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Membres prolifiques

:thumbsdown: A voir tous ces titres chocs, on sent bien que ce magazine se tourne de plus en plus vers la droite, en ne se contentant pas d'informer mais plutôt "d'éduquer" à partir de ses valeurs et sa vision du monde. C'est une tendance croissante en Amérique du Nord où plusieurs médias tentent d'influencer leur public respectif en le formatant aux idées conservatrices. Leur méthode: frappé l'imaginaire collectif par le sensationnalisme.

 

On ne vous fournit plus seulement la nouvelle mais on vous dira surtout quoi en penser, à la télé, dans les journaux et autres médias de masse. Une dérive journalistique anti-professionnelle, dans le sens noble du terme, et dangereuse pour la liberté d'expression si elle se généralise davantage. Bien sûr le phénomène n'est pas nouveau, mais il prend une expansion partout en prétendant représenter la majorité silencieuse qui, elle, s'abreuve inconsciemment à ses sources convaincue de la vérité absolue des propos qui y sont véhiculés.

 

C'est là où il est important justement de pouvoir s'informer à partir de plusieurs sources, pour pouvoir départager les opinions et les croyances des faits réels et cela de la manière la plus objective possible. Heureusement il y a aussi un contrepoids nouveau dans le paysage médiatique, celui là difficilement contrôlable parce que trop dispersé à travers les milliers de forums, blogues et médias sociaux.

 

L'internet a donné une voix à tous ceux qui choisissent l'indépendance d'esprit et des idées, pourvu, bien sûr, qu'il ne soit pas censuré comme dans certains pays. C'est un peu la planche de salut du monde démocratique qui garantit l'existence de la pluralité des idées et des opinions et leur circulation libre dans toute la cybersphère.

 

On aura jamais trop de moyens pour combattre le nivellement par la bas de l'actualité et la politique en général. Les gros conglomérats médiatiques sont puissants et envahissent insidieusement toutes les sphères de la société moderne, pour mieux en exploiter la vulnérabilité et, bien sûr, en tirer au passage le maximum de profit pour leurs actionnaires. Une attitude immorale qui s'attaque aux plus faibles et aux plus démunis en manipulant les esprits, et qu'importe les conséquences pourvu qu'il y ait de l'argent à faire en bout de ligne.

 

Le monde a changé, mais une chose demeure, la cupidité qui se renouvelle constamment, en créant de nouveaux moyens pour mieux profiter de la naïveté des gens. Ils veulent leur "bien" et ils l'auront, si on perd notre vigilance. C'est donc à chacun de demeurer alerte en luttant contre cette domination médiatique, à la Maclean's et autres du même acabit, pour protéger le dernier territoire personnel qu'il nous reste, notre indépendance d'esprit.

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:thumbsdown: A voir tous ces titres chocs, on sent bien que ce magazine se tourne de plus en plus vers la droite, en ne se contentant pas d'informer mais plutôt "d'éduquer" à partir de ses valeurs et sa vision du monde. C'est une tendance croissante en Amérique du Nord où plusieurs médias tentent d'influencer leur public respectif en le formatant aux idées conservatrices. Leur méthode: frappé l'imaginaire collectif par le sensationnalisme.

 

On ne vous fournit plus seulement la nouvelle mais on vous dira surtout quoi en penser, à la télé, dans les journaux et autres médias de masse. Une dérive journalistique anti-professionnelle, dans le sens noble du terme, et dangereuse pour la liberté d'expression si elle se généralise davantage. Bien sûr le phénomène n'est pas nouveau, mais il prend une expansion partout en prétendant représenter la majorité silencieuse qui, elle, s'abreuve inconsciemment à ses sources convaincue de la vérité absolue des propos qui y sont véhiculés.

 

C'est là où il est important justement de pouvoir s'informer à partir de plusieurs sources, pour pouvoir départager les opinions et les croyances des faits réels et cela de la manière la plus objective possible. Heureusement il y a aussi un contrepoids nouveau dans le paysage médiatique, celui là difficilement contrôlable parce que trop dispersé à travers les milliers de forums, blogues et médias sociaux.

 

L'internet a donné une voix à tous ceux qui choisissent l'indépendance d'esprit et des idées, pourvu, bien sûr, qu'il ne soit pas censuré comme dans certains pays. C'est un peu la planche de salut du monde démocratique qui garantit l'existence de la pluralité des idées et des opinions et leur circulation libre dans toute la cybersphère.

