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Nameless_1

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Tout ce qui a été posté par Nameless_1

  1. En fait je verrais bien plus un REM de l'est sous Notre Dame qui passe sous le centre ville à l'emplacement prévu pour la ligne rose avec l'option d'une branche diagonale suivant le tracé de la ligne rose.
  2. Pour toi: ? Sorry, you cannot add any more reactions today.
  3. Pareillement: j'ai déménagé au centre ville lundi. Il y a huit ans, de Snowdon vers SquareVictoria il y avait toujours des places assises. Cette semaine, même à 7h30, c'est debout!
  4. Difficile de recruter au bureau de projet de la ligne bleue CAMILLE DAUPHINAIS-PELLETIER Jeudi, 22 novembre 2018 00:30MISE à JOUR Jeudi, 22 novembre 2018 00:30 MONTRÉAL – La Société de transport de Montréal (STM) semble avoir de la difficulté à embaucher du personnel pour son Bureau de projet de la ligne bleue, alors qu’aucune entreprise ne s’est montrée intéressée par son appel d’offres pour du recrutement. L’équivalent de 15 personnes à temps plein travaillent actuellement dans le bureau de projet, situé à la Place Bonaventure. Lors d’un échange de courriels au début du mois de novembre, la STM affirmait qu’elle espérait qu’une centaine de personnes y soient employées d’ici la fin de l’année. Pour atteindre son objectif, il resterait donc un mois à la société de transport pour recruter 85 employés. L’appel d’offres publié au mois d’août s’adressait à des firmes d’experts-conseils. La STM était notamment à la recherche de services professionnels en ingénierie, en gestion de projet, en soutien administratif et en arpentage. Aucune entreprise n’avait posé sa candidature à la date limite du 12 octobre. Défi important, mais réalisable Dénicher 85 employés en un mois est un défi de taille, mais réalisable, estime Denis Morin, professeur en gestion des ressources humaines à l’UQAM et spécialiste en recrutement. Selon lui, la STM pourrait passer par les médias sociaux, les recommandations de ses propres employés et par des associations professionnelles pour récolter le maximum de candidatures possible en peu de temps. «Mais le vrai défi, c’est de réussir à trouver la bonne personne pour le bon poste. L’objectif peut-il être atteint en un mois? C’est faisable, mais c’est beaucoup de travail», a-t-il dit, précisant qu’une certaine partie des tests de présélection peuvent être faits en ligne pour accélérer le processus. André Leblanc, vice-président au marketing chez Jobboom, pense la même chose. «À notre connaissance, il n’est pas déraisonnable de croire que la STM pourrait embaucher pour combler ses besoins dans un court délai. Grâce à sa notoriété comme employeur ainsi que la qualité des emplois qu’elle cherche à combler, les candidats devraient être au rendez-vous», a-t-il affirmé. Les dépenses enclenchées Le projet de prolongement de la ligne bleue vise à ajouter cinq stations à l’est de la station Saint-Michel, permettant aux passagers de se rendre jusqu’aux Galeries d’Anjou. Le Programme d’immobilisations (PI) 2019-2028 de la STM indique que la somme de 364,9 M$ est prévue pour la première phase de réalisation du projet, soit l’installation du Bureau de projet, la complétion du dossier d’affaires et, surtout, l’acquisition de terrains et d’immeubles. La majorité de cet argent (320 millions $) sera dépensé en 2021, alors que les expropriations entreront en vigueur. Les avis ont presque tous déjà été envoyés par le ministère des Transports du Québec aux personnes concernées, a affirmé la STM. Pour la construction des cinq stations et des infrastructures nécessaires au fonctionnement de celles-ci, 3,5 milliards $ sont prévus au PI, entre 2021 et 2026. https://www.journaldemontreal.com/2018/11/22/difficile-de-recruter-au-bureau-de-projet-de-la-ligne-bleue
