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WestAust

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Tout ce qui a été posté par WestAust

  1. Si j'était le MUHC je laisserais tomber à l'abandon la charpente déjà ammorcée! Si c'est une question de protection du territoire de la montagne, le "mal" est déjà fait, aussi bien lui trouver un usage respectable et surtout dans le cas proposé par le General, pour le bien public! N'est-ce pas ce dont les amis de la montagne et heritage montreal se vantent de vouloir protéger, le bien commun!
  2. En date d'aujourd'hui, selon le site web, TOM est à 27% vendus/réservés
  3. Visite par un journaliste de TVA dans le trou du Chum et sur le toit sur CRCHUM http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2012/07/20120719-195752.html
  4. Comme j'ai mentionné dans l'autre fil, ils étaient a déplacer les briques, celles du fond (gravées) on été remises dans le logo du Canadien plus en avant (ou il y en avait des non gravées) Le fond de la cour sera surement le futur bureau des ventes
  5. En fait, ils n'ont que déplacé les briques, celles qui étaient vers le fond de la cour, on été remise dans le logo du canadien plus en avant.
  6. L'état des infrastructures olympiques de Beijing 4ans après les jeux! http://ca.sports.yahoo.com/photos/olympics-before-and-after-beijing-s-2008-olympic-venues-four-years-later-slideshow/bird-s-nest-2008-photo-1340387759.html
  7. Et voici ce qui semble être une première version du Roccabella, avant celle que l'on connait du site de manicimage.com
  8. Le Hall building est pas si mal pour Concordia, surtout comparé à celui de visual Arts, cette plaie sur René-Lévesque
  9. Ce projet a maintenant un nom: MYST http://www.mystcondos.com/ et ce fil peut être déplacé dans approuvé également!
  10. Beau petit cartoon, mais malheureusement, la réalité n'est pas ainsi faite! St-Jacques entre au Atwater et University, synchronisation parfaite des feux, tu roules a 50kmh (limite permise) et les lumières tombent verte une à une tout le long. René-Lévesque, beaucoup mieux, surtout entre Fort et Mansfield, mais la lumière pour piétons entre la PVM et gare centrale, complètement hors séquence, ce qui brise la chaine (sans compter le bordel qu'ils ont foutu avec les lumières entre bleury et st-laurent, voies doubles pour tourner à gauche avec un très court clignotant à la fin de la séquence combiné aux flèches interdisant le virage à droite en début de lumière, je ne dis pas que ce n'est pas une bonne mesure pour les piétons, mais ca congestionne tout le secteur dès qu'il y a un peu de voitures et surtout d'autobus) Mais bon on est hors sujet pour ce qui touche à Notre-Dame
  11. Le Québec est-il le Mexique des jeux vidéo? BLOGUE. On parle généralement avec beaucoup de fracas des cas d'entreprises locales qui ferment leurs portes parce qu'elles déménagent là où les employés coûteront moins cher, au Mexique ou en Chine, par exemple. Mais rarement des cas inverses. L'une de ces situations est survenue jeudi. L'entreprise américaine de jeux vidéo THQ a annoncé la fermeture de son centre de contrôle de qualité situé à Phoenix, en Arizona. Ses 57 employés ont été avisés qu'ils étaient mis à pied. Certains, on ignore encore combien, se verront offrir la chance de déménager dans la Belle Province. PLUS : Le jeu vidéo, nouveau filon des stars Le terme « contrôle de qualité », dans le domaine du jeu, est la jolie appellation que l'on donne au métier de testeur. Leur travail est important, mais, soyons clairs, il n'est pas celui qui nécessite la plus grande des expertises. Et les employés ne sont pas difficiles à trouver. THQ aura beau dire l'inverse, ce n'est pas la qualité de la main-d'oeuvre montréalaise qui explique cette décision, mais bien son coût. Comme quand une usine d'ici déménage sa production dans un pays du Tiers-Monde. Évidemment, ce n'est pas tant le niveau du salaire des testeurs montréalais qui explique cette décision, mais plutôt celle des subventions versées par le gouvernement provincial. Comme les autres employés affectés à la production de jeux vidéo, les testeurs donnent droit à leur entreprise à un crédit d'impôt remboursable correspondant à 37,5 % de leur salaire. C'est, disons, l'un des volets les plus contestables de ce programme. On nous a toujours vanté que celui-ci avait permis de créer de toutes pièces une industrie locale à valeur ajoutée, qui versait de bons salaires. Or, les testeurs ne font pas vraiment de « gros » salaires et la valeur ajoutée de leur travail, sans vouloir le dénigrer, n'est pas transcendante. Mais THQ n'est pas la première entreprise à agir ainsi dans le domaine du jeu vidéo. Au moins