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  • Administrateur
Pourquoi ce serait en place?

les nouveaux "tourniquets" sont placés derrière tous les vieux tourniquets depuis des mois. Quelque chose a changé aujourd'hui/hier?

 

Lis l'article ci haut, on parle du 16 avril.

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Ça me fait rire, chez nous on commence à peine à utiliser la carte à puce alors qu'en Europe et en Asie on s'en débarrasse déjà depuis quelques années.

 

Il y a les cartes à ondes maintenant (je crois que c'est ça, mais je suis pas certain). En tout cas, tu fais juste la coller sur la machine pis ça marche. Parce que les puces s'encrassent parfois et ne fonctionnent plus.

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ah tu parles du RFID?? C'est des ondes radios.

 

Je sais par contre que c'est pas très sécure dans les premières versions...

 

Je viens de trouver de infos sur le site de la compagnie de la carte que j'ai. C'est bien de la RFID (iso 14443). Ils disent que c'est sécuritaire et qu'il faut être à au moins 10cm de la carte pour pouvoir la lire.

 

Le site de la compagnie de transport VRR, si ça t'intéresse. Attention c'est en Allemand.

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Il s'agit bien de cartes sans contact que le STM va deployer, un peu comme la Oyster card du tube à Londres

 

Du site de la STM

Q.7 Est-ce que la carte à puce est facile à utiliser?

R. Comme elle est de type sans contact, il suffit de la présenter devant le lecteur des tourniquets dans les stations de métro ou devant la boîte de perception dans l’autobus.

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Bruno Bisson

La Presse

 

La carte magnétique CAM, qui donne accès depuis 27 ans au métro et aux autobus de la Société de transport de Montréal (STM), va disparaître d’ici la fin de 2009 au profit de la nouvelle carte à puce adoptée par tous les grands transporteurs publics du Québec.

 

Après six ans de préparation et des investissements de 169 millions de dollars – 68 de plus que prévu – la STM présentera officiellement lundi son nouveau système de perception et de vente des titres de transport, qui repose sur une carte de plastique en tous points semblables à n’importe quelle carte de crédit.

 

On ne peut toutefois pas mettre au panier plus d’un quart de siècle d’habitudes créées par la bonne vieille carte magnétique. Le changement de technologie sera radical et risque d’effrayer la clientèle moins habituée aux merveilles du numérique. Comme pour un amateur de musique qui rangerait son Walkman à cassettes pour s’acheter un iPod, la transition pourrait bien s’avérer… déstabilisante.

 

Pour amortir ce «choc technologique», la STM va étirer la période de transition sur plus d’un an et demi, jusqu’à la fin de 2009. Les cartes magnétiques et électroniques vont continuer de cohabiter durant toute cette période.

 

«Nous serons très présents pour expliquer aux gens comment utiliser et remplir la carte à puce, promet la porte-parole de la STM, Odile Paradis. Cela risque d’être plus compliqué, au début. Les gens ont des habitudes qui vont être bousculées. Mais une fois passé le choc initial, nous sommes sûrs que les usagers vont beaucoup apprécier la nouvelle carte à puce.»

 

Une infrastructure visible

 

La nouvelle carte d’accès aux transports en commun est dotée d’une puce à mémoire et d’une microantenne qui transmet un signal à des lecteurs optiques intégrés aux boîtes de perception des autobus et aux nouveaux tourniquets du métro.

 

Depuis des mois, presque sous les yeux des usagers, la STM a mis en place les éléments les plus visibles d’une imposante infrastructure technique et informatique.

 

Les boîtes de perception dans les autobus ressemblent, aujourd’hui, à des appareils du XXIe siècle. Dans les stations de métro, de nouveaux tourniquets sont installés près des anciens et accueillent les voyageurs comme s’ils devaient traverser une double ligne de contrôle. Ces deux rangées de tourniquets resteront en place jusqu’à la disparition définitive des cartes magnétiques et des tickets de carton, prévue pour la fin de 2009.

