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Échangeur Turcot


WestAust

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GoMontreal : ta réponse à ma réflexion prouve que j'ai raison (et je t'en remercie). Tu as les moyens de faire ce que tu veux. Tu as un revenu annule qui semble te permettre d'acheter le condo que tu veux quand tu veux où tu veux. Tu n'es certe pas du même monde que ceux qui comme je l'ai écrit n'ont pas le choix, ne peuvent se permettre de faire la fine bouche parce que leurs moyens financiers sont limités.

 

En fait, tu parles à travers ton chapeau. J'ai choisi de ne pas vivre près de turcot vu que c'était tellement horrible dans ce coin là. Les moyens que j'ai sont dans ma tête et non mon porte-feuille. De dire que j'ai les moyens de faire ce que je veux est complètement ridicule. Si j'habite en banlieue maintenant c'est parce que j'étais pas capable d'acheter un condo sur l'ile, trop cher! Acheter le condo que je veux, où je veux, vraiment pas. Si c'était le cas, je m'aurais acheté un beau grand loft dans le vieux-montréal. Je suis bien trop pauvre pour faire ça.

 

Ce que j'essaye de dire c'est que les hyper-pauvre qui habite ce coin ne sont aucunement forcé d'habiter là et serait même très avantagé à déménager en banlieue et ils pourrait tout faire sans même acheter de véhicule. Ça leur coûterait beaucoup moin cher et ils auraient un bien meilleur loyer. Quoique leur passe d'autobus/métro couterait quelques dollars de plus par mois.

 

Depuis que j'ai déménagé à Montréal en 1998, j'ai presque toujours habité au centre-ville et j'aimais bien ça. Il est évident que ça ne fait juste pas de sens de vivre là avec deux enfants et les logements petit et inabordable (location ou achat).

 

Je suis définitivement pas un fan de la banlieue mais ça fait plus de sens que le centre de la ville, à moins d'être hyper riche. C'est aussi plus calme, ce qui te permet de penser calmement et de réfléchir à comment amélioré ton sort (lorsque t'es pauvre).

 

Maintenant, dis-moi qu'est-ce qui empêche le monde qui habite près de Turcot de choisir de vivre ailleur?

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Maintenant, dis-moi qu'est-ce qui empêche le monde qui habite près de Turcot de choisir de vivre ailleur?

 

Absolument rien du tout, ces gens sont compensés et il n'est pas écrit nul part que quelqu'un doit naître et mourir à la même place toute sa vie.:rolleyes:

 

Ce que je suspecte, c'est que plusieurs personnes qui bitchent le font pour avoir une meilleure compensation (classique quoi)... et que les pauvres naïfs anti-auto embarquent là par conviction profonde et aveugle.

 

Ce qu'ils font réellement c'est d'aider les proprios de ces immeubles de grossir leur chèques.:highfive:

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Life after Turcot

>> Residents around the iconic interchange fret about its impending demolition

SEEING THE GRACE OF CONCRETE OVERPASSES:

Ken McLaughlin of Walking Turcot Yards

 

 

by CHRISTOPHER DEWOLF

 

“What drew me to the Turcot originally was the size of it,” recalls Ken McLaughlin. The Verdun artist maintains Walking Turcot Yards, a blog dedicated to the area around the giant interchange at the junction of highways 15 and 20, built in 1966 in a feat of Modernist ambition. “It’s pretty incredible to look up there and see it all. It’s very sculptural, all the lines and shapes, very smooth,” he says.

 

Next year, though, the area around the Turcot Yards will be dramatically reshaped by a $1.5-billion reconstruction project. The grandiose swoop and curves of the city’s most iconic interchange will make way for an entirely new structure, its layers of flyovers and elevated highways replaced by a new structure that hugs the ground, surrounded by berms and embankments. Construction is expected to last from 2009 to 2015.

 

Quebec’s transport minister promises that the new interchange will be safer for motorists and quieter for nearby residents. But people in both NDG and St-Henri are worried that the impact on their neighbourhoods will be severe.

Community efforts shot down

 

In western St-Henri, residents of the Village des Tanneries, who live right next to the interchange, fear nothing less than the complete disruption of their lives. Jody Negley, leader of the Citizens’ Committee of the Village des Tanneries, worries about having to live with six years of constant construction.

 

“Years of community effort on the part of residents and non-profit groups to improve quality of life in the area will be for naught,” she says. “Nobody will want to spend any time outside as the noise levels will be deafening, the air quality will be toxic, the newly built community gardens will be covered in grime [and] it will be unsafe for children to play outside, given the traffic and pollution.”

