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Devront-on séparer le terrain  

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  1. 1. Devront-on séparer le terrain

    • Oui 4000 pc sur delorimier, 3000 sur Sherbrooke
    • Non, on doit preserver l'integrité du terrain
    • Non, trop compliqué a obtenir dérogation
    • Non, on construit dans le jardin sans séparation


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Obama amorce une remontée dans les sondages

 

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Alain Jean-Robert

Agence France-Presse

Washington

 

Le candidat démocrate à la Maison-Blanche Barack Obama, distancé par son adversaire John McCain depuis la fin de la convention républicaine, a repris l'avantage, selon plusieurs sondages publiés jeudi alors que les États-Unis sont secoués par une grave crise financière.

 

Le sénateur de l'Illinois est crédité de cinq points d'avance (48% contre 43%) selon un sondage New York Times/CBS News et de quatre points d'avance (49% contre 45%) selon un sondage de l'université Quinnipiac.

 

Dans les deux cas, l'écart, qui demeure mince entre les deux candidats, est cependant supérieur à la marge d'erreur de ces sondages.

 

M. Obama a également repris l'avantage dans le sondage quotidien de l'institut Gallup (47% contre 45%).

 

Il ne restait jeudi plus que 47 jours avant l'élection du 4 novembre.

 

«Le sénateur Obama est revenu au niveau qu'il occupait avant les conventions», a noté Maurice Carroll, directeur de l'institut de sondage de Quinnipiac. «La déstabilisation des démocrates après la nomination de Sarah Palin comme candidate à la vice-présidence semble s'être calmée. Les femmes, les Noirs et les jeunes soutiennent Obama. Les hommes, les Blancs, les chrétiens évangéliques, vont du côté de McCain», a-t-il précisé.

 

Ces sondages ne remettent pas seulement en question l'avantage dont jouissait le sénateur de l'Arizona depuis la convention de son parti. Ils soulèvent également des questions sur «l'effet Palin».

 

Selon l'étude NYT/CBS News, cet effet ne se fait pas sentir à l'extérieur de la base républicaine. John McCain aurait même perdu des appuis chez les femmes blanches.

 

Avant les conventions, M. McCain récoltait 44% des intentions de vote auprès des femmes blanches contre 37% pour son adversaire. Désormais, selon ce sondage, Obama compte deux points d'avance parmi les femmes blanches (47% contre 45%).

 

Globalement, M. Obama bénéficie d'une confortable majorité dans l'électorat féminin toute origine confondue (54% contre 38%).

 

Les compétences de Mme Palin sont sérieusement mises en doute. 17% seulement des personnes interrogées par le sondage NYT/CBS News estiment que la gouverneure de l'Alaska est qualifiée pour le poste de vice-président tandis que 75% estiment que M. McCain l'a choisie à des fins uniquement électorales pour «l'aider à gagner». À l'inverse, 57% des personnes interrogées estiment que le colistier de M. Obama, Joe Biden, est tout à fait qualifié pour le poste de vice-président.

 

La crise financière semble également avoir poussé les électeurs américains vers le candidat démocrate.

 

Selon le sondage Quinnipiac, 51% des électeurs estiment que les baisses d'impôts proposées par le sénateur de l'Arizona ne profiteront qu'aux riches tandis que 9% estiment qu'elles bénéficieront aux classes moyennes touchées de plein fouet par la crise et 1% aux pauvres.

 

À l'inverse, 9% des Américains interrogés estiment que le programme fiscal de M. Obama profitera aux riches tandis que 33% affirment qu'il soulagera les classes moyennes et 22% qu'il aidera les pauvres.

 

Le sondage Quinnipiac a été réalisé du 11 au 16 septembre et le NYT/CBS News du 12 au 16 septembre, au début de la crise bancaire.

 

Mais la route n'est pas totalement dégagée pour M. Obama. M. McCain, un ancien combattant de la guerre du Vietnam, est toujours considéré comme un commandant en chef plus crédible que son adversaire. Et les appels à l'unité entendus lors de la convention démocrate ont encore du mal à porter leurs fruits. Selon Quinnipiac, un électeur sur quatre parmi ceux qui avaient choisi Hillary Clinton lors des primaires démocrates affirme toujours vouloir voter John McCain.

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Who would be best for Canada: McCain or Obama?

 

Updated Sat. Sep. 20 2008 6:03 AM ET

Jered Stuffco, CTV.ca News

While many Canadians, including NDP Leader Jack Layton, have a blatant crush on presidential hopeful Barack Obama, experts aren't convinced Canada would be better off with the charismatic Democrat in the White House.

