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  1. Ça fait un mois que le concours est lancé. Il reste à peine une semaine pour participer au concours, donc la création d'un fil était plutôt nécessaire. Le nouveau bâtiment sera construit au coin Ontario/Hotel de ville. Bref, la rue Ontario sera complètement habitée au Nord! https://www.oaq.com/fileadmin/Fichiers/Nouvelles/A1-AVIS_D_APPEL_DE_CANDIDATURES-CVM_MT.pdf https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=5e417fda-c31d-47a4-91f7-de539cc53ad8&SubCategoryCode=S3&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=51bf683a-850d-42b4-805d-d34f17577aa7
  2. La passerelle se concrétise au-dessus du canal de l’aqueduc Deux grues géantes ont envahi ce weekend les trois voies du boulevard De La Vérendrye, pour la construction de la passerelle permettant de relier la piste cyclable de la rue Lapierre à celle longeant le boulevard Champlain. Cette passerelle constitue un des projets prévus par la Ville de Montréal pour accroître l’étendue du réseau cyclable sur l’île. De nombreux piétons et cyclistes ont hâte de pratiquer leurs sports favoris en franchissant le cours d’eau par la passerelle, au lieu d’un pont avec une circulation très dense de véhicules. Actuellement, cyclistes et piétons ne peuvent traverser le canal de l’aqueduc autrement que par le pont Knox, qui divise l’arrondissement et qui est situé plus loin à l’ouest de la rue Lapierre. «Ce sera bénéfique pour nos étudiants qui viennent de l’autre côté du canal et qui doivent faire un grand détour pour accéder au cégep. Des employés voient d’un bon œil la passerelle pour se rendre aux courts de tennis et notre club de marche veut l’utiliser», explique Claude Roy, directeur du cégep André-Laurendeau. Ces travaux sont réalisés par la firme Les Entreprises Michaudville, pour un montant totalisant 2 893 262$. Il y a installation de quatre lampadaires sur la structure et d’un autre à l’approche sud de la passerelle. «Il n’y aura pas de pilier au milieu. C’est un pont préfabriqué et la dalle se dépose sur les assises, de part et d’autre de l’aqueduc», explique la mairesse Manon Barbe. Détours et maintien de circulation Après une pause hivernale, la Ville de Montréal a repris les travaux amorcés l’an dernier afin de relier le Village des rapides au Cégep André-Laurendeau, à l’Aquadôme et au Théâtre Desjardins. Jusqu’à l’été 2016, il y a mise en place d’une structure d’acier et aménagement d’une piste cyclable dans le parc longeant le boulevard Champlain. Malgré le froid et les forts vents du weekend dernier, plusieurs travailleurs s’affairaient à l’assemblage d’immenses poutres, à la hauteur de la 1ère Avenue. L’entrepreneur doit procéder à différentes entraves à la circulation, selon l’évolution du chantier. Certaines nécessitent des travaux de fin de semaine et durant la nuit. «Des mesures sont prises pour en atténuer les inconvénients auprès des résidents riverains», explique Philippe Sabourin, relationniste de la Ville de Montréal. Parmi ces entraves, il y a fermeture de la voie de droite sur le boulevard De La Vérendrye en direction est et fermeture complète du boulevard Champlain, entre la 1ère et la 2 eAvenue, pour environ un mois. Un chemin de détour est aménagé sur la rue Broadway. La piste cyclable est légèrement déviée sur le côté sud du boulevard Champlain. Les riverains ont accès à leur propriété en tout temps. http://journalmetro.com/local/lasalle/actualites/942618/la-passerelle-se-concretise-au-dessus-du-canal-de-laqueduc/
  3. Publié le 14 janvier 2014 à 14h40 | Mis à jour à 15h12 La Maison Théâtre de Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé un investissement de près de 10 millions pour la construction d'une nouvelle salle multifonctionnelle sur le campus du cégep du Vieux Montréal. L'accord de principe, signé hier avec le Cégep, spécifie qu'il partagera ce nouvel espace avec la Maison Théâtre. Rappelons que la Maison Théâtre propose environ 300 représentations par année destinées à un public âgé de 2 à 17 ans. Devant une classe de quatrième année du primaire, la première ministre Pauline Marois a insisté sur «l'importance de l'accès aux arts et à la culture pour les jeunes». L'inauguration est prévue pour 2017. http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201401/14/01-4728594-la-maison-theatre-de-montreal-sera-agrandie.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS1