 

For decades, the Village des Tanneries has suffered from poverty and neglect; more than half of its population live below the poverty line. Since 2000, residents have banded together to organize community events, plant community gardens and work local politicians to fight crime and improve neighbourhood amenities. Now, though, Negley says that all of those efforts could be jeopardized by the expropriations required by reconstruction.

 

“The entire north side of Cazelais street does not appear on [the MTQ’s] maps post-reconstruction,” says Negley. “A large loft building, 780 St-Rémi, which houses 400-plus people, is also missing.”

 

Further west, NDGers are also worried. In November, the MTQ organized a last-minute meeting to address their concerns and was met with a higher than anticipated turnout.

 

One of the top issues is access to the Falaise St-Jacques, a natural cliff space running along the embankment just above the Turcot Yards. The MTQ envisions moving Highway 20 up against it to open the land currently occupied by the highway for redevelopment.

 

But Peter McQueen, a community activist and former Green Party candidate for NDG, says that this plan will jeopardize access to the cliff. “It’s hard to get there now but after they’re done with their project, it will be even harder,” he says. “This thing is bigger than just the MTQ. It needs to be opened up. It’s a societal project.”

Newer, greener space?

 

Mario St-Pierre, a spokesperson for the MTQ, defends the Turcot project, saying that maintaining the current elevated structure wouldn’t be worth the cost. Besides, he adds, the new interchange will be designed with the needs of adjacent neighbourhoods in mind. Parts of it will allow for public access to the Falaise and it will be surrounded by greenery, to the benefit of St-Henri.

 

“People have been living next to an autoroute for 40 years,” he says. “This new plan is designed to improve their quality of life.”

 

As for the impact on the Village des Tanneries, St-Pierre won’t go into detail. “Some expropriations will be necessary,” he says, “but it’s hard to please everyone. There’s a process we’re following so people aren’t going to be taken by surprise.”

 

Negley is sceptical. “The MTQ promises that the community itself will be better, greener and perhaps even less noisy than at present. But it will be another 10 years before they ever get to the stage of actually planting trees, landscaping, and even building a noise barrier here. By then, most of us will have given up and moved away.”

 

McLaughlin, meanwhile, will mourn the lost opportunities presented by the original elevated Turcot interchange. “Leaving it where it is, we could develop the space underneath and around it in a green way. When they lay this new highway on the ground it’s just going to cut everything off.”

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:shhh: Il y aura toujours des gens pour protester de la présence d'un projet dans leur voisinage. On connait le phénomène, attirer l'attention sur soi afin de retirer une compensation même si on est pas directement concerné. Comme dit Malek, c'est classique.

 

Maintenant c'est là que les médias ont un rôle à jouer et une responsabilité: limiter l'exposition médiatique des groupes qui n'ont pas de légitimité et se concentrer seulement sur les aspects du dossier qui font réellement problème.

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Maintenant c'est là que les médias ont un rôle à jouer et une responsabilité: limiter l'exposition médiatique des groupes qui n'ont pas de légitimité et se concentrer seulement sur les aspects du dossier qui font réellement problème.

 

C'est une des raisons pourquoi je suis tanné de ces articles que étienne mets ici, ça ajoute à l'exposition. On est pas CNN, mais il y a quand même des centaines de gens qui viennent lire ici à chaque jour.:rolleyes:

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Life after Turcot

“Nobody will want to spend any time outside as the noise levels will be deafening, the air quality will be toxic, the newly built community gardens will be covered in grime [and] it will be unsafe for children to play outside, given the traffic and pollution.:rotfl:

 

Dommage que Christopher n'as pas mitigé ces conneries, les mettre en contexte.... ça fais sensationaliste et pas à peu près.

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OPINION

 

Modernisation de la rue Notre-Dame et du complexe Turcot - Montréal à la croisée des chemins

Collectif d'auteurs

Le Devoir: Édition du jeudi 07 mai 2009

 

Mots clés : Infrastructures, Complexe Turcot, Rue Notre-Dame, Construction, Transport, Montréal, Québec (province)

 

Au cours des derniers mois, le gouvernement du Québec a annoncé des investissements de plusieurs milliards de dollars pour rénover et développer les infrastructures de transport sur l'île de Montréal, des investissements salués par la grande majorité des Montréalais puisque plusieurs de ces infrastructures, telles que l'échangeur Turcot et le métro de Montréal, ont plus de 40 ans et que les besoins de transport de notre métropole croissent rapidement.