"On pocketbook issues, the sensible thing to do would be to hope for a McCain presidency," said Greg Anderson, a U.S. foreign policy expert at the University of Alberta's political science department.

Faced with an economic downturn and the Wall Street investment meltdown, a Democratic president would be more likely to build protectionist walls around the U.S. economy -- which would have dire effects on Canadian industry, Anderson told CTV.ca.

"That could be very bad news," he said.

Anderson also pointed to Obama's campaign rhetoric regarding the North American Free Trade Agreement's "devastating" effects on the U.S. economy as potentially harmful, as it sends a negative message about trade and could signal a shift with Canada's largest trading partner.

While Obama has softened his stance on NAFTA, Anderson said the Democrat would be more likely to implement stiffer regulations on American industry.

"I think you're going to see a flurry to place new regulations on the financial sector," said Anderson, forcing regulators in Canada to respond.

On Friday, regulators here were mulling a ban on short-selling stocks after the U.S. decided to suspend the practice.

McCain, meanwhile, would be "more resistant" to increased red tape.

Obama's position on fossil fuels could also pose problems for our resource-based economy.

Recently, Obama's top energy adviser Jason Grume said emission levels from Alberta's oil sands were "unacceptably high" and could conflict with a proposal to green the U.S. economy.

In the long run, however, an Obama White House could force Canada to pursue greener energy sources, said Stephen Clarkson, a professor of political economy at the University of Toronto specializing in Canada -U.S. relations.

Calling the oil sands development "counter productive" because it's expensive and uses clean-burning natural gas to produce dirty-burning oil, Clarkson said Obama could be a positive influence on energy issues.

 

 

 

A different story on national security

Relating to security, both presidential candidates support an increased U.S. presence in Afghanistan, but Clarkson said a dove in the White House would be better than a hawk.

"Somebody who is still pursuing a Bush approach to global affairs is going to continue the disaster, which affects Canada as well as everybody else."

The Bush administration has come under heavy criticism for pursuing belligerent policies, like the invasion of Iraq, which critics say have made the world a more dangerous place since the September 2001 terrorist attacks.

Obama, on the other hand, has said he would enter direct negotiations with Iran and would oversee a pullout of U.S. troops from Iraq over a 16-month timetable.

McCain, an ardent supporter of the Iraq campaign who takes an aggressive stance on Iran, blasted Obama for these policies, and said last month that Obama "would rather lose a war in order to win a political campaign."

Inevitably, though, Clarkson downplayed the presidential outcome and said other factors, like Congress and big business, are more important for Canada-U.S. relations.

"The president isn't able to make major changes on his own without Congress supporting, so we have to know what kind of Congress there will be."

Still, Clarkson added that personalities can be a factor.

"On internal matters, it matters a lot about how the two (national leaders) get on," he said.

"If we elect Harper and they elect Obama, the two countries will be going on different courses -- one further to the right and one back towards the centre."

That sentiment was echoed by Michael Hart, a professor of trade policy at Carleton University who worked as an adviser during NAFTA negotiations.

"You work with whoever's there," he said, adding the U.S. wants a co-operative partner.

"What the United States is looking for is ... a co-operative partner, not one who sits on the sidelines and says 'oh, we couldn't do that!'"

 

 

http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/story/CTVNews/20080919/obamamccain_080920?s_name=&no_ads=

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Un éditorial de CBC sème la colère de Fox News

Lee-Anne Goodman

Presse Canadienne

Washington

 

Sarah Palin est populaire auprès «des pauvres de race blanche» à cause de son «allure atténuée d'actrice pornographique» peut-on lire dans l'éditorial de la journaliste Heather Mallick.

 

La journaliste canadienne Heather Mallick est la cible d'une vaste colère de la part des médias de droite des Etats-Unis et leurs adeptes après avoir rédigé un éditorial dans lequel elle a traité Sarah Palin «d'ordure blanche» (white trash).

 

L'article publié le 5 septembre dans le site Internet de la CBC, et intitulé A Mighty Wind Blows Through the Republican Convention (Un puissant vent souffle sur la convention républicaine), avait déjà fait l'objet de sévères critiques de la part de médias au Canada.

 

Mais le réseau Fox News s'est emparé de l'affaire cette semaine, et est tombé à bras raccourcis sur Mme Mallick. Le réseau américain a notamment vilipendé la journaliste canadienne pour avoir écrit que la candidate à la vice-présidence des Etats-Unis était populaire auprès «des pauvres de race blanche» à cause de son «allure atténuée d'actrice pornographique».