deux autres studios, ceux d'Eidos et de Funcom, ont entraîné, lors de leur ouverture à Montréal, la fermeture ou presque d'un studio dans le pays d'origine de l'entreprise, l'Angleterre et la Norvège respectivement. La bonne nouvelle pour Montréal, outre les quelques nouveaux emplois que cela pourrait créer chez THQ, c'est surtout que l'annonce consolide encore davantage l'existence de ce studio. L'entreprise est en pleine restructuration et on aurait pu choisir de fermer le studio de la rue St-Antoine. Il faut croire que les faibles coûts ainsi que la présence du créateur Patrice Désilets, recruté à grands frais chez Ubisoft Montréal, auront été convaincants. http://www.lesaffaires.com/blogues/jean-francois-codere/le-quebec-est-il-le-mexique-des-jeux-video/546735 ********* Intéressant comme discussion et point de vue, les jeux videos et le multimedias sont-ils rendus les sweat shops des temps modernes? Si Charlie Chaplin devait refaire sont film du meme nom, serait-il programmeur plutot qu'ouvrier d'usine? Bien sur les conditions de travail sont meilleures et de ce coté ca ne se compare pas!
  12. Le reportage de RC avec les nimby habituels (bumbaru et marsan)
  13. Bureau des ventes - 19 juillet 2012
  14. Ils ont définitivement enleve le "tint" qu'il y avait dedans dans ce cas, les fenetres étaient plus gold avant (pas toutes, et on peut clairement le voir sur streetview) et de mémoire aussi, ayant resté tout juste a coté pour des années
  15. (Reuters) - Cogeco Cable Inc, a Canadian company that serves mostly rural customers in Ontario and Quebec, said on Wednesday it will pay $1.36 billion to buy U.S. cable operator Atlantic Broadband in a move aimed at gaining a foothold in the larger U.S. market. The deal, however, quickly triggered a 15 percent decline in Cogeco's share price, with investors skeptical of Cogeco's success in foreign deals following an unsuccessful foray into Europe. In February, Cogeco sold its struggling Portuguese cable unit, Cabovisao, at roughly one-tenth the price it paid for it in 2006. Cogeco was unable to weather a harsh pricing war and the broader economic malaise in the country. Montreal-based Cogeco, which provides cable-TV, high-speed Internet and telephone services, said the Atlantic Broadband acquisition will give it sizable opportunities for growth. Atlantic Broadband is owned by private equity firms ABRY Partners and Oak Hill Capital Partners and has operations that service about 250,000 customers in Pennsylvania, Maryland, Florida, Delaware and South Carolina. "This acquisition marks an attractive entry point into the U.S. market for Cogeco Cable," said Chief Executive Louis Audet. Analysts, though, sounded dubious on a hastily arranged conference call in which Audet and other executives had to fend off tough questions about the price being offered, Cogeco's ability to succeed outside its home market, and Atlantic Broadband's growth prospects. CASH AND DEBT Cogeco said it would finance the deal with a combination of cash and debt. Cogeco plans to use $150 million in cash, along with $550 million of a $750 million credit facility to fund the deal. Bank of America Merrill Lynch is also arranging a $660 million committed debt facility to fund the deal. In a note to clients, Canaccord Genuity analyst Dvai Ghose said the sell-off in Cogeco shares might also be prompted by some investor concerns that Cogeco may have to issue equity to reduce its debt load further down the road. Cogeco Cable's share price fell 15.5 percent to C$37.60 on the Toronto Stock Exchange after the deal was announced on Wednesday morning. Shares of its parent Cogeco Inc fell 11.6 percent to C$37.50. Ghose said the offer values Atlantic Broadband at 8.3 times its estimates 2013 earnings before interest, taxes, depreciation and amortization (EBITDA). That he noted is well in excess of Cogeco Cable's own enterprise value of five times estimated fiscal 2013 EBITDA. Canada's largest mobile phone company, Rogers Communications Inc, which owns significant interests in both Cogeco Inc and subsidiary Cogeco Cable, could not be immediately reached for comment on the proposed deal. CANADA SATURATED "There is room for further U.S. growth, either through an increase in penetration ... or through tuck-in acquisitions, a number of which are available in the United States, in contrast to Canada, where the consolidation is essentially over," Audet said on the conference call. Cogeco Cable warned last week that its Canadian business would slow as tough competition makes it more difficult to sign up customers. It cut its customer growth forecasts by 10 percent as it lost television customers and recorded slower growth in Internet and telephone services. Larger rivals such as BCE Inc and Quebecor Inc operate in the same markets and are expanding into Cogeco's rural heartland. Audet said Atlantic's low penetration rate - the number of customers divided by the number of homes it would be possible to service in existing markets - means it has promising growth potential. "This transaction at this stage is not about synergies. It's about establishing a healthy, promising base from which to grow in the United States," he said. http://www.reuters.com/article/2012/07/18/net-us-cogecocable-atlanticbroadband-idUSBRE86H0VC20120718