  4. 9,9 M$ pour agrandir le Collège Montmorency Geneviève Fortin Publié le 25 Mai 2010 Malgré la mauvaise température à l'extérieur, les sourires étaient nombreux au Collège Montmorency, lundi matin, alors que la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, annonçait un investissement de 9,9 M$ pour l'agrandissement de l'établissement postsecondaire. Attendue depuis longtemps, cette annonce est la suite logique de celle faite en octobre concernant l'augmentation du nombre admissible d'étudiants. Le collège qui compte actuellement 5700 étudiants peut en accueillir 100 de plus selon le nouveau devis. Le bâtiment construit au début des années 1970 a quant à lui une capacité d'accueil de 5000 étudiants. Lors de la conférence de presse, la directrice générale du Collège Montmorency, Denyse Blanchet, a souligné qu'il n'était plus possible d'agrandir le cégep de l'intérieur. En entrevue, elle notait que le manque d'espace ne se traduit pas seulement par une pénurie de locaux de classe, mais également par un manque d'espace dans les aires communes, notamment la cafétéria et la bibliothèque. Le député de Laval-des-Rapides, Alain Paquet, estime que l'agrandissement du collège permettra d'avoir un environnement adéquat pour l'enseignement. Celui qui avait promis l'agrandissement de l'établissement collégial lors de la dernière campagne électorale a insisté sur l'importance de pouvoir compter sur une relève qualifiée dans un contexte où le taux de chômage est très bas. Travaux La directrice générale dit espérer que les travaux d'agrandissement débuteront l'automne prochain. Les plans de construction n'étant pas établis, les élus et Mme Blanchet ne peuvent dire de quelle façon on augmentera l'espace, ni de quel côté le bâtiment s'agrandira. «Nous avions déjà travaillé sur des plans, mais ils étaient pour un devis pédagogique moindre», indique Mme Blanchet. Elle assure toutefois, que les plateaux sportifs ne seront pas être sacrifiés. -------------------------------------- 1er juin 2010 Expansion du collège Montmorency (à droite)
  5. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/fabrication/200909/30/01-907012-pratt-whitney-va-fermer-une-usine-a-longueuil.php je crois que ce serait une belle occasion de revitaliser ce secteur. Je verrais bien un beau quartier dense avec services de proximités, qui s'étendrait jusqu'à Roland-Therrien. Ces services pourraient servir aussi aux gens des bureaux sur Roland-Therrien. Ce quartier serait à proximité d'une éventuelle station de métro au CEGEP. Cataclaw pourrait nous faire une vision de ça!
  6. On the job, on solid ground The road to finding full-time employment in Quebec has many twists and turns. It also has lots of rotten bridges and overpasses. And that's good news if you're in the construction and engineering business. JEFF HEINRICH, The Gazette Published: 6 hours ago Shoring up all those massive old structures of rusted steel and cracked concrete is keeping many qualified workers on the job this summer. In fact, 2008 is the costliest year ever for infrastructure renewal in the province. How costly? Just look out your car window. Ottawa and Quebec are spending $3.2 billion to fix bridges and overpasses and repair roads at 1,800 sites across Quebec, including several major projects around Montreal. What began with a tragedy - the September 2005 collapse of the de la Concorde Blvd. overpass in Laval, which killed five people - has turned into a massive, government-financed job boom. Motorists may curse, but the boom has been a godsend for those who, it might be said, need a break the most: new immigrants trying to snag a first job in their adopted land. Since January, The Gazette has been following the progress of six of them, all enrolled in an intensive civil-engineering diploma program of 17 students at CEGEP du Vieux Montréal, their costs covered by Emploi-Québec. They wrote their final exams in mid-July and started apprenticing at Montreal-area companies soon after. The unpaid "stages," as they're known in French, last four weeks. The students are keeping a daily log of the 120 hours they're on the job and will return to class at the end of the month to give a PowerPoint presentation summing up their experience. After that, by the end of September or early October, it'll be graduation time. And diploma in hand, the eager engineers will hit the job market, finally getting off government assistance and earning a decent salary. One of the most energetic of the bunch is Agaton Oba-Buya, a Congolese man who spent half his life in Russia before starting a new life here in the spring of 2006 with his Russian wife and their two children. These days the 44-year-old PhD in technical science - who also had an engineering company in his hometown, Brazzaville - wears the hard hat and workboots of Demix Construction, a Longueuil general contractor. He was hired as an apprentice at the firm's Laval office two weeks ago. For Oba-Buya, Quebec's infrastructure woes spell one word: Opportunity. "Le malheur des uns fait le bonheur des autres," he said with a grin this week, quoting Voltaire's famous maxim. It was Tuesday and Oba-Buya had just spent the morning observing repairs to the 55th Ave. overpass of Highway 520, in Dorval, on