  5. Expulsion de Marvin Rotrand du CA de la STM: «rien de personnel», assure Valérie Plante Par Henri Ouellette-VézinaMétro La mairesse de Montréal, Valérie Plante, a assuré lundi «qu’il n’y a rien de personnel» derrière l’expulsion du conseiller municipal de Snowdon, Marvin Rotrand, du conseil d’administration de la Société de transport de Montréal (STM). Le conseil municipal doit entériner lundi d’importants changements à la direction de la société de transport, qui auront pour effet de pousser les élus Marvin Rotrand et Valérie Patreau vers la porte de sortie. Ces derniers seront remplacés par l’ancien maire de Westmount, Peter Trent, de même que par la spécialiste en mobilité de Polytechnique Montréal et titulaire de la Chaire de recherche en mobilité, Catherine Morency. Doyen du conseil municipal et siégeant sur le conseil d’administration de la société de transport depuis 17 ans, Marvin Rotrand n’a pas caché sa déception, lundi, en entrevue avec Métro. D’autant plus qu’il n’était pas à Montréal au moment des faits, mais plutôt à Toronto, où il assistait au congrès de l’Association canadienne du transport urbain pour représenter la STM. «C’est très ironique, très paradoxal», a-t-il reconnu au bout du fil. De manière générale, il s’est dit «surpris» par un geste qu’il qualifie de «menace à l’indépendance de la STM». Il y un an, lors de son élection, le conseiller de Snowdon dit avoir cru avec conviction que la mairesse Valérie Plante voulait vraiment faire de la politique autrement. «Ce n’est pas du tout le cas en ce moment, a-t-il condamné. C’est du old style politics qui démontre que le bureau de la mairesse n’a pas agrandi sa vision.» «Certaines personnes me disent que j’aurais des ennemis chez Projet Montréal. C’est probable. Chose certaine, j’aurais cédé ma place volontairement si on me l’avait demandé», a-t-il renchéri. Celui qui a été élu sous les couleurs de Coalition Montréal – il ne représente ni l’opposition ni l’administration Plante – s’est dit «déçu» par la nouvelle, qu’on lui aurait apprise subitement la semaine dernière, sans préavis. Il s’en est pris à un processus soudain qui n’est pas justifiable, selon lui. La mairesse se défend «Mon intention est de professionnaliser le conseil de la STM, de lui amener de l’expertise, a répliqué la mairesse Valérie Plante, en mêlée de presse. Et pour montrer à quel point ce n’est pas politique ni partisan, il y a même une élue de Projet Montréal qui n’y siégera plus.» Conseillère d’arrondissement de Projet Montréal dans Outremont, Valérie Patreau avait été nommée au conseil d’administration de la STM l’an dernier avant d’être éjectée lundi. «Il ne faut pas s’arrêter à la personne, mais à l’intention derrière, a plaidé la mairesse. Moi, je ne le fais pas à propos de Marvin Rotrand, mais en fonction de ce que je veux offrir aux Montréalais, en termes de services et qualité du conseil de la STM», a-t-elle argué. Changeant de sujet, la mairesse a ensuite vanté les qualités de Peter Trent, «un ancien maire d’une ville liée qui a une connaissance de la gouvernance publique et une compréhension des enjeux de transport collectif pour Montréal et pour l’agglomération». «La STM doit jouer en équipe avec l’Autorité des transports métropolitains (ARTM), et elle le comprend très bien», a-t-elle également laissé entendre. Aucun autre changement majeur n’est à noter à la STM. Le président du conseil d’administration de la STM, Philippe Schnobb, demeure en poste, tout comme le vice-président, Craig Sauvé, qui est aussi élu de Projet Montréal et conseiller associé aux services aux citoyens et la mobilité. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1933412/expulsion-de-marvin-rotrand-du-ca-de-la-stm-rien-de-personnel-assure-la-mairesse-plante/
  6. Dommage que cet endroit n'est pas pu demeurer le site du 'Cirque de Montréal'! (+1 pour l'aileron sur une Honda )
  7. Au contraire, c'est tellement sombre au niveau de la rue sur cet photo, que lever les yeux vers le ciel et avoir un peu de pow wow: c'est génial!
