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Modernisation rue Notre-Dame


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Sauf si ça fait changer la vision des autres. Je suis certain que des gens changeront d'avis en voyant cela. C'est du prime-space qu'on est sur le point de gaspiller. Faut qu'on s'en rende compte.

 

J'ai conservé les entrepôts (stripé noir et jaune), transformés en gallerie d'art moderne. Y'aura pas la Joconde, mais des oeuvres qui seront encore plus importante que la Joconde dans le futur.

 

Moi je suis convaincu que le Port est capable d'améliorer ses technologie pour restreindre l'espace qu'il occupe en rive. L'emprise portuaire industrielle s'étend sur plus de 80% de l'axe Est-Ouest! Ne me dites pas que le chargement du vrac (de DeLorimier à Pie-IX) pourrait pas utiliser une manière plus efficace que juste "dumper" leur chargement en un tas (de sel, sable ou autre) qui reste là pendant 8 mois!

 

On a des train, des convoyeurs qui servent pas. Qu'on aille entreposer le tout ailleurs, pour qu'un seul quai puisse faire la job de dix en ce moment. C'est pas très technologique de "dumper" son chargement. Non?

 

Et puis Postdamer Platz. Qui aurait dit que ce No Man's Land reprendrait vie un jour avant 1989. C'est la plus belle réussite d'Allemagne. En juste 10 ans, wow.

 

Je vous invite encore a aller voir le projet de Toronto Waterfront. Ils vont mettre a terre le Gardiner Expressway pour en faire un boulevard urbain justement pour permettre le développement en front-de-mer.

 

C'est pas juste du rêve que je veux vendre, c'est de la raison pis un peu de vision. Si ça se fait à Toronto, pourquoi pas ici à Montréal?

 

 

 

Le problème n’est pas tant de savoir si certaines activités ACTUELLES du Port peuvent être déménagées mais plutôt de savoir quand le Port aura besoins de ces terrains pour continuer à se développer. Et ce n’est pas uniquement les terrains utilisés par ta vision qui seront problématiques mais aussi les terrains autour. Imaginez la réaction des NIMBYs si le Port veut développer de ses terrains pas très loin des tours d’habitation ou du parc (« vous voulez construire ÇA près d’un parc? Avez-vous pensez aux enfants? »). Je comprends ton point de vue, que des terrains près du fleuve ont un grand intérêt et un grand potentiel de valeur ajoutée, mais dans le cas de ces terrains, la plus grande valeur est associée au Port de Montréal.

 

Le Port n’a pas seulement une importance capitale pour Montréal, mais le transport maritime va aller en augmentant et ça aura un effet bénéfique pour l’environnement (surtout si les navires se développent de façon plus écologique). C’est un moyen de transport moins polluant que le camion (en proportion au chargement évidement). Des entreprises de la Côte Nord ont déjà commencé à acheminer des matières premières aux Port de Trois-Rivières par barges. Pourquoi ne pas essayer de faire la même chose pour les entreprises de Montréal (pas nécessairement des matières premières mais aussi des produits finis). De plus, le transport maritime permet de diminuer le nombre total d’usines nécessaires pour la fabrication d’un produit. Moins d’usines signifie généralement une plus grande productivité (pas toujours, malheureusement). Et je crois que d’utiliser moins de ressources pour fabriquer la même quantité d’un produit est un élément de développement durable.

 

Autre point : sur ton illustration, on voit un navire de croisière accosté. Je ne crois pas que les touristes ne soient vraiment intéressés à visiter Hochelaga-Maisonneuve plutôt que le Vieux-Montréal. Les touristes sont généralement pressés (surtout les croisiéristes qui ne s’arrêtent que pour une journée ou deux dans une escale) et se contentent de visiter les principales attractions touristiques d’une ville. Dans le cas de Montréal, on parle du Vieux Port, du Vieux-Montréal, de Centre-ville et du Mont-Royal (qui sont tous adjacents). Certains touristes peuvent aussi vouloir visiter l’Oratoire St-Joseph, La Ronde ou le Parc Olympique, mais ceux-ci peuvent prendre le taxi ou le transport en commun pour s’y rendre. Les touristes qui veulent visiter un « vrai » quartier de Montréal, comme Hochelaga-Maisonneuve, peuvent aussi utiliser le transport en commun. Les principales attractions touristiques et les principaux musées sont concentrés dans le Centre-ville et dans le Vieux-Montréal. Et c’est cette concentration qui donne la masse critique nécessaire au tourisme. Les touristes apportent une plus grande valeur ajoutée au Centre-ville qu’à Hochelaga-Maisonneuve. De plus, les habitants de Hochelaga-Maisonneuve veulent-ils réellement cette masse de touristes dans leur quartier? Je m’explique : les touristes demandent certains types de commerces, comme de fins restaurants (chers!) et des boutiques de souvenirs. Est-ce que les résidents voudront de ces commerces qui ne les intéressent possiblement pas directement?