behalf of his employer, a unit of Ciment Saint-Laurent. There's plenty of good fortune to be made out of Quebec's antiquated infrastructure, and if Oba-Buya keeps up the good work - and the repair contracts keep coming, which no one doubts - there's a good chance he'll turn his apprenticeship into a full-time job. "There's been a great deal of demand for workers because of all these private-public partnerships, projects like Highway 25 (between Montreal and Laval) and Highway 30 (on the South Shore)," said his boss, Dominic Martel, who also took on three others from the CEGEP program this month. "Usually we make do with apprentices out of the university programs, but this summer that wasn't enough, so we jumped at the chance for more workers when the CEGEP called us," he said. "Agaton has an advantage. He has a driver's licence and a car, which means he can easily get to the sites we're working on," he added. "I'm very satisfied with him so far. He expresses himself well, knows the technical terms we use, speaks several languages. He's autonomous, this gentleman, and that's what we're looking for." Getting his foot in the door wasn't easy for Oba-Buya. He sent his CV to close to 80 companies before his apprenticeship supervisor at the college stepped in to help land him an interview at Demix. It was in the interview that he began to practise the fine art of being accommodating. "They told me what projects they're involved in, such as overpasses, aqueducts, asphalt, sewers and drainage, and they asked me which one I felt most qualified to work on. I had experience with dams in Russia, so maybe a drainage project would have been a good choice," recalled Oba-Buya. "But in the end, I just told them to put me wherever I could be useful to the company, and that's what they did." His first day, he got a 45-minute seminar on health-and-safety procedures - essential to the job. (Three years ago, Demix was fined for negligence by the CSST after one of its superintendents was struck by a dump truck and killed at a job along Highway 40 on the West Island. The site is not far from the Dorval site Oba-Buya visited this week.) After the safety course, the budding apprentice was given a mound of documentation to wade through: details of projects, client profiles, bids from subcontractors, cement specifications, ISO norms - "everything so he wouldn't be thrown into a work site and feel like a tourist," Martel said. But what struck Oba-Buya the most was how his boss made a point of introducing him to everyone in the building. To him, that meant he was welcome - something every immigrant dreams of but doesn't always get. "It impressed me a lot - the kindness, the smiles - from everyone, too. It made an important step - leaving my studies, starting a new phase - all that much easier." Then, at the end of the week, he was taken out into the field, to three sites, including the 55th Ave. site. The overpass is so decrepit, it is slated for demolition in 2010. In the meantime it needs to be properly repaired and supported so that traffic, as well as companies like Bell Canada and Vidéotron that have cables to tend to down there, can circulate safely. To that end, Demix and its subcontractors are installing 64 foundation pylons to prop up the overpass. Behind concrete barriers last Tuesday, the site appeared muddy and noisy, its workers' clothing smeared with dust and grime amid the din of generators and drilling machines. Later in the week, Oba-Buya had a choice of revisiting a project on Highway 25, dealing by phone and fax with an electrician subcontracted for a project on Highway 55, and learning billing techniques using Excel software - all tasks he looked forward to with optimism and good cheer. And why not? He's got a whole new life to look forward to. Fall is coming, a big season in Demix's business. The company's human-resources department will likely offer one-year contracts to some of its summer apprentices, Martel said - salaries for management jobs like the one Oba-Buya has his eye on being non-union and strictly negotiable. Now comes Step 2 in the art of being accommodating: Don't ask for too much. As a permanent resident to Canada, not yet a full citizen, Oba-Buya feels the humility of being a newcomer. From his Moscow days, he retains his Russian citizenship and passport (and speaks only Russian at home in Villeray), and that gives him pride. And he remembers being his own boss in Brazzaville, one more thing to be proud of. In this country, he's not holding out for a barrel of gold. He just hopes that come graduation, Demix will hire him as a technician in civil engineering, whatever the salary. "I'll take what they want to pay me," he said. "The money isn't important. The important thing is to get the work." jheinrich@thegazette.canwest.com THE QUEBEC