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Wow ,qu elle trés bonne nouvelle WestAust, que je suis content de cette investissement que je l attend depuis longtemps ,les tracés du tramway sont trés intréssent ,l idéé de passer l autocard dans le tracé est une idéé intélligente ,pour les couts aussi je suis content que ca va couter moin puisque au havre ils n ont pas besoin ni d un pont ni de viaduc et en plus de ca ,la voie de la CN qui n est pas utiliser ca va aider beaucoup ,maintenant comme eux moi aussi j éspére que le gouvernement fédéral soit convaincu d investir des sommes significatives dans le développement de Montréal.

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La Presse Le jeudi 12 avril 2007

 

Les arrondissements de Lachine, LaSalle et du Sud-Ouest ont signifié à l'administration montréalaise leur souhait de voir se réaliser, dès que possible, une ligne de tramway le long du canal de Lachine où l'emprise utilisée jadis par des voies ferrées du CN et du CP pourrait connaître une seconde vie.

 

Ancien responsable du Transport à la Ville de Montréal, le maire de Lachine, Claude Dauphin, en a fait part à La Presse, mardi soir, lors du conseil d'arrondissement. «Nous avons écrit à André Lavallée, responsable du prochain plan de transport de Montréal, pour lui dire que cette ligne de tramway, le long du canal, serait très importante pour ce secteur où se sont matérialisés de nombreux projets immobiliers, résidentiels et commerciaux.»

 

M. Dauphin espère que cette ligne fera partie des priorités du plan de transport qui sera dévoilé en mai par André Lavallée, d'autant plus que les voies sont déjà en place dans ce territoire longtemps industrialisé. Les bords du canal ont accueilli entre Lachine et Saint-Henri une ligne de tramway entre la fin du XIXe siècle et le milieu du XXe. Au milieu des années 90, une firme privée s'était même montrée intéressée à en créer une sur la rive sud du canal.

 

«Ce serait intéressant pour LaSalle car le métro s'arrête aux limites de notre arrondissement, dit la mairesse Manon Barbe. On est un peu enclavé géographiquement et on cherche à avoir un accès rapide au futur CHUM.» La mairesse de LaSalle voit donc d'un bon oeil la création de la ligne du Havre qui permettra de se rendre du bassin Peel au site du CHUM par la rue de la Commune et la rue Berri.

 

«Ce serait bien d'avoir une ligne le long du canal qui se connecterait à celle du Havre, dit-elle. Mais je comprends que la première phase concernera le centre-ville, même si, nous aussi, nous avons toutes les infrastructures en place, ce qui réduit les coûts. En tout cas, c'est un beau projet structurant et de le voir poindre, on se dit qu'on voit enfin la lumière au bout du tunnel!»

 

Déjà comblé par le projet de tramway du Havre, l'arrondissement de Ville-Marie n'a pas fait de démarches pour vanter celui qui relierait le Vieux-Port au parc Jean-Drapeau. «Nous suivrons les propositions du plan de transport de M. Lavallée», a dit, hier, Jean-Yves Duthel, responsable de communications de Ville-Marie.

 

Quant à Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, l'arrondissement a si hâte de voir se réaliser la transformation de la rue Notre-Dame, du pont Jacques-Cartier jusqu'à l'autoroute 25, qu'il ne veut pas qu'un projet de tramway éloigne le début des travaux. «Nous sommes l'arrondissement résidentiel le mieux pourvu en stations de métro avec neuf, dit le conseiller de MHM, Laurent Blanchard. On n'est donc pas brimés en transports en commun rapides vers le centre-ville et on ne veut pas que le tramway serve d'alibi pour retarder encore les travaux.»

 

Récemment, une entente est intervenue entre les professionnels de la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec sur la transformation de la rue Notre-Dame. Les élus montréalais n'attendent plus que le O.K. du nouveau ministre des Transports (à être nommé prochainement) pour que débute ce chantier annoncé à maintes reprises depuis 30 ans, et notamment par Jean Charest, il y a deux ans.

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(Le samedi 14 avril 2007)L'organisme Les Amis de la montagne va demander à la Ville de Montréal de considérer un prolongement de la ligne de tramway du Havre jusqu'au mont Royal afin de réduire le nombre de véhicules qui y circulent.

 

Comme La Presse l'a écrit au début de la semaine, le projet de tramway dans le Vieux-Montréal figurera dans le Plan de transport de la Ville, qui sera dévoilé le mois prochain. La ligne pourrait aller de Berri-UQAM au square Dorchester en passant par la rue de la Commune et la rue Peel.

 

Les Amis de la montagne proposent de ne pas arrêter le tramway rue Peel, au coin de la rue Sainte-Catherine, mais de le prolonger au nord jusqu'à l'avenue des Pins. L'organisme va écrire au conseiller municipal André Lavallée, responsable du Plan de transport, pour lui faire part de cette recommandation.