  8. C'est dit et fini: personne ne dépasse la croix de l'Oratoire St-Joseph à Montréal! (D'ou la limite selon moi).
  9. Buses towed away daily because they run out of gas, says union boss 'It used to be very rare that a bus would ever run out of gas. Now, it happens every day. We have three tow trucks, but it's not enough.' JASON MAGDER, MONTREAL GAZETTE Updated: November 13, 2018 Within the last year, hundreds of buses have been towed off Montreal streets because they ran out of gas after a change in STM maintenance staffing and workflow. ALLEN MCINNIS / MONTREAL GAZETTE SHAREADJUSTCOMMENTPRINT Within the last year, hundreds of buses have been towed off city streets, not because they broke down, but because they ran out of gas, the boss of the Société de transport de Montréal’s maintenance workers union told the Montreal Gazette Tuesday. Gleason Frenette said as a way to save money, the STM eliminated some jobs in its maintenance garage, which forced them to institute a new system of gassing up the buses. Instead of fuelling them at the end of each day, the STM’s new directive only calls for buses to be gassed up on an as-needed basis. “It used to be very rare that a bus would ever run out of gas,” Frenette said. “Now, it happens every day. We have three tow trucks, but it’s not enough. We have had to hire private contractors (to tow away all the buses that run out of gas).” Frenette said he has now twice flagged the problem in private meetings with Luc Tremblay, the STM’s director general, but the situation has not changed. Making matters worse, Frenette said it’s difficult for bus drivers to know if they have enough gas when they leave for the day, because the buses in the STM’s fleet don’t have gauges that indicate how much fuel is in the tank. “We pay enough for the buses, you would think they have fuel gauges,” Frenette said. Frenette was reacting to a Montreal Gazette report Tuesday that highlighted a crisis in the STM’s bus fleet, plagued by frequent breakdowns, and a backlog of maintenance. The report showed that despite investing to boost the STM’s fleet of buses by more than 100 in the last five years, there are actually fewer buses available to pick up passengers during the morning and evening rush hours than there were in 2012. Renée Amilcar, the STM’s executive director of buses, admitted the agency eliminated one staff position for refuelling buses, which has saved the agency $1 million annually. However, she denies that buses are routinely running out of gas. She said operators keep track of the kilometres driven by the buses between fuelling, so they know how often they need to be gassed up. What’s more, about 15 per cent of the fleet are the newer hybrid buses, which have yellow indicators that light up when the fuel level is down to 10 per cent. “When that happens, the driver will call and the bus will be switched at the end of the line,” Amilcar said. “We try to fuel up before that happens, like when you’re driving your car, you generally try to fill up before the light turns on, but it does sometimes happen that the light will go on.” As for the high rate of buses parked waiting for maintenance, Frenette said the situation has gotten worse since 2017, when the STM’s figures revealed one in five buses was parked. This past summer, there were 606 buses parked in garages for maintenance or repairs which is one third of the STM’s fleet of 1,800. He said the buses the STM gets from its supplier, Nova Bus, are plagued with problems. “We have a lot of problems with the motors,” Frenette said. “They arrive from the factories with problems. We have to repair them even before they take on any passengers.” Frenette blamed hybrid engine technology, saying hybrid diesel-electric technology was designed for the trucking industry and vehicles that go long distances on highways. It is not ideal for buses that stop and start frequently. Amilcar agreed that hybrid technology is a problem. However, she did not believe the hybrid buses broke down more frequently than diesel buses. Tremblay has said part of the reason for the high number of parked buses is a backlog caused when maintenance workers refused to work overtime. However, Frenette said the union only refused overtime for six days last May, not for a year as Tremblay has claimed. Frenette and Amilcar agree on one thing: that the STM has to invest a lot more in preventive maintenance. That has been a sticking point in negotiations between the corporation and the union, now in mediation. Amilcar said the STM wants more maintenance workers to conduct preventive maintenance on buses on nights and weekends, but it doesn’t want to pay them overtime to do so. Frenette has also said maintenance workers want to have fewer hours of overtime so they can spend more time with their families. https://montrealgazette.com/news/local-news/buses-towed-away-daily-because-they-run-out-of-gas-says-union-boss