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Je crois qu'on est maintenant fixé sur le sort du projet:

 

Bruno Bisson

 

La Presse

 

Les élus municipaux des six arrondissements de l'est de Montréal et de la municipalité de Montréal-Est se sont unanimement prononcés en faveur du projet de transformation de la rue Notre-Dame, qui passera de quatre à huit voies de circulation sur une distance de neuf kilomètres, à partir du centre-ville jusqu'à la jonction de l'autoroute 25.

 

Ce mégaprojet de 750 millions, dont la construction va durer six ans, a aussi obtenu l'appui inconditionnel des milieux d'affaires à l'occasion des consultations publiques qui se terminaient hier et dont le mandat se limitait strictement à l'aménagement urbain de ce projet qui traversera les quartiers Sainte-Marie, Hochelaga-Maisonneuve et Mercier.

 

«Le statu quo est inacceptable», ont-ils rappelé tour à tour, en faisant référence au seul véritable consensus qui ait jamais été atteint autour de ce projet, après presque 10 ans de débats publics.

 

«Oui, mais pas à n'importe quel prix», ont nuancé les députés provincial et fédéral de la circonscription d'Hochelaga-Maisonneuve, Louise Harel et André Ménard, dans une lettre adressée à l'organisme Convercité, qui organisait ces consultations publiques au nom de la Ville de Montréal et du ministère des Transports du Québec.

 

 

 

Harel et Ménard brisent l'unanimité

 

 

 

Les députés Harel et Ménard ont demandé que deux voies de circulation (une dans chaque direction) soient retranchées du projet proposé, ouvrant ainsi une première brèche dans le concert unanime des élus de l'Est.

 

Les deux députés estiment que les services de transports en commun projetés dans le cadre du projet auront «bien peu de répercussions positives sur les déplacements de la population locale». Le projet, précise la lettre, empêchera aussi toute possibilité de mise en valeur de l'ancienne caserne Létourneux, un édifice patrimonial rénové à grands frais, situé au sud de la rue Notre-Dame, qui abrite actuellement la troupe du Théâtre sans fil.

 

Mercredi, le vice-président de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Est, Ahmed Galipeau, s'est dit surpris que l'annonce du projet conjoint de la Ville et du MTQ ait suscité autant de «récriminations» depuis l'automne dernier. M. Galipeau a fait appel au sens des responsabilités des autorités politiques pour «cesser de chercher la perfection et passer à l'action», sans attendre de nouvelles études.

 

Hors des milieux d'affaires et des élus municipaux toutefois, le projet, qui pourrait occasionner une augmentation de la circulation automobile de plus de 50% à la limite des trois quartiers, n'a recueilli aucun appui.

 

Malgré la vive opposition de résidants locaux et de la Direction de la santé publique de Montréal - auxquels se sont ajoutés hier les porte-parole du Centre de santé et services sociaux local, - des représentants d'entreprises locales (Mabe Canada), des associations de commerçants des rues Ontario et Sainte-Catherine situées à proximité de Notre-Dame, la Chambre de commerce et d'industrie de l'Est de l'île de Montréal et plusieurs autres organismes de concertation économique (CDEST, SODEC, etc.) sont venus les uns après les autres réclamer la mise en chantier immédiate du projet.