 

Mme Mallick a réagi en affirmant que ses commentaires étaient tièdes en comparaison avec les insultes qui lui ont été adressées depuis.

 

Greta Van Susteren, animatrice au réseau Fox News, l'a traitée de «cochonne». Mme Mallick a aussi été qualifiée de musulmane pakistanaise démentielle par des commentateurs sur les sites de messages du site Internet Fox et a reçu des courriels au contenu violent et menaçant, dont certains incluaient des insultes antisémites, alors qu'elle n'est ni juive, ni musulmane.

 

«J'aimerais vous frapper à la mâchoire et fracasser chacune de vos dents. Viens me voir, putain, j'ai quelque chose pour toi!», lui a écrit un dénommé Dave Jones.

D'autres messages acheminés dans le site Internet de Fox News contenaient de forts sentiments anti-canadiens.

 

«Le Canada est composé de petites villes et la plupart, sinon la totalité des citoyens ont des ancêtres parmi leurs cousins beaufs et ont encore de la parenté aux Etats-Unis», a écrit un auditeur.

 

Un autre s'est fait plus cinglant encore: «Ces imbéciles et ignorants au nord sont incapables de fermer leur trappe alors que ce n'est pas de leurs préoccupations socialistes... La République populaire du Canada n'est pas l'ami des Etats-Unis!».

 

La journaliste qui travaille à Toronto a reconnu avoir été secouée par les nombreux et cinglants commentaires qui lui ont été adressés. Toutefois, elle soutient en même temps qu'ils lui ont permis de solidifier ses arguments selon lesquels de nombreux partisans du Parti républicain prônent la bigoterie et sont étroits d'esprit.

 

«Les réponses à mon éditorial confirment mon opinion au sujet des adeptes de l'extrême droite aux Etats-Unis: ils sont des misogynes enragés», a déclaré Mme Mallick lors d'une interview accordée samedi.

 

«Les messages violents et menaçants sont une chose - et c'est facile de s'en débarrasser - mais les messages antisémites étaient troublants, a ajouté Mme Mallick. Je ne suis pas juive, mais c'est un honneur que de recevoir un tel qualificatif. Je considère qu'il s'agit d'un merveilleux compliment.»

________________________________________________________________________________________________________________

 

La foi resurgit dans la campagne présidentielle.....

 

Mathieu Perreault

La Presse

 

Le grondement de la foule entendu lors du discours de Sarah Palin à la convention républicaine, au Minnesota, a célébré le nouveau mariage entre les évangélistes et les républicains, selon un chroniqueur conservateur.

 

Le grondement de la foule entendu lors du discours de Sarah Palin à la convention républicaine (notre photo), au Minnesota, a célébré le nouveau mariage entre les évangélistes et les républicains, selon un chroniqueur conservateur.

 

Avec le choix de Sarah Palin, une évangéliste exubérante, les républicains ont réussi à ramener la foi et la religion dans la campagne électorale. Les démocrates pensaient bien que l'économie et la guerre en Irak marginaliseraient les questions morales, d'autant plus que Barack Obama est beaucoup plus à l'aise avec la rhétorique de la foi que ne l'étaient John Kerry ou Al Gore. À moins de deux mois du 4 novembre, la campagne démocrate doit à nouveau se préoccuper du vote religieux.

 

Cette semaine, la campagne de Barack Obama a lancé une gamme d'autocollants, de pancartes et de macarons à saveur religieuse. Un courriel intercepté par le site Beliefnet annonçait l'envoi de matériel publicitaire destiné aux électeurs religieux. Parmi les slogans: «Catholiques pour Obama», «Croyants pour Obama», «Obama pour la famille».

 

La nouvelle survient après un mois d'une campagne républicaine qui a marqué beaucoup de points auprès de cet important groupe d'électeurs. Le coup d'éclat a évidemment été la nomination de la gouverneure de l'Alaska, Sarah Palin, comme colistière,une décision qui a probablement comblé le fossé qui séparait John McCain des évangélistes conservateurs et des militants pro-vie.

 

En fait, tout a commencé à la mi-août à l'église californienne Saddleback. Obama et McCain ont alors répondu ensemble aux questions du public. Ils étaient interrogés par Rick Warren, que plusieurs voient comme le successeur de Bill Graham comme «pasteur de l'Amérique».

 

Warren s'était depuis 2004 éloigné du Parti républicain, en insistant sur des thèmes comme les changements climatiques ou l'immigration, en plus des questions morales comme l'avortement. Obama devait donc neutraliser pour de bon la question de la foi, profitant du fait que John McCain ne semblait pas particulièrement à l'aise dans les discussions publiques sur le sujet.