  10. Un nom d’équipe embarrassant [Accueil] [Société] [Éducation] Photo: Liam Richards La Presse canadienne L’exécutif de l’association étudiante estimait qu’en conservant le nom, on perpétuerait un «comportement oppressif et raciste» à l’égard des Autochtones. La Presse canadienne 14 novembre 2018 Éducation L’Université McGill subit de plus en plus de pressions sur le campus pour que ses équipes sportives abandonnent le surnom « Redmen », que certains jugent péjoratif pour les Autochtones. Dans un référendum tenu par l’association étudiante, 79 % des participants ont voté pour le changement de nom. 28 % des étudiants admissibles (5856) ont voté lors de ce référendum non contraignant. En annonçant les résultats du vote lundi soir, l’exécutif de l’association promettait de continuer à faire pression sur l’université jusqu’à ce qu’elle « reconnaisse les torts » causés aux Autochtones par le nom « Redmen », et qu’elle corrige rapidement le tir. Le référendum faisait suite à une campagne menée par des Autochtones qui étudient ou travaillent à l’Université McGill et qui souhaitent que ce nom, qu’ils jugent péjoratif, disparaisse du vocabulaire entourant les équipes sportives. Hommage ou insulte ? Le nom « Redmen », qui s’écrivait à l’origine « Red Men », remonte aux années 1920. L’Université soutient que ce nom fait référence aux uniformes rouges de l’équipe — et constitue peut-être aussi un rappel des origines celtiques du fondateur de l’université, James McGill. « Dans l’Antiquité, les Celtes étaient connus sous le nom “hommes rouges” à cause de leurs cheveux roux », expliquait jadis l’historien officiel de McGill, Frank Frost, cité sur le site Internet des équipes sportives de McGill. « Nos sportifs se sont sans aucun doute appelés “hommes rouges” pour rendre hommage aux origines écossaises de James McGill. » Par contre, cet hommage aux hommes roux a pris un sens différent dans les années 1950 : les athlètes de McGill, par glissement de sens, ont commencé à être surnommés les « Indiens » ou les « Squaws ». Dans les années 1980, plusieurs équipes de McGill ont même utilisé un logo stylisé arborant un Autochtone portant une coiffe à plumes. Tomas Jirousek, commissaire aux affaires autochtones à l’association étudiante — et membre de l’équipe d’aviron de McGill —, a expliqué avant le référendum pourquoi le nom « Redmen » était blessant pour les Autochtones comme lui. « Les étudiants et athlètes autochtones se sentent isolés au sein des équipes de McGill, et les étudiants autochtones se sentent isolés au sein de McGill en général. » L’exécutif de l’association étudiante estimait qu’en conservant le nom, on perpétuerait un « comportement oppressif et raciste » à l’égard des Autochtones. Pas de réaction officielle Il a été impossible d’obtenir mardi une réaction de la direction de McGill. Dans un message adressé à la communauté universitaire le 24 octobre, le vice-principal Christopher Manfredi reconnaissait les sentiments de ceux qui considèrent le nom comme péjoratif, mais aussi l’avis de ceux qui sont fiers des réalisations passées des « Redmen ». « Dans ce cas particulier, toute décision doit découler d’un processus qui engage toutes les parties prenantes dans un dialogue », indiquait-il prudemment. M. Manfredi ajoutait qu’un groupe de travail aborderait la question du nom des « Redmen » dans son rapport final, qui doit être déposé le mois prochain. L’Université s’appuiera sur ce rapport pour guider sa décision, a-t-il promis. https://www.ledevoir.com/societe/education/541257/les-etudiants-de-mcgill-rejettent-le-nom-de-redmen-par-referendum
