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Flo

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Tout ce qui a été posté par Flo

  1. You've got that right mein Führer That was hilarious and that comparison with the Queen... Ha ha!
  2. J'espère bien Viveenregion, car sur le site web du projet, il n'est mentionné que l'espace vert. La page FB non officielle affiche des projets de gratte-ciel que je présume ont été annulés alors que pour ce qui est des plans mass transit rien n'est mentionné
  3. L'autoroute A55 à Marseille a été construite de manière brutale et ses pilotis longeant les docks faisaient du littoral un no man's land. Aujourd'hui, le tronçon traversant le cœur de la ville a été enfoui, les façades des docks ont été rénovées, tout un quartier, la Joliette, rafraîchi avec son tramway, trois tours de plus de 100m vont bientôt voir le jour. Au final, l'A55 a laissé la place à un vrai boulevard commercial entre les voûtes de la Major et les Terrasses du port... Cette planification urbaine a été si cohérente qu'une étape a automatiquement instigué une autre étape de bonification... alors que je n'y comprends absolument rien au Bd Robert-Bourassa et cet espace vert entre deux voies d'autoroutes
  4. C'est magnifique. Suis pas sûr que les travaux soient terminés. Est-il prévu de poser le revêtement sol sur les aires marquées en rouge jusqu'aux jets d'eau
  5. Pour une fois qu'on ne pond pas du 120m je leur dis chapeau... franchement 2 X 147m c'est génial en termes de contribution dans la skyline
  6. Le manque d'imagination patent de ce projet lui donne un aspect global tellement superficiel. Les propositions pour la coulée verte et le viaduc de la Montagne se démarquent fébrilement, mais tout le reste est d'une banalité... A l'instar de la conclusion sur l'extension de la zone des 210m (dans une zone qui probablement ne contiendra pas une seule tour de > 200m dans les 200 prochaines années) ce PPU se complaît à enculer les mouches. Ca crève les yeux que le cœur du projet devrait consister à raser la gare centrale avec sa dégaine pseudobrutaliste hypercrasseuse. L'impression finale est celui d'un projet pourvu d'un budget pourrave
  7. L'infrastructure qui va avec semble être plus rudimentaire par rapport à Vivanext (affichage dynamique, abri bus vitré de haute facture, revêtement du sol, trottoir, parois très classe, bus pas mal cool) : Source : Vivanext.com
  8. Si les E-U valident l'objectif du président de faire baisser de 32% les émissions de CO2 d'ici à 2030. Croyez-moi que les énergies renouvelables vaudront leur pesant d'or
  9. Le nord-est américain voudrait plus d'électricité québécoise Publié le 02 août 2015 à 18h44 | Mis à jour le 02 août 2015 à 19h35 Rik Stevens, Associated Press, CONCORD Les habitants du nord-est des États-Unis, qui paient le plus cher pour leur électricité au pays, fondent beaucoup d'espoir sur le potentiel hydroélectrique des rivières québécoises. Toutefois, l'idée de transporter le courant jusqu'à Boston, Hartford et New York ne plaît pas à tous. Cinq propositions hydroélectriques de grande envergure qui pourraient fournir des millions de mégawatts aux États du nord-est américain sont à l'étude ou en construction. Leurs opposants s'inquiètent cependant du fait que les lignes de transport puissent défigurer la beauté naturelle de sites comme les montagnes blanches du New Hampshire ou encore qu'une trop grande dépendance sur cette source de courant puisse contrecarrer les efforts pour faire diminuer la consommation d'électricité ou développer des sources d'énergie renouvelables locales. L'Agence d'information sur l'énergie (EIA) américaine a prédit en juin que les habitants de la Nouvelle-Angleterre allaient payer 20,2 cents par kilowatt-heure au cours du troisième trimestre de l'année, soit près de 7 cents de plus que la moyenne nationale. Ceux des États de New York et du New Jersey devraient payer 16,5 cents par kilowatt-heure. En 2014, 1,6 pour cent de l'électricité achetée aux États-Unis provenait du Canada, et 60 pour cent de ces achats était utilisé en Nouvelle-Angleterre et dans l'État de New York, selon l'EIA. Dans ces marchés, les importations canadiennes comptaient pour 12 à 16 pour cent des ventes d'électricité au détail. En Nouvelle-Angleterre, l'électricité canadienne provient principalement d'Hydro-Québec. Selon l'EIA, Hydro-Québec a exporté, en 2014, plus de 28 pour cent du total canadien envoyé aux États-Unis, soit près du double de l'exportateur canadien venant au deuxième rang, le Manitoba Hydro-Electric Board. La société d'État est active sur le marché