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  1. Le square Viger sera enfin réaménagé... quatre ans plus tard que prévu D'abord pensé comme legs du 375e, le nouveau square ne verra le jour qu'en 2021. Par Olivier Robichaud OLIVIER ROBICHAUD C'est enfin parti pour le réaménagement du square Viger, ce parc moribond qui devait se refaire une beauté à temps pour le 375e anniversaire de Montréal. La Ville de Montréal accordera le contrat de construction mercredi matin, mais la date de livraison finale est repoussée de quatre ans par rapport à l'échéancier initial. Le square Viger en a fait voir de toutes les couleurs à l'administration municipale depuis l'annonce de son réaménagement. L'endroit a été fermé en 2016 pour commencer les travaux et les itinérants qui le fréquentaient ont été déménagés au Champ de Mars, à l'entrée du Vieux Montréal. Peu après, la Ville s'est rendue compte que le ministère des Transports du Québec (MTQ) n'avait pas de données suffisantes sur l'état du tunnel Ville-Marie, qui passe sous le square. De nouvelles études ont été commandées pour s'assurer que les pelles mécaniques ne défoncent pas la structure pour se retrouver sur l'autoroute 720. Entre autres problèmes potentiels. Après de nombreuses démarches et une augmentation du budget, qui atteignent désormais 38,2 M$ en comptant les services professionnels et les travaux préparatoires, le projet peut enfin aller de l'avant. Selon le nouvel échéancier de la Ville, les travaux devraient commencer en octobre. 30,9 M$ pour refaire les rues Parallèlement au réaménagement du Square, les rues Saint-Denis, Berri, Viger et Saint-Antoine subiront aussi une cure jeunesse. Cet aspect du projet fait passer la facture totale à 69,1 M$, auxquels s'ajoutent 2,4 M$ de travaux de la Commission des services électriques de Montréal. La Ville souhaite notamment remettre la rue Saint-Denis à sens unique vers le sud entre Viger et Saint-Antoine. Sa transformation en rue bidirectionnelle sur ce tronçon était pourtant une condition essentielle à la concrétisation d'un projet voisin, celui du recouvrement de l'autoroute Ville-Marie près du Champ de Mars. Cité en 2015 par le journal 24 Heures, le ministre des Transports de l'époque, Robert Poëti, affirmait que la fermeture de la bretelle de sortie Sanguinet/Saint-Laurent dépendait de la modification de la circulation sur Saint-Denis. Les documents soumis aux élus mercredi ne mentionnent aucune entente entre la Ville et le MTQ à ce sujet. Les automobilistes se dirigeant vers le sud n'auront toutefois pas accès à l'ensemble de la chaussée, puisque seulement deux voies sur trois seront conservées lors du réaménagement. Les espaces de stationnement de la rue Saint-Antoine disparaîtront également des abords du square Viger afin de maintenir la bande cyclable. La patinoire de l'îlot Clark aussi Un autre projet qui a pris du retard recevra le feu vert mercredi. Le contrat pour construire la patinoire réfrigérée de l'îlot Clark, entre autres aménagements, sera finalement accordé à Construction TEQ. La facture finale sera de 59,2 M$, en plus des services professionnels, soit presque 12 M$ de plus que l'estimation municipale. VILLE DE MONTRÉAL La future esplanade Clark constitue la dernière phase du réaménagement du Quartier des spectacles. En plus de la patinoire, l'îlot Clark recevra notamment un espace public et un bâtiment multifonctionnel. Il devait être inauguré à la fin de 2019, mais l'échéancier a été repoussé à juin 2020. L'îlot Clark est en quelque sorte la cerise sur le sundae du projet de revitalisation du Quartier des spectacles. Après 10 ans et 1,7 G$ d'investissements privés et publics, la transformation de ce secteur névralgique de la ville est presque accomplie. https://quebec.huffingtonpost.ca/2018/08/15/reamenagement-square-viger_a_23502434/?utm_hp_ref=qc-homepage