DREAM: SIX STORIES. Look for Part 4 of this occasional series at the end of August, when reporter Jeff Heinrich checks back in with the students when they return to class to make a presentation about their apprenticeship experience - the final step before graduation. - - - Where they are now Since July 28, the 17 students in the CEGEP du Vieux Montréal's civil-engineering diploma program have been working as apprentices in various sectors. An asterisk (*) appears in front of the names of the six being followed by The Gazette: Real estate and buildings Le Groupe GENINOV Inc., Montreal: *Mohammed Tazi Mezalek, *Marie-Juline Jean-Baptiste and one other student. Construction EBC Inc., Brossard: *Hocine Merzouk, *Lady Alexandra Vega Contreras. Civil engineering Demix Construction (Ciment St-Laurent Inc.), Laval and Longueuil: *Agaton Oba-Buya and three other students. Geotechnical / materials / environment Groupe Qualitas Inc., Montreal: *Ahmed Gherbi. ABS Environnement Inc., Anjou: one student. Labo SM Inc., Longueuil: one student. Solmatech Inc., Repentigny: two students. Industrial engineering GCM Consultants Inc., Anjou: one student. Municipal City of Verdun: one student. Electricity distribution networks Transelec Common Inc.: one student. CEGEP du Vieux Montréal
  7. Aujourd'hui, je suis allé voir une amie du Cegep du Vieux-Montréal. Elle avait un examen, donc pendant ce temps, j'ai marché un peu. Je crois qu'ils ont nivelé finalement... Le monstre dort... Colisée (il me fascine encore toujours) Montmarte 333 sherbrooke Affiche du Swatow Vancouver ou Montréal? Solano Phase II Viger
  8. La Presse Le samedi 24 novembre 2007 La Maison du prêt d'honneur, cette résidence pour étudiants appartenant au cégep du Vieux-Montréal, fermera bientôt ses portes. La direction du cégep a accepté une offre d'achat de 10 millions pour cet édifice du centre-ville construit au coût de 23 millions. Après le dossier de l'UQAM et de l'îlot Voyageur, cette transaction pourrait obliger le gouvernement du Québec à épauler de nouveau un établissement d'enseignement à la suite d'une mésaventure immobilière. Le cégep du Vieux-Montréal prévoit à terme des pertes de 6,8 à 7 millions, somme qu'il demande à Québec de l'aider à éponger. «Nous sommes en négociations avec le gouvernement sur les façons dont ce déficit pourrait être récupéré, a confirmé à La Presse Nancy Duncan, directrice des finances du cégep. Québec est sensible à notre situation. Il faut tenir compte de la capacité limitée de paiement du cégep pour ne pas mettre en péril sa mission principale d'éducation.» Les ministères des Affaires municipales et de l'Éducation ont déjà accordé à ce projet des subventions totalisant quelque 9 millions. Le conseil d'administration du cégep a décidé à l'automne 2005 de mettre l'établissement en vente. Le budget de la résidence n'a jamais atteint l'équilibre. Après trois années d'exploitation, le déficit enregistré s'élevait à près de 2 millions. «Ce déficit n'est pas dû à une mauvaise gestion de la part du cégep mais s'explique plutôt par des facteurs indépendants de sa volonté», dit Mme Duncan. En 2001, la facture de la Maison du prêt d'honneur a fait un spectaculaire bond de 12 à 23 millions en raison d'une sous-évaluation des coûts et des frais associés aux retards importants dans la construction de la résidence, tandis que les revenus que le cégep comptait tirer d'une campagne de financement menée par la Fondation du prêt d'honneur ont été cinq fois moins élevés que prévu. Mme Duncan assure que le cégep du Vieux-Montréal n'a jamais puisé dans ses budgets de fonctionnement pour financer la résidence, mais que c'est pour éviter d'y être contraint qu'il s'en départ. Les baux respectés jusqu'à l'été En s'engageant dans la construction de la Maison du prêt d'honneur, située à l'angle des boulevards René-Lévesque et Saint-Laurent, le cégep du Vieux-Montréal voulait permettre à ses étudiants de se loger à faible coût non loin de leurs salles de classe. La résidence affiche présentement complet. Les baux de ses quelque 170 locataires seront respectés jusqu'à la fin du trimestre de l'hiver 2008. Une entente avec l'UQAM permettra l'an prochain à une cinquantaine d'étudiants de se reloger dans des résidences universitaires, dont les tarifs sont comparables. Le cégep assurera aussi un service d'aide au logement. «Offrir des logements abordables à nos étudiants nous tenait à coeur, mais il faut se rendre à l'évidence que le projet n'est pas viable. Et puis je ne pense pas qu'on puisse demander à un établissement d'enseignement de régler le problème du logement à Montréal», ajoute Mylène Boisclair, porte-parole du cégep. L'acquéreur du bâtiment, le groupe Cholette, ne dévoilera ses plans pour la Maison du prêt d'honneur qu'à la mi-décembre, après la signature de l'acte de vente notarié.
