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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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Il y a 20 heures, KOOL a dit :

Pourquoi rajouter ce commentaire superflu sur ce forum après avoir posté ta nouvelle dite importante ? Tu le fais par pur masochisme ou juste dans le but de créer la polémique ? 

D'autant plus que tu sais pertinemment qu'en rajoutant de l'huile sur le feu de la sorte tu vas automatiquement attirer l'attention de Rocco et que par la suite un gars du Agora viendra à la rescousse de cette chère Valérie.

 

Sans blague, encore heureux pour les banlieusards. O.o

Quoi que je publie je me fais rabrouer de toute façon par les mêmes personnes. Je m'adresse donc aux membres plus neutres sur le plan politique qui sont capables de faire la part des choses sans toujours mêler politique et affaires.

D'après l'article de La Presse sur l'immobilier commercial, je crois que Montréal est en meilleure position que bien d'autres villes nord-américaines. En effet la ville s'est bien engagée dans le développement résidentiel de son centre-ville qui croit constamment années après années. 

Maintenant il faudra voir si la conversion de certains autres immeubles à bureaux pourra se faire de manière concurrentielle en comparaison du neuf. Je pense notamment à la tour Rogers dont la surface de plancher par étage s'y prêterait bien. Surtout que sa localisation est idéale au coeur même du c-v.

Bien sûr chaque immeuble converti signifierait un édifice en construction de moins. Quoique sur le plan des investissements la Ville pourrait y trouver son profit, tout en continuant à dynamiser durablement son centre-ville.

 

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Il y a 14 heures, acpnc a dit :

Quoi que je publie je me fais rabrouer de toute façon par les mêmes personnes.

Je crois que tu n'as pas compris mon post précédent le tien : si tu t'étais contenté de publier ton article, personne n'aurait répondu mais il a fallu que tu en rajoutes une couche avec un second post affirmant que Projet Montréal n'avait rien à voir avec cette situation et bien entendu Rocco a mordu à l'hameçon (ceci dit il avait raison dans ses propos). 

Tu te fais rabrouer ? Pourquoi les gens qui, comme toi, jouent à l'autruche et pensent que l'administration Plante n'a rien à voir avec l'actuel déclin immobilier montréalais, plus marqué que partout ailleurs au Québec, se posent-ils toujours en victimes face aux autres membres qui ne partagent absolument pas leur point de vue ? O.o 

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Il y a 13 heures, acpnc a dit :

Je m'adresse donc aux membres plus neutres sur le plan politique qui sont capables de faire la part des choses sans toujours mêler politique et affaires.

Venant de la part d'une personne dont le jupon politique dépasse autant qu'une robe de bal des années 1800. Comme si des gens neutres existaient, alors que tout le monde a une opinion politique. Prêchez pour votre paroisse et assumez-le, plutôt que vous draper dans la vertu d'une neutralité bancale et hypocrite tout en étalant votre "bonne nouvelle" à coup d'actualité du jour. Tout le monde est conscient de votre jeu.

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Je vois bien que pour plusieurs sur Mtlurb il n'y a pas de place pour la nuance. Vous prétendez que ce forum est ouvert à la pluralité des idées, mais dès qu'on sort un peu du cadre préétabli on se fait blaster et accuser d'hypocrisie.

Quoi qu'il en soit je demeure convaincu qu'il y a suffisamment de membres non alignés sur Mtlurb, qui ont davantage d'indépendance d'esprit et se donnent la peine de commenter ou même parfois de m'annoter positivement.

Entendu que mon discours a toujours été le même, que je n'ai jamais caché ma tendance centriste en politique et que j'ai toujours exprimé des idées progressistes. De toute façon ce n'est pas ma petite personne que je veux faire valoir, mais des idées qui ne sont pas nécessairement les miennes, mais auxquelles j'adhère parce qu'elles font du sens surtout en ces temps de crises multiples.

Donc loin de moi la volonté de convaincre, mais plutôt de suggérer un point de vue qui peut différer de la majorité, tout en contribuant à susciter un sain débat dans une société en pleine ébullition où les nouveaux défis ne manquent pas.

Donc pas besoin d'attaquer personne, parce que l'adversité est saine et favorise le brassage d'idées, tout en aidant à atténuer les positions extrêmes. C'est pour cela que l'opposition est si importante dans notre démocratie et que l'alternance du pouvoir joue un rôle d'épuration, tout en limitant la main-mise du pouvoir par une quelconque formation sur le long terme.