 

 

 

20 ans d'analyse

 

 

 

«Il est grandement temps, après plus de 20 ans d'analyses et de tergiversations, que les décideurs publics aillent de l'avant avec ce projet, ont résumé hier les porte-parole de la Corporation de développement de l'Est (CDEST), Bernard Gauvreau et Thérèse Sainte-Marie. Les problèmes de la congestion routière, la circulation de transit dans les quartiers résidentiels et les problèmes de sécurité dans la rue Notre-Dame sont autant de raisons qui militent en faveur de sa modernisation.»

 

En vertu du projet routier proposé par le ministère des Transports du Québec et la Ville de Montréal, la rue Notre-Dame actuelle, une artère à quatre voies dysfonctionnelle, désuète et constamment congestionnée, sera transformée en une autoroute urbaine de huit voies de largeur en prolongement de l'autoroute Ville-Marie (A-720), entre le centre-ville et l'autoroute 25, dans l'est de Montréal.

 

Selon les partisans du projet, l'augmentation de la capacité routière dans cet axe de transport permettra de canaliser la circulation de transit hors des quartiers résidentiels et de permettre une meilleure fluidité de mouvement des quelque 7000 camions qui roulent quotidiennement dans la rue Notre-Dame. Entre 2000 et 3000 camions proviennent du port de Montréal, qui longe la rue sur toute sa longueur.

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:thumbsup: :thumbsup: :thumbsup:

 

Oui monsieur!!!!!!!!!!!

 

 

Étienne: :shiftyeyes:

 

:veryhappy::mtlurb: ::cool: :cool: :drool: :drool: :tearsofjoy: :tearsofjoy: :rotfl: :rotfl: :hyper: :hyper: :hyper::applause: :applause: :applause::relieved::sweatdrop::ohmygod:

 

Ne criez pas victoire trop vite. Après tous les avertissements de la Direction de la Santé Publique, ces politiciens creusent tout simplement leur tombe. La population n'est pas dupe. Elle a entendu le message de la DSP et du CSSS.

 

Du reste, le rapport de Convercité qui sera déposé au Ministère de l'Environnement fera état des inquiétudes de la population, et je ne parierais pas sur le fait qu'ils émettent un certificat d'autorisation au MTQ de si tôt.

 

Ils se sont déjà mis dans l'eau chaude pour le projet Rabaska à Lévis, ils vont faire extrêmement attention avec la rue Notre-Dame. Rappelez-vous qu'on a un gouvernement minoritaire et qu'il peut y avoir des élections à tout moment.

 

Finalement, j'ai pas eut de réponse convaincante sur la technologie du Port. Je suis persuadé qu'il peut y avoir une meilleur utilisation des lignes de chemin de fer pour prendre en charge les chargements de vrac dès qu'ils arrivent. L'entreposage peut se faire n'importe ou, pas nécessairement sur des quais. Non?

 

Je sais que je vais encore me peinturer dans le coin en disant ça, mais la présentation de Richard Bergeron était vraiment géniale mercredi soir. C'était essentiellement le rapport minoritaire de Projet Montréal sur la porte maritime de Montréal. Il a mentionné entre autre que le transport, pour les entreprises, c'est une dépense, par un revenu. Si on peut réduire le transport, il y a des économies.

 

Au lieu de mettre le liquide sur des camions citernes qui empruntent la rue Notre-Dame pour aller au Pont Jacques-Cartier (les matières dangereuses sont interdites dans le Pont-Tunnel L-H Lafontaine) il serait possible d'utiliser les pipeline sous le fleuve, ou gazoducs existant afin de l'amener le plus rapidement possible au réseau de distribution.

 

Lisez La Presse demain

 

http://www.projetmontreal.org/documents/pdf/2008-01-10_Entree_maritime.pdf

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Ne criez pas victoire trop vite. Après tous les avertissements de la Direction de la Santé Publique, ces politiciens creusent tout simplement leur tombe. La population n'est pas dupe. Elle a entendu le message de la DSP et du CSSS.

 

Du reste, le rapport de Convercité qui sera déposé au Ministère de l'Environnement fera état des inquiétudes de la population, et je ne parierais pas sur le fait qu'ils émettent un certificat d'autorisation au MTQ de si tôt.

 

Ils se sont déjà mis dans l'eau chaude pour le projet Rabaska à Lévis, ils vont faire extrêmement attention avec la rue Notre-Dame. Rappelez-vous qu'on a un gouvernement minoritaire et qu'il peut y avoir des élections à tout moment.

