ville-marie YUL - 38, 38 étages (2021)

[Rusty]

C'est incroyable la vue du YUL et le reste quand on marche sur St-Catherine commence par Stanley ...

[_mtler_]

[slanctot]

2017-05-20

 

[MtlMan]

Niiiiice

[Rocco]

De certains angle, le centre-ville est réduit à néant. Difficile à croire en regardant ces photos qu'on est au coeur du centre-ville.

[Fortier]

La Gare Lucien L'Allier fait tellement dure c'est incroyable

[Le Roach]

[3dimensions]

Le 21/05/2017 à 08:44, Rocco a dit :

De certains angle, le centre-ville est réduit à néant. Difficile à croire en regardant ces photos qu'on est au coeur du centre-ville.

Dans ce coin ce qui me désole le plus c'est tous les nouveaux bâtiments construits au cours des dernières décennies dans la petite bourgogne. Créer un quartier de banlieue dans un endroit si stratégique et si central, ça me dépasse. Et ça me dépasse d'autant plus depuis que Griffintown émerge de ses cendres.      

[_mtler_]

[acpnc]

Il y a 18 heures, 3dimensions a dit :

Dans ce coin ce qui me désole le plus c'est tous les nouveaux bâtiments construits au cours des dernières décennies dans la petite bourgogne. Créer un quartier de banlieue dans un endroit si stratégique et si central, ça me dépasse. Et ça me dépasse d'autant plus depuis que Griffintown émerge de ses cendres.      

Il faut comprendre le contexte de l'époque avant de juger trop vite. Dans les années 70-80 la banlieue s'étendait à vitesse grand V et la ville perdait une partie de sa population. On a donc décidé de rénover le secteur en profitant de la disparition de la cour ferroviaire qui traversait St-Henri jusqu'à Peel. Ainsi on s'est retrouvé avec d'immenses terrains vagues à développer. Il fallait alors offrir une formule compétitive afin de contrer l'exode vers la périphérie. C'est ainsi qu'on imaginé un quartier avec des espaces verts plus généreux et un densité plus faible pour séduire les familles.

L'aberration c'était justement que la ville était coupée en deux par cette hideuse cour de triage, source de bruit et de poussière aux portes du centre-ville. Il fallait d'ailleurs traverser à pied ou en voiture de grands viaducs sous toutes les intempéries pour rejoindre l'autre partie du quartier. Bien sûr n'eut été de ces immenses surfaces devenues soudainement disponibles et un marché immobilier miné par une faible demande, on n'aurait jamais créé ce genre de développement devenu naturellement impossible aujourd'hui.