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Un Centre sur la biodiversité et un nouveau Planétarium pour Montréal

Mardi, 15 Septembre 2009 14:02 Communiqué Environnement

 

 

 

Les Muséums nature de Montréal ont lancé aujourd'hui leur Plan de vie, un plan d'affaires pour 2009-2017, qui propose de changer le regard que l'être humain porte sur la nature en offrant aux visiteurs des expériences conjuguant à la fois sciences et émotions. Monsieur Gérald Tremblay, maire de la Ville de Montréal, Madame Helen Fotopulos, membre du comité exécutif, responsable du Mont-Royal, des parcs nature et grands parcs, des Muséums nature et de la condition féminine, monsieur Luc Vinet, recteur de l'Université de Montréal et Monsieur Charles-Mathieu Brunelle, directeur des Muséums nature de Montréal, ont dévoilé les cinq projets phares de ce Plan de vie, qui permettront aux Muséums nature de devenir la première place mondiale dédiée à l'humain et à la nature. Plusieurs de ces projets sont déjà bien avancés. Ont ainsi été dévoilés aujourd'hui le Centre sur la biodiversité de l'Université de Montréal ainsi que les esquisses du futur Planétarium Rio Tinto Alcan de Montréal.

 

Pour le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, « ce projet témoigne de l'audace et de la créativité propres à Montréal. Il permettra à la Ville de rayonner à travers le monde et de confirmer son engagement vis-à-vis de la culture, du savoir, du développement durable et de la biodiversité. »

 

« En créant un parcours qui bouleverse nos perceptions du monde, les Muséums nature souhaitent devenir un rituel dans la vie quotidienne des Montréalais et une destination pour les gens du monde entier. Nous désirons insuffler une nouvelle manière de vivre, proposer un lieu où le visiteur est le héros » a mentionné Charles-Mathieu Brunelle, directeur des Muséums nature.

 

La première place mondiale dédiée à l'humain et à la nature

Inspirée par le Manifeste rédigé collectivement par les employés des Muséums nature en début d'année, cette première place mondiale dédiée à l'humain et à la nature se traduit par le redéploiement de ses institutions et l'aménagement d'une vaste place publique.

 

Dès 2010, sur le site du Jardin botanique, le Centre sur la biodiversité de l'Université de Montréal, en partenariat avec l'Université de Montréal, réunira d'importantes collections d'insectes, de champignons et de plantes, une cinquantaine de chercheurs et une zone muséale mettant en relief l'importance des différentes espèces pour la survie de l'humanité. En 2012, le nouveau Planétarium Rio Tinto Alcan, bâtiment LEED Platine, invitera le grand public à se fondre dans l'Univers grâce à ses nouvelles salles de spectacle immersives. Par la suite, un Écosystème humain conviera les visiteurs à vivre une expérience immersive, émouvante et participative dans les hauteurs du Biodôme, afin de mieux voir et comprendre le rôle de l'être humain dans la nature. L'Esplanade des Muséums nature, reliant les quatre institutions, proposera une nouvelle façon de circuler, de se rassembler, d'habiter les lieux, de bâtir et d'apprivoiser le quotidien. Sa configuration, toujours en évolution, est basée sur la participation citoyenne. Enfin, le projet Métamorphose de l'Insectarium permettra à chaque visiteur de se mettre dans la peau d'un insecte afin de mieux comprendre son rôle dans la nature.

 

Un investissement économique et sociétal

Le Plan d'affaires / Plan de vie 2009-2017 des Muséums nature prévoit des investissements totaux de 189 millions de dollars, dont 74,5 millions de dollars attribués à des projets en cours tels le Planétarium et le Centre sur la biodiversité. Il permettra non seulement aux Muséums nature de réaliser pleinement leur mission, mais également de porter leur fréquentation de 1,65 million de visiteurs actuellement à 2,65 millions de visiteurs en 2017. Par ailleurs, ce plan de développement permettra d'enrichir le patrimoine bâti et culturel montréalais et de participer à la revalorisation de lieux qui ont historiquement contribué à assurer la réputation internationale de Montréal, tout en favorisant l'implication des citoyens et des acteurs locaux.

 

Un Centre sur la biodiversité, une urgence d'agir

Les scientifiques s'accordent pour prédire la disparition de 25 à 50 % des espèces d'ici la fin du siècle. Or, seul un vingtième de la biodiversité de la planète serait décrit pour l'instant. Le Centre de la biodiversité, une initiative de l'Université de Montréal, en partenariat avec le Jardin botanique et l'Insectarium, sera réalisé grâce au soutien financier de la Fondation canadienne pour l'innovation et du gouvernement du Québec. Le projet poursuivra quatre objectifs fondamentaux : valoriser et conserver de riches collections de plantes, d'insectes et de champignons; partager ressources, savoirs et expertises en vue de faire avancer la recherche scientifique ; favoriser le transfert des connaissances et l'accès à information, et sensibiliser le public aux grands enjeux de la biodiversité. À cet effet, le Centre sur la biodiversité de l'Université de Montréal, situé sur le terrain du Jardin botanique, proposera, dans un bâtiment certifié LEED Or conçut par la firme Provencher Roy et associés architectes, une salle d'exposition qui confrontera les visiteurs à l'impact de leurs gestes sur la nature.

