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Nameless_1

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Tout ce qui a été posté par Nameless_1

  1. 2018-09-07: il va être très visible à partir de Viger/Robert-Bourassa:
  2. An obelisk in Montreal looks really good to me!
  3. Je suis passé par là hier: le pont St-Jacques est toujours fermé.
  4. Une excellent entrevue avec Marc-André Carignan: http://journalmetro.com/actualites/national/1753398/repenser-les-ecoles-de-demain-pour-sortir-de-la-crise/ Repenser les écoles de demain pour sortir de la crise Par Simon MauvieuxMétro Josie Desmarais/MétroMarc-André Carignan devant l'école Baril à Hochelaga-Maisonneuve Des écoles à l’abandon où se répandent plus de moisissures que de savoirs, des classes qui débordent et des aménagements vieux de 40 ans: l’école québécoise est en crise. Ce sont ces observations qui ont poussé le chroniqueur en aménagement urbain Marc-André Carignan à se lancer dans l’écriture de son livre, Les écoles qu’il nous faut, qui propose, au-delà d’un constat d’échec, des solutions pour surmonter la crise que traversent les écoles du Québec. Pourquoi vous êtes-vous engagé à repenser nos établissements? Mes premières motivations pour écrire ce livre, ce sont mes filles, nées durant le processus d’écriture. Quand je voyais les écoles du Québec, je me disais qu’il n’était pas question que mes enfants aillent dans des écoles comme ça. Je veux qu’elles soient stimulées, qu’elles aiment l’école et qu’elles aient le goût d’y retourner. Il faut que l’école devienne le centre d’un quartier et d’une communauté plutôt qu’une déception comme c’est le cas dans tellement d’établissements au Québec. On a honte de nos écoles actuellement. Je vois la classe que j’ai connue il y a 25 ans et que mes parents ont aussi connue il y a 45 ans, et je constate qu’aujourd’hui, la seule différence, c’est le tableau interactif. Ce n’est pas ça qui en fait une école moderne. J’ai eu besoin d’écrire là-dessus. Quels sont les défis pour les écoles du Québec dans les prochaines années? Le gouvernement a annoncé des centaines de millions de dollars d’investissement cette année. On va repeindre les murs, refaire les toilettes, faire une belle toiture… On a donc une école neuve, de l’extérieur, qui est basée sur un modèle pédagogique de 1940. Ça n’a aucun sens! On ne modernise pas nos écoles de cette façon-là. Il faut être conscient que ça ne se fera pas du jour au lendemain. Ça peut prendre deux ou trois décennies, changer l’ensemble des écoles. Mais il faut commencer quelque part et investir les sommes nécessaires. Ça va prendre de la volonté, du leadership et de l’argent pour que toutes les écoles se modernisent. Pour illustrer la crise qui touche l’école au Québec, on parle souvent des écoles préfabriquées, des roulottes qu’on installe lorsqu’une école est pleine ou en chantier. Qu’est ce que ça représente pour vous? Les classes modulaires… (Silence) C’est le symbole de notre négligence en matière de planification scolaire. Ce n’est pas normal, on a des recensements, on sait combien d’enfants sont dans les garderies. Une ville qui développe un projet immobilier sait quel type de projet elle développe. On est censé savoir ce qui arrive et planifier les écoles en conséquence. J’ai entendu des témoignages qui disent qu’on a un problème de communication incroyable entre les villes et les commissions scolaires. La planification d’école devient très difficile. On m’a dit que tant qu’une école n’est pas pleine à 100 %, qu’elle n’est pas surpeuplée, le ministère va être réticent à faire l’agrandissement. C’est quand c’est trop tard qu’on accorde de l’argent pour agrandir. Pourquoi l’aménagement des écoles est-il si important pour les élèves? Dans l’équation de la réussite éducative, il doit y avoir l’équation de l’environnement physique. Avant d’ouvrir un livre, l’enfant doit mettre le pied dans l’école. Si un employé travaille dans un bureau sans fenêtres, c‘est prouvé qu’il va avoir un taux d’absentéisme plus élevé, que sa productivité va être moins élevée, parce qu’il n’est