  11. Le grand pool du pont Champlain Play Video Lundi, 12 novembre 2018 00:30MISE à JOUR Lundi, 12 novembre 2018 00:30 Surprise, surprise... L’ouverture du nouveau pont Champlain, promise pour le mois de décembre, a été officiellement reportée à une date indéterminée, quelque part en juin 2019, affirme le gouvernement fédéral. Au lieu d’être juste déçus et cyniques, on a décidé d’être proactifs... Et on lance le grand pool du pont Champlain! Les règles sont simples: vous devez deviner l'heure et la date auxquelles le nouveau pont sera finalement ouvert à la circulation. En plus de courir la chance de marquer l’histoire, vous pourriez gagner une carte-cadeau d'essence d'une valeur de 100 $... Ça, ça vaut le détour! Bonne chance à tous et à toutes! Formulaire de participation: https://www.journaldemontreal.com/2018/11/12/le-grand-pool-du-pont-champlain
  12. 153 nouvelles voitures de métro: 26% plus cher pour Montréal que pour Paris SYLVAIN LAROCQUE Lundi, 12 novembre 2018 22:30MISE à JOUR Lundi, 12 novembre 2018 22:30 Les 153 voitures Azur que la Société de transport de Montréal (STM) vient de commander au consortium Bombardier-Alstom coûteront 26 % plus cher à l’unité que celles, fort semblables, récemment achetées pour le métro de Paris. La valeur du contrat sera de 447,7 M$, soit 2,93 M$ par voiture. Or, en février, Alstom a reçu une commande de 157 M d’euros (233 M$) pour 100 voitures destinées au métro de Paris, soit 2,33 M$ par voiture. L’écart est de 600 000 $ par voiture. « Chaque réseau de transport a ses particularités et chaque commande de matériel roulant également », indique Philippe Déry de la STM. Les voitures de Montréal sont plus longues et doivent respecter des normes d’incendies plus strictes, précise Éric Prud’homme de Bombardier Transport. De plus, les acheteurs européens profitent généralement des économies d’échelle découlant du fait que l’industrie ferroviaire est plus importante sur le Vieux Continent. En tenant compte de l’inflation, le prix unitaire de 2,93 M$ est tout de même inférieur à celui de la première commande de voitures Azur, en 2010, du fait que des dépenses comme la R&D et la formation des travailleurs n’auront pas à être faites de nouveau. En incluant les pièces de rechange, l’équipement et les services professionnels, la facture atteint 580 M$. Québec déboursera 300 M$, Ottawa, 215 M$ et la STM, 65 M$. Mises à pied Le contrat est une bonne nouvelle pour les travailleurs de l’usine de Bombardier à La Pocatière, où seront assemblées les voitures Azur, et pour ceux d’Alstom à Sorel-Tracy. Une centaine de travailleurs de La Pocatière seront toutefois mis à pied d’ici la fin février en raison d’une pause dans la production et d’une baisse de la cadence. Les voitures du nouveau contrat doivent être livrées de mai 2020 à la fin de 2021. Le contrat représente des revenus de 281 M$ pour Bombardier et de 167 M$ pour Alstom. Cette dernière fournit les moteurs et les bogies (châssis portant les essieux). https://www.journaldemontreal.com/2018/11/12/bien-plus-cher-pour-montreal-que-pour-paris
  13. Budget 2019 de la STM: des métros aux 5 minutes dès le printemps CAMILLE DAUPHINAIS-PELLETIER Jeudi, 8 novembre 2018 12:23MISE à JOUR Jeudi, 8 novembre 2018 18:49 Les métros passeront aux cinq minutes maximum toute la journée, du lundi au vendredi, sur les lignes orange et verte dès le mois de mars, a annoncé jeudi la Société de transport de Montréal (STM) lors du dépôt de son budget 2019. Les nouvelles mesures feront augmenter de 2,2 % l’offre de service du métro. Du côté des autobus, on annonce une hausse de 1,6 % avec 83 000 heures de service supplémentaires, et pour le transport adapté, on parle d’un ajout de 244 000 déplacements, soit une hausse de 5,9 %. L’organisme a présenté son budget, qui s’élève à près de 1,5 milliard $, en même temps que celui de la mairesse Valérie Plante. 