américain depuis environ 40 ans. Selon un de ses porte-parole, Gary Sutherland, vendre plus d'électricité au sud de la frontière est l'un de ses objectifs stratégiques. Hydro-Québec travaille entre autres sur un projet de 1,4 milliard $ baptisé Northen Pass, en partenariat avec Eversource Energy, basé à Hartford, au Connecticut. Celui-ci permettrait d'envoyer 1200 mégawatts d'électricité à certaines grandes villes du sud de la Nouvelle-Angleterre, principalement à l'aide de lignes électriques aériennes traversant le New Hampshire. Northen Pass permettrait de sauver 250 à 300 millions $ par année sur les prix de gros de l'énergie, selon la porte-parole d'Eversource Energy, Lauren Collins. Ses opposants s'inquiètent cependant du fait que ces lignes électriques aériennes abimeraient de manière permanente la beauté des paysages du New Hampshire et feraient baisser le prix des propriétés environnantes. Des propositions se basant sur des lignes électriques enfouies ont été faites. Elles feraient toutefois augmenter le coût du projet jusqu'à 3 ou 4 milliards $, a souligné l'an dernier le président des opérations électriques d'Eversource Energy pour le New Hampshire, Bill Quinlan. http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201508/02/01-4889875-le-nord-est-americain-voudrait-plus-delectricite-quebecoise.php
  10. Flo

    C-Lofts - 22 étages (2015)

    Ca doit vraiment galérer pour garer son char dans le coin
  11. The city council needs to set its priority straight. Budget va de paire avec retours sur investissement. Recettes touristiques, création d'emploi, etc. devraient être quantifiées pour évaluer la valeur d'un projet... même des valeurs nonfinancières devraient être mesurées (niveau de satisfaction des habitants du quartier, scores sur l'intégration dans le paysage...) Pour moi ce projet est trop cher payé... L'œuvre est bien sans créer d'étincelles (je ne fais pas wowzers alors qu'il en faudrait à ce prix là), j'aime bien le concept de création de groupe artistique et pas l'ouvrage d'un seul individu, mais ce prestateur a surenchéri dans les prix... verdict final : c'est trop abuser...
  12. Une oeuvre gigantesque qui fait des vagues La Ville de Montréal a dépensé 1,1 M$ pour une œuvre de près de 20 mètres qui est loin de faire l’unanimité Christopher Nardi Mardi, 28 juillet 2015 23:00; MISE à JOUR Mardi, 28 juillet 2015 23:00 Ceci n’est pas un manège en construction ou une roue à hamster géante. C’est une œuvre d’art controversée que la ville de Montréal est en train d’ériger au coin des boulevards Pie-IX et Henri-Bourassa, avec 1,1 M$ d’argent public. Yves Charbonneau, résident de Montréal-Nord, est choqué de passer tous les jours devant la structure métallique de près de 20 mètres de haut. «Ce n’est pas une œuvre d’art qu’on construit là, c’est juste une grosse structure. Ils ont payé ça plus de 1 M$ en plein temps d’austérité en plus. Si je voulais voir une grande roue, j’irais à La Ronde», s’insurge M. Charbonneau. Un autre résident du quartier, Pierre, qui a préféré taire son nom, s’insurge moins de l’apparence que du montant dépensé. «Je ne comprends pas comment ça coûte plus d’un million de dollars pour construire ça. C’est beaucoup plus beau que les routes qu’il y avait là avant, mais je trouve ça très cher pour ce que c’est», indique le résident du quartier. L’œuvre L’objet de la controverse est une œuvre nommée La Vélocité des Lieux, conçue par le trio d’art contemporain BGL. Ceux-ci ont reçu le mandat de la Ville de construire la plus grande œuvre d’art publique sur l’île dans le cadre du réaménagement de l’important carrefour routier. La structure est une roue géante qui se veut un hommage au transport collectif. À l’intérieur de la roue, des plaques en aluminium et des matériaux réflecteurs seront façonnés pour ressembler à des autobus qui tournent sur eux-mêmes. Le Journal n’a pas réussi à joindre les sculpteurs, mais ceux-ci ont expliqué leur œuvre dans une vidéo publiée il y a un mois par la Ville. «L’œuvre est un gros délire et une opportunité incroyable pour offrir un moment de contemplation [...] On veut que les gens en retirent du plaisir et que ça leur fasse sourire», raconte Nicolas Laverdière Projets controversés Il est très commun qu’une nouvelle œuvre d’art envergure soulève la controverse lors de son installation, croit Marie Lessard, professeure à l’école d’urbanisme et d’architecture du paysage à l’Université de Montréal. «Beaucoup d’œuvres d’art public suscitent la controverse et pour diverses raisons. C’est normal, car les artistes sont généralement avant-gardistes et les