pas dans un environnement stimulant. Psychologiquement, ça l’affecte. C’est les mêmes principes pour des enfants à l’école. Dans votre livre, vous montrez l’exemple de l’école primaire Médéric-Gravel à Saguenay. Elle représente parfaitement le modèle d’école du XXIe siècle que vous défendez. Comment cette école a-t-elle fait pour développer tous ces projets, alors que la majorité des écoles peinent à évoluer? Cette école est extraordinaire. Il n’y a aucune classe avec des pupitres ordinaires: ce sont des îlots pour subdiviser les groupes et pour permettre d’effectuer différents types de travaux dans la même classe et d’encourager la socialisation. Quand la présidente de la commission scolaire est arrivée, elle a fait le tour de ses écoles au complet et elle a dit: «Ça n’a aucun bon sens, il y a des pupitres qui ont fait la guerre et des néons au plafond avec du tape pour les tenir.» Elle a mis en place une équipe de réflexion, des pédagogues, des professeurs. Ils ont fait des recherches et ont évalué les meilleures pratiques. Ça a coûté plus cher, oui, mais il faut voir ça sur le long terme et tenir compte des bénéfices pédagogiques pour les enfants. Les exemples d’écoles modernes et innovantes proposent toujours un environnement flexible, qui s’adapte aux élèves et aux situations. Est-ce que c’est ça, l’idée centrale pour repenser nos écoles? Le mot qui résume le livre, c’est «flexibilité». L’idée, c’est de penser l’école pour voir comment elle peut être le plus flexible possible. Quand tu construis une école, le bâtiment sera là pour 75 ans. En 75 ans, tu vas vivre des révolutions technologiques, des baby-booms, différentes réalités socioéconomiques qui vont faire que ton école va être appelée à changer de rôle social ou pédagogique.
  5. Ah bon, d'accord je me demandais si ça faisait parti de la finition...
  6. Les touches de jaunes n'étaient pas prévues... C'est beau et ca va etre pret pour les fêtes.
  7. désolé je croyais qu'il s'agissait d'un post de promoteur.
  8. Montréal : le débat sur les calèches ne date pas d’hier FRANCIS PILON Mercredi, 22 août 2018 16:32MISE à JOUR Mercredi, 22 août 2018 16:32 Au moment où Montréal interdit aux calèches de circuler sur son territoire à partir de 2020, par l’intermédiaire d’un règlement adopté, mardi, une chercheuse constate que l’histoire se répète dans la métropole depuis plus d’un siècle. «Ces débats actuels entourant la présence des calèches ou simplement des chevaux dans la métropole, c'est le miroir d'un conflit qui persiste depuis une centaine d'années», explique Catherine Paulin, qui a écrit récemment un mémoire de maîtrise en histoire à ce sujet. Difficile d’imaginer des vaches, des porcs, des moutons et des chevaux dans les rues de la ville à l’heure actuelle. Pourtant, il y a plus de 100 ans, ces animaux faisaient partie du paysage urbain. «On peut dire que les débats sur la place des animaux et des chevaux dans la ville s’intensifient avec l’industrialisation grandissante vers 1860», explique-t-elle. Autrefois indispensables Les travaux de Mme Paulin, qui lui ont valu un prix d’histoire du gouvernement du Canada, s’attardent plus précisément aux relations d’interdépendance entre les Montréalais et les chevaux. «En 1900, on aurait difficilement cru que Montréal n’aurait presque plus de chevaux dans ses rues un jour, indique la chercheuse. C’est eux qui transportaient la marchandise, les humains et qui façonnaient en partie l’urbanisation de la métropole. Ils étaient “la machine” faisant fonctionner la ville à cette époque.» «En même temps, déjà au début du 19e siècle, le cocher et son cheval étaient très critiqués aussi, poursuit-elle. On le réglementait et on tolérait qu’il circule, mais pas qu’il s’arrête par exemple dans des endroits plus bourgeois comme le parc du mont Royal.» Au fil de sa recherche, l’étudiante a découvert dans les archives de Montréal de l’époque plusieurs plaintes de citoyens envoyées aux autorités policières par rapport à l’odeur des cochers, du dérangement causé par les chevaux et les risques de maladie que ces animaux pouvaient