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Commanditaires recherchés pour les lignes de métro

23 novembre 2010 | 18h41

 

 

 

Jean-Louis Fortin

Agence QMI

 

« Quatre lignes du métro de Montréal recherchent partenaires commerciaux. La collaboration doit être discrète et de bon goût. Les entreprises doivent s’engager à faire la promotion du transport en commun. Compensation financière à discuter. »

 

 

Voici, en version fortement simplifiée, le souhait de la Société de transport de Montréal (STM), qui prévoit bientôt associer chacune de ses lignes de métro à un partenaire commercial, afin d’augmenter ses revenus. Elle lancera d’ailleurs un appel d’offres en ce sens avant Noël.

 

Mardi, lors d’une présentation technique de deux heures réservée à quelques journalistes, la STM a dévoilé les grandes lignes de son projet de partenariats avec des entreprises privées.

 

« On voulait calmer les choses », a expliqué le directeur général de la STM, Yves Devin, à propos des rumeurs alarmistes qui circulaient depuis quelques jours, voulant que les stations soient renommées au nom de commanditaires.

 

« Il n’est pas question qu’on vende le nom des stations, le nom des lignes, ou qu’on change les couleurs », a-t-il déclaré de façon catégorique.

 

Doubler les revenus commerciaux

 

Selon une esquisse présentée aux médias, le logo des commanditaires serait apposé à côté de celui des lignes, sur tous les plans du métro et sur la signalisation sur les quais.

 

L’habillage visuel final sera déterminé de concert avec les firmes intéressées. « On veut éviter les débordements, c’est pour ça qu’il y a des experts qui nous accompagnent », a précisé Yves Devin.

 

La STM ne veut pas dire quelle somme elle espère récolter de ces partenariats, qui seront signés pour dix ans. Par contre, elle espère que ses revenus qui proviennent d’ententes commerciales passeront de 17 millions $ à 40 millions $ par année, d’ici 5 ans.

 

La collaboration avec les partenaires privés sera gérée par Transgesco, la société en commandite qui administre déjà les contrats d’affichage dans le métro et les autobus, entre autres.

 

Trompeur, dit Richard Bergeron

 

La transparence de cette organisation est remise en question par Richard Bergeron, le chef de Projet Montréal, qui croit que les chiffres présentés mardi par la STM sont une tromperie.

 

Selon lui, les ventes de Transgesco sont en réalité de 40 à 50 millions $ par année, et non d’environ 27 millions $ annuellement depuis 6 ans, comme l’affirme la STM.

 

« Est-ce qu’on peut avoir le vrai chiffre? Si c’est le vrai prix, on se fait avoir royalement », a-t-il dit mardi, après avoir pris connaissance du contenu de la présentation.

 

Selon lui, la « nuée de 11 ou 12 entreprises » sous Transgesco, et leurs états financiers, n’ont pas été éclaircis par « l’opération de relations publiques » effectuée mardi par la STM.

 

Yves Devin, de son côté, assure que son organisation effectue régulièrement des comparaisons avec d’autres sociétés de transport dans le monde, pour s’assurer qu’elle fait une bonne affaire avec ses revenus commerciaux.

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Finalement, pour le signal cellulaire... ça va attirer plus d'usager qui ont absolument besoin de couverture. J'en connais personnellement quelqu'uns qui ne veulent pas prendre le métro à cause de ça (préfèrent le train ou leur char).

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Bergeron wants to see STM subsidiary's books

 

 

BY ANDY RIGA, THE GAZETTE NOVEMBER 24, 2010

 

 

Montreal’s transit authority wants to generate new revenue by letting travellers use cellphones in the métro and encouraging real-estate developments over stations.

 

But the head of Projet Montréal says before the Société de transport de Montréal moves ahead with any new endeavours it should open the books of the subsidiary that manages partnerships with the private sector.

 

The STM is in talks with a private firm, Extenet, which is willing to invest $50 million to install equipment required to allow cellphone use in all 68 métro stations as well as tunnels, STM director general Yves Devin said.

 

Extenet, which would sign a 20-year deal, expects to make money by charging cell companies to access the network, with the STM getting a cut.