jurys aiment cela», explique Mme Lessard. Selon elle, l’œuvre dans son état actuel est un peu «rébarbative», mais elle préfère laisser la chance aux artistes de dévoiler la structure finale avant de lancer son verdict. Toutefois, elle dit qu’il faudrait s’attendre à ce que davantage de grandes œuvres fassent leur apparition à Montréal au cours des prochaines années. «Avec l’attention portée aux entrées de ville depuis deux ou trois décennies, [plusieurs] militent pour un plus grand soin accordé à ce genre de milieu. Donc on y verra sûrement plus d’œuvres d’art», résume la professeure. Une dépense qui n’était pas obligatoire La Ville de Montréal a décidé de son propre chef de dépenser plus d’un million de dollars pour une œuvre d’art, puisque la loi provinciale ne l’obligeait pas à en faire autant. Selon cette loi, toutes les institutions publiques doivent réserver 1 % du budget total en prévision de la construction ou rénovation de bâtiments et infrastructures, ou pour des projets d’art ou d’architecture québécois. Cette somme peut être dépensée en faveur d’une œuvre ou pour améliorer la conception architecturale d’une structure ou d’une place publique. Dans ce cas, la Ville a justement décidé d’investir ce 1 % afin de rehausser la qualité architecturale de l’aménagement. Elle a choisi en plus de dépenser 1,1 M$ du budget de transports de la Ville pour l’œuvre La Vélocité des Lieux. Article complet : http://www.journaldemontreal.com/2015/07/28/une-oeuvre-gigantesque-qui-fait-des-vagues
  13. Ça brasse chez Molson Le brasseur songe à rénover sa brasserie ou à en construire une nouvelle Le Journal de Montréal SARAH BÉLISLE Mardi, 28 juillet 2015 00:01; mise à jour : mardi, 28 juillet 2015 00:01 http://www.journaldemontreal.com/2015/07/28/ca-brasse-chez-molson Installée au bord du Saint-Laurent, à Montréal, depuis plus de deux siècles, Molson envisage de construire une nouvelle brasserie au cours des prochaines années. «On étudie différents scénarios. Tout est sur la table, a indiqué hier François Lefebvre, directeur des affaires corporatives chez Molson Coors. Mais chose certaine, on va rester à Montréal. (...) Nous sommes engagés à demeurer et à investir au Québec.» Classée «immeuble de valeur historique exceptionnelle», la légendaire brasserie Molson de la rue Notre-Dame doit être modernisée afin de rester à la fine pointe de la technologie. À l’heure actuelle, deux principales options quant à son avenir sont analysées par Molson. Ses installations pourraient être rénovées ou bien une nouvelle brasserie pourrait être construite, explique M.Lefebvre. L’entreprise qui est au cœur du développement de Montréal depuis 1786 tranchera avant la fin de l’année sur ce qu’il adviendra de l’immeuble qui est le symbole même de ses activités. Investissements «C’est une bonne nouvelle. On a rencontré nos employés pour leur annoncer qu’on investissait des centaines de milliers de dollars. (...) On brasse de la bière à Montréal depuis 1786. On va rester (au Québec, peu importe l’option choisie)», insiste M.Lefebvre, qui se veut rassurant. Mais il est trop tôt pour dire où précisément serait située une éventuelle nouvelle brasserie: à Montréal, ailleurs au Québec ou bien sur le site des installations actuelles. Il faut toutefois souligner que Molson est locataire depuis 2003 d’un autre site à Montréal, le 1900, rue Dickson, et ce, pour un bail de 20 ans, selon nos recherches. Des Condos ? Qu’adviendra-t-il de la brasserie où l’ancêtre de la famille Molson a brassé sa première bière si on choisit d’en ériger une nouvelle? «Je ne peux pas vous dire. C’est tellement tôt dans le processus. Je ne peux pas m’avancer sur un scénario», répond M.Lefebvre. Mais quoi qu’il advienne, «le site de la rue Notre-Dame va rester Molson», précise-t-il. Selon nos informations, la construction de condominiums sur le site de l’actuelle usine est également envisagée. Toutefois, au moins une portion de la façade du bâtiment historique serait conservée. Le secteur suscite l’intérêt des promoteurs en raison de la vue imprenable sur le fleuve Saint-Laurent et de la relative proximité du centre-ville et du Vieux-Montréal. L’entreprise a rencontré ses employés dans les dernières semaines. Il a alors été question «d’une possibilité de déménagement qui est à l’étude», indique Stéphane Lacroix, directeur des communications de Teamsters Canada, qui représente les employés syndiqués de Molson. «Les travailleurs sont enchantés que l’entreprise veuille investir. C’est sûr que (certains scénarios envisagés) créent une certaine incertitude. Mais il n’y a pas de panique. On attend la décision», laisse-t-il tomber. UNE PREMIÈRE BIÈRE IL Y A 229 ANS AUJOURD’HUI 25 juin 1782 : Le jeune Anglais John Molson immigre au Québec. Il s’associe avec le propriétaire d’une brasserie. 