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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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Canada is building fewer homes today than during the 2020 lockdowns — and ‘the worst is yet to come’

Wed Oct 04 06:00:00 EDT 2023

As the fallout from the Bank of Canada’s interest rate hikes continues, fewer homes are being built today compared to the lowest point in the pandemic — the 2020 lockdowns — and it’s going to get worse, an economist says.

The provincial government has repeatedly claimed that Ontario needs to free up more land to build houses, but according to the report, lack of land is not the issue. Instead, the report from the Canadian Centre for Policy Alternatives finds that building has slowed because inflation and the high cost of materials has made home building less profitable for developers, and there are fears the market will slow due to higher mortgage rates.

Investment in new single-family homes in July of this year was down 21 per cent from the level in April 2020, the lowest point in the pandemic, the data shows. New row homes were down eight per cent, and new apartment construction, which includes condos, was down two per cent.

The situation is even more “dire” when comparing the number of current new builds to February 2022, just before the rate hikes began, the report says.

Investment in single-family homes is down 36 per cent, semi-detached houses declined by 27 per cent, and apartment buildings cratered by 19 per cent.

“The Bank of Canada estimates that the worst impacts of rate increases take two years to hit the housing sector and the housing sector is the main vehicle for rate hikes to hit the economy,” said David Macdonald, senior economist and report author. “Right now, it has been 18 months since the first rate increases, but most of the bigger rate increases have occurred in the past 12 months — so the worst is yet to come.”

Because it takes five to 10 years between the initial planning phase and new builds coming to market, there will be a significant shortfall of much-needed housing in the future, he said, which will have “real life” consequences for those who need housing.

“Often, we talk about rate hikes in a theoretical sense, but we’re seeing the real impact starting to hit the market where real estate feels it the most acutely,” Macdonald said.

During the first lockdowns in 2020 the Bank of Canada dropped the overnight lending rate to 0.25 per cent, making it cheaper for people to borrow money. Even with the construction industry at a standstill, developers and builders saw an opportunity for substantial returns on their investments once the lockdowns ended, Macdonald said.

But now that the overnight lending rate is five per cent, building new homes might not have the payoff developers are looking for — especially if people who bought pre-construction homes aren’t able to afford the mortgage by the time the home is available.

New construction home sales in the GTA plunged to a 23-year low in January, as prices dipped on both a year-over-year and a monthly basis with consumers hesitating amid higher borrowing costs.

“(Developers are) no longer seeing that these projects will be a good investment for them, especially with the additional high cost of materials and labour,” he said. “That’s why we need less reliance from the private sector.”

In the short-term, to combat rising home costs brought on by a supply crunch, non-profit housing providers and post-secondary institutions could buy existing for-profit apartments and convert them into non-market buildings with lower rent, he said.

Governments could also outlaw Airbnb and other short-term rental platforms from big cities for five years to shore up housing while providing “some breathing room” for new builds. It’s not unheard of, as, recently, New York City created stricter regulations for Airbnb, by ensuring all hosts register with the city, live in the place they’re renting and are present when someone is staying.

Municipalities could also rapidly change zoning to accommodate more new builds and create greater density, he added. And governments could reinstate stricter rent control to ensure there is affordable housing even if it might hinder incentives for private developers.

“The Bank of Canada wants to slow down the economy and slowing down residential construction is one way to do that,” he said. “We need more housing, but the bank is slamming that door shut.”

Clarrie Feinstein is a Toronto-based business reporter for the Star. Reach Clarrie via email: clarriefeinstein@torstar.ca

https://www.thestar.com/real-estate/canada-is-building-fewer-homes-today-than-during-the-2020-lockdowns-and-the-worst-is/article_e5e4218d-418f-5087-88f9-31c1ba75d7f4.html

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Construction de logements | Québec va égaler la mise d’Ottawa

Joël-Denis Bellavance

(Ottawa et Québec) Au moment où la crise du logement s’accentue, le gouvernement Legault égalera la mise du fédéral et ajoutera 900 millions de dollars pour la construction de logements sociaux et abordables au cours des cinq prochaines années.

Publié à 0h53 Mis à jour à 6h00

Résultat : ce n’est pas 900 millions de dollars, mais bien 1,8 milliard qu’investiront conjointement Québec et Ottawa afin de s’attaquer à la crise du logement dans la province, selon des informations obtenues de sources des gouvernements Legault et Trudeau qui n’avaient pas l’autorisation de parler publiquement.

Québec deviendrait du coup la seule province au pays à doubler la mise d’Ottawa afin d’accélérer la construction de logements.

En principe, Québec doit recevoir du fédéral 900 millions de dollars grâce au nouveau Fonds pour accélérer la construction de logements (FACL), dont la création a été annoncée en 2022, mais qui a vu le jour officiellement le printemps dernier. Ottawa veut financer 100 000 nouveaux logements à travers le pays dans le cadre de ce programme, selon les calculs des mandarins fédéraux.

