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A mon avis Charest va annoncer quelque chose pendant la campagne électorale pour la finition de ce massacre.

 

J'ai aussi pensé à la même chose. Et j'espère que ce sera le cas. Sauf que l'enjeu électoral n'est pas le même à Montréal et en région donc il est possible qu'il passe par dessus Montréal et ne s'occupe que des régions et de Québec. Enfin, j'espère avoir tort car c'est ''massacre'' est une honte qui traine en longueur pour Montréal.

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  • 2 semaines plus tard...

Quatre acheteurs potentiel.

 

Source: La Presse

 

(Montréal) Le processus de vente en pièces détachées de l'îlot Voyageur se poursuit. Quatre acheteurs se disputent la gare d'autocars de Montréal, tandis que le tandem Raymond Chabot et Jones Lang Lasalle prépare la mise en marché de la partie nord de l'îlot, là où s'élèvent, inachevées, deux résidences pour étudiants. Dans les deux cas, l'objectif est de conclure les transactions avant la fin 2012.

 

La Société immobilière du Québec (SIQ) détient la gare d'autocars de Montréal par le truchement de la société 9227-9702 Québec.

 

La SIQ avait acquis la gare en même temps que tout le reste de l'îlot Voyageur en novembre 2010. La gare a réalisé des revenus de 9,1 millions et un bénéfice avant intérêt, impôt et amortissement de 3,2 millions.

 

Pour l'an prochain, la gare prévoit des revenus de 9,7 millions et un BAIIA de 2,8 millions. Environ, 80% des revenus proviennent des commissions sur la vente de titres de transport par autocar.

 

Des six avis d'intention reçus pour acquérir la gare, quatre ont été jugés recevables. Parmi les deux jugés irrecevables, la Société immobilière Investek offrait 25 millions.

 

Son président Robert Lemay s'est plaint du court délai de 30 jours dont disposaient les soumissionnaires souhaitant faire une offre.

 

Les quatre prétendants ont commencé leur vérification préalable. Ils pourront reformuler leur offre, incluant leur prix d'achat, à la lueur des renseignements plus détaillés dont ils ont le loisir de prendre connaissance, a expliqué Martin Roy, porte-parole de SIQ.

 

Le nom des quatre soumissionnaires retenus est gardé secret par la SIQ tant que le contrat n'est pas adjugé. Parmi les acheteurs potentiels, on peut penser à la société Greyhound qui offre plusieurs départs à partir du terminus de Montréal. Roger Morin, l'ancien exploitant de ce qui s'appelait Station Centrale de Montréal, est un autre acheteur plausible.

 

Selon une source, le prix d'achat dépendra beaucoup des assurances données au futur acheteur quant à l'impossibilité qu'un terminus concurrent voie le jour ailleurs au centre-ville, en particulier à proximité du 1000 de la Gauchetière et du Centre Bell, sur les terrains appartenant à Cadillac Fairview.

 

C'est RSM Richter qui agit comme intermédiaire de vente dans le dossier.

 

Quant à la portion nord de l'îlot, elle englobe les squelettes des résidences, les droits aériens, les installations physiques de la gare d'autocars. La SIQ s'est adjoint les services de Raymond Chabot et Jones Lang Lasalle, qui ont remporté le mandat de vente le 21 juin.

 

«Ils devraient lancer un appel d'offres ou encore un avis d'intérêt dans les prochaines semaines», dit Martin Roy.

 

En décembre dernier, le gouvernement du Québec a annoncé la construction de l'École de santé publique de l'Université de Montréal sur la portion sud de l'îlot, en face du parc Émilie-Gamelin.

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Le gouvernement du Québec a dû réduire de 8,4 millions de dollars la valeur de son investissement dans la gare d'autocars de l'îlot Voyageur à peine un an après l'avoir achetée, a appris.

 

La Société immobilière du Québec (SIQ) a payé 25,5 millions de dollars en novembre 2010 à Roger Morin, alors propriétaire du terminus d'autocars. Quinze mois plus tard, une évaluation externe de la juste valeur de ce qui s'appelle maintenant la Gare d'autocars de Montréal a obligé le bras immobilier du gouvernement à passer une charge de réduction de valeur de 8,4 millions dans ses états financiers le 31 mars dernier.

 

Pour lire tous: http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201208/07/01-4562915-lilot-voyageur-quebec-reduit-la-valeur-de-son-investissement.php

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Avis aux intéressés

L'Îlot Voyageur est à vendre

Agence QMI

Andrew McIntosh

06/08/2012 20h49

 

MONTRÉAL – Le gouvernement du Québec met en vente une partie du tristement célèbre Îlot Voyageur, un des plus importants éléphants blancs de l'histoire du Québec. Un pavé dans la mare en pleine campagne électorale.

 

Le gouvernement, par la voie de la Société immobilière du Québec, veut ainsi récupérer une partie des 300 millions $ et plus de fonds publics que ce projet a siphonnés depuis 2005. La SIQ met seulement en vente la portion nord du site comprise entre les rues Berri, Ontario et Saint-Hubert.

 

Étonnamment, la société d'État exige de tout acheteur potentiel qui manifestera son intérêt à signer un engagement de confidentialité avant même d'avoir accès aux informations relatives à la structure de béton abandonnée abritant un escalier roulant ne menant nulle part.

 

Deux courtiers immobiliers de Montréal, soit Sylvain Bernèche (Courtier RCSI) et Robert MacDougall (Jones Lang Lasalle Services immobiliers), ont été embauchés pour s'occuper de la vente, peut-on lire dans un « avis requérant la manifestation d'un intérêt sollicitant des renseignements » publiés dans les journaux, lundi.

 

La SIQ a fixé la date du 28 septembre pour le dépôt des lettres d'intention répondant à ses exigences.

 

La Ville de Montréal évalue la portion de l'Îlot à vendre à 29,6 millions $.

 

Le projet de l'Îlot Voyageur avait été amorcé par l'UQAM et un promoteur immobilier, Busac, en 2005 afin d'y loger des étudiants et y installer des espaces de stationnement. Toutefois, le projet s'est transformé en un énorme désastre financier qui a presque mené l'université à la faillite. Puis, le gouvernement du Québec est intervenu et a racheté le tout pour 200 millions $.

 

En 2008, un rapport du Vérificateur général du Québec de l'époque, Renaud Lachance, a blâmé l'ancien recteur de l'UQAM Roch Denis, l'ex-vice-recteur Mauro Malservisi et Nicolas Buono, directeur des investissements, pour leur mauvaise gestion des projets immobiliers de l'université.

 

M. Lachance a affirmé que l'UQAM avait lancé ce projet sans obtenir des garanties suffisantes concernant le financement et sans une analyse sérieuse de sa rentabilité. Il a, notamment, accusé Mauro Malservisi et Nicolas Buono d'avoir fourni des données incomplètes et inexactes au conseil d'administration de l'université.

 

Roch Denis avait déjà démissionné de son poste de recteur de l'UQAM en décembre 2006. Mauro Malservisi et Nicolas Buono ne travaillent plus pour cet établissement d'enseignement.

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