 

«Cette entrée importante du parc du mont Royal va être bientôt réaménagée par la Ville, dit Sylvie Guilbault, directrice générale des Amis de la montagne. Elle est d'autant plus importante qu'on veut réduire la circulation sur la montagne et favoriser l'entrée dans le parc pour les piétons. On n'a pas fait d'étude de faisabilité pour que le tramway puisse monter la côte, mais il y en a un à San Francisco, donc ça se fait.»

 

Les Amis de la montagne considèrent que leur proposition est en accord avec le plan d'urbanisme de Montréal, qui veut améliorer l'accessibilité piétonne et cycliste au mont Royal. Elle concorde surtout avec le Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise. Ce plan regroupe 76 partenaires de la Ville de Montréal, et les Amis de la montagne en font partie.

 

Dans la phase 2007-2009 de ce plan, dévoilé le mois dernier, une des actions s'intitule «Minimiser la circulation automobile sur le mont Royal (chemins Camillien-Houde et Remembrance)». Elle consiste à implanter des mesures qui permettront de réduire la circulation automobile sur le mont Royal, surtout la circulation dite de transit, c'est-à-dire celle qui a lieu la semaine aux heures de pointe.

 

De nombreux automobilistes utilisent en effet la montagne comme raccourci afin d'éviter le chemin de la Côte-Sainte-Catherine ou le chemin de la Côte-des-Neiges, très souvent encombrés en début et en fin de journée. Le mont Royal est un site du patrimoine de Montréal, un arrondissement historique et naturel, et un écoterritoire. Les Amis de la montagne souhaitent donc qu'on réduise la circulation locale. «On a quand même quatre voies au milieu du parc, dit Mme Guilbault. De plus, l'autobus 11 dessert très mal la montagne. C'est toujours le premier autobus qui est annulé quand il y a un peu de neige ou que c'est glissant. Le transport en commun est donc important pour la montagne.» En prolongeant la ligne de tramway jusqu'à l'avenue des Pins, on fournirait en plus un accès plus facile au transport en commun pour les nombreux étudiants du campus de l'Université McGill.

bilde?Site=CP&Date=20070414&Category=CPACTUALITES&ArtNo=704140805&Ref=AR&Profile=6048&MaxW=700Cette maquette grandeur nature a donné l'automner dernier un avant-goût aux Montréalais de l'allure que pourrait avoir le nouveau tramway du Havre. Aucune étude de faisabilité n'a été menée pour déterminer si le tramway est assez puissant pour grimper la côte menant au mont Royal.

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La Presse Le mercredi 18 avril 2007

 

Martin Lemay, le député péquiste de la circonscription de Sainte-Marie-Saint-Jacques, à Montréal, va faire des démarches auprès du nouveau gouvernement de Jean Charest pour qu'il appuie financièrement la création du tramway du Havre de sorte que ce dernier soit gratuit.

 

«Je suis prêt à faire les efforts nécessaires pour que Québec reconnaisse l'importance stratégique du centre-ville de Montréal, dit-il à La Presse. Cela prend un circuit au centre-ville pour les touristes, les gens d'affaires, les étudiants et les résidants. La gratuité du tramway existe aux États-Unis. Alors, on n'invente rien.»

 

M. Lemay dit que la création d'une première ligne de tramway à Montréal est un «geste concret en faveur de l'environnement et de la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre», geste que le gouvernement Charest doit prendre en considération, dit-il.

 

«Il s'agit d'un service accessible à tout le monde qui permet de diminuer le nombre de voitures au centre-ville, dit-il. Nous sommes 20 ans en retard, alors il faut agir et Québec doit intervenir. Le gouvernement a reçu 300 millions du fédéral. De plus, il y a le Plan vert. Donc je vais faire en sorte que Québec participe à ce projet.»

 

M. Lemay souhaite, comme Charles Lapointe, le président-directeur général de Tourisme Montréal, que l'autobus qui empruntera temporairement la future ligne du tramway du Havre soit mis en service dès que possible. Toutefois, la Société de transport de Montréal dit qu'il faut, même quand on veut aller vite, faire des aménagements avant de créer une nouvelle ligne d'autobus.

 

«Nous faisons partie d'un comité de travail formé dans le cadre du projet de la Société du Havre, dit Odile Paradis, responsable des communications à la STM. Nous allons donc évaluer les différents scénarios possibles et, si on a les infrastructures et le financement, on ira de l'avant avec cette desserte-là. Mais ce n'est pas encore planifié pour cet été, car il faut faire les aménagements nécessaires, et ce n'est pas si simple.»