transmettre. Nuisance publique Catherine Paulin souligne aussi que la Ville de Montréal commence à être de plus en plus stricte et contraignante envers les chevaux et les animaux en général à la fin du 19e siècle. À ce moment, plusieurs règlements et rapports annuels de la métropole laissent sous-entendre que les bêtes sont devenues une nuisance publique. «Il commençait à avoir une dichotomie entre la ville et la campagne, raconte Mme Paulin. C’est au moment de l’industrialisation, les animaux sont considérés différemment et avec toutes les contraintes réglementaires, ils quittent les milieux urbains pour s’installer hors de la ville.» https://www.journaldemontreal.com/2018/08/22/montreal--le-debat-sur-les-caleches-ne-date-pas-dhier
  9. Valérie Plante nomme six inspecteurs pour surveiller la circulation du centre-ville de Montréal MATTHIEU PAYEN Mercredi, 22 août 2018 16:39MISE à JOUR Mercredi, 22 août 2018 16:39 À quelques jours d’une rentrée qui s’annonce très chargée sur les routes de la métropole, la mairesse Valérie Plante nomme six inspecteurs qui auront la lourde tâche de surveiller en continu la circulation du centre-ville de Montréal afin de limiter les entraves qui pourraient aggraver les problèmes de congestion. Cette escouade mobilité était l’une des promesses phares de Mme Plante lors de la dernière élection. «Je suis très heureuse aujourd’hui de remplir l’un de nos engagements forts auprès des Montréalais», a lancé d’emblée la mairesse. L’escouade, mise en place grâce à un budget de 619000$ provenant de l’arrondissement de Ville-Marie, sillonnera les principaux axes de circulation des arrondissements de Ville-Marie, du Plateau et du Sud-Ouest. Ses opérations débuteront à 5h du matin et finiront à 23h, du lundi au vendredi, afin de détecter avant l'heure de pointe les chantiers qui entravent la chaussée sans permis, ceux qui ne respectent pas les limites de leurs permis ou plus simplement les véhicules stationnés illégalement et créant un risque de congestion. Les inspecteurs auront le pouvoir de demander à faire déplacer les véhicules, de faire cesser les chantiers et de donner des contraventions. Ils pourront également faire appel à la police pour les cas plus complexes. La mairesse Plante se dit confiante que les six inspecteurs dédiés à la tâche seront en nombre suffisants pour couvrir l’ensemble du territoire prévu. «Nous avons lancé un projet-pilote le 1er juin et au 15 août dernier 1438 interventions ont déjà été réalisées», s’enthousiasme-t-elle. Mme Plante reconnaît toutefois que l’escouade n’est pas une solution miracle face à l’accroissement du parc automobile et du nombre de chantiers sur l’île de Montréal. Elle rappelle que d’autres projets sont en cours pour faciliter les déplacements à Montréal, comme la commande de 300 autobus ou les demandes de prolongement de la ligne bleue, la construction du REM et l’ajout de la ligne rose. Par ailleurs, elle n’exclut de faire grossir l’escouade en fonction des besoins. Un premier bilan sera d’ailleurs présenté le 30 septembre pour voir comment bonifier cette initiative. https://www.journaldemontreal.com/2018/08/22/valerie-plante-nomme-six-inspecteurs-pour-surveiller-la-circulation-du-centre-ville-de-montreal
  10. OK, sérieusement: Place Bonaventure : fermeture forcée d’un chantier qui inquiète FRANCIS PILON Lundi, 20 août 2018 20:07MISE à JOUR Lundi, 20 août 2018 20:10 La technique utilisée pour démolir une partie de la Place Bonaventure rend perplexes les professionnels du milieu de la construction, au point d’avoir demandé l’arrêt des travaux, vendredi dernier. La photo insolite d’une grue, qui soulève une mini-pelle à plusieurs mètres du sol pour détruire une partie de la façade d’un immeuble, a fait beaucoup de bruit sur les réseaux sociaux ce week-end. La Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) a été informée vendredi dernier de la situation par rapport au chantier de la Place Bonaventure situé sur la rue de la Gauchetière. «Nos inspecteurs se sont déplacés sur les lieux pour rencontrer l’employeur. On a demandé l’arrêt des