 

The deal would be done through Transgesco, the STM subsidiary that, among other things, oversees the sale of ads on the subway.

 

Projet Montréal leader Richard Bergeron has suggested taxpayers aren’t getting their fair share of profits from partnerships.

 

Tuesday, Devin briefed reporters about Transgesco, saying it does not publish annual reports but its financial statements are audited by the STM’s auditor.

 

Between 2003 and 2009, Transgesco received $98 million of the $159 million (62 per cent) in revenue taken in through a series of contracts and partnerships, Devin said.

 

But Richard Bergeron said the data distributed are superficial and the STM should make public Transgesco’s audited financial statements, the way the private companies behind Bixi and Montreal parking meters have done.

 

“We still don’t know how much Transgesco is taking in and whether taxpayers are being had,” Bergeron said. He said the figures made public indicate that either a poor job is being done generating revenue by the STM or that “10 to 12 private companies” are unduly benefiting from partnerships with the STM.

 

Transgesco works with:

 

Métromédia Plus is a private firm selling ads in métros and buses. Between 2003 and 2009, it took in $90 million, of which $58.2 million went to the STM. The STM said revenue should grow after billboards in métro stations are replaced with electronic ones that alternate ads; advertisers will pay more to show ads at peak times.

 

CBS Outdoor is a private firm that installed bus shelters featuring advertising. Between 2003 and 2009, the shelters brought in $47 million; the STM got $21 million.

 

Métrocom, a partnership with private firm Gestion Beaurival, manages commercial space in and around métro stations. Between 2003 and 2009, it took in $22 million, $19 million of which went to the STM. The STM hopes to increase revenue by encouraging more real-estate developments above stations.

 

Métrovision, a partnership with Métromédia CMR Plus, operates screens in métro stations showing train times and ads. Fifteen stations have screens. By 2015, all stations are to have them. The service does not make money but should by next year, Devin said. The STM invested $1 million but the private partner finances the rest, including all required technology. The STM is to get 27.5 per cent of profits.

 

© Copyright © The Montreal Gazette

 

 

Read more: http://www.montrealgazette.com/business/Bergeron+wants+subsidiary+books/3875274/story.html#ixzz16FPWlfqB.

 

Glad to see every station will get the MetroVision screens.

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  • 3 semaines plus tard...
  • 4 semaines plus tard...

http://www.avenirdelest.com/Actualites/Vos-nouvelles/2011-01-04/article-2089793/De-nouvelles-lignes-de-bus-en-2011/1

De nouvelles lignes de bus en 2011

 

Cette année, la Société de Transports de Montréal (STM) mettra quatre nouvelles lignes de bus en service.

Les secteurs du nouveau faubourg Contrecoeur, l’est de la ville, le quartier Saint-Michel et l’ouest de la métropole devraient donc être mieux desservis. Le nombre d’autobus utilisés pour la navette 747, reliant les stations de métro Berri-Uquam et Lionel-Groulx à l’aéroport Montréal-Trudeau, devrait aussi être doublé. À noter également, à compter du mois de juin, le réseau de bus de nuit sera revu dans son ensemble.

 

Prolongement de la ligne bleue ?

Sous réserve qu’elle obtienne le financement de 90 M$, la STM devrait lancer, en 2011, l’ingénierie détaillée pour la construction de trois nouvelles stations vers l’est sur la ligne bleue de métro.

 

De l'air conditionné dans les bus

Cet été, la Société de Transports de Montréal devrait aussi tester l’air conditionné dans certains autobus lors des chaudes journées.

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  • 4 semaines plus tard...

La Société de transport de Montréal (STM) espère récolter des revenus de plus de 155 millions de dollars au cours des dix prochaines années avec son projet de commandites des lignes du métro de Montréal, a appris Le Devoir. L'entreprise désireuse d'associer son logo à la ligne orange, la plus achalandée du réseau, devra être prête à verser au moins 6 millions de dollars par année.

 

En novembre dernier, la STM avait fait connaître son intention d'offrir ses lignes de métro en commandite dans le but d'accroître ses revenus publicitaires, qu'elle voudrait voir passer de 17 à 34 millions d'ici cinq ans. L'appel de propositions qu'elle a lancé en décembre dernier, et dont Le Devoir a obtenu copie, précise les critères auxquels devront se plier les candidats potentiels.