  2. À QUOI RESSEMBLERA LE QUÉBEC DE 2050? Les canicules qui se succèdent à un rythme alarmant cet été, au Québec comme ailleurs, ne trompent pas : le réchauffement planétaire est déjà commencé. Il va maintenant s’accélérer, et le monde n’aura pas d’autre choix que de s’adapter. Sommes-nous prêts ? UN DOSSIER D’ISABELLE HACHEY « ÇA VA ÊTRE UN MONDE COMPLÈTEMENT DIFFÉRENT » Montréal, 11 août 2050. Il n’est pas encore midi et le mercure affiche déjà 38 °C. La canicule sévit depuis la Saint-Jean-Baptiste, sans interruption, hormis trois jours de pluies torrentielles qui ont inondé – encore – la vallée d’asphalte et de béton que forme l’autoroute Décarie. Malgré les plans d’urgence, la chaleur accablante a tué des dizaines de personnes âgées depuis le début de l’été. Les climatiseurs fonctionnent à plein régime. La facture d’électricité des Montréalais risque d’exploser à la fin du mois. Tout comme la facture d’eau, désormais rationnée. Les politiciens promettent de faire plus, de faire mieux. En cette période de précampagne électorale, ils participent aux traditionnelles épluchettes de blé d’Inde… désormais cultivé au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Le sirop d’érable, quant à lui, provient de Baie-Comeau. Dans le sud du Québec, il y a longtemps qu’on n’a plus visité une cabane à sucre. Ou vu un Noël blanc. Si on veut de la neige en hiver, mieux vaut se rendre en Gaspésie, qui connaît un boom touristique sans précédent. Dès la mi-janvier, des skieurs de l’Ontario et du nord-est des États-Unis empruntent la route 132 – ramenée à l’intérieur des terres pour échapper aux assauts du fleuve – afin de profiter de la neige naturelle qui n’est pas tombée chez eux depuis des années. Cet été, ce sont les Montréalais qui se sont rués en masse dans la péninsule gaspésienne. Ils fuyaient la canicule, mais aussi une grave épidémie de fièvre provoquée par un virus découvert il y a une trentaine d’années en Amérique latine et porté par des moustiques ayant rapidement migré vers le nord. Un Québec méconnaissable. Science-fiction ? Bien sûr. Mais rien que les scientifiques n’aient pas projeté dans diverses études visant à établir les effets potentiels du réchauffement climatique au Québec. Le scénario imaginé plus haut s’inspire – très librement – de projections contenues dans la Synthèse des connaissances sur les changements climatiques au Québec. Ce document de référence, publié en 2015 par le consortium Ouranos, a requis deux ans de travail et mobilisé une centaine d’experts. Le réchauffement a déjà commencé, nous rappellent trop bien les canicules qui se succèdent à un rythme effarant cet été, au Québec comme ailleurs dans le monde. Il va maintenant s’accélérer. Et il faut s’attendre à ce que le Québec de 2050 soit méconnaissable, prévient Dominique Paquin, spécialiste en simulations et analyses climatiques chez Ouranos. « Ça va être un monde complètement différent. » Un monde auquel il faudra s’adapter pour survivre. « La quantité d’efforts que nos enfants vont devoir déployer autour de cet enjeu, on a encore de la difficulté à se l’imaginer », craint Steven Guilbeault, directeur d’Équiterre. « Si on continue au rythme actuel, avec des émissions très fortes de gaz à effet de serre (GES), on peut s’attendre à un réchauffement de 3,5 ou 4 °C en 2050. » — Dominique Paquin, spécialiste en simulations climatiques, Ouranos Conséquences probables, voire inévitables de ces trois ou quatre degrés supplémentaires : vagues de chaleur accablante, pluies diluviennes, érosion des côtes maritimes, bouleversement des écosystèmes, migration de la faune et de la flore vers le nord et destruction de récoltes avec l’arrivée en masse d’espèces envahissantes. Entre autres. ADIEU À L’HIVER QUÉBÉCOIS À Montréal, le nombre de journées de canicule va au moins tripler, selon le Dr Pierre Gosselin, coordonnateur du programme de recherche santé au sein du consortium Ouranos. « Il y aura environ 50 jours au-dessus de 30 °C à Montréal. » Autrement dit, des étés presque complets de canicule. Les personnes âgées et vulnérables en paieront le prix. « Des études récentes montrent que le nombre de décès [liés à la chaleur] va augmenter de 50 à 100 % sur la planète en 2040. » — Le Dr Pierre Gosselin L’hiver québécois tel qu’on le connaît n’existera plus. Il ne durera que quelques semaines. « L’hiver se réchauffe davantage que l’été. On peut s’attendre à un réchauffement hivernal de 5 ou 6 °C, dit Mme Paquin. Il y aura de moins en moins de neige. Et peut-être que les patinoires extérieures disparaîtront, puisqu’il y a un coût à maintenir des infrastructures hivernales quand les températures ne sont pas assez froides pour les maintenir naturellement. » Dans le cas des patinoires, ce n’est pas vraiment un scénario de science-fiction ; c’est déjà une réalité qui commence à poindre. En janvier, la Ville de Montréal a par exemple annoncé la fermeture définitive de la patinoire naturelle du lac aux Castors, sur le mont Royal, parce qu’elle n’avait pu être ouverte que 37 jours l’hiver précédent. Naguère, les Montréalais pouvaient y patiner une centaine de jours chaque hiver. D’autres