Habituellement, il faut un an à la STM pour atteindre les projections d'achalandage.

 

 

«L'objectif pour les trois stations au bout d'un an était de 34 000 usagers. L'achalandage d'une nouvelle station se bâtit habituellement sur plusieurs mois. À Laval, ça a commencé au-delà des prévisions.»

 

 

La STM continuera donc son monitoring jusqu'en avril prochain avant d'établir un profil d'achalandage final. Sauf que, déjà, les stations Montmorency et Cartier accueillent 400 000 personnes par mois, ce qui les place d'office dans les 15 stations les plus achalandées des 68 que compte le réseau du métro.

 

 

Succès coûteux

 

 

Mais compte tenu du sous-financement des services de transport en commun au Québec, le succès enregistré dans les trois stations lavalloises n'entraîne pas de profits, mais plutôt des dépenses supplémentaires pour la STM.

 

 

Rappelons que le scandale du coût de construction du métro, qui est passé de 179 à 803 millions de dollars, est imputable aux politiciens, qui en ont minimisé les coûts pour le faire accepter du public.

 

Dans la réalité, la construction a en effet coûté le prix moyen que l'on retrouve au kilomètre partout dans le monde pour la construction d'un métro, soit autour de 150 millions de dollars.

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  • 1 mois plus tard...
Popularité au-delà des attentes

 

Jean-Maurice Duddin

Le Journal de Montréal

03/10/2007 05h49 - Mise à jour 03/10/2007 08h51e-journaldemontreal.gif

 

 

 

«Devant ce succès, nous avons dû ajouter une rame de neuf voitures supplémentaires le matin», a précisé au Journal la porte-parole de la Société de transport de Montréal (STM), Odile Paradis.

 

 

Au-delà des prévisions

 

 

Habituellement, il faut un an à la STM pour atteindre les projections d'achalandage.

 

 

«L'objectif pour les trois stations au bout d'un an était de 34 000 usagers. L'achalandage d'une nouvelle station se bâtit habituellement sur plusieurs mois. À Laval, ça a commencé au-delà des prévisions.»

 

 

La STM continuera donc son monitoring jusqu'en avril prochain avant d'établir un profil d'achalandage final. Sauf que, déjà, les stations Montmorency et Cartier accueillent 400 000 personnes par mois, ce qui les place d'office dans les 15 stations les plus achalandées des 68 que compte le réseau du métro.

 

Réponse à la STM : Duh!

1- vous mettez une station près de l'autoroute 15 et des grands boulevards... c'était clair que plein de gens du nord-ouest iraient à Montmo en auto

2- il y a une seule station pour tous les autobus du centre+est de Laval, un espèce de Henri-Bourassa 2... c'est sûr que ça boost l'achalandage de Cartier

 

Bref c'était clair que Montmorency et Cartier allaient être très achalandées... ça se voit que ça a été sous-estimé, il y a des passages bien trop petits dans ces stations.

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À Montmorency, les deux portes tournantes qui relient les escaliers du métro et les quai de la STL sonti insuffisantes, c'est souvent embouteillé. Cela n'apparait pas sécuritaire en cas d'évacuation d'urgence.

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Avec l'hiver qui arrive, ca va être le bordel pour ceux qui stationnent aux abords ou carréement dans les terrains vagues environnants. Il va y en avoir de la bouette sur leur chars.

 

Aussi, les towings feront des affaires d'or à sortir les autos de ces terrains vallonneux lorsques glacés. Ca m'est déjà arrivé au Park-and-Fly de PET après un bon verglas, j'y étais coincé dans des slut de 2 à 3 po. de profond créées lorsque la marre d'eau s'était figée en patinoire. Alors on peut imaginé dans ces champs là ...

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Le projet Urbania près de la station Montmorency dans le "centre-ville" de Laval veut augmenter sa densité. C'est une bonne chose de vouloir densifier les alentours des stations de métro. J'espère que des projets semblalbes se développeront autour de d'autres stations.

 

 

http://www.courrierlaval.com/article-161046-Urbania-doublera-la-densite-residentielle.html

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Le mardi 27 novembre 2007

Martin Croteau

 

La Presse

 

Longtemps montréalaise, Christine Banal s’est établie à Laval, en avril, juste à temps pour l’ouverture de la toute nouvelle station Montmorency. Cette station, à quelques coins de rue de son domicile, lui permet de gagner son travail au centre-ville en un clin d’œil. Mais depuis quelques mois, cette habituée des transports collectifs déchante. Car chaque semaine, le métro lui semble moins confortable.

 

Lorsque La Presse l’a rencontrée, peu après 7 h, hier, tous les sièges de son wagon étaient occupés. Et le train n’avait pas encore quitté la station, la première de la ligne orange. « Ce n’est pas rare de voir des personnes incapables d’entrer parce qu’il n’y a plus de place », explique la travailleuse.