 

La STM cherche quatre partenaires, soit un par ligne de métro. Les soumissionnaires devront d'abord déposer une lettre de garantie bancaire de 250 000 $ et démontrer qu'ils ont une politique de développement durable dans leur organisation, faute de quoi le comité chargé d'examiner les propositions rejettera d'emblée leur candidature.

 

Ce comité sera formé de quatre membres, soit deux représentants de Métrocom et de Transgesco — des filiales de la STM — et deux experts en marketing issus du milieu universitaire.

 

La première étape franchie, le comité analysera le contenu des propositions. La STM a établi des prix minimaux pour considérer les soumissions. Pour associer son nom à la ligne orange, la plus achalandée du réseau avec 370 millions de déplacements par année et 31 stations, la STM exige une commandite d'au moins 6 millions par année.

 

Pour la ligne verte, qui comporte 27 stations et un achalandage de 232 millions de déplacements par année, un montant annuel d'au moins 5,5 millions est demandé. La ligne jaune et la ligne bleue sont offertes pour un prix minimal de 2 millions par année chacune.

 

La STM estime que les montants réclamés sont justifiés. «Il faut que ça rapporte des revenus intéressants à la STM. On ne fera pas ça pour quelques milliers de dollars», indique Odile Paradis, porte-parole de la STM.

 

Les entreprises devront par ailleurs s'engager à faire la promotion des transports en commun auprès de leurs employés et de leur clientèle. Le comité de sélection examinera aussi «tout élément qui pourrait bonifier l'offre dans l'esprit des partenariats».

 

En échange, les commanditaires pourront voir leur logo apposé sur les plans du réseau, sur les voitures de tête du métro, sur les guérites des changeurs, sur les enseignes à l'intérieur des stations, sur les bandes au sol en bordure des quais, sur les affiches extérieures des stations de métro et sur le site Internet de la STM, précise l'appel de propositions.

 

La grille d'évaluation stipule que le prix offert par une entreprise candidate vaudra à 75 % de la note globale accordée par le comité de sélection. La politique de développement durable comptera pour 10 % de la note, les stratégies proposées pour faire la promotion du transport collectif, 13 %, alors que le logo et les couleurs associées à la ligne de métro représenteront 2 %. Des points supplémentaires pourraient être accordés pour tout élément destiné à bonifier l'offre initiale.

 

«On ne placardera pas les murs du métro, assure Odile Paradis. On ne changera pas le nom des stations. Ça va être de bon goût. Il faut que ça respecte l'image de marque qu'on est en train de déployer.»

 

Pour valider son projet, la STM l'a soumis à une firme externe «mondialement reconnue» dans le domaine du marketing, mais qu'elle n'a pas voulu identifier. Le concept aurait reçu une très bonne note quant à ses aspects qualitatifs, soutient la STM.

 

Toutes les candidatures devront être reçues au plus tard le 7 février et Mme Paradis estime qu'il est trop tôt pour présumer du nombre d'entreprises qui se manifesteront: «On a envoyé l'appel de propositions à une cinquantaine d'entreprises et, jusqu'à maintenant, il n'y en a aucune qui nous a dit: "Pour qui vous prenez-vous?"», relate-t-elle.

 

http://www.ledevoir.com/politique/montreal/315892/lignes-de-metro-commanditees-la-stm-souhaite-obtenir-plus-de-155-millions

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  • 3 semaines plus tard...
  • 2 mois plus tard...

According to the STM:

 

Le réseau de nuit a fait l’objet d’une révision. Il comptera désormais 23 lignes.

En bref

 

Trois nouvelles lignes sont créées :

• 353 – Lacordaire/Maurice-Duplessis

• 354 – Sainte-Anne-de-Bellevue/Centre-ville

• 376 – Pierrefonds/Centre-ville

 

Neuf parcours existants sont prolongés.

Toutes les lignes de nuit seront maintenant en service 7 nuits sur 7.

La fréquence de passage sera améliorée sur la majorité des lignes.

 

More information on metrodemontreal

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