signes s’accumulent et ne mentent pas : ce cardinal qui chante dans la cour, à Montréal, et dont la présence était autrefois exceptionnelle ; la fonte du pergélisol, qui met en péril maisons et routes du Grand Nord ; la promenade de Percé, maintes fois dévastée par les tempêtes ; la maladie de Lyme, qui se propage toujours plus au nord de la province, grâce à la migration de souris porteuses de tiques infectées par la bactérie. Cette semaine encore, des scientifiques ont annoncé l’arrivée au Québec de la veuve noire du Nord, une araignée heureusement moins dangereuse qu’on pourrait le croire. « Si on m’avait dit quand j’étais au baccalauréat que sa niche écologique allait s’étendre au Québec avant 2020, j’aurais été bien surpris », a confié l’entomologiste Maxim Larrivée jeudi à La Presse. Mais voilà, les changements climatiques sont beaucoup plus rapides que prévu. « ON N’EST PAS PRÊTS » Le train est en marche. Impossible de revenir en arrière, même si on parvenait à éliminer du jour au lendemain toutes les émissions de GES de la planète, explique Dominique Paquin. « Il y a tellement de carbone accumulé dans l’atmosphère que le réchauffement va continuer » pendant au moins un siècle. « Il n’est plus question de savoir si on doit s’adapter, mais plutôt comment le faire », préviennent d’ailleurs les scientifiques du consortium Ouranos dans leur Synthèse. « On n’est pas prêts », s’inquiète le Dr Gosselin. « On consacre beaucoup plus d’argent à lutter contre les GES qu’à s’adapter aux changements climatiques, dit-il. Or, les GES continuent à augmenter partout dans le monde. C’est bien triste, mais il faut réaliser que ça ne marche pas très fort, jusqu’ici, la réduction des GES, et qu’il faut donc se préparer en adaptant nos villes, nos systèmes, nos façons de faire. C’est la prochaine grande priorité. » LE RÉCHAUFFEMENT DU QUÉBEC EN CHIFFRES 33 MILLIARDS C’est ce que coûtera la chaleur à la société québécoise dans les 50 prochaines années. Ces coûts seront essentiellement attribuables aux pertes de vie prématurées. 1,5 MILLIARD Coûts de l’érosion côtière sur les bâtiments, les terrains et les infrastructures de transports à l’horizon 2064 20 000 Nombre de morts causées par le réchauffement climatique au Québec au cours des 50 prochaines années 5300 Nombre de bâtiments perdus à cause de l’érosion côtière d’ici 2064. Disparaîtront aussi 1300 terrains, 300 km de routes et 25 km de chemins de fer. Source : Évaluation des impacts des changements climatiques et de leurs coûts pour le Québec et l’État québécois, Ouranos, 2015 LA PROVINCE AU TEMPS DU RÉCHAUFFEMENT En 2050, les changements climatiques affecteront la santé, bouleverseront les écosystèmes et forceront les autorités à repenser les villes. Voici à quoi les Québécois doivent s’attendre. LA MIGRATION DES ESPÈCES Sous l’effet du réchauffement, les aires de répartition de centaines d’espèces se déplaceront vers le nord à grande vitesse : de 45 à 70 km par décennie, estiment les scientifiques. Il y aura donc de nombreuses nouvelles espèces au Québec à la fin du siècle. Mais il ne faut pas s’en réjouir pour autant, puisqu’une partie d’entre elles seront nuisibles, note Robert Siron, coordonnateur du programme écosystème et biodiversité du consortium Ouranos. « C’est ce qu’on appelle le paradoxe de la biodiversité nordique, dit-il. En termes absolus, il y aura de plus en plus d’espèces au Québec. Mais parmi elles, il y aura des espèces envahissantes, ravageuses ou vectrices de maladies. » Ces indésirables s’attaqueront inévitablement aux cultures, aux forêts et aux espèces indigènes. DES ÉRABLIÈRES À BAIE-COMEAU ? Avec la hausse des températures, l’aire de l’érable à sucre s’étendra jusqu’à Baie-Comeau d’ici à la fin du siècle. En théorie, du moins. En pratique, la vitesse de migration des arbres est plus lente : de 10 à 45 km par siècle. « La plupart des arbres ne suivront probablement pas le rythme accéléré des changements climatiques », explique Robert Siron. Il y a aussi d’autres obstacles. « L’érable à sucre a besoin d’un sol particulier, qui n’est pas celui de la Côte-Nord. Il pourrait aussi être en concurrence avec les espèces établies. » S’il est peu probable que l’on retrouve des érablières dans le nord de la province, le Québec pourrait néanmoins profiter des changements climatiques pour renforcer son monopole sur le sirop d’érable, prédit M. Siron, puisque le petit marché qui existe actuellement dans le nord-est des États-Unis risque fort de disparaître. DES