 

La reconstruction du complexe Turcot et la transformation de la rue Notre-Dame sont une occasion unique de réaliser des projets dont les choix de fonctions, de gabarit et d'implantation contribueront à transformer Montréal en une grande métropole avec un centre-ville dynamique où la créativité, le développement des affaires, la protection de l'environnement et la qualité de vie seront au rendez-vous.

 

Qualité de vie

 

Aujourd'hui cependant, avec l'accroissement continu de la population dans les banlieues, l'augmentation constante de la circulation, du parc automobile et de la congestion routière, un constat s'impose. Il n'est plus possible d'accroître le nombre de véhicules sur l'île de Montréal, en particulier au centre-ville, sans affecter la qualité de vie des résidants et des travailleurs des quartiers centraux, sans nuire à l'économie locale, mais aussi régionale, et sans compromettre l'avenir de notre planète.

 

Toutes les métropoles font face à la même problématique et optent pour des solutions nouvelles qui permettent d'améliorer la mobilité des personnes et des marchandises tout en contribuant à la lutte aux changements climatiques, à l'amélioration de la qualité de l'air, à la revitalisation des quartiers centraux, à la réduction de notre dépendance au pétrole et à la relance économique. Montréal ne peut pas échapper à ce processus.

 

Choix collectifs

 

Dans la mesure où le gouvernement du Québec souhaite investir plus de 3 milliards de dollars dans la modernisation de la rue Notre-Dame et la reconstruction du complexe Turcot, mais ne dispose pas des fonds nécessaires pour construire tous les projets actuellement à l'étude, nous devons collectivement faire des choix. Ces choix, tout en visant à obtenir le maximum de gains pour les investissements consentis, devront permettre de bâtir un meilleur équilibre entre l'usage de la voiture, du camionnage et des transports collectifs et actifs dans le milieu urbain.

 

Heureusement, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour améliorer la mobilité dans l'axe est-ouest de l'autoroute et offrir des solutions de rechange à l'usage de l'auto en solo, notamment aux 65 % de navetteurs qui empruntent cet axe matin et soir: la construction d'une ligne de tramway, la navette ferroviaire entre l'aéroport et le centre-ville de Montréal, l'accroissement de l'achalandage du train de Rigaud, les voies réservées pour autobus et le Viabus de l'Est.

Services durables

 

La reconstruction de l'échangeur Turcot sur plusieurs années exige de planifier et d'implanter des mesures de mitigation en transports collectifs avant que les travaux commencent afin de limiter l'étranglement routier et économique. Cela représente une belle occasion de mettre en place des services qui demeureront après les travaux. Les choisir en même temps que se définit le concept du nouveau Turcot permettrait certainement d'améliorer ce dernier, de contribuer au développement économique et urbain des secteurs traversés et à la diminution véhiculaire dans l'axe est-ouest.

 

Tel que suggéré par le vérificateur général, le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal doivent procéder à une «analyse comparée et documentée des différents scénarios possibles» pour permettre une meilleure prise en compte des incidences à court et à long termes des projets de transport sur la santé, le contexte social, l'économie, l'environnement, l'utilisation des ressources naturelles pour mieux servir la communauté.

 

Vision du transport

 

C'est pourquoi nous unissons nos voix aujourd'hui sur la nécessité de doter Montréal d'une vision du transport et de l'aménagement, en particulier dans l'axe est-ouest de l'autoroute, objet des prochaines consultations, pour les prochaines décennies. Le gouvernement du Québec, la Ville de Montréal et l'ensemble des acteurs de notre collectivité doivent prendre part à ce débat, afin de trouver des solutions concrètes et globales pour l'avenir des citoyens et des entreprises tout en évitant un immobilisme qui se ferait également au détriment de Montréal et de sa grande région.

 

Montréal est à la croisée des chemins et nous ne pouvons manquer cette occasion unique de réaliser une ville à l'image de ce que nous sommes et de ce que nous serons, en harmonie avec nos valeurs et nos aspirations. Boston, San Francisco, Vancouver, Portland, New York, les villes européennes le font. Pourquoi pas nous?

 

***

 

Ont signé cette lettre: Florence Junca-Adenot, André Porlier, Steven Guilbeault, David Brown, Gérard Beaudet, Louis Brisson, Pierre Gauthier, David B.Hanna, Louise Vandelac, Hélène Lauzon, Pierre Morrissette, Michel Ducharme, Gaétan Chateauneuf et Nancy Neamtan

 

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