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  1. Trouvé sur ce site : Irenebrination: Notes on Architecture, Art, Fashion and Technology: May 2014 avec cette description : Également trouvé en parcourant divers site, cette photo de la maison Shaughnessy en 1948 : sur ce site : Montreal Mission | Sisters of Service
  2. Ahead: A brighter horizon for Cabot Square Plans due; Downtown area in search of an identity Source: The Gazette Cty councillor Karim Boulos is standing in the Canadian Centre for Architecture, airing his optimism over a scale model of what is known as "the Cabot Square area" - a part of the Peter McGill district he represents. But the Cabot Square area is also a stretch of Ste. Catherine St. that makes many Montrealers wince. The thoroughfare between Lambert Closse and Chomedey Sts. has been this city's version of a picture of Dorian Gray, a pastiche of boarded-up storefronts, crumbling facades and grafitti that seems to have spread while other neighbourhoods renewed themselves. However, by this time next Monday, Boulos and the rest of the city will get a bigger glimpse of what might happen to the piece of downtown that's been in search of an identity for nearly a generation. That's when three teams of architects and urban planners will submit their versions of what should be done to revive the Cabot Square area. Boulos, Ville Marie borough mayor Benoit Labonté and members of an alliance of neighbourhood businesses and residents met the press yesterday to detail the attempts to revitalize the neighbourhood. The planning teams were formed after a collection of 25 business, property owners and residents' associations started the Table de concertation du centre-ville ouest. "The properties may be empty but the owners are still paying taxes," Boulos said. "They haven't left, they're waiting to see what's going to happen." The plans submitted by the teams will be judged by a jury that includes architect and Harvard professor Joan Busquest, Dinu Bumbaru of Heritage Montreal and founding director Phyllis Lambert of the Canadian Centre for Architecture. The successful submission will form the basis for an urban plan that will produced by the borough and submitted to public consultations. Boulos suggests that if everything goes well, changes in the district might begin "by this fall." And for Lambert, whose architectural centre sprawls across the neighbourhood's southern edge, change is what's needed for a district that spent decades losing more than it's gained. "Over the last years, this area has deteriorated miserably," she said. "There used to be the Forum and all those stores where the Faubourg (Ste. Catherine) is. ... But it just goes down the drain further and further. "Then there's the block ... just to the east of the Forum with the (Seville) theatre on it, which has been boarded up for years. "And this just destroys the whole area. People have no respect (for the neighbourhood), and why would you? People just walk down the street and it's so miserable." Lambert's nephew, Stephen Bronfman, is chairman of Claridge Inc., an investment company that owns the Seville Theatre block. Asked in October about the condition of the block, Lambert told The Gazette: "It is coming along. Slowly, but we are working closely with the city and other landlords in the area. It takes time to do properly." Labonté says a development project for the Seville block is under study by the borough's urban committee. Boulos has said in earlier interviews that a private investor plans to turn the block into student residences. "What I can tell you about this project," Labonté said, "is that that there will be lots of room for students - especially for Concordia University - and the design of the building will be quite impressive. ... I'm pretty confident this project at the Seville Theatre will start the renewal of this leg of Ste. Catherine St." A decision by the borough on which development plan will be used is expected in May. But final approval will rest with the city's executive committee. In the meantime, Montrealers and the people who own the storefronts that make them wince wait to see what's going to happen.
  3. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/05/09/008-phyllis-lambert-montreal.shtml Le vidéo est disponible dans le lien. Le développement actuel de Montréal inquiète l'architecte Phyllis Lambert, qui veut protéger cette ville qu'elle trouve « formidable ». En entevue avec le journaliste Gérald Fillion, elle discute du Quartier international, de Griffintown et de son Horse Palace et du boulevard Saint-Laurent. « S'il y avait un maire qui mettait un processus en marche pour tous les quartiers, qui ne brise pas ses principes pour ceci et pour cela, vous auriez une ville formidable! » — L'architecte Phyllis Lambert
  4. Read more: http://www.montrealgazette.com/technology/Municipal+noise+limits+imposed+Parc+Jean+Drapeau/4839778/story.html#ixzz1NPXKEnKy :eek:
  5. I contributed this so I reserve the right to delete it. Signed, MTLskyline
  6. Read more: http://www.montrealgazette.com/entertainment/Lambert+shouts+enough/3317503/story.html#ixzz0uhaLT8LV
  7. I haven't seen this article posted anywhere. Given the challenges presented with putting up the Mackay project I suspect this doesn't bode well for future tall development. Megaproject proposals put Montreal at 'major crossroads': founder Lambert http://www.montrealgazette.com/news/think+tank+will+conscience+mayor/2104533/story.html
  8. http://www.montrealgazette.com/news/Lambert+mayor+Sean+Finn+follows+tradition+stepping+down/1977123/story.html I was really hoping that he would seekk re-election. In that case, I hope Finn's ally, councillor Philippe Brunet wins the election. Or former local Conservative candidate Patrick Clune, who is rumoured to be running. As long as its not a "No" side committee member.