Alors consolez-vous PM n'est pas la seule option valable et ne détient pas la vérité absolue. Seulement son passage aura laissé des traces durables dans l'histoire de Montréal à l'instar du maire Doré et le RCM donc voici un bilan encourageant: https://www.journaldemontreal.com/2015/06/20/jean-dore-et-le-rcm-quel-bilan

 

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Québec veut encadrer le rôle de l’inspecteur en bâtiment

André Dubuc La Presse

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PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Un règlement proposé cette semaine par le gouvernement Legault a pour objectif d’obliger les inspecteurs en bâtiment à détenir un certificat délivré par la Régie du bâtiment.

Le gouvernement de François Legault a publié cette semaine un projet de règlement concernant l’encadrement du rôle de l’inspecteur en bâtiment. Cependant, Québec tarde à rendre obligatoire l’inspection préachat d’une maison.

Publié à 1h15Mis à jour à 6h00

Selon nos informations, le gouvernement poursuit sa réflexion sur le sujet. Il soupèse le pour et le contre entre une intervention par voie réglementaire ou par le dépôt d’un projet de loi.

À la veille des vacances de la construction, personne à la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) n’a répondu à nos questions formulées depuis mercredi, même si l’organisme a publié un communiqué jeudi sur le sujet.

Le règlement proposé cette semaine a pour objectif d’obliger les inspecteurs en bâtiment à détenir un certificat délivré par la Régie du bâtiment.

Ce projet de règlement est l’aboutissement d’une démarche entamée avec l’adoption du projet de loi 16 de la ministre Andrée Laforest en 2019.

L’inspecteur devra dorénavant réaliser son inspection en suivant la norme élaborée par le Bureau de normalisation du Québec qui définit les bonnes pratiques en la matière.

Avant le projet de loi 16, il n’existait aucun encadrement juridique ou réglementaire sur l’inspection préachat.

Des acheteurs ont pu en faire les frais.

Lors de la période de surenchère immobilière qui a caractérisé la pandémie de COVID-19, de multiples ventes de maisons se sont conclues sans que l’acheteur puisse faire une inspection après l’acceptation de l’offre d’achat. Une situation qui avait été critiquée publiquement.

Période transitoire de trois ans

Le projet de règlement prévoit une formation obligatoire de niveau collégial pour obtenir le certificat d’inspecteur en bâtiment. L’inspecteur devra aussi se munir d’une assurance responsabilité, produire un rapport d’inspection et respecter des exigences en matière de formation continue. Il est aussi question des règles déontologiques et du traitement des plaintes.

Le règlement doit entrer en vigueur à compter du 1er octobre 2024. Une période transitoire de trois ans est prévue pour les inspecteurs actuels qui pourront continuer de pratiquer sans permis. Ceux-ci auront à se qualifier pour obtenir un certificat en réussissant la formation de mise à niveau, précise la RBQ dans son communiqué.

« Actuellement, au Québec, la fonction d’inspecteur en bâtiment n’est pas encadrée. Nous voulons que les inspecteurs en bâtiment ciblés par le règlement aient dorénavant l’obligation de détenir un certificat délivré par la RBQ, ce qui représente une meilleure surveillance de la qualité de l’inspection et de qualification pour le nouvel acheteur qui fait appel à leurs services », a déclaré le ministre du Travail, Jean Boulet, dans le même communiqué.

Second essai

Il s’agit d’une seconde publication d’un projet de règlement sur l’encadrement des inspecteurs en bâtiment. La RBQ en avait publié une première version le 24 février 2022. À l’époque, la Régie avait en fait publié deux règlements : un premier sur l’encadrement et un second sur l’obligation pour toute personne de faire inspecter l’immeuble de 25 ans et plus préalablement à son achat.

Si tous peuvent comprendre l’utilité d’une inspection préachat, rendre le processus obligatoire peut déplaire à certains puisque le gouvernement se trouve à intervenir dans une transaction privée en ajoutant des coûts à l’achat, déjà onéreux, d’une propriété.

Ces deux projets de règlement de février 2022 n’ont pas eu de suite. En juillet de la même année, le Bureau de normalisation du Québec a publié sa norme 3009-500 visant à définir les pratiques d’inspection de bâtiments d’habitation.