 

Le responsable du Transport au comité exécutif de Montréal, André Lavallée, estime quand même que la STM peut implanter cette ligne de bus cet été. «On a déjà créé une ligne temporaire entre les rues Berri et de la Commune lors des célébrations du 350e anniversaire de Montréal, en 1992, dit-il. La STM peut facilement la mettre en place, ce qui va aider les touristes, qui ont parfois de la difficulté à atteindre le Vieux-Montréal, notamment le musée de la Pointe-à-Callière.»

 

Martin Lemay ajoute que cette ligne d'autobus «ne coûtera pas une fortune» et qu'il faut «recoller dès que possible le Vieux-Montréal au centre-ville». Selon lui, cette ligne d'autobus, et bientôt de tramway, plaira à de nombreux Montréalais qui pourront laisser leur auto au garage pour leurs déplacements locaux.

 

«J'ai l'honneur d'avoir fait deux campagnes électorales en moins d'un an et je peux vous dire qu'un réseau de tramway au centre-ville est accueilli favorablement par les citoyens et les commerçants, dit-il. Ils sont enthousiasmés par la perspective de ce nouveau service.»

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un tramway oui, gratuit je suis pas sur...

 

ca reste un mode de transport en commun comme les autres, et a ce que je sache le metro ni l'autobus de sont pas gratuit, pourquoi est ce que celui la devrait l'Etre

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je ne crois pas que ce Tramway devrait être gratuit. Pourquoi créer d'autre dépenses pour le gouvernement. Nous sommes assez endettés comme ça. Il faut charger un prix raisonnable...genre 50¢ par passager...juste pour dire que le système puisse s'auto-financer!

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je ne crois pas que ce Tramway devrait être gratuit. Pourquoi créer d'autre dépenses pour le gouvernement. Nous sommes assez endettés comme ça. Il faut charger un prix raisonnable...genre 50¢ par passager...juste pour dire que le système puisse s'auto-financer!

 

Entierement daccord avec toi ,pourquoi le faire gratuit surtout que nous sommes assez endettés et en plus de ca ,ca va nous empecher de projeter la ligne ,mais encourager le monde a laisser leur voitures et prendre le transport en commun on peut méttre un prix résonable comme ta dit toi.

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23 avril 2007 Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, s’enflamme quand il parle d’étalement urbain, d’exode des jeunes familles ou du tout-à-l’automobile.

Son parti, dont le quartier général occupe un étage de sa maison, à quelques pas de l’hôtel de ville, propose ni plus ni moins qu’une révolution comme seul le maire Drapeau en avait le secret: celle du Nouveau-Tramway.

 

Quatre décennies après l’érection du métro de Montréal, l’urbaniste et ex-employé de l’Agence métropolitaine de Montréal, veut, lui, créer un réseau de tramway dont les tronçons totaliseraient 250 kilomètres !

 

Ensensé par les uns, ridiculisé par les autres, le projet de 10 à 15 milliards de dollars, transformerait Montréal en un gigantesque chantier pendant 20 ans.

 

Selon M. Bergeron, le Nouveau-Tramway redéfinirait la Ville en plus de retenir, sinon de ramener bon nombre de Montréalais contraints à l’exil, la ville ne répondant pas à leurs besoins.

 

« C’est toujours une technologie de transport qui détermine la forme et l’organisation d’une ville. Nous proposons de recourir au Nouveau-Tramway pour contrer la ville conçue en fonction de l’automobile. Plus de 250 villes, de partout sur la planète, même aux États-Unis, ont des lignes de tramway modernes. C’est la révolution et Montréal y échappe pour le moment », clame M. Bergeron.

 

Pour lui, le Nouveau Tramway s’inscrit comme un projet structurant au même titre que le métro aménagé dans les années 1960 et 1970. « Le calibre de décision qu’on a à prendre pour le tramway est exactement le même qu’à l’époque du métro. C’est un grand équipement structurant, qui va changer l’évolution de la ville de manière significative et qualitative. Je dis aux gens, devenons plus raisonnables et sortons-nous des griffes de l’industrie pétrolière. »

Et le financement ?

Richard Bergeron croit qu’il faut aménager le réseau de tramway en même temps qu’on refait les infrastructures souterraines.

« Pourquoi personne ne réagit quand on dit qu’on va mettre 10 milliards dans les tuyaux et que la même somme investit pour un tramway, qui dépolluerait et changerait notre vie, c’est trop cher ? »

 

M. Bergeron croit aussi qu’il faut construire des unités d’habitation qui répondent aux besoins des familles, créer des espaces verts et des aires de jeux à même les projets résidentiels. « Il faut faire ça en même temps qu’on crée le Nouveau-Tramway. L’automobile pour tous, ça a été un rêve qu’on a poussé jusqu’au bout. On se rend compte maintenant de son côté absurde, de l’apartheid social qu’elle génère et le pétrole à bon prix, c’est fini ça. »

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