VILLES À REPENSER Les orages deviendront plus intenses avec le réchauffement climatique. Les villes devront être prêtes à absorber toute cette pluie – ce qu’elles font mal en ce moment avec leurs kilomètres de rues asphaltées où l’eau ruisselle et s’accumule, risquant de provoquer des inondations. « Il faut repenser les villes », dit Dominique Paquin, spécialiste en simulations et analyses climatiques au sein du consortium Ouranos. « Lorsque vient le temps de reconstruire les infrastructures, il faut s’assurer de réduire les îlots de chaleur et de mieux gérer les eaux de pluie. » Cela peut se faire, par exemple, avec l’installation de toitures végétales et d’asphalte perméable permettant à l’eau d’être absorbée par la terre. MORTELLE CANICULE En 2061, les Québécois seront plus nombreux et plus vieux que jamais. Les aînés formeront plus du quart de la population. Et ils seront plus vulnérables aux îlots de chaleur urbains. Les scientifiques d’Ouranos estiment que 20 000 Québécois mourront avant l’heure à cause du réchauffement climatique au cours des 50 prochaines années. « Les villes, où vivent 85 % des Québécois, ne sont pas prévues pour la chaleur. On manque de parcs, d’arbres, de pistes cyclables et de voies piétonnes, dit le Dr Pierre Gosselin, coordonnateur du programme santé au consortium Ouranos. Il faut agir sur de 40 à 50 % des villes pour réduire la température de 1,5 à 2 degrés [Celsius]. Cela permettrait d’éviter la surmortalité lors de canicules. » L’ÉROSION DES CÔTES Quand Percé a inauguré sa nouvelle promenade, en juin, les scientifiques ont applaudi : cette fois, elle ne serait plus livrée aux tempêtes. Les autorités municipales avaient cessé de lutter contre les éléments, jugeant plus judicieux de déplacer des bâtiments et de recharger la plage de galets. « On ne peut plus bâtir les infrastructures comme on le faisait avant, en se basant sur les données du passé, dit Dominique Paquin. Il faut inclure les changements climatiques dans la planification. » C’est ce qu’a fait la Ville de Percé. Les régions côtières, autrefois protégées par les glaces du Saint-Laurent, sont de plus en plus exposées aux fortes tempêtes hivernales. « D’ici la fin du siècle, on s’attend à ce que l’érosion atteigne un mètre, souligne Mme Paquin. Toutes les infrastructures côtières sont à repenser. » RECONSTRUIRE LE NORD-DU-QUÉBEC Nulle part au Québec le réchauffement ne se fait aussi douloureusement ressentir que dans le Grand Nord. « Les Inuits, qui essaient de maintenir un mode de vie traditionnel en lien étroit avec la nature, peuvent nous parler pendant des heures de ce qu’ils observent », raconte Robert Siron, également coordonnateur des régions nordiques chez Ouranos. Des ponts de glace disparaissent. Le dégel du pergélisol fragilise les bâtiments, endommage les routes et bousille les pistes d’atterrissage. Le gouvernement a déjà entrepris la reconstruction de maisons et d’infrastructures routières. « Ce sont des enjeux vécus au quotidien par les populations du nord, dit M. Siron. Là-bas, on parle des changements climatiques au présent, pas au futur. » TIRER PROFIT DU RÉCHAUFFEMENT Oui, chaque ménage aura son climatiseur. Mais avec la diminution des besoins en chauffage l’hiver et la hausse du débit des rivières, Hydro-Québec… bénéficiera des changements climatiques. On prévoit en effet que la demande en énergie aura diminué de 2,7 % en 2050. Mais tout n’est pas gagné pour la société d’État, qui devra composer avec plus de déluges, d’incendies de forêt, de tempêtes de verglas et d’autres événements climatiques extrêmes. Les agriculteurs tireront aussi profit du réchauffement, grâce aux saisons de croissance plus chaudes et prolongées. Les industries touristiques et forestières seront aussi avantagées. « Il y a clairement certaines occasions d’affaires, dit Dominique Paquin, mais il ne faut pas oublier qu’un coût y sera associé et qu’on n’a pas le choix de s’adapter. » Source : Vers l’adaptation – Synthèse des connaissances sur les changements climatiques au Québec (Ouranos, 2015) http://plus.lapresse.ca/screens/a107db30-443d-4e87-b3eb-6b05144e387a__7C___0.html
  3. Les temps changent et la ville passe. Il va y avoir un gars dans cinquante ans qui comme nous, va se demander comment ca a pu changer autant
  4. Un certain équilibre c'est établit à Montréal: nous sommes passé des belles enseignes lumineuses aux buildings chatoyants de mille couleurs. Ma métropole est propice autant à la nostalgie qu'à l'espoir.