70 millions $ de plus qu’en 2018 Le budget 2019 présente une hausse des dépenses de 5 % (69,9 millions $) par rapport à 2018. L’indexation des salaires des employés à elle seule représente 24,6 millions $; l’augmentation des dépenses liées aux immobilisations est un deuxième poste important avec 21,9 millions $ et l’augmentation des services de bus et de métro n’est chiffrée qu’à 12,8 millions $. «On augmente le service en réorganisant ce qu’on a», a expliqué le président de la STM, Philippe Schnobb. Par exemple, ce n’est pas le nombre d’autobus sur les routes qui augmentera en 2019, mais plutôt l’efficacité de l’organisation des lignes. «Et c’est vraiment en 2020 qu’on va voir les effets de l’accroissement de la flotte de bus», a-t-il ajouté. La STM a aussi présenté un Programme d’immobilisations (PI) 2019-2028 de 15,6 milliards $, un bond considérable par rapport à la dernière version qui se chiffrait à 10 milliards $. «Nous avons ajouté les 300 bus [hybrides], les centres de transport pour ces bus et la ligne bleue, c’est sûr que ça monte assez rapidement», a dit M. Schnobb. Juste pour accueillir ses 300 bus hybrides en 2020, la STM devra mener des travaux s’élevant à des centaines de millions de dollars. Une part importante des frais sera épongée par les trois paliers de gouvernement. La construction d’un centre de transport dans l’est de Montréal coûtera 365,5 millions $ (montant subventionné à 86 %), le Centre Saint-Denis sera démoli et remplacé par le Centre Bellechasse pour 243 millions $ (subventionné à 73 %) et les centres Anjou, Legendre et Saint-Laurent seront agrandis pour un total de 162 millions $ (subventionné à 99 %). Des travaux de 2,1 millions $ seront aussi réalisés sur l’immeuble du 380, rue Stinson pour qu’il puisse servir de garage temporaire. AUTRES DÉPENSES ET PROJETS EN 2019 • 125 autobus hybrides climatisés remplaceront de vieux véhicules • Connexion au réseau cellulaire de neuf nouvelles stations sur la ligne verte vers l’est • Installation de 264 abribus • Une somme de 1,9 million $ sera investie pour la fluidité de la circulation dans les stations et la propreté du sol des trains AZUR • Une dizaine de trains AZUR circuleront sur la ligne verte • Mise en service d’ascenseurs aux stations Jean-Drapeau et Jean-Talon (ligne bleue) https://www.journaldemontreal.com/2018/11/08/budget-2019-de-la-stm-des-metros-aux-5-minutes-des-le-printemps
  14. Bonne question. Mais c'est déjà mieux que l'administration précédente qui a réduit le budget des TEC. (not endorsing or dissing any of the two btw, just stating facts)
  15. Budget 2019 de la STM: des métros aux 5 minutes dès le printemps CAMILLE DAUPHINAIS-PELLETIER Jeudi, 8 novembre 2018 12:23MISE à JOUR Jeudi, 8 novembre 2018 12:23 Les trains du métro de Montréal passeront aux cinq minutes maximum toute la journée sur les lignes orange et verte dès le mois de mars, a annoncé la Société de transport de Montréal (STM) lors du dépôt de son budget 2019, jeudi. L’offre des autobus et du transport adapté sera aussi bonifiée. La STM a rendu public son budget, qui s’élève à 1,5 milliard de dollars, en même temps que celui de la mairesse Valérie Plante en avant-midi. Le budget 2019 de la société de transport présente une augmentation des dépenses de 5% par rapport à 2018. 15,6 milliards pour le PI La STM a aussi rendu public son Programme d’immobilisations (PI) 2019-2028. Celui-ci présente des investissements de 15,6 milliards $, une considérable augmentation par rapport au plan précédent qui s’élevait à 10 milliards $. Le PI prévoit notamment des étapes préliminaires du prolongement de la ligne bleue, l’acquisition de 17 trains AZUR pour la ligne verte, l’ajout de 300 bus et la poursuite du programme d’accessibilité pour les stations de métro. https://www.journaldemontreal.com/2018/11/08/budget-2019-de-la-stm-des-metros-aux-5-minutes-des-le-printemps
  16. J'espère qu'Ils vont garder les vieux arbres ??
  17. ⚠? Entrave majeure - Fermeture complète d’un segment de l’A40 du samedi 3 novembre (18 h) au lundi 5 novembre (5 h). Circulation très difficile à prévoir. Planifiez vos déplacements et évitez le secteur : bit.ly/fermetureA40 REM.INFO Entrave majeure – Fermeture de l’autoroute 40 la fin de semaine du 3-4 novembre | REM Dans le cadre des travaux du REM, un segment de l’autoroute 40 devra être complètement fermé du samedi 3 novembre (18 h) au lundi 5 novembre (5 h). Anticipez vos déplacements : prenez l’autoroute 20 si vous résidez sur l’Île-de-Montréal ou contournez l’île si vous résidez à l'exté...
  18. Hier: construction de la structure aérienne au croisement de l'A10 et de l'avenue Malo.
  19. L'approche nord ce PM:
  20. based on the fact that it will be sightly higher than the others (Evolo 1 on its right is 31 floors), I'd say about eight.
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