Le gouvernement Legault a proposé de doubler la mise durant les pourparlers avec le fédéral. Le ministre des Finances, Eric Girard, doit confirmer le tout dans sa mise à jour économique attendue en novembre. L’exercice sera précédé – ce mois-ci, en principe – de l’annonce d’une entente avec Ottawa sur le logement.

« Les négociations vont bon train. Québec est prêt à doubler la mise. Pour le moment, c’est la seule province qui se montre prête à faire cela au pays », a confié à La Presse une source gouvernementale bien au fait du dossier.

Deux autres sources fédérales ont confirmé ces informations à La Presse au cours des derniers jours. « L’intention du Québec d’investir un montant équivalent est une belle surprise. Nous discutons des modalités de l’entente », a confirmé une autre source gouvernementale.

Selon nos informations, le gouvernement fédéral a accepté de renoncer à certaines conditions. Il voulait par exemple forcer Québec à s’engager à construire un nombre précis de logements, un enjeu qui avait compliqué les pourparlers.

Il n’y aura pas une telle contrainte dans l’entente, mais la cible de Québec est, dans les faits, assez semblable à celle d’Ottawa. C’est surtout le principe même de se faire imposer une condition ferme qui indisposait le gouvernement Legault.

Un point important reste à régler : le rythme de décaissement des fonds fédéraux. Québec préférerait un versement unique et immédiat des 900 millions de dollars, alors qu’Ottawa propose de diviser la cagnotte en tranches versées chaque année d’ici 2026-2027.

La Presse a appris que Québec se donnerait pour cible de créer 26 000 logements dans un horizon de cinq ans. Ce serait confirmé dans la mise à jour économique. Mais on reconnaîtrait que les 1,8 milliard – 900 millions pour chacun de deux ordres de gouvernement – ne suffiront pas pour construire tous ces nouveaux logements. Des investissements supplémentaires seraient annoncés dans un deuxième temps par le gouvernement, à l’occasion du budget de mars.

Les cabinets d’Eric Girard et de sa collègue responsable de l’Habitation, France-Élaine Duranceau, ont refusé d’émettre des commentaires au sujet de ces informations. Ils ne les ont ni infirmées ni confirmées.

Eric Girard a télégraphié dans une entrevue à La Presse, le mois dernier, que sa mise à jour répondrait à trois enjeux de l’heure, dont le manque de logement social et abordable. « C’est un des gestes où l’on pourrait intervenir à la mise à jour étant donné qu’il y a des besoins très importants », avait-il indiqué. Le premier ministre François Legault a envoyé le même signal par la suite.

Le gouvernement a investi 3,8 milliards de dollars depuis 2018, mais il doit faire plus, disait M. Girard. « On a financé avec ça 22 500 logements : il y en a 6500 qui sont réalisés, il y en a 7000 en réalisation et 9000 en élaboration. »

Il notait d’ailleurs que « pour équilibrer le marché d’ici 2030, lorsqu’on fait une prévision de ce que le privé va construire et des besoins, ça en prend 26 000 de plus [de logements sociaux et abordables]. Donc on va continuer de faire des gestes ». Il laissait entendre qu’une entente était imminente avec Ottawa sur le FACL.

Dans le reste du pays, le gouvernement Trudeau signe des ententes directement avec les municipalités pour un transfert d’argent sonnant dans le but d’accélérer la construction de logements. Les autres gouvernements provinciaux n’ont aucun rôle à jouer dans les négociations, contrairement à la pratique au Québec, où une loi de l’Assemblée nationale empêche Ottawa de négocier directement avec les municipalités sur son territoire.

Le mois dernier, le premier ministre Justin Trudeau a annoncé que son gouvernement avait conclu une entente avec une première municipalité, la ville de London, en Ontario, depuis le lancement du programme fédéral. En vertu de cette entente, London obtiendra un coup de pouce financier de 74 millions de dollars du fédéral qui permettra de construire 2000 logements de plus au cours des trois prochaines années.

Depuis, de nombreuses villes ont signifié leur intérêt de conclure rapidement une entente similaire, a indiqué récemment le ministre fédéral du Logement, Sean Fraser. Les villes doivent s’engager à alléger les formalités administratives, à mettre à jour les règlements de zonage pour encourager la construction de logements près de zones de services de transports en commun, entre autres choses.

_________________

https://www.lapresse.ca/affaires/marche-immobilier/2023-10-03/le-secteur-prive-devrait-participer-davantage-au-marche-du-logement-dit-la-schl.php

https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2023-10-04/tps-sur-les-logements-locatifs/le-projet-de-loi-c-56-vraisemblablement-assure-de-cheminer-grace-au-npd.php

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