 

La station Montmorency est pimpante. Autour de l’escalier mobile qui mène au quai, des tuiles jaunâtres dégagent une lueur accueillante. Le plancher est propre comme un sou neuf. Les sièges d’aluminium brillent sous les néons. Déjà, à 6 h 30, les passagers affluent par centaines, descendant des autobus ou profitant du stationnement incitatif gratuit.

 

Les stations Montmorency, de la Concorde et Cartier accueillent en moyenne 45 000 passagers par jour. « À l’origine, les prévisions étaient d’environ 34 000 déplacements par jour pour les trois stations confondues, explique la porte-parole de la Société de transport (STM), Marianne Rouette. On a largement dépassé ces prévisions. »

 

Claustrophobes, s’abstenir

 

Cette popularité ne fait toutefois pas que des heureux. « Arrivé à Henri-Bourassa, certaines personnes poussent pour entrer tellement les wagons sont pleins, constate Julie Fortin, qui étudie au centre-ville. Il ne faut pas que tu soies claustrophobe ! »

 

L’extension du métro à Laval – un projet de 745 millions – s’est accompagnée d’une importante réorganisation du service d’autobus de la Société de transport de Laval. Avant l’inauguration des trois nouveaux arrêts de la ligne orange, le 28 avril, des dizaines de trajets convergeaient vers les stations Côte-Vertu et Henri-Bourassa, à Montréal.

 

À cette époque, Claudia Diaz prenait l’autobus jusqu’à la station Henri-Bourassa. De là, elle empruntait le métro jusqu’à son travail. Aujourd’hui, le même autobus la laisse à la station Cartier, comme 21 autres trajets de la Société de transport de Laval. Résultat : avant même d’avoir passé sous la rivière des Prairies, les trains sont pleins à craquer.

 

« Avant, je trouvais toujours une place assise à Henri-Bourassa, indique-t-elle. Maintenant, je suis debout tout le long du trajet. »

 

Renforts

 

Pour remédier à la situation, la STM a augmenté de 28 à 33 le nombre de trains sur la ligne orange à l’heure de pointe matinale. Plusieurs sont envoyés en renfort à la station Henri-Bourassa. À chaque train en provenance de Laval succède un train vide. Les usagers se sont d’ailleurs habitués à cette méthode. Au lieu de se presser à l’intérieur des wagons bondés, plusieurs passagers restent patiemment sur le quai, devant les portes ouvertes, en attendant le train suivant.

 

Mais même dans les trains vides, Caroline, cégepienne, peine à se trouver une place. Et la congestion ne fait qu’empirer à mesure que la ligne orange descend vers le centre-ville. À la station Mont-Royal, le « point de charge le plus lourd » avant Berri-UQAM, selon la STM, certains passagers sont contraints de regarder le train passer, incapables de se faufiler à l’intérieur lorsque les portes s’ouvrent.

 

« Il y a souvent des jours où je rate le train trois ou quatre fois de suite », déplore Brenda, rencontrée sur le quai.

 

En prévision du prolongement du métro à Laval, la STM a entrepris l’an dernier de réaménager 428 wagons desservant la ligne orange. Les nouveaux modèles contiennent moins de places assises et plus d’espace entre les sièges. Ils peuvent donc accueillir 10 % plus de passagers. Déjà 300 wagons ont été retapés. Le projet devrait être terminé l’an prochain.

 

Charles Reny, qui habite à deux pas de la station Henri-Bourassa, estime qu’il y a au moins 15 % de plus de passagers qu’auparavant sur la ligne orange. « Mais c’est dur à dire, parce que c’était déjà plein à 100 % avant l’ouverture du métro à Laval. »

 

Mais ce travailleur ne troquerait pas le métro contre l’automobile pour autant. Car le même trajet jusqu’au boulot lui prendrait au moins une heure chaque matin s’il prenait sa voiture. « Le service est excellent, résume-t-il. La fréquence est juste insuffisante. »

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  • Administrateur

Crisse a juste à prendre le métro plus tard, à 8h45 c'est pas si paqueté que ça.

 

Tout le monde se garoche pour mourir à 7h. Il y a tant de jobs que ça au centre ville qui commencent avant 8h??

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C'est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. Cela veut certainement dire qu'il y a moins de voitures sur les routes en provenance de Laval.

Cela veut-il égelement dire que l'affluence au métro Côte-Vertu a diminué ?

J'ai pu expérimenter cette conséquence : récemment, il m'est arrivé plusieurs fois de laisser passer un métro à la station Laurier le matin.

La rançon de la gloire !! :crowded:

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