  5. 10-08-2018 (un coup de vent sur celle là )
  6. Je n'ai pas trouvé le fil pour le pont de l'IDS (excusez la mise au point fait sur Bell plutôt que sur le pont):
  7. 201-08-10 approche nord (tunnel piétonnier).
  8. Toit au stade IGA: Les négociations continuent Par François CarabinMétro Minas Panagiotakis/Getty Images Des épisodes de pluie ont de nouveau dérangé le déroulement de la Coupe Rogers cette année, ramenant à l’avant-plan l’idée d’installer un toit rétractable au stade IGA. Selon la Ville de Montréal, les négociations pour réaliser ce projet sur le court central vont bon train. Lors de sa traditionnelle conférence de presse de fin de tournoi, dimanche, le directeur du tournoi montréalais, Eugène Lapierre, a affirmé que des lignes avaient déjà été lancées aux gouvernements. «On a présenté un plan d’affaire aux différents paliers de gouvernement, a-t-il lancé. Donc, ils connaissent notre opinion là-dessus, et ça va commencer avec la Ville de Montréal. Je pense qu’on a une bonne oreille [de leur part].» «On verra dans les prochains mois, a-t-il ajouté. Moi, j’ai bon espoir que, d’ici quelques années, on puisse arriver au bout de ce projet.» Contacté à ce sujet, l’attaché de presse du cabinet exécutif, Youssef Amane, a confirmé le soutien de la Ville par rapport au toit. «Notre administration a discuté du projet avec M. Lapierre, a-t-il indiqué. Nous avons eu d’excellents contacts avec Tennis Canada et le projet suit son cours. Nous appuyons évidemment la démarche sérieuse de Tennis Canada avec l’ensemble de ses partenaires.» M. Amane n’a pas pu préciser si l’appui de Montréal serait politique ou financier. «C’est ce qu’on regarde avec Tennis Canada, a-t-il dit. Mais la communication est très bonne.» Pour ce qui est de l’engagement des administrations fédérale et provinciale, M. Lapierre a soutenu qu’il n’y avait pas encore eu de réponse concrète. «Il n’y a pas eu de réponse parce que c’est le genre de projet qui va toucher la Ville, a-t-il expliqué. Il faut que la Ville embarque. Les autres paliers ne viendront pas [s’immiscer là-dedans avant].» La Ville verse chaque année une somme d’environ 1,6M$ à Tennis Canada pour le stade IGA. Cela inclut une somme de 86 000 dollars par année pour des travaux d’entretien majeur.En entrevue au Journal de Montréal il ya quelques jours, M. Lapierre a estimé le coût d’un toit à environ 70M$. La pluie a fait des dommages en début de tournoi, cette année, forçant les organisateurs de la Coupe Rogers à reporter plusieurs matchs. Certaines joueuses ont même dû jouer plusieurs fois dans la même journée, à des intervalles très serrés. Très peu de tournois de la Women’s Tennis Association (WTA) offrent actuellement des toits rétractables. Si Montréal se dotait d’une structure du genre, son tournoi deviendrait le premier de sa catégorie, la catégorie Premier 5, à le faire. Dans la catégorie supérieure, Premier mandatory, seuls les tournois de Madrid et Pékin ont fait le choix de poser des toits. Le tournoi majeur de Roland-Garros deviendra le dernier du Grand Chelem à faire de même lorsque son nouveau toit rétractable sera inauguré, en 2020. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1724838/toit-au-stade-iga-les-negociations-continuent/
  9. Ottawa propose de rebaptiser le pont Champlain Publié aujourd'hui à 4 h 53 Le nouveau pont Champlain doit être théoriquement livré le 21 décembre 2018. Photo : Signature sur le Saint-Laurent Le gouvernement Trudeau souhaite donner un prénom au nouveau pont Champlain, a appris Radio-Canada. L'appellation « pont Samuel-de-Champlain » est réclamée depuis plusieurs années par des historiens, des élus, des éditorialistes et des citoyens. Un texte de Thomas Gerbet Il y a le pont Jacques-Cartier, le pont Honoré-Mercier, le pont Pierre-Laporte... et le pont Champlain. Un prénom manquant, une anomalie toponymique vieille de 60 ans, qu'Ottawa est prêt à corriger. Dans un document d'Infrastructure Canada daté du 6 août que nous avons obtenu, le ministère informe ses partenaires de sa proposition: « Êtes-vous favorable à une