  16. Français sur les électroménagers: détaillants et fabricants dénoncent Québec Les détaillants et les fabricants montent au créneau pour dénoncer l'intention de Québec de rendre obligatoires les inscriptions en français sur six types d'électroménagers. À l'heure actuelle, le Règlement sur la langue du commerce et des affaires de la Charte de la langue française prévoit une dérogation pour les inscriptions gravées, incrustées, rivetées ou soudées que l'on trouve sur les cuisinières, fours à micro-ondes, laveuses, lave-vaisselles, réfrigérateurs et sécheuses. Or, en avril, le gouvernement a publié un projet de règlement visant à mettre fin à cette dérogation. Dans une lettre envoyée en mai à la ministre de la Culture, Christine St-Pierre, le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur, soutient que le changement aura des impacts "très significatifs" pour les détaillants, pour les consommateurs et même pour l'économie québécoise. Nathalie St-Pierre, vice-présidente du Conseil canadien du commerce de détail, a également écrit à la ministre. Selon elle, "l'adaptation des chaînes de montage pour accommoder les modifications réglementaires coûterait quelque 165 millions $". Le changement proposé "n'ajoute aucune protection réelle de la langue française au Québec", soutient Nathalie St-Pierre. Les détaillants calculent qu'entre 85 et 90 pour cent des électroménagers actuellement en vente au Québec ne pourraient plus être offerts si le règlement devait entrer en vigueur. De son côté, l'Association of Home Appliance Manufacturers, dont le siège social est situé à Washington, prévient que le nouveau règlement "pourrait engendrer une diminution de l'éventail d'appareils disponibles à la clientèle et, potentiellement, des prix plus élevés au Québec". En 2009, l'Office québécois de la langue français estimait qu'à peine 25 pour cent des électroménagers vendus au Québec portaient des inscriptions en français, contre plus de 75 pour cent au moment de l'adoption de la Charte de la langue française, en 1977. Sur son site Web, l'Office précise avoir "entrepris des démarches qui touchent tous les intervenants du domaine des électroménagers". Les détaillants se plaignent toutefois de ne pas avoir été consultés avant la publication du projet de règlement. Dans sa missive, M. Lafleur a demandé une rencontre avec Christine St-Pierre. Marie-Hélène Paradis, attachée politique au cabinet de la ministre, a toutefois indiqué mardi, au cours d'un entretien téléphonique, qu'aucune réunion n'était prévue pour le moment. Rappelons qu'Electrolux et Mabe ont annoncé la fermeture de leurs usines québécoises pour 2013 et 2014, ce qui mettra fin aux activités de fabrication d'électroménagers dans la province. Dans un autre dossier, le Conseil canadien du commerce de détail conteste l'interprétation que fait le gouvernement de la Charte de la langue française en matière d'affichage. À ses yeux, la loi n'oblige pas les commerçants à ajouter un descriptif français devant leur nom. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/francais-sur-les-electromenagers-detaillants-et-fabricants-denoncent-quebec/546614
  17. L'édifice qui abrite le Siège Social de CGI à subit un recladding/coup de peinture récemment + changement des fenêtres, le building est maintenant d'une couleur plus pâle qu'auparavant (Gris/Beige plutot que Brun)
  18. Voici une collection de photos d'archives provenant de la ville de Montréal Un exemple : Construction de la tour de la bourse en 1964 La collection complète http://www.flickr.com/photos/archivesmontreal/
  19. un "land-lease" a vendre avec le batiment actuel, les images ne sont que des proposition de ce qui peut etre fait (et possiblement des anciens projets des proprios actuels qui n'ont pas dépassé le stade de l'étude)
  20. La pancarte pour l'annonce du projet était en train d'être montée + une section du stationnement fermée, probablement pour le bureau des ventes (a moins que Samcon ne fasse cela à partir de son bureau sur R-L Est)
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