 

Près des guichets, des vantaux rouges s’écartent vite et sans bruit devant les voyageurs, qui franchissent un portillon élargi, ce qui facilite le passager des poussettes ou des vélos. C’est une amélioration très nette par rapport aux portillons originaux, dont l’accès était défendu par un tourniquet à trois branches dans lequel s’accrochait tout ce qu’on tentait de faire passer.

 

Des guichets automatiques sont aussi apparus dans les stations. On ne les remarque pas beaucoup parce qu’ils ne sont pas encore activés. Mais bientôt, ces distributrices automatiques des titres de transport (DAT) deviendront aussi familières que les guichets automatiques bancaires.

 

Ce sont ces machines qui permettront aux utilisateurs de la carte à puce d’acheter leurs titres de transport quand il leur plaira et de payer par carte de débit de crédit – ce qui n’est pas possible avec les cartes CAM.

 

Si personne n’a jamais remis en question la nécessité de moderniser le système de perception de la STM, qui vend plus de 5,3 millions de laissez-passer mensuels ou hebdomadaires par année, des critiques appellent déjà les usagers à la vigilance face à l’invasion de ces puces dans leur vie quotidienne.

 

http://www.cyberpresse.ca/article/20080420/CPPRESSE/80419119/6730/CPACTUALITES

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  • 2 mois plus tard...

Opus's encore plays downtown

Face-to-face pitches at stations. Monthly passes will be traded for smart cards

 

JAN RAVENSBERGEN, The Gazette

Published: 9 hours ago

 

This morning, in the heart of the Green Line, the Montreal Transit Corp. promises to get up-close and personal with commuters.

 

For the first time downtown, it's conducting a concerted, face-to-face sales pitches to persuade individual transit users to adopt its new-fangled smart card and magnetic-strip fare system.

 

Such personalized sales pitches at métro stations in the east and north ends since late April have proved more successful than anticipated, pulling in more than 18,000 monthly users for the new, rechargeable Opus smart-card system, MTC spokesperson Marianne Rouette said yesterday.

 

By the end of next year, the MTC expects to turn our traditional paper transit tickets into grist for the history books - and nobody will have any choice but to adapt to the new system.

 

Today's blitz, in four downtown métro stations along the Green Line, runs from 7 a.m. to

 

6 p.m. Twenty-four high-visibility information agents are being deployed, in two shifts, at the Guy-Concordia, Peel, McGill and Place des Arts stations. They are clad in dark blue vests proclaiming their "information" role.

 

They're scheduled to continue their Green Line sales blitz through to 6 p.m. Friday.

 

"Most of them" speak English, Rouette said. Although "we can't make it a requirement," she added, "we do everything possible to make sure that at least one person in every team (of two agents) has functional English."

 

Separately, at each of the stations, clerks at a mobile booth will be handing out one Opus card - pre-loaded for July - for every already-paid-for regular July CAM monthly-pass card that's turned in.

 

Each new Opus user will be charged a one-shot price of $3.50 for their smart card.

 

That's half the cost to the MTC of $7 per card. Each card can be recharged for at least the next four years.

 

Green Line users chatting with those agents this week - as well as transit users passing through the Square Victoria and Jean Talon stations, where pitches are also being made today - will hear how to recharge cards for August, at the usual cost of $66.25.

 

Extra staff will be assigned to to lend a helping hand July 30 and 31, as well as Aug. 1, at each of the targeted stations, Rouette promised.

 

The average user takes only 90 seconds to learn the Opus re-charging procedure, said Julie Clouâtre, who manages the information agents.

 

"We were expecting people to be more reticent" to adopting the Opus, she added.

 

But experience since late April has proved the opposite, Clouâtre said: "People really appreciate that the cards are more flexible, that they don't always have to pay with cash, that they can use credit or debit cards."

 

This week marks the first Opus evangelization effort west of St. Laurent Blvd., the city's traditional dividing line.

 

"It's going much faster than we originally forecast," Rouette said of the Opus rollout: "We have had no glitch of any kind."

 

"We initially forecast 15,000" Opus cards would be in the hands of regular monthly-pass users by the end of August, she said, but "people are infatuated with them."