travaux. Et, on a demandé à l’entreprise de nous soumettre la procédure de travail signé par un ingénieur», explique Julie Robitaille, porte-parole de la CNESST. «Une fois que la procédure sera remise à nous, on l’analyse. Si on juge qu’elle est sécuritaire et adéquate, les travaux pourront être repris, poursuit-elle. Présentement, on analyse encore ces documents-là. Notre décision viendra donc plus tard.» Situation atypique L'Association des professionnels de la construction et de l'habitation (APCHQ) a mentionné au «24 Heures» qu’elle décèle «plusieurs voyants rouges» en regardant la photo prise du chantier. «Pour nous, la santé et sécurité au travail, c’est non négociable. Les entrepreneurs doivent respecter les règles en la matière. On s’attend à ce qu’il y ait un suivi approprié par les instances concernées par rapport à cette photo-là» Le type d’installation que l’on voit sur le cliché n’est pas quelque chose de commun et qui est courant dans le domaine de la construction, soutient M. Vincent. Selon le promoteur du chantier, Michel Tremblay de la compagnie M.E. Tremblay Démolition, il n’y a aucun problème de sécurité relié à ses techniques de travail. https://www.journaldemontreal.com/2018/08/20/place-bonaventure--fermeture-forcee-dun-chantier-qui-inquiete
  11. Wow, méchant zoom (et c'est très focus pour la distance de ton balcon), c'est quoi ton setup (+EXIF) pour celle là ?
  12. Mon fumoir cuit des poulets de rêve ? !
  13. Concrètement, comme citoyen de Montréal (je suis deja bi-énergie), j'investis mes économies cette année sur un doublement de la climatisation et je vais convertir mon foyer de bois au gaz (qui sera indépendant de l'électricherie ). Et je vais changer mon pseudo pour ...
  14. Juste pour dire que si j'ai tant aimé à Londres, c'est que le neuf, que ce soit du 7 ou 30 étages: tout est beaux. Et le beau côtoie le splendide (Victorien). Ce qu'il manque à Montréal, ce sont des règlements urbanistiques qui encouragerait les proprios à faire de l'intéressant, peut importe la stature du projet. Regardes ici le jeux des textures ; et ce bâtiment est harmonieusement encadré par deux victoriennes. Ce qu'il nous manque, c'est une culture du beau. PS: ma troisième photo du post précédant illustre en arrière plan un immeuble qui ressemble drôlement aux évocations du Victoria sur le Parc.
  15. Londres, juillet 2018: loin d'être inintéressante, elle est une ville de nombreux contrastes (photos de bibi ). PS: ma troisième photo de ce post illustre en arrière plan un immeuble qui ressemble drôlement aux évocations du Victoria sur le Parc. I Robot: contrastes architecturaux à Londres:
  16. Légalisation du cannabis: il est euphorique
  17. Ajoutes à ça que les proprios des penthouses vont avoir une meilleur vue (vieux MTL, vieux port, pont JC).
  18. Déménagement à Longueuil: Molson conserve ses bureaux à Montréal TVA NOUVELLES Mercredi, 15 août 2018 11:35MISE à JOUR Mercredi, 15 août 2018 11:35 Malgré le déménagement de son usine à Longueuil, Molson va conserver ses bureaux à Montréal, a annoncé la mairesse de Montréal, Valérie Plante, mercredi. Le siège social du brasseur va demeurer dans ses anciens locaux. «C'est une excellente nouvelle, a lancé la mairesse de la métropole. Ça montre notre capacité à garder des grands joueurs, comme Molson, sur l'île de Montréal», a ajouté Valérie Plante. Dans un communiqué, l’entreprise Molson Coors s’est dite «heureuse» d’annoncer sa décision de conserver ses bureaux à Montréal. «Cette décision a été prise par l’équipe de direction après plusieurs mois de discussions et de travail dans le but de maintenir un lien avec le site où nous avons débuté nos opérations en 1786», a déclaré Frederic Landtmeters, chef de la direction de Molson Coors Canada. «Nos racines sont profondes à Montréal et nous sommes fiers d’avoir respecté notre engagement de préserver une présence de Molson dans la métropole », a-t-il ajouté. https://www.journaldemontreal.com/2018/08/15/demenagement-a-longueuil-molson-conserve-ses-bureaux-a-montreal
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