 

« L'annonce d'aujourd'hui marque un nouveau chapitre dans la longue et fructueuse relation entre l'Université de Montréal et le Jardin botanique, qui date de la fondation même du Jardin par un professeur de l'Université, le frère Marie-Victorin. Elle confirme en outre l'importance que nous accordons à la poursuite de l'excellence en recherche scientifique et au partage des connaissances issues de cette recherche avec le public » affirmait monsieur Luc Vinet, recteur de l'Université de Montréal lors de la présentation du projet.

 

Le dévoilement des esquisses du futur Planétarium Rio Tinto Alcan

Le lancement du Plan de vie des Muséums nature a aussi été l'occasion de dévoiler les premières esquisses du futur Planétarium Rio Tinto Alcan produites par la firme gagnante du concours d'architecture, Cardin Ramirez Julien, en consortium avec Ædifica. L'équipe est aussi constituée de SNC Lavalin, Dupras Ledoux ingénieurs, Fauteux et Associés Architectes Paysagistes.

 

Véritable oasis de verdure au milieu de cet espace bétonné, le Planétarium Rio Tinto Alcan, qui sera érigé sur le site du Parc olympique, entre le Stade olympique et le Biodôme, respectera les normes les plus élevées en matière de construction écologique, soit les normes LEED Platine. Émergeant d'une toiture « végétalisée », deux immenses canons pointés vers le ciel évoqueront des instruments d'observation, tels des télescopes scrutant l'Univers. À leur base, des sphères représentant des astres abriteront les deux théâtres des étoiles qui, chacun, proposeront des expériences uniques. Une lumière naturelle abondante éclairera tous les espaces occupés sur les trois niveaux de l'édifice, qui offrira une vue sur un boisé et de nouveaux espaces verts.

 

La réalisation du Planétarium Rio Tinto Alcan est rendue possible grâce à l'appui financier de la Ville de Montréal, de Développement économique Canada, du ministère du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation du Québec et de Rio Tinto Alcan.

 

Madame Helen Fotopulos, membre du comité exécutif, responsable du Mont Royal, des parcs nature et grands parcs, des Muséums nature et de la condition féminine, a conclu le lancement de ce grand projet en saluant « la vision des Muséums nature, qui ne proposent rien de moins qu'inventer collectivement une nouvelle façon de vivre, un défi que les Montréalais sont prêts à relever et qui inspirera les collectivités du monde entier.»

 

Renseignements relatifs au Plan d'affaires / Plan de vie, au Centre sur la biodiversité et au Planétarium Rio Tinto Alcan : http://www.museumsnature.ca

 

Les Muséums nature de Montréal - le Biodôme, l'Insectarium, le Jardin botanique et le Planétarium – accompagnent l'humain pour mieux vivre la nature.

 

Source :

Martin Tremblay

Attaché de presse

Cabinet du maire et du comité exécutif

514 872-0274

 

Renseignements :

Karine Jalbert

Chargée de communication

Muséums nature de Montréal

Téléphone : 514 872-1453

Courriel : karinejalbert@ville.montreal.qc.ca

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Ils ont refusé ceci :

 

main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3422&g2_serialNumber=1

 

cela :

 

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et ceci :

 

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Pour finalement retenir...hummmmm... celui-ci???????????????????????

 

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S'ils voulaient resté dans le même type d'architecture que le Parc Olympique, alors BRAVO, c'est réussi!

 

Avec toutes ses propositions rejetées, je m'attendais vraiment à quelque chose d'incroyable. Dommage pour la ville est ses citoyens. Ceux-ci ce retrouveront maintenant avec une réplique 2007-08 de leur vieux Planétarium.

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Publié le 16 septembre 2009 à 07h38 | Mis à jour à 07h41

 

 

Le nouveau Planétarium, entre «science et émotion»

 

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Situé au carrefour du Stade olympique, du Biodôme et du centre Pierre-Charbonneau, le nouveau Planétarium n'aura rien à envier au design des édifices voisins.

 

Photo fournie par Museums Nature de Montreal

Jean-Christophe Laurence

La Presse

 

 

On savait qui l'avait conçu, mais on ne l'avait toujours pas vu.

 

Des esquisses du futur Planétarium ont finalement été dévoilées hier, au cours d'une conférence de presse donnée en présence du maire Gérald Tremblay, de Charles-Mathieu Brunelle et d'Helen Fotopulos, respectivement directeur et responsable des Muséums nature à la Ville de Montréal. Le bâtiment s'inscrira dans un vaste projet à saveur «éco-humaniste» qui comprend le Biodôme, l'Insectarium, le Jardin botanique et le futur Centre sur la biodiversité.