28 juillet 1786 : Après avoir acquis la brasserie, Molson y brasse sa première bière le 28 juillet 1786, soit il y a précisément 229 ans aujourd’hui. Le bâtiment en bois à l’origine, était érigé le long du chemin du Roy, maintenant la rue Notre-Dame. 1801 : On commence à embouteiller la bière, qui était jusque-là entreposée dans des barriques. 1821 : Devenu un important homme d’affaires de la métropole, John Molson fait partie d’un groupe de citoyens qui fonda l’Hôpital général de Montréal, premier hôpital public de la ville. 1846 : La brasserie Molson atteint un jalon important en produisant 100 000 gallons de bière (454 000 litres). 1852 : Un incendie ravage le quartier et endommage la brasserie. Pour Molson, de nouveaux agrandissements suivront ce tragique événement. 1890 : L’électricité remplace la vapeur. L’arrivée de la réfrigération permet pour la première fois de brasser de la bière durant toute l’année. 1949 : Molson atteint une production annuelle de 25 millions de gallons. 1975 : Le complexe abritant la brasserie atteint sa superficie maximale après de nombreux ajouts, dont la construction de l’imposant édifice en briques, construit en 1963, où se trouve la monumentale inscription «MOLSON» 2005 : La brasserie Molson fusionne avec Coors, formant un des plus grands brasseurs au monde, qui offre plus de 100 marques de bière.
  14. Lorsque j'ai vu la Lexus, je me suis dis ça doit être une résidence barricadée
  15. D'une part, contrairement à Paris, Rome, voire Munich, Londres n'a pas une architecture digne d'une ville musée. D'autre part, les « conspicuous » tours y sont déjà plantées et on n'est pas prêt à les raser. Tout ça pour dire qu'il est encore temps de préserver Paris des Triangles, Duo et j'en passe... les lois en France existent, mais elles ont été faites pour s'en outrepasser... contraiement à Londres où de subtils règles protégeant les monuments sont respectées, d'où l'étrange morphologie de leurs tours et l'aspect un peut bordélique de la skyline. Cette politique a le mérite de faire preuve de flexibilité, de compromis et d'ouverture d'esprit contrairement à une loi qui scelle les voûtes de toute une mégalopole sous une cloche de 230m de hauteur. En passant, La Défense est dans une dynamique d'accroissement de mixité sociale par la construction du grand stade de rugby, de salles de concert, de logement sociaux, de residences universitaires, de crêches, etc. Alors oui les mégaclusters de tours font de bien meilleurs modèles (esthétiquement, économiquement, fonctionnellement...) que plusieurs mini-cluster avec tours isolées
  16. Hormis le métro, les TEC à MTL c'est la zermi mon frère. D'ailleurs rien qu'à voir la gueule du bus STM t'as envie de te barrer en courant... Franchement, sans être mesquin, on dirait les villes de Bordeaux et de Marseille dans les années 1980... Outre la volonté politique, c'est une question de culture de mobilité urbaine figée dans le temps
  17. Concrete is the future of construction. Ces dernières années ont vu se concrétiser plusieurs percées technologiques (à l'instar de la nanotechnologie) dans la conception de ciment spéciaux et il m'a semblé (via la littérature) que le Quebec est un acteur majeur dans ces innovations
  18. Il est où le trip qqn peut m'expliquer je vois 4 tours à échelle humaine dans l'évocation. Je ne vois pas en quoi cette proposition perturbe l'harmonie des échelles. Faut qu'il arrête la moquette Adrian Sheppard
  19. Flo

    Tourisme à Montréal

    Raison de plus pour insuffler une renaissance au niveau du transport (portuaire, aérien et surtout sur rail). Je crois qu'à l'instar de Paris et Londres, Montreal doit déployer un marketing férocement agressif pour faire du tourisme un levier de croissance économique.
  20. C'est une vitrine improvisée en signe de contestation en vue de déclarer la guerre au préfab : "glass cladding is the way to go ! glass cladding is the way to go !"
  21. L'occasion de contre-verifier l'efficacité de l'impact du logo des Canadiens sur la vente
  22. L'ancienne proposition c'était une maquette de 18 étages de Panzini ?
  23. J'avais pas remarqué qu'ils avaient mis les bouchées doubles. Ca doit être délicat à gérer ça 2 grues si proches l'une de l'autre
  24. Les aménagements intérieurs du Roccabella font que la TdC 1 est très vite en train de rattraper le Rocca en hauteur
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