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Ce fil est désormais dans "annulés".

 

On peut toujours continuer d'y discuter des projets futurs pour la portion qui ne sera pas utilisé par l'UdeM. Lorsqu'un projet officiel aura été trouvé ou annoncé, on y poursuivra les discussions.

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  • 4 mois plus tard...

http://www.journaldequebec.com/2012/06/01/a-vendre-dici-6-mois

 

LOT VOYAGEUR

À vendre d’ici 6 mois

Québec cherche un courtier immobilier pour se débarrasser de l’Îlot voyageur

 

JEAN-LOUIS FORTIN @

JOURNAL DE MONTRÉAL, PUBLIÉ LE: VENDREDI 01 JUIN 2012

 

En pleine crise étudiante, Québec se lance à la recherche d’une firme qui l’aidera à vendre l’Îlot voyageur en moins de six mois. L’objectif  : récupérer une partie des 300 millions $ gaspillés dans cette carcasse de béton abandonnée.

 

Selon les informations obtenues par le Journal, la Société immobilière du Québec (SIQ), l’organisme gouvernemental qui gère l’édifice, se donne deux semaines pour trouver un « intermédiaire de marché ».

 

Cette firme aura le même mandat qu’un agent immobilier : vendre l’édifice, le plus rapidement et au meilleur prix possible. Un appel d’offres a d’ailleurs été lancé cette semaine, en ce sens.

 

Fin de 2012

 

« On vise à compléter la vente d’ici la fin de 2012 », explique le porte-parole de la SIQ, Martin Roy.

 

Toute la portion nord de l’immense quadrilatère compris entre le boulevard de Maisonneuve et les rues Berri, Ontario et Saint-Hubert est en vente.

 

Cela inclut notamment le squelette de sept étages, qui aurait normalement dû abriter des résidences étudiantes dans le projet initial de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), ainsi que la nouvelle gare d’autocars. Seul le stationnement souterrain de deux étages n’est pas sur le marché.

 

Commission

 

La société d’État estime qu’elle sera mieux servie en faisant affaire avec un sous-traitant plutôt qu’en vendant l’immeuble elle-même.

 

« On n’est pas un vendeur, on n’est pas des courtiers immobiliers. Ces gens-là sont des experts en la matière, ils sont très au fait du marché. Ils ont souvent des listes de clients prêts à investir dépendant de ce qui est présenté », justifie Martin Roy.

 

Mais, tout comme n’importe quel agent immobilier, l’entreprise qui fera affaire avec le gouvernement provincial se réservera une commission.

 

La vente pourrait être compliquée. La vocation des étages supérieurs devra presque obligatoirement être résidentielle, parce que les plafonds n’ont qu’une hauteur de huit pieds. Or, les promoteurs préfèrent souvent des plafonds plus hauts, d’au moins 9 ou 10 pieds.

 

La question à laquelle personne ne peut répondre, pour le moment, est la somme que Québec pourra aller chercher en retour de structures abandonnées aux intempéries depuis juin 2007, qui présentent déjà d’inquiétantes fissures.

 

À la fin 2011, une étude commandée par le gouvernement du Québec évaluait les bâtiments à 43 millions $ et la gare à 17 millions $.

 

Pour l’instant, la SIQ ne veut rien avancer. « C’est certain qu’on a des estimés, mais on n’en parlera pas. Ce sont les offres qui seront présentées qui préciseront le prix de vente », insiste Martin Roy.

 

Rappelons que presque 300 millions $ en fonds publics ont été engloutis dans l’Îlot voyageur depuis 2005.

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Comment un projet de si peu d'envergure (16 minables petits étages) pouvait-il coûter si cher à l'origine ?

 

Simple answer, bureaucrats filling their pockets. Also a ton of incompetent fools running everything. I would like my tax dollars back, a nice $50 would do, actually make it $100 because interest and inflation.

Modifié par jesseps
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Ouais, je ne suis pas pour la grève étudiante, mais quand on voit ce que les incompétents de l'Uqam ont fait dans le contrat de l'Ilôt Voyageur, ça me tente de sortir mes casseroles...

 

Ça fait que là, on va avoir droit à un autre acte dans la saga des ventes à rabais. Les libéraux ont mis en jachère un chantier qui avait été entrepris sous le règne péquiste, puis on remarque encore une fois le genre de jeu de dés sous les tasses qui enrichit les chicanes politiques et appauvrit le peuple.

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