Celle-ci est le résultat d’un consensus obtenu par un comité de normalisation qui a tenu 22 réunions en 25 mois et qui regroupait 18 personnes issues d’associations d’inspecteurs en bâtiment, d’ordres professionnels, d’assureurs et autres.

La Corporation des inspecteurs vérificateurs en qualité de la propriété (CIVQP) a affiché publiquement sa dissidence. Elle reprochait à la norme de se limiter à une inspection visuelle du bâtiment. Il a été impossible de joindre son fondateur Mario Roy.

D’autres associations ont toutefois appuyé la norme comme l’Association des inspecteurs en bâtiment du Québec (AIBQ).

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Crise du logement: les propositions libérales à la ministre Duranceau

Zoé Arcand

«Une douzaine de propositions» de solutions à la crise du logement auraient été présentées à la ministre responsable de l’Habitation, France-Élaine Duranceau par la députée de Mille-Îles et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’affaires municipales et d’habitation, Virginie Dufour. La caquiste aurait démontré une «belle ouverture» aux suggestions de Mme Dufour.

Cette dernière aurait rencontré divers groupes et acteurs en matière de logement, dont les différents groupes de propriétaire, mais aussi de locataires. C’est la députée libérale qui aurait approché la caquiste à la suite du dépôt du projet de loi 31, jugeant que la situation actuelle en matière de logement est une «recette pour le désastre».

La députée libérale a également proposé officiellement un moratoire sur les évictions pour les changements de vocation de logement locatif en hébergement touristique temporaire – comme Airbnb. Sans vouloir enlever de droits aux propriétaires, le parti libéral croit que «dans la période actuelle, ce n’est pas le moment [de construire plus de Airbnb]».

En ce moment on ne manque pas de Airbnb, mais il manque de logement.

Virginie Dufour, députée de Mille-Îles et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’affaires municipales et d’habitation.

«Zonage différencié»

Parmi les autres solutions proposées figurerait l’ajout du «zonage différencié» comme outil additionnel «à la disponibilité des municipalités pour leur permettre d’atteindre leurs objectifs en matière de logement». Sommairement, ce concept permettrait aux Villes, sans les y obliger, de donner deux possibilités aux promoteurs pour un terrain, la plus avantageuse menant à la construction de logement abordable ou social.

Par exemple, une Ville pourrait décider que sur un terrain donné, «si [un promoteur] fait un terrain régulier [il] va pouvoir faire quatre étages, mais s'[il] fait du logement social ou abordable [il] va pouvoir en faire six». Ainsi les municipalités auraient plus de pouvoir et les initiatives de logements sociaux et abordables auraient un avantage financier «sans qu’aucun gouvernement ne sorte d’argent de ses poches».

Il s’agirait de la proposition la plus importante présentée par la députée libérale, «soutenue par de nombreux groupes en habitation» mettant sur la table une «piste de solution possible à envisager pour la ministre». Cette dernière s’est d’ailleurs fait critiquer dans les derniers mois et semaines pour ne pas avoir suffisamment rencontré ou écouté les groupes représentant les droits des locataires.

Certaines des solutions abordées concernaient entre autres les OBNL d’habitation. Ces derniers sont considérés, au regard de la loi et des municipalités, de la même manière qu’une tour à condo, donne en exemple la députée. Ainsi les taxes municipales seraient beaucoup plus élevées que la valeur réelle de leurs bâtiments Le parti libéral souhaiterait permettre aux Villes de créer une catégorie distincte en ce qui a trait à la classification de ces bâtiments.

La députée a proposé également une exemption de TVQ – formule existant déjà pour les nouvelles maisons – pour les OBNL d’habitation, en plus d’augmenter le seuil maximal de remboursement de la TVQ de 300 000 $ à 500 000 $ pour les habitations neuves.

Plutôt que de s’attaquer aux baux «pièce par pièce», comme en changeant indépendamment l’encadrement de la cession de bail, la députée aurait proposé de revoir les contrats de baux de fond en comble. Elle note que 43% de la population québécoise est analphabète et que le langage utilisé doit être changé pour rendre la lecture plus accessible à l’ensemble de la population, notamment.

Mme Dufour a expliqué à Métro ne pas avoir abordé de solutions trop exigeantes sur le plan financier «qui ne sont pas dans le budget» pour plutôt se concentrer sur des solutions «réglementaires» qui «ensemble vont faire une différence» en ce qui a trait au PL31. Elle a tout de même souligné qu’il faudrait des investissements majeurs en matière de logement.