 

By July 1, the figure reached 18,490 - "so now our target for the end of August is 43,000."

 

All figures exclude about 8,000 free passes given to MTC employees and retirees.

 

Of 11,000 pre-loaded Opus cards to be placed in the hands of first-time users this month, "the majority" are likely to be on this week's four-station segment of the Green Line, Clouâtre said.

 

The information agents have also been trained to explain new disposable magnetic-strip cards, which are being introduced for occasional transit users.

 

In a reversal of initial plans, the MTC said last week it has halted sales of the six-trip version of the disposable magnetic-strip cards for the summer but would resume them Sept. 2. Until then, any user who wants to buy the equivalent of a magnetic-strip six pack encoded on a single card will have to settle for six such cards, each for a single trip.

 

The MTC's $169-million fare-collection overhaul should eliminate an estimated $20 million in annual fraud, Rouette said, representing six per cent of fare revenues that totaled $334.5 million in 2007.

 

"The (reduced fare) students will be the next big blitz" for Opus cards, she added, "in the fall."

 

 

For more information: rechargeable smart-chip cards, http://www.carteopus.info; disposable magnetic-strip cards, www.

 

billetsalacarte.info.

 

janr@thegazette.canwest.com

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  • 1 mois plus tard...

MTC might zap bug-ridden tickets

Multi-trip cards jam new equipment

 

29 August 2008

Montreal Gazette

 

'There are still too many problems. I don't want to hide that,' transit official admits. Persistent technical problems with a $169-million ticketing system could force the Montreal Transit Corp. to abandon its freshly launched six-ticket magnetic cards.

 

The cards, which were to replace paper tickets by the beginning of 2010, continue to periodically jam and occasionally immobilize the bus and subway ticket-taking equipment recently installed across the system, officials conceded yesterday.

 

The magnetic-strip cards were launched in both one-trip and six-trip formats late last April.

 

After glitches quickly arose, the six-trip cards were rapidly pulled from service by the MTC in late May.

 

Yesterday, officials blamed the bugs on humidity, bent cards and electrical groundings on some buses. The difficulties should not be considered unusual, they said, given that the project requires 9,000 pieces of new equipment to be put into service.

 

Commuters made about 8.5 million trips using the magnetic cards between April 28 and Aug. 24, and the cards jammed new ticket-taking gear 5,904 times, said Serge Piotte, the MTC's project manager for the new fare system.

 

"About three-quarters of the time" the problems were with the new electronic farebox on MTC buses, he said. Often the troubles were intermittent and thus difficult to pin down. "It's not one single problem. There are series of difficulties."

 

Backed into a corner, the transit authority is now "seriously thinking" of just dropping the six-trip card altogether, MTC chairperson Claude Trudel said.

 

Transit officials still hope not to be forced into taking that drastic step, both Piotte and MTC spokesperson Marianne Rouette insisted,

 

"The volume of transactions" using the magnetic-strip cards "has tripled during the past two months," Piotte said, "but the number of problems has doubled.

 

"So the proportion of problems is going down - but not as fast as it should.

 

"There are still too many problems. I don't want to hide that."

 

The MTC hopes to resume sales of the six-trip cards "in several weeks," Rouette said, after pinning down and fixing the buggy performance.

 

However, she added, she could not provide a new target date for any such resurrection.

 

In some cases, a user's magnetic multi-trip card has been swallowed by the new equipment and the passenger was forced to trek to one of five MTC service centres to collect a refund.

 

That happened to " fewer than 1,000" customers since spring, Piotte estimated

 

During the past few months, Rouette and other public-relations staff at the MTC had continually played down snags in the new system.

 

After the MTC stopped selling the six-trip card in May, it waited more than a month before it acknowledged the backtrack.

 

Rouette had insisted July 7 that "the only reason" six-trip cards had been dropped for the summer was a desire to ease congestion for specific events "such as the jazz festival and Just for Laughs." She said then that the MTC would reinstate sales of the six-trip card Sept. 2, - which falls on Tuesday next week.

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