 

Situé au carrefour du Stade olympique, du Biodôme et du centre Pierre-Charbonneau, le Planétarium Rio Tinto Alcan n'aura rien à envier au design des édifices voisins. Deux «canons», évocations de télescopes scrutant l'Univers, agiront comme des puits de lumière en lien direct avec le ciel. À leur base, deux sphères seront occupées par les salles de projection. Le tout sera surplombé de toits végétalisés accessibles aux promeneurs, qui prolongeront l'espace nature environnant.

 

 

 

 

«L'idée était d'avoir un site que l'être humain peut s'approprier», a résumé hier l'architecte et concepteur principal du projet, Jean-François Julien, de la firme Cardin-Ramirez-Julien. Il s'agira, sauf erreur, du premier projet québécois certifié LEED platine en raison du nombre de « points verts « qu'il accumule en lien avec l'environnement, que ce soit par l'aménagement, les matériaux utilisés ou la gestion des ressources naturelles.

 

Biodiversité

 

Rappelons que le nouveau planétarium, dont l'ouverture est souhaitée début 2012, n'est qu'une partie de l'ambitieux « Plan de vie « concocté par les Muséums nature de Montréal, et qui se déploiera progressivement jusqu'en 2017 pour un coût estimé de 189 millions de dollars.

 

Annoncé en août par La Presse et confirmé officiellement hier, le projet prévoit notamment une révision complète de l'esplanade qui ceinture actuellement le Stade. Exit le béton, bonjour la verdure. «Conjuguant science et émotion» (dixit Charles-Mathieu Brunelle), le nouvel espace se voudra une interface entre l'homme et la nature, avec ses navettes écolo et son parcours interactif jalonné d'éoliennes, de restaurants suspendus et de bornes à énergie solaire.

 

Dans le même esprit, enfin, le tout nouveau Centre sur la biodiversité sera construit dès l'an prochain sur le terrain du Jardin botanique. Créé en partenariat avec l'Université de Montréal, ce projet vise notamment à «sensibiliser le public aux grands enjeux de la biodiversité», comme la disparition des espèces.

 

Et l'ancien Planétarium ?

 

Hasard ou stratégie ? La Ligue nationale d'improvisation (LNI) a de nouveau manifesté son intérêt pour le futur ancien planétarium Dow. La LNI se cherche actuellement un toit permanent et croit que l'édifice, qui sera sans locataire à la fin de 2011, pourrait répondre à ses besoins. Une lettre ouverte en faveur d'un «Improvisarium» a été envoyée hier aux médias. Elle était notamment signée par Pierre Curzi, Denis Bouchard, Germain Houde, Marcel Sabourin, Sylvie Moreau, Sylvie Legault, Marcel Leboeuf et l'actuel directeur artistique de la LNI François-Étienne Paré.

 

Interrogée à ce sujet, Mme Fotopulos, a répété que la Ville étudiait toujours le dossier : «Nous n'en sommes qu'à l'étape des analyses. On a eu plusieurs propositions intéressantes qui sont à la hauteur de l'imagination des Montréalais. Mais pour l'instant, notre priorité va au projet du nouveau planétarium.»

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Je suis un fan de la LNI et je respecte vraiment ces gens et je souhaite qu'ils obtiennent un endroit parmanent. Mais, le planétarium est situé sur un site qui, avec le projet bonaventure deviendra un endroit idéal pour la contruction d'une tour prolongeant ainsi le centre-ville vers le fleuve comme le veut le plan d'urbanisation de Montréal. Je préfèrerais voir une tour se lever à la place de l'ancien planétarium.

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Avec toutes ses propositions rejetées, je m'attendais vraiment à quelque chose d'incroyable. Dommage pour la ville est ses citoyens. Ceux-ci ce retrouveront maintenant avec une réplique 2007-08 de leur vieux Planétarium.

 

J'ai la même perception que toi Gilbert, hier en postant les rendus sur le forum, je n'ai pas fait de commentaires car je voulais voir si ce n'était que moi qui était franchement déçu du résultat final, mais finalement je vois que non.

 

Effectivement, c'est vraiment ordinaire à comparé des autres propositions. Je ne sais pas si c'est encore en raison du budget, mais à date, c'est la pire des propositions qui a gagnée.

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Je suis un fan de la LNI et je respecte vraiment ces gens et je souhaite qu'ils obtiennent un endroit parmanent. Mais, le planétarium est situé sur un site qui, avec le projet bonaventure deviendra un endroit idéal pour la contruction d'une tour prolongeant ainsi le centre-ville vers le fleuve comme le veut le plan d'urbanisation de Montréal. Je préfèrerais voir une tour se lever à la place de l'ancien planétarium.

 

Il y a du positif à ce que la LNI prenne possession de l'ancien planétarium. Si elle le fait, ça fait un terrain de moins à développer, la pression s'accroit donc sur les voisins et la recherche d'espaces aussi. Solution : augmenter la densité et la hauteur pour compenser.

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