formalisation potentielle du nouveau pont comme "pont Samuel-de-Champlain"? » peut-on lire. Le ministère ajoute: « Nous souhaitons recevoir votre avis le plus rapidement possible et au plus tard le 24 août 2018. Par la suite, Infrastructure Canada déclenchera une consultation publique, avant de mettre en oeuvre cette proposition. » Invité à donner plus de détails, le nouveau ministre de l'Infrastructure et des Collectivités, François-Philippe Champagne, nous a fait savoir par courriel qu'il avait été sensible aux commentaires reçus. Le ministre mentionne que le 5 juillet, les élus de l'agglomération de Longueuil ont adopté une motion à l'unanimité pour que le nouveau pont soit nommé Samuel-de-Champlain. Le pont Champlain doit en théorie être livré le 21 décembre 2018, même si un retard est à prévoir. Des panneaux déjà fabriqués Dans le document, le gouvernement fédéral planifie l’installation d'un panneau avec le nom complet « pont Samuel-de-Champlain » sur chaque approche du pont, côté Brossard et côté Montréal. En revanche, Ottawa précise que les autres panneaux routiers indiquant uniquement « pont Champlain » ont déjà été fabriqués et le ministère demande à ses partenaires s'ils seraient favorables à les conserver tels quels. L'appellation du nouveau pont sur le Saint-Laurent avait suscité une controverse en 2014. L'ancien gouvernement conservateur de Stephen Harper songeait sérieusement à baptiser le pont en l'honneur de Maurice Richard, l'ancienne gloire du hockey québécois. Mais il avait reculé face à l'opposition, notamment celle de l'Assemblée nationale du Québec. Un personnage historique majeur pour le Québec et le Canada Samuel de Champlain est considéré comme le « père » de la Nouvelle-France. Le navigateur français a traversé l'Atlantique à 27 reprises au début du XVIIe siècle. C'est lui qui a probablement dessiné la première carte du Québec. « Sans vouloir hiérarchiser ceux qui ont fait de grandes découvertes ici, il est sans doute celui qui en a fait le plus », dit le professeur en histoire à l'Université du Québec à Trois-Rivières, Laurent Turcot. L'historien se réjouit de cette idée d'ajouter le prénom de l'explorateur. Pour lui, ce n'est pas un détail. « C'est pour marquer toute l'importance que le personnage a eue, croit-il. Il n'est pas juste important pour la ville de Québec qu'il a fondée, mais pour la découverte du territoire. Il est allé jusqu'en Ontario », rappelle l'historien. Laurent Turcot rappelle que Samuel de Champlain a nommé l'île Sainte-Hélène en l'honneur de sa femme. L'explorateur était aussi un anthropologue de son temps, fasciné par les peuples autochtones qu'il a rencontrés. Samuel de Champlain avait par ailleurs convaincu la Couronne de France d'investir davantage dans la vallée du Saint-Laurent pour y amener des colons. L'arrivée de Champlain à Québec, Henri Beau,1903 Photo : bibliotheque.assnat.qc.ca / Musée national des beaux-arts du Québec / Patrick Altman « S'il avait réalisé la moitié de ses exploits en France, plutôt qu'ici, il aurait été considéré comme l'équivalent de Charles de Gaulle, Napoléon ou Jeanne d'Arc », croit Laurent Turcot. « C'est véritablement un homme qui a renversé le destin en Amérique, mais qui est très peu connu, bizarrement. Alors c'est légitime qu'on lui redonne son nom, au complet », conclut l'historien. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1116901/pont-champlain-samuel-de-nom-prenom-ottawa-quebec-toponymie
  10. L’entrée Bonaventure déjà en chantier Des dalles de ce legs du 375e anniversaire de l’entrée de ville flambant neuve auraient été mal installées LAURENCE HOUDE-ROY Vendredi, 3 août 2018 01:00MISE à JOUR Vendredi, 3 août 2018 01:00 Moins d’un an après la fin des travaux, la nouvelle entrée de ville Bonaventure construite au coût de 142 M$ est déjà à refaire en partie, a appris Le Journal. Après avoir enduré trois ans de chantier dans ce secteur, les Montréalais pensaient que le calvaire était derrière eux. Erreur. Depuis mardi, les clôtures, le son des marteaux piqueurs et la poussière sont de retour à l’angle de