 

Finalement, j'ai pas eut de réponse convaincante sur la technologie du Port. Je suis persuadé qu'il peut y avoir une meilleur utilisation des lignes de chemin de fer pour prendre en charge les chargements de vrac dès qu'ils arrivent. L'entreposage peut se faire n'importe ou, pas nécessairement sur des quais. Non?

 

Je sais que je vais encore me peinturer dans le coin en disant ça, mais la présentation de Richard Bergeron était vraiment géniale mercredi soir. C'était essentiellement le rapport minoritaire de Projet Montréal sur la porte maritime de Montréal. Il a mentionné entre autre que le transport, pour les entreprises, c'est une dépense, par un revenu. Si on peut réduire le transport, il y a des économies.

 

Au lieu de mettre le liquide sur des camions citernes qui empruntent la rue Notre-Dame pour aller au Pont Jacques-Cartier (les matières dangereuses sont interdites dans le Pont-Tunnel L-H Lafontaine) il serait possible d'utiliser les pipeline sous le fleuve, ou gazoducs existant afin de l'amener le plus rapidement possible au réseau de distribution.

 

Lisez La Presse demain

 

http://www.projetmontreal.org/documents/pdf/2008-01-10_Entree_maritime.pdf

 

 

Si des terrains dans le Port de Montréal devaient devenir disponibles, alors ils devraient être utilisés pour permettre au Port de prendre de l'expansion et de s'équiper de nouvelle machinerie portuaire. L'entreposage reste tout de même une fonction importante du port. Si on force les entreprises à systématiquement tout transférer leurs marchandises dans un autre endroit pour ensuite les re-transférer à leur destination, on rend ces entreprises moins productives. Surtout que le train, bien que très efficace pour le transport interurbain entre des villes relativement éloignées, est moins efficace pour le transport local. Cependant, j'aime bien l'idée d'utiliser des pipelines et des gazoducs (quand c'est possible, évidemment) pour réduire la circulation sur Notre-Dame. Mais je ne crois pas que ça soit suffisant pour justifier l'abandon du projet de modernisation.

 

Si le Port de Montréal devait libérer des terrains, je choisirais en priorité les terrains situés dans le Vieux Port, comme le Quai Bickerdike. Des infrastructures touristiques et des quais pour les bateaux de croisière pourraient y être installés. L'afflux supplémentaire de touristes aiderait à consolider le Vieux-Montréal comme zone touristique (ce ne sera jamais comme le Vieux-Québec mais quand même). On pourrait même installer le Casino au bout du Quai Bickerdike. Les touristes pourraient y jouer et ce ne serait pas situé trop près des quartiers pauvres.

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  • Administrateur
Ne criez pas victoire trop vite. Après tous les avertissements de la Direction de la Santé Publique, ces politiciens creusent tout simplement leur tombe. La population n'est pas dupe. Elle a entendu le message de la DSP et du CSSS.

 

Du reste, le rapport de Convercité qui sera déposé au Ministère de l'Environnement fera état des inquiétudes de la population, et je ne parierais pas sur le fait qu'ils émettent un certificat d'autorisation au MTQ de si tôt.

 

Ils se sont déjà mis dans l'eau chaude pour le projet Rabaska à Lévis, ils vont faire extrêmement attention avec la rue Notre-Dame. Rappelez-vous qu'on a un gouvernement minoritaire et qu'il peut y avoir des élections à tout moment.

 

Finalement, j'ai pas eut de réponse convaincante sur la technologie du Port. Je suis persuadé qu'il peut y avoir une meilleur utilisation des lignes de chemin de fer pour prendre en charge les chargements de vrac dès qu'ils arrivent. L'entreposage peut se faire n'importe ou, pas nécessairement sur des quais. Non?

 

Je sais que je vais encore me peinturer dans le coin en disant ça, mais la présentation de Richard Bergeron était vraiment géniale mercredi soir. C'était essentiellement le rapport minoritaire de Projet Montréal sur la porte maritime de Montréal. Il a mentionné entre autre que le transport, pour les entreprises, c'est une dépense, par un revenu. Si on peut réduire le transport, il y a des économies.

