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Données et actualités démographiques - Montréal / Montréal métropolitain


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^ Sometimes, I'm so ashamed to be from Montreal when we say things like that... It used to be that Torontonians were the ones that gloated endlessly (and put down everyone else) to the extent that everybody hated them. Now we are exactly the same as they are (or were). We should be above that here. All it does is reveal our insecurity about our own city...

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Montreal n'est pas à comparer à des villes US comme Toronto (oui toronto est juste another Us city)ceci définitivement car Montréal est au pire une ville bilingue au mieux une ville francophone (majoritaire)donc de facto cela réduit le potentiel immigration...et ce n'est pas grave c'est un choix du peuple,un choix de société,de la majorité..à quoi bon devoir refuser de rester francophone ou de se faire assimiler pour avoir 4..5..6.millions d'habitants et qu'on est plus chez soi?

Donc cessez de comparer des poires et des tomates....le potentiel souhaitable pour le Grand Montréal est de 4 millions 4.5 millions (vers 2030)pas plus..c'est largement suffisant ..garder la majorité francophone à tout prix et que les anglophones pas contents et bien aillent vivre ailleurs..imagine t'on de demander aux Lyonnais ou Genevois de perdre leur langue et de dégager de chez eux pour faire place à une communauté linguistique ?ca va pas non?C'est quoi cette forme de fascisme?Y en a qui ont fait cela prendre la terre des autres...du coté d ela palestine on voit le résultat.

Montreal est francophone et nous ferons TOUT pour quelle le reste ...cqfd

Que ceux qui veulent vivre dans 'another big US city' aillent donc à TO ou ailleurs ....on va pas les regretter

 

encore la, jvois mal comment le caractere francophone de montreal est incompatible avec le style 'americain', peut-etre qu'on a oublier sur quel partie du globe on vit je sais pas ..

 

c'est sur que l'immigration ne viendra pas ici naturellement et c'est vrai qu'il faut proteger la francophonie de montreal .. mais c'est pas comme s'il n'existait pas une multitudes de differentes cultures a travers le monde qui parlent deja le francais ou sont plus facilement assimilable comme telles, comme des peuples d'afrique, des haitiens, des pays du magrebe, l'amerique latine, l'espagne, le vietman ... le gouvernement devrais mettre les bouchees doubles pour tenter d'attirer cette immigration la pour qu'elle ne choissise pas toronto ou new york par dessus montreal.

 

et 4.5 millions en 20 ans, j'espere que tu rigole .. ca serait bien creve faim comme augmentation .. on est a toute fins pratiques deja a 4 ..

 

tu parles de degager pour faire de la place aux communautes linguistiques .. premierement, moi j'ai pas de probleme avec les 'communautes linguistiques', en autant que la langue commune soit le francais. et c'est pas si impossible que ca: dans mon quotidien, je travail avec un paquet de gens de bien des endroits, et c'est plus souvent le francais qu'ils vont choisir pour communiquer entre eux, croyez le ou non.

 

immigration n'egal pas necessairement anglicisation.....

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et 4.5 millions en 20 ans, j'espere que tu rigole .. ca serait bien creve faim comme augmentation .. on est a toute fins pratiques deja a 4 ..

 

JE crois qu'un chiffre réaliste serait entre 4.6 et 4.8 millions. Nous sommes présentement à 3.8 millions...donc on parle de 800,000 à 1,000,000 de nouveaux gens en 20 ans. (40,000 à 50,000 par année)

 

Bien honnêtement, je me trouve très optimiste avec mes chiffres...la réalitée est que Montréal en 2030 aura une population de 4.5 millions (augmentaton de 700,000 personnes sur 20 ans - 35,000 par année)

Modifié par Habsfan
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Victor Piché

 

L'auteur est professeur honoraire au département de démographie de l'Université de Montréal et chercheur à la chaire Oppenheimer en droit international public de l'Université McGill.

Cyberpresse

 

 

Quand je suis arrivé au Québec dans les années 60, j'étais un immigrant en provenance du nord de l'Ontario. Mes parents franco-ontariens tenaient à nous élever en français et je me suis rapidement identifié au courant nationaliste ethnique.

 

Si, à l'époque, j'ignorais l'existence même de cette terminologie, j'ai vite compris que les Canadiens-français (on ne disait pas encore Québécois) du Québec se trouvaient dans une situation de colonisés. C'est l'époque où les regrettés sociologues Jacques Dofny et Marcel Rioux parlaient de classe ethnique, les Canadiens-français se retrouvant au bas de l'échelle socio-économique. J'en suis même arrivé à comprendre les motivations derrière les revendications du FLQ.

 

Les années 70-80 allaient tout chambarder. Le PQ prend le pouvoir, l'affirmation du fait français prend son envol avec la loi 101. La fierté nationale est à son comble, les Canadiens-français devenus Québécois prennent leur place dans leur société jusqu'à renverser les tendances séculaires et éliminant les disparités socioéconomiques entre francophones et anglophones.

 

C'est également une période où le visage français de Montréal s'affirme. On oublie parfois à quel point il était difficile de se faire servir en français dans le Montréal des années 60 et 70. C'est aussi la période où le Québec veut poursuivre ses propres objectifs en matière d'immigration et d'intégration. Période qui voit l'immigration devenir un enjeu important pour la construction du Québec de demain. Il en ressort un Québec plus diversifié et plus cosmopolite.

 

 

Devant cette nouvelle réalité, résultat d'un choix délibéré, le Québec opte pour le pluralisme. De nationaliste ethnique, je deviens, comme beaucoup d'autres, nationaliste civique. J'entre de plain-pied dans le courant pluraliste.