La ministre aurait laissé entendre vouloir faire adopter le PL31 dès l’automne, «avant les reprises de bail qui se passent en janvier», indique la députée de Mille-Îles.

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@ToxiK, je tiens à mentionner que j'ai pris la liberté de souligner les deux paragraphes dans l'article que je viens de publier. Parce que je les trouve très importants dans le contexte de crise du logement que nous vivons un peu partout au Québec et particulièrement dans la grande région montréalaise.

Comme nous avons besoin de densifier davantage les zones urbaines et que nous avons aussi besoins de plus de logements abordables.  Permettre des dérogations de hauteur quasi automatiques qui répondraient à ces deux problématiques m'apparait fort pertinent, très souhaitable et sans coût supplémentaire pour les autorités gouvernementales.

C'est la preuve en même temps du partage constructif de solutions innovantes en provenance de l'opposition. Comme quoi le parti au pouvoir n'a pas toujours le monopole des bonnes idées et que chaque option politique peut à sa manière contribuer à la gestion responsable de notre économie et de mesures sociales progressistes où tout le monde y gagne.

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il y a 21 minutes, acpnc a dit :

@ToxiK, je tiens à mentionner que j'ai pris la liberté de souligner les deux paragraphes dans l'article que je viens de publier. Parce que je les trouve très importants dans le contexte de crise du logement que nous vivons un peu partout au Québec et particulièrement dans la grande région montréalaise.

Comme nous avons besoin de densifier davantage les zones urbaines et que nous avons aussi besoins de plus de logements abordables.  Permettre des dérogations de hauteur quasi automatiques qui répondraient à ces deux problématiques m'apparait fort pertinent, très souhaitable et sans coût supplémentaire pour les autorités gouvernementales.

C'est la preuve en même temps du partage constructif de solutions innovantes en provenance de l'opposition. Comme quoi le parti au pouvoir n'a pas toujours le monopole des bonnes idées et que chaque option politique peut à sa manière contribuer à la gestion responsable de notre économie et de mesures sociales progressistes où tout le monde y gagne.

L'idée de permettre plus de hauteur en échange de logements sociaux est bonne.  Je crois que plusieurs personnes sur mtlurb l'avaient déjà suggéré.  Le diable est dans les détails, il reste à voir comment les villes appliqueraient ce règlement (et comment les NIMBY réagiront...), mais à prime abord ça semble être une bonne idée.

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Il y a 1 heure, ToxiK a dit :

Le diable est dans les détails, il reste à voir comment les villes appliqueraient ce règlement (et comment les NIMBY réagiront...),

Puisqu'il est pratiquement impossible d'obtenir l'unanimité dans un quelconque projet, je ne vois pas l'importance à accorder aux NIMBY. Rendons la réglementation officielle dans les plans d'urbanismes selon des conditions clairement préétablies. Ainsi les hauteurs se feront de plein droit si elles respectent les ententes et sans possibilité de contestation.

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Il y a 2 heures, acpnc a dit :

@ToxiK, je tiens à mentionner que j'ai pris la liberté de souligner les deux paragraphes dans l'article que je viens de publier. Parce que je les trouve très importants dans le contexte de crise du logement que nous vivons un peu partout au Québec et particulièrement dans la grande région montréalaise.

Comme nous avons besoin de densifier davantage les zones urbaines et que nous avons aussi besoins de plus de logements abordables.  Permettre des dérogations de hauteur quasi automatiques qui répondraient à ces deux problématiques m'apparait fort pertinent, très souhaitable et sans coût supplémentaire pour les autorités gouvernementales.

C'est la preuve en même temps du partage constructif de solutions innovantes en provenance de l'opposition. Comme quoi le parti au pouvoir n'a pas toujours le monopole des bonnes idées et que chaque option politique peut à sa manière contribuer à la gestion responsable de notre économie et de mesures sociales progressistes où tout le monde y gagne.

Ça dépend du type de zonage et si on prends le 50% de plus comme proposé.  
 

exemple une tour à 160m sur un terrain à 120m, le 40m extra coûte habituellement beaucoup plus cher en construction.  (Fondations plus robustes, ascenseurs supp., etc). Jusqu’à quel point ca sera intéressant pour les promoteurs. 
 

Dans d’autres quartiers où, disons, le 4 étages est la norme, est ce qu’un 6 étages serait bien accepté par le voisinage ? Il ferait bande à part dans son coin. 

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