  9. Les cahiers spéciaux du Devoir ressemblent souvent à un gros publi-postage, mais je mets tout de même les articles pour ceux que ça pourraient intéresser. Il est parmi nous une visionnaire Le Devoir Normand Thériault Édition du samedi 25 et du dimanche 26 avril 2009 Mots clés : Phyllis Lambert, Centre canadien d'architecture, Municipalité, Culture, Montréal, Canada (Pays) Le Centre canadien d'architecture est un établissement unique Nous sommes en 1979. Le secteur ouest de la ville est menacé par des tentatives de transformation extrême. La Maison Shaughnessy devait être détruite. Non seulement elle sera sauvée, mais sur son site un nouvel établissement surgira: Phyllis Lambert inaugure en 1989 le Centre canadien d'architecture. A l'époque où je concevais Aurora Borealis pour le Centre international d'art contemporain, cette exposition qui n'allait durer que 100 jours, plus loin à l'ouest de la ville un projet d'une plus grande envergure était en gestation. Une Phyllis Lambert, celle-là même qui avait participé avec le grand Mies à la mise en forme et en place de l'édifice Seagram à New York en 1954, non seulement oeuvrait à sauver la Maison Shaughnessy du pic des démolisseurs, mais elle allait y joindre un nouveau bâtiment: ce double ensemble est aujourd'hui mondialement connu sous le nom de Centre canadien d'architecture, maintenant nommé le CCA dans le jargon des spécialistes comme par le grand public. Cette année-là, c'était 1985, et il allait falloir attendre encore quatre ans avant l'inauguration en 1989, soit dix ans après que le projet d'un musée unique entièrement dévolu à l'architecture et à l'urbanisme a été lancé par sa conceptrice. Noble musée Si, à la même époque, un autre musée, celui des beaux-arts, celui de la rue Sherbrooke, prenait la tendance «grand public», à savoir que les expositions devaient être faites pour attirer d'abord les foules, celle qu'on peut désigner, et de façon laudative, comme «la dame de fer de l'architecture» avait, pour son futur musée, une toute autre idée: il serait un lieu qui tiendrait à la fois de la bibliothèque, dans son sens le plus noble, du laboratoire, par ses expositions et les débats qui s'y tiendraient, du lieu «agit-prop», par les contenus et les propositions qui y seraient déposés, et du musée, entendu comme un édifice où on collectionne et conserve l'héritage du passé et le patrimoine du futur. Et l'écrin, la bâtisse elle-même, par l'organisation de l'espace comme par le choix des matériaux, sera lui aussi une ode à l'architecture, celle d'une tradition qui veut que les formes soient épurées, le concept, perceptible, pour créer ainsi un lieu où c'est la vie qui l'habite qui est communiquée, non le motif qui pourrait parer l'ensemble. Et il y avait plus, même. Le Centre canadien d'architecture était aussi né sur un site qui avait dans un premier temps été sauvé d'une certaine «folie», celle qui voulait qu'on démolisse le Montréal historique pour y aménager des tours, comme à Manhattan. Les actions d'une Lambert avaient fait en sorte que la Maison Shaughnessy ne fut pas démolie et qu'autour d'elle un quartier vivant fut maintenu, et non transformé en territoire autoroutier. Un jardin même y était accolé, lieu de transition entre les plateaux sud et nord de la ville. Les complices, autres artistes du projet, de cette action avaient nom Peter Rose et Melvin Charney. Heureuse ville Dix ans plus tard, nous sommes en 1995 et le CCA est maintenant ouvert au public depuis six ans. Phyllis Lambert vint cette année-là témoigner devant la Commission d'enquête sur la situation des arts visuels au Québec: elle déplora alors le peu de soutien qu'elle recevait de l'État, indépendamment des paliers de gouvernement. Plus tard, elle aura une fois de plus à admettre que, si on parle d'excellence pour justifier l'attribution de toute aide, il est un autre critère qui explique le fonctionnement du système: l'économie budgétaire explique que tout vient au compte-gouttes et qu'il ne peut y avoir de dérogation, la qualité de tout projet devant céder devant le fait que le statu quo a prépondérance sur toute nouvelle initiative. Non seulement Mme Lambert sera donc l'instigatrice d'un projet unique sur la scène internationale, mais elle en deviendra aussi la première mécène à le soutenir. En pratique, vingt ans après son ouverture, même le secteur privé accorde encore un appui qu'on peut qualifier de modeste, si cet appui est évalué à l'aune d'une échelle qui prévaudrait dans les grandes métropoles. Pourtant, une telle