 

Est-ce à dire que j'ai évacué l'histoire commune du Québec et que je ne reconnais plus les repères identitaires majoritaires? Pourtant, je suis toujours souverainiste. Il aurait pu en être autrement, car je n'ai jamais considéré l'indépendance du Québec comme une fin en soi. Certes, il est vrai que les raisons à la base de mon nationalisme ethnique n'existent plus. Je constate également que le projet actuel de souveraineté n'arrive pas à convaincre la majorité des francophones du Québec, encore moins les allophones, sans parler évidemment des anglophones.

 

Comme démographe, je me suis à maintes reprises opposé à l'utilisation d'indicateurs linguistiques à fort contenu ethnique (la langue maternelle ou la langue d'usage à la maison) comme indicateurs de la situation de la langue française au Québec, en répétant qu'à partir du moment où le Québec énonce une politique de francisation de la sphère publique, les vieux indicateurs linguistiques à consonance ethnique n'ont plus leur place.

 

Combien de fois ai-je été accusé de traître à la nation! Comme s'il n'était pas possible de concilier l'approche civique et pluraliste avec le projet souverainiste. Entre parenthèses, je voudrais juste dire ceci aux critiques du nationalisme civique qui nous accusent d'évacuer l'histoire: ils n'ont pas le monopole de la rectitude historique, car le nationalisme civique a également caractérisé une partie importante de l'histoire du Québec, dont celle des Patriotes!

 

Le nationalisme civique constitue-t-il vraiment une impasse du point de vue de l'affirmation nationale? Je pense que non. Depuis au moins les années 90, il y a un large consensus au Québec concernant le projet collectif de construire une société francophone. Si ce projet est actuellement compromis ? et je crois qu'il l'est relativement parlant ? cela n'a rien à voir avec l'immigration.

 

Le jour où le nationalisme québécois saura s'affranchir de la «menace immigrante», il pourra commencer à élaborer un projet rassembleur. Ce projet, je l'ai dit, tourne autour de la volonté de vivre en français au Québec tout en respectant la diversité. Or, la plus grande menace au «vivre en français» ne vient pas de l'immigration ni du courant pluraliste. Il vient de l'extérieur et est lié au phénomène de la mondialisation, de ses effets sur la langue de travail et des ententes multilatérales qui en découlent.

 

Or ? et c'est là le fondement même de mon option souverainiste ? on ne peut pas s'attendre à ce que le gouvernement fédéral soit porteur de ce projet francophone sur la scène internationale. Il ne s'agit pas ici de personnaliser le débat et faire encore une fois des fédéralistes de méchants comploteurs voulant mettre le Québec à sa sauce multiculturelle, mais de prendre acte que le gouvernement fédéral a tout simplement d'autres intérêts à défendre.

 

Je crois qu'une majorité de Québécois de toutes origines pourra s'associer à un projet dont la finalité est l'union face à la menace externe et être convaincue que le gouvernement du Québec est le meilleur interlocuteur pour défendre une francophonie non seulement québécoise mais mondiale.

 

En ignorant les changements profonds de la société québécoise et surtout des politiques québécoises consensuelles depuis plus de 20 ans, le courant antipluraliste ne contribuera qu'à renvoyer le projet de souveraineté dans la marginalité.

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  • 3 semaines plus tard...
http://www.stat.gouv.qc.ca/donstat/societe/demographie/dons_regnl/regional/ra_total.htm

 

What was all of this talk of the Island of Montreal losing population, then? Even the revised numbers show a moderate year-by-year gain. Even the city proper gained population, and now stands at 1,667,000, up from 1,620,000 in 2006, if I'm not mistaken.

 

All in all this is decent news. Add St. Jean-sur-Richelieu to the CMA, and we're almost at 4 million!

 

 

The Island of Montreal is slowly going back to it's late 60s population.

 

 

 

 

L'autre jour j'avais un vieux document municipal (j'ai oublié le nom) dans les mains, qui contenait ces statistiques que j'ai notées :

 

......... Île de Montréal ....................... Région de Montréal

 

1961 - 1 739 932 (467 616 ménages) ..... 2 098 926 (548 885 ménages)

1966 - 1 918 231 (549 474 ménages) ..... 2 429 468 (667 038 ménages)

1971 - 1 955 375 (609 309 ménages) ..... 2 569 398 (766 116 ménages)

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......... Île de Montréal ....................... Région de Montréal

 

1961 - 1 739 932 (467 616 ménages) ..... 2 098 926 (548 885 ménages)

1966 - 1 918 231 (549 474 ménages) ..... 2 429 468 (667 038 ménages)

1971 - 1 955 375 (609 309 ménages) ..... 2 569 398 (766 116 ménages)

 

1961 - 1 739 932 (467 616 ménages) - 3.7 p/ménages

1966 - 1 918 231 (549 474 ménages) - 3.5 p/ménages

1971 - 1 955 375 (609 309 ménages) - 3.2 p/ménages

 

1961 - 2 098 926 (548 885 ménages) - 3.8 p/ménages

1966 - 2 429 468 (667 038 ménages) - 3.6 p/ménages

1971 - 2 569 398 (766 116 ménages) - 3.4 p/ménages

 

Shows the trend in one decade of smaller families and people living single for longer.

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......... Île de Montréal ....................... Région de Montréal

 

1961 - 1 739 932 (467 616 ménages) ..... 2 098 926 (548 885 ménages)

1966 - 1 918 231 (549 474 ménages) ..... 2 429 468 (667 038 ménages)

1971 - 1 955 375 (609 309 ménages) ..... 2 569 398 (766 116 ménages)

 

Population growth for Montreal region between 1961 and 1966: 330,542 or an average of 66,108 per year.

 

Population growth for Montreal region between 1966 and 1971: 139,930 or an average of 27,986 per year.

 

A huge drop!

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