la rue Wellington et du nouveau boulevard Robert-Bourassa. La place publique avec vue sur le centre-ville avait pourtant été inaugurée en grande pompe en septembre 2017 par l’ex-maire Denis Coderre, comme l’un des legs majeurs du 375e anniversaire de Montréal. Quatre jours de célébration avaient même été prévus à l’ombre de l’œuvre d’art Sources, une structure blanche de 10 mètres de hauteur qui trône à l’entrée de l’autoroute.Mais depuis le début de la semaine, moins d’un an après l’inauguration, des ouvriers s’affairent déjà à démolir certaines des dalles de béton flambant neuves coulées au pied de la statue afin de les reconstruire. Mal installées Au passage du Journal hier, quatre trous de deux mètres de longueur par quatre mètres de largeur étaient visibles sur le pavé de part et d’autre de la rue Wellington, ainsi que deux crevasses plus petites. Au pied de l’œuvre d’art à l’entrée de l’autoroute, hier, deux des quatre trous de deux mètres de longueur par quatre mètres de largeur étaient visibles sur le pavé, ainsi que deux crevasses plus petites. De l’autre côté de la rue (non visible sur la photo), deux autres trous du genre ont été creusés. Photo Martin Chevalier Photo Martin Chevalier Photo Martin Chevalier Photo Laurence Houde-Roy Photo Martin Chevalier Photo Martin Chevalier Photo Martin Chevalier Photo Martin Chevalier Selon nos informations, une dizaine de trous du genre qui ont été faits au cours des derniers jours. « On est habitué, a lancé en soupirant un travailleur du secteur, Benoit Sylvestre. C’est la Ville de Montréal. On a eu un chantier pendant [trois ans] quand ils ont défait l’autoroute. Et là on a encore un autre chantier », a-t-il ironisé. Certaines dalles auraient été mal coulées ou mal installées lors des travaux d’origine, selon les informations obtenues par Le Journal. Dans certains cas, la structure métallique dans laquelle elles ont été coulées était trop surélevée. Avec l’usure, le métal et la rouille sont apparus à la surface du pavé. Dans d’autres cas, le béton s’est affaissé et causait des accumulations d’eau. La Ville se contente de dire qu’elle a demandé à l’entrepreneur responsable Excavation Loiselle de faire « des travaux correctifs sur une déficience mineure » au niveau de l’armature métallique sur certaines portions du pavé. La décision a été prise après vérification du chantier « afin de s’assurer qu’il est aux normes de qualité de la Ville ». Selon la Ville, ces correctifs sont aux frais de l’entrepreneur. Ce dernier n’a pas voulu commenter hier. Certains travailleurs du secteur rencontrés par Le Journal hier regrettent d’être à nouveau collés à un chantier sur cette place publique. « Une fortune » « Ça a coûté une fortune faire ça. Je trouve ça regrettable. Je ne dis pas que les travaux ne sont pas nécessaires, mais si ça été fait auparavant, ça été fait inutilement. Tout est toujours à recommencer », a commenté l’un d’eux, Gilles Spattz. « Je suis un peu perplexe face à cette situation. Je ne comprends pas d’où provient la planification et pourquoi c’est à refaire si rapidement après l’inauguration. Est-ce que ça m’agace ? Oui, assurément, j’ai l’impression qu’il y a une planification qui n’est pas très bonne », a ajouté Sorin Iftimie. Les rénovations devraient s’échelonner jusqu’au 13 août. LA NOUVELLE ENTRÉE BONAVENTURE PHOTO D'ARCHIVES, MARTIN CHEVALIER Coût des travaux : 142 M$ Durée des travaux : 3 ans L’ancienne autoroute surélevée qui s’y trouvait depuis les cinquante dernières années a été démolie pour être changée en boulevard urbain. Deux œuvres d’art ont été installées. À l’extrémité sud, l’œuvre Sources, de l’artiste espagnol Jaume Plensa (photo), est la propriété d’André et de France-Chrétien Desmarais et prêtée à la Ville de Montréal pendant 25 ans. Au centre du boulevard on trouve l’œuvre Dentrites de l’artiste Michel de Broin. https://www.journaldemontreal.com/2018/08/03/lentree-bonaventure-deja-en-chantier
  11. OK, j'était juste full onaniste avec le boom que connaît Montréal... je promet de plus jamais poster en état second (peut-être).