 

L'occasion a été ratée. Le point de match a été la réponse des deux candidats à la question d'un fidèle: «La vie commence-t-elle dès la conception?» McCain n'a pas fait dans la dentelle et a répondu que oui. Obama l'a esquivée en répondant qu'il s'agit d'un sujet «au-dessus de son échelle salariale».

 

Il a fallu attendre trois semaines pour que le sénateur de l'Illinois admette, en entrevue télévisée, que cette réponse faisait «probablement» trop dilettante.

 

Dieu et Palin

 

"Le grondement de la foule lors du discours de Palin à la convention républicaine, au Minnesota, célébrait le nouveau mariage entre les évangélistes et les républicains", affirme Deal Hudson, un chroniqueur catholique conservateur qui a le premier montré que les catholiques pratiquants votent en majorité républicain, une idée reprise par Karl Rove lors des élections de 2000 et 2004.

 

"Je ne sais pas si Obama va réussir à regagner du terrain avec sa "tournée de la foi" la semaine prochaine. Une chose est sûre, la droite religieuse comptera autant cette année."

 

Le camp démocrate reconnaît que la foi est revenue au menu. "Le choix de Palin signifie que l'avortement, l'homosexualité, la théorie de l'évolution et le rôle de la religion dans la vie publique font à nouveau irruption dans la campagne", a déclaré à l'Associated Press un analyste du groupe Américains unis pour la séparation de l'Église et de l'État.

 

Tout au plus espère-t-on que les modérés seront contrariés par les positions controversées de Sarah Palin, qui estime que l'avortement devrait être interdit même en cas d'inceste ou de viol. Une loi à cet effet a été renversée au Dakota-du-Sud par une faible majorité de 55%, en 2004. Les groupes pro-choix comme NARAL signalent une augmentation des dons électoraux depuis la fin d'août.

 

L'antéchrist en Europe

 

Chose certaine, le retour de la religion dans l'arène est une surprise. L'an dernier, le magazine de droite The National Review avait annoncé "l'adieu aux guerres de culture". Cet été, le Wall Street Journal a affirmé que le nombre grandissant de missions à l'étranger rend les évangélistes moins dogmatiques et plus conscients que les problèmes sociaux ont leur importance tout comme les questions morales.

 

Plus tôt cette année, John McCain a refusé l'appui du pasteur John Hagee parce que ce dernier estime que l'antéchrist sera un président de l'Union européenne et qu'il a en outre qualifié les révérends extrémistes Pat Robertson et Jerry Falwell d'"agents d'intolérance".

 

"Je demeure persuadé que les électeurs ne s'en tiendront pas aux questions morales", affirme Jim Wallis, éditeur du magazine religieux de gauche Sojourners et auteur du livre God's Politics: Why the Right Gets It Wrong and the Left Doesn't Get It. "Dans un monde normal, personne ne devrait fonder son vote sur les croyances religieuses et la foi d'un candidat."

 

On saura le 4 novembre s'il s'agit d'un voeu pieux.

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THat was pretty low (Torontonian CBC/Globe and Mail columnist Heather Mallick) insulting Palin and her family like that. Shame on her. Mallick got what was coming to her (being dissed on Fox News, not the threats). Really though, its one thing to attack Palin's/McCain's policies, its another to attack them personally. Neither McCain or Palin are bad people so I'm not sure why Mallick was getting personal.

 

I agree completely with the separatists on this one: The Globe and Mail is a rag of a newspaper.

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Je pense que Barack Obama rendra plus de diginité aux États-Unis d'Amérique. Le dernier gouvernement républicain a détruit les états-unis à la face du monde pour plusieurs générations qui ont vu l'ère Bush.

De toute façon, après 8 ans, il est temps qu'ils débarquent.

 

Anyway, les américains ne pourront pas faire la police du monde et s'occuper de toute la planète bien longtemps. Ils seront bientôt à bout de souffle dans bien des domaines et devront se reconcentrer sur sois-même. Jacques Attali l'a dit dans son livre "une brève histoire de l'avenir". Sans avancer nécessairement de prédiction, il donne jusqu'en 2035 aux États-Unis (si il avait vu les récentes difficultées du système banquaire américain il aurait surement dit moins). Et avec Barack Obama et un retour plus précoste des États-Unis sur eux même, cette puissance se privera des souffrances qu'elle endurerais dans les 25 prochaines années.

 

Déjà que leur budjet militaire est une abbération... en tout cas, je pense que ce point là de leurs finances publiques relèvent surtout d'un aspect culturel américain.

 

Sur ce, God bless america!

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