  9. 23 mars 2007 Voilà deux ans et demi que l'administration de John-Abbott cherche à vendre son terrain situé au cœur commercial de l'Ouest-de-l'Île, entre les édifices Merck Frosst et le Centre Fairview Pointe-Claire. C'est chose faite depuis lundi dernier, et c'est la compagnie Smart!Centres qui développera le site de Pointe-Claire. La vente s'est conclue par un montant brut de 30 570 000 dollars. Avec cet argent, John-Abbott veut construire un pavillon moderne pour ses programmes qui touchent la science et les nouvelles technologies. De nouveaux programmes pourraient aussi être offerts dans les prochaines années. Le collège aimerait aussi rénover certains de ses locaux actuels, car la plupart de ses bâtiments ont plus de cent ans. Le projet est présentement à l'état embryonnaire. «Maintenant, la balle est dans le camp du gouvernement. C'est lui qui pourra délivrer les autorisations nécessaires», explique Johanne Houle, aux communications du collège anglophone. Un autre mégacentre dans l'Ouest-de-l'Île? Smart!Centres est une compagnie ontarienne qui se spécialiste dans l'implantation des grandes surfaces. Et pour Pointe-Claire? Le projet est à l'étape préliminaire pour l'instant, la compagnie discute avec la municipalité, affirme-t-on à Smart!Centres. La ville confirme. «Pour l'instant à la ville de Pointe-Claire, il n'y a aucun projet qui a été déposé», explique l'urbaniste de la ville, France Gigère. La compagnie ne devrait pas avoir, en principe, trop d'entraves, parce que, selon le plan de zonage de la ville, ce terrain est dédié aux commerces et aux bureaux. Les quelques arbres qui sont situés à cet endroit feront donc bientôt place aux commerçants. Les centres que construit cette compagnie habituellement sont des mégacentres à aire ouverte, c'est-à-dire que chaque magasin a sa propre bâtisse. Ces constructions sont de plus en plus populaires en Amérique du Nord. Ces constructions sont caractérisées par l'utilisation de la voiture: elle est souvent nécessaire pour passer d'un magasin à l'autre. Smart!Centres s'est occupé de la construction du magasin à grande surface Wal-Mart qui a ouvert dernièrement à Vaudreuil-Dorion. À Kirkland, ils ont aussi développé le mégacentre près de l'autoroute 40, comprenant entre autres les magasins Wal-Mart et Brick. Encore plus d'étudiants Le cégep situé à Saint-Anne-de-Bellevue est très populaire, et accueille présentement 5600 étudiants réguliers et 2000 en formation continue. Sa population étudiante ne cesse d'accroître. Cette année encore, elle a augmenté de 1 %, malgré le fait que le programme d'entretien d'aéronefs a été aboli. Selon les chiffres du ministère de l'Éducation du Québec, environ 6200 étudiants réguliers pourraient envahir ce cégep d'ici 2012. C'est dans ce contexte que l'administration souhaite implanter un nouveau pavillon. À quoi servait le site de Pointe-Claire pour le cégep anglophone? «Depuis l'achat du parc immobilier de l'Université McGill en 2002, nous cherchions à le vendre pour libérer des fonds», explique Johanne Houle. Cette terre appartenait au cégep depuis 1972 et sa valeur a considérablement augmenté depuis. «L'intention à l'époque était de construire un campus à cet endroit», explique madame Houle. À l'époque, John-Abbott n'était pas propriétaire de ses locaux à Sainte-Anne-de-Bellevue, qui appartennaient à l'Université McGill. Entre 1973 et 1980, le campus du cégep est séparé en deux à cause de rénovations dans les locaux de Sainte-Anne-de-Bellevue, une partie des étudiants sont alors transférés dans un établissement de Kirkland. Finalement, la direction a décidé de se concentrer à Sainte-Anne-de-Bellevue. Le terrain de Pointe-Claire, toujours vierge, est devenu une source d'investissement.
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