  12. Mind the gap between the train and the platform! LONDRES: la joie de votre bienheureux TDAH (enfin une civilisation digne de ce nom):
  13. On va avoir besoin d'un nouveau https://skyscraperpage.com/diagrams/?cityID=22 pour le 800. PS: merci d'avance!
  14. et si je me souviens bien, le tout va être connecté au RESO par la nouvelle tour de broco et du 628!
  15. Gestion du marquage des rues: l’administration Plante admet que «c’est un peu la maison des fous» 41 AUTRES Gestion du marquage des rues: l’administration Plante admet que «c’est un peu la maison des fous» DAPHNÉE HACKER-B. DAPHNÉE HACKER-B. Mercredi, 25 juillet 2018 13:47 MISE à JOUR Mercredi, 25 juillet 2018 14:16 L’administration de la mairesse Valérie Plante l’admet: Montréal accuse d’un sérieux retard dans le marquage de rues et la gestion de ce dossier est problématique. Il suffit d'ailleurs de sillonner quelques rues pour se rendre compte que des bandes d’arrêt ou cyclables ont pratiquement disparu de la chaussée. Alors que plusieurs cyclistes exaspérés partagent sur les réseaux sociaux des photos de pistes presque effacées, la conseillère Marianne Giguère, responsable en matière de transports actifs, a déclaré que la complexité administrative entourant le marquage de rues lui faisait penser «à la maison des fous dans les douze travaux d’Astérix». Gestion du marquage des rues: l’administration Plante admet que «c’est un peu la maison des fous» DAPHNÉE HACKER-B. L'élue de Projet Montréal a tenu ces propos mercredi à l’émission de radio Gravel le matin que l’élue de Projet Montréal. Se disant consciente du retard dans le marquage de plusieurs rues, elle a expliqué que son administration avait à coeur ce dossier, mais qu’une fois arrivée au pouvoir, son équipe a pris du temps à comprendre qui, parmi les nombreux départements, assurait ce service. Gestion du marquage des rues: l’administration Plante admet que «c’est un peu la maison des fous» MATHIEU BLANCHETTE Il est vrai que cette situation parait complexe. L’équipe dédiée à la signalisation et au marquage des rues est basée dans l’arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie, mais pourvoit au service à la majorité des arrondissements centraux. Cependant, selon ce qu'avait affirmé Valérie Plante lors d’une séance du conseil d’arrondissement de Ville-Marie en juillet dernier, l'équipe en question appartient à la Ville centre. «C’est pas Rosemont qui décide», avait-elle insisté. Changer les choses «C’est vrai que la gestion est particulière, mais Marianne Giguère a peut-être un peu exagéré en parlant de la maison des fous», laisse tomber Youssef Amane, attaché de presse au Comité exécutif de la Ville de Montréal. En entrevue avec le Journaldemontréal.com, il insiste pour dire que l’administration est très consciente des importants retards sur le marquage, qui seraient liés au printemps très pluvieux qui a longuement retardé le début des opérations. «Je vous assure que le mot d’ordre à nos équipes est de travailler le plus vite possible», indique M. Amane. Gestion du marquage des rues: l’administration Plante admet que «c’est un peu la maison des fous» KARIM NESTA Pour s’assurer de changer les choses pour les années à venir, la mairesse a récemment mandaté le service d’optimisation des opérations, qui se chargera de revoir la question de la gouvernance, de la taille de l’équipe dédiée au service, mais aussi d’étudier les types de peinture et de nouvelles technologies qui pourraient assurer une plus longue durabilité aux marquages. Gestion du marquage des rues: l’administration Plante admet que «c’est un peu la maison des fous» MATHIEU BLANCHETTE Certains marquages colorés pourraient se faire en thermoplastique, une substance plus coûteuse mais qui résiste mieux aux intempéries, avait laissé savoir Valérie Plante lors du conseil d’arrondissement du 4 juillet. «La question de la durabilité de la peinture au sol est délicate, expliquait-elle aux citoyens présents, car ce qui dure longtemps n’est pas nécessairement bon pour l’environnement». Elle avait conclu en disant que son administration souhaite avant tout prioriser les pistes cyclables protégées par des terre-pleins, ou encore celles munies de bollards, car elles sont plus sécuritaires et qu’elles règlent la question du marquage. Gestion du marquage des rues: l’administration Plante admet que «c’est un peu la maison des fous» KARIM NESTA QUELQUES CHIFFRES L’arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie assure le service de marquage de 11 arrondissements L’équipe du marquage de rue assure avoir complété 290 km du marquage des pistes cyclables sur un total de 305 Le marquage des symboles prioritaires serait complété à 98% (passages piétonniers, lignes d’arrêt et blocs écoliers) https://www.journaldemontreal.com/2018/07/25/marquages-des-rue
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