 

On aura jamais trop de moyens pour combattre le nivellement par la bas de l'actualité et la politique en général. Les gros conglomérats médiatiques sont puissants et envahissent insidieusement toutes les sphères de la société moderne, pour mieux en exploiter la vulnérabilité et, bien sûr, en tirer au passage le maximum de profit pour leurs actionnaires. Une attitude immorale qui s'attaque aux plus faibles et aux plus démunis en manipulant les esprits, et qu'importe les conséquences pourvu qu'il y ait de l'argent à faire en bout de ligne.

 

Le monde a changé, mais une chose demeure, la cupidité qui se renouvelle constamment, en créant de nouveaux moyens pour mieux profiter de la naïveté des gens. Ils veulent leur "bien" et ils l'auront, si on perd notre vigilance. C'est donc à chacun de demeurer alerte en luttant contre cette domination médiatique, à la Maclean's et autres du même acabit, pour protéger le dernier territoire personnel qu'il nous reste, notre indépendance d'esprit.

How exactly is Maclean's becoming a right-wing magazine? Did you not notice those covers insulting President Bush?? Conservatives don't needlessly bash the former President in that way. Conservatives would never in their lives call him the worst president in the last 100 years and would certainly NEVER compare him to Saddam Hussein. Canadian Conservatives don't believe that America is a 3rd world country either. That is work of the left.

Modifié par MTLskyline
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i have long thought that canada is very fertile ground for a non-populist right-wing political party. we're not tea partiers -- our conservative tradition has always been more, well, traditional. more elitist.

 

we are, after all, the country that didn't join the (radical at the time) american revolution. we're conservative by temperament, if not -- at least at the moment -- politically.

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By Chantal Hébert

National Columnist

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MONTREAL

 

According to the editors of Maclean’s magazine, Quebecers deserve better than governments mired in corruption allegations.

 

On this at least the Toronto-based magazine and the majority of Quebecers happen to agree.

 

Indeed, long before Maclean’s invested itself with the ultimately failed journalistic mission of outing Quebec as the most corrupt province in Canada, Jean Charest’s Liberal regime had become a long shot for re-election.

 

But in a spirit of consistency, will Maclean’s also encourage Quebecers to turn to the Parti Québécois in the next provincial election?

 

If that were the case, the editors of the magazine would be demonstrating an uncommon amount of abnegation on behalf of their readers for precious few Canadians crave for a return to the unity wars of the ‘80s and ‘90s.

 

Achieving sovereignty may seem like a long shot these days but that hardly means business as usual would follow a return of the PQ to power.

 

Caught in the long game of Quebec politics, Quebecers are routinely called upon to balance their natural desire to punish their governments for their failings with the consequences of their vote on the larger debate over the province’s political future.

 

No other group of voters in Canada faces a choice that is quite as stark. And none gets as much free and virtually unanimous outside advice.

 

Over the past decades, it is hard to think of a single English-language editorial that did not encourage Quebecers to pick whatever the federalist camp had on offer federally and provincially, regardless of its comparative merits or lack thereof.

 

As things stand today, choosing between a fatigued and increasingly discredited federalist party and one committed to rekindling the language and the sovereignty debates will be the choice on the next Quebec ballot.

 

Faced with the same options in the past, and much to the relief of most non-Quebec commentators, a significant number of Quebecers have opted to hold their noses and continue to support the federalist option on the ballot.

 

In last year’s Montreal municipal election, incumbent mayor Gérald Tremblay overcame a campaign plagued by corruption allegations in no small part because a critical mass of Montrealers could not stomach the thought of putting their city in the hands of Louise Harel, a former sovereignist minister with limited English, for four years.

 

Despite daily negative headlines stemming from a provincial public inquiry into the judicial nomination process, the Charest Liberals won a decisive by-election victory in Montreal last month. Rather than turn to a less federalist candidate, 80 per cent of the voters of the provincial riding of Saint-Laurent stayed home; Liberal minister Jean-Marc Fournier sailed to re-election with 63 per cent of the vote.

 

As things stand now, the victory by default of the PQ in the face of significant federalist abstention is the most probable outcome of the next Quebec election.

 

A rebirth of Jean Charest’s fortunes or of those of his Liberal party under a new leader is probably the least likely.

 

But the only real certainty is the nature of the spin that will be put on some of the morning-after headlines.

 

If the federalist Liberals win, Quebecers will be deemed to have turned a blind eye to a disquieting amount of allegations of corruption. In the more likely scenario of a PQ victory, they will be deemed to have snubbed Canada.

 

One can only wonder how my fellow At Issue pundit Andrew Coyne would cast his vote in that election without tripping on the “roots of corruption” that he is convinced run so particularly deep in Quebec.

 

http://www.thestar.com/news/canada/article/868717--hebert-where-would-maclean-s-have-quebecers-turn

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