 

Au lieu de mettre le liquide sur des camions citernes qui empruntent la rue Notre-Dame pour aller au Pont Jacques-Cartier (les matières dangereuses sont interdites dans le Pont-Tunnel L-H Lafontaine) il serait possible d'utiliser les pipeline sous le fleuve, ou gazoducs existant afin de l'amener le plus rapidement possible au réseau de distribution.

 

Lisez La Presse demain

 

http://www.projetmontreal.org/documents/pdf/2008-01-10_Entree_maritime.pdf

 

 

1- si les rails de trains restent là pour le port, il n'y auras pas un meilleur accès au port, est-ce qu'on s'entends là dessus? Les ponts piétonniers c'est loin d'être l'idéal.

 

2-Le pipeline arrive ou de l'autre bord du fleuve? les gens là bas pourquoi doivent-ils assumer un déménagement de désagrément? (nimbysme).

 

Si le gouvernement minoritaire tombe, évidemment comme on a l'habitude de faire au Québec, tout sera défait... et les perdants seront les résidents de HOMA qui doivent assumer un traffic de plus en plus croissant du quartier, et évidemment la grande région de Montréal sera perdante aussi pas seulement au niveau d'une meilleure efficacité de l'utilisation de son infrastructure routière, mais aussi de sa renommée... oui encore une fois, un projet majeur reporté.

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1- Un pont piétonnier pour accéder aux quais Laurier et Tarte, développé en véritable pôle culturelle/ récréo-touristique (Il y a plein de ville qui ont plusieurs pôle touristiques, pas juste dans un quartier)

 

2- Boucherville et Varenne

 

06-numeriser0001_(2).jpg

 

Vancouver est l'exemple même qu'un projet d'autoroute annulé peut résulté en une plus-value quelques années plus tard.

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Dans ta "vision" tu propose des pont piétonniers au dessus des rails de chemin de fer pour acceder au quai aménagé

 

Hors, la meme Direction de la santé publique a laquelle tu semble vouer un culte dénonce l'utilisation de telles passerelles dans le projet de Notre-Dame car elles seraient non sécuritaires,

 

extrait de l'article dans la presse

http://www.cyberpresse.ca/article/20080207/CPACTUALITES/802070436/5077/CPACTUALITES

Les experts de la DSP estiment ainsi que l'idée de donner accès à des parcs cernés par des voies autoroutières à l'aide de passerelles - les parcs ne seront pas accessibles sans ces équipements - doit être abandonnée.

 

«Ce type de structure est reconnu comme étant un couloir à déplacement prévisible dont il faut éviter l'implantation», estime la DSP. En clair, ces passerelles, au-dessus d'une autoroute, peuvent devenir des pièges impossibles à surveiller, et dont il serait impossible de s'extirper, une fois qu'on y est engagé.

 

Le probleme serait le meme avec de telles passerelles au dessus des voies ferrées comme tu le propose si bien

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Non, c'est pas du tout la même chose. Ce que la DSP dit, c'est que les abord d'une autoroute sont désertés et que les pont piétons sont alors des refuges pour la criminalité.

 

S'il n'y a pas d'autoroute, il n'y a pas de problème. Il y a des gens sur le boulevard, il sera accessible, donc surveillance, donc plus de sécurité. Le pont que je propose au dessus des voies ferrées est directement branché sur un parc qui serait lui aussi plein d'usagers à toute heure de la journée pour en assurer la sécurité.

 

Ce que vous ne semblez pas comprendre c'est la différence fondamentale entre un boulevard et une autoroute. Un boulevard a des trottoirs, on peut le traverser à pied, il est "habité" de piéton, de cyclistes dans toute sa largeur.

 

Quand on fait une autoroute, on doit évacuer toute possibilité que piétons ou cyclistes s'en approche pour des raison de sécurité. Les abords, même si on y concentre les voies piétonnes et cyclistes de l'autre côté d'un mur coupe-son ou une bute aménagée y seraient déserté à cause de l'absence d'accès sur de longue distance.

 

Je ne voue pas un culte à la DSP. Mais j'admire le fait qu'il reste encore au moins une organisation du gouvernement qui ose mettre en garde la population sur des aspects de santé et sécurité d'un tel projet.

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