situation financière n'a pas empêché que les collections de l'établissement sont aujourd'hui majeures dans le monde de l'architecture et que les chercheurs qui y travaillent considèrent que l'invitation qui leur est faite tient plus du privilège reçu que d'une simple reconnaissance de leur talent. De Toronto à New York, comme en Europe, on se féliciterait d'avoir en son lieu ce CCA dont Phyllis Lambert a fait cadeau à sa ville, Montréal. L'avenir seul nous dira si la métropole québécoise aura su se montrer digne d'un tel don. En attendant, qui le visite sait comme le lieu est agréable à vivre, pour qui comprend qu'une architecture est un moyen donné pour aider à mieux vivre. Et à mieux penser. http://www.ledevoir.com/2009/04/25/247333.html (26 avril 2009 11H11)
  10. Le crédit se tarit pour les centres commerciaux 17 octobre 2008 - 06h37 La Presse Laurier Cloutier Le financement de projets commerciaux se tarit à vue d'oeil aux États-Unis et au Canada, obligeant les promoteurs à présenter davantage de garanties pour obtenir du crédit. Selon plusieurs spécialistes nord-américains, les prêteurs exigent des promoteurs de centres commerciaux 65% de baux signés, plutôt que 50% auparavant, et 40% de capital, au lieu de 30%, avant de financer en partie un projet. Et les écarts ne semblent pas si grands entre les nouvelles normes de crédit aux États-Unis et au Canada. Des projets commerciaux sont reportés, mis sur la glace, sinon abandonnés. Après vérification dans son réseau, Jean Lambert, directeur de la recherche mondiale de l'International Council of Shopping Centers (ICSC), de New York, affirme qu'il serait surpris de voir un projet commercial démarrer à court terme aux États-Unis. «Avec le magasin d'une grande chaîne comme locomotive, un centre commercial peut lever, mais seulement avec 60% de financement», dit-il. «Les banques américaines ont fermé le robinet, presque complètement, dans le crédit au développement. Un projet fantastique peut attirer quelques banques, mais à des taux d'intérêt très élevés et avec tous les recours (garanties mur à mur). Au Canada, les banques ont toujours été plus prudentes et, en outre, le commerce de détail se porte mieux qu'aux États-Unis», ajoute Jean Lambert. Projets reportés Au Québec, Gilles Fortin, président de la chaîne Tristan&America, a signé un bail pour aménager un autre magasin de vêtements dans un projet de centre commercial, mais il ne sait pas quand il va ouvrir. Le promoteur n'a pas encore 65% de ses baux signés et, avec la crise, tout est reporté. «Aux États-Unis, il y a beaucoup de projets commerciaux reportés, mis sur la glace et même annulés. C'est assez généralisé. Toutes les banques serrent la vis, sauf pour un promoteur avec un excellent crédit», ajoute Jean Lambert, du ICSC. à New York. «Avant, au Québec, une banque pouvait financer 70% de la valeur d'un projet commercial. Là, c'est seulement 60% ou 65%, avec 35% à 40% de comptant et à un taux d'intérêt de 1% plus élevé», déclare de son côté Frédéric Labrie, directeur du commerce de détail au Groupe Altus (consultants). «Avant, les banques se battaient entre elles sur 0,05% de taux d'intérêt. Là, c'est l'inverse. Sur 15 projets, les banques en regardent cinq et font un seul prêt.» «Depuis trois mois, les conditions sont plus difficiles, autant sur le financement de projets commerciaux que sur celui de propriétés existantes, mais ce n'est pas alarmant, ajoute Frédéric Labrie. Le Quartier DIX30 a déjà des assises solides et ce n'est pas difficile de financer la construction des autres phases. Quand viendra le temps de mettre en chantier, Griffintown devra par contre avoir du cash et des baux signés.» «Des projets sont remis en question, reconnaît Jean-Guy Parent, président des consultants Intercom Services immobiliers. Rien n'a été annulé encore, mais des chaînes attendent.» Jean-Guy Parent ne peut avancer de chiffres, mais des prêteurs comme la Banque Royale, Desjardins et la Banque Nationale, depuis deux semaines, lui disent qu'ils serrent la vis dans l'immobilier commercial. «Je ne dis pas qu'il n'y a plus de financement, mais on verra encore beaucoup de nervosité d'ici deux ou trois mois», affirme-t-il. Jean-Guy Parent voit aussi quatre ou cinq banques exiger des mises de fonds qui passent de 30% à 40%. «Ça peut retarder des projets commerciaux. Il n'y a pas de panique, mais des feux rouges s'allument. Ça prend des promoteurs avec des nerfs et des reins solides, avec du cash pour passer au travers.»
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