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Un article intéressant qui explique pourquoi le 'street food' de Montréal est un échec sur toute la ligne:

 

http://m.vice.com/en_ca/read/montreals-food-truck-plan-is-a-symbolic-fuck-you-to-poor-people-and-immigrants

 

Beau drama queen. La bouffe de rue en est à ses premiers pas. Nul doute que l'offre va s'étendre et se diversifier avec les années. Pas de quoi en faire tout un plat.

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C'est juste la première année, patientons. C'est vrai qu'il pourrait y avoir des petits carts à hot-dogs, mais franchement, j'aime bien les camion actuels. Je souhaite qu'il y en ait plus, mais ça viendra. De toutes façons, laissez les petits racks à pogos se ballader, et d'autres viendront dire qu'on encourage la malbouffe......:rolleyes:

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Restaurateurs participants

 

Du 20 juin au 29 septembre 2013, vous trouverez les 27 camions-restaurants suivants en rotation sur les neuf sites de cuisine de rue du centre-ville :

 

Alexis Le Gourmand

Ô sœurs volantes

L’Assommoir Mobile

P.A. & Gargantua

Boîte à Fromages

La Panthère Mobile

Camion Pied de Cochon

Phoenix 1

Cartel Mobile

Le point sans g

Chaud Dogs

Le Quai roulant

Cuisine Lucky’s Truck

Route 27

Gaufrabec

Roux

Le Gourmand Vagabond

St-Viateur Bagel

Grumman 78

Le Super Truck

Landry & filles

Le Tuktuk

Lapin!

Winneburger

Lucille’s

Zoe’s

Nomade So6 par Accords

 

http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,112889626&_dad=portal&_schema=PORTAL

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Un article intéressant qui explique pourquoi le 'street food' de Montréal est un échec sur toute la ligne:

 

http://m.vice.com/en_ca/read/montreals-food-truck-plan-is-a-symbolic-fuck-you-to-poor-people-and-immigrants

 

C'est tellement n'importe quoi!!! Je suis 100% d'accord avec monctezuma. Je trouve le concept très bien monté et il rehausse l'image de la ville.

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Un article intéressant qui explique pourquoi le 'street food' de Montréal est un échec sur toute la ligne:

 

http://m.vice.com/en_ca/read/montreals-food-truck-plan-is-a-symbolic-fuck-you-to-poor-people-and-immigrants

 

L'auteur tente vraiment de chercher des poux trop loin. La bouffe est bonne, c'est populaire, c'est propre et apprécié. Ça marche, c'est tout. Rien ne dit que la nourriture de rue doit être un raccourci bas de gamme pour se monter une entreprise. Et franchement jeter l'identité culturelle là-dedans...

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Un article intéressant qui explique pourquoi le 'street food' de Montréal est un échec sur toute la ligne:

 

http://m.vice.com/en_ca/read/montreals-food-truck-plan-is-a-symbolic-fuck-you-to-poor-people-and-immigrants

 

Décidément il y aura toujours des insatisfaits dans ce monde, parce que les gens voient les choses uniquement selon leur point de vue et sans nuance. Personne à Montréal n'a jamais voulu instituer de la bouffe de rue afin de nourrir les pauvres et les immigrants. Ce n'est pas une oeuvre sociale! C'est un projet gastronomique qui tente de trouver sa niche, tout en faisant la promotion du bien manger, même sur le pouce. Ce projet n'a pas non plus pour objectif de faire la promotion de la cuisine traditionnelle, mais plutôt d'offrir de la cuisine locale et internationale, par toutes sortes de recettes originales. Elle est là la différence, et elle s'appuie sur la réputation des montréalais qui sont pour une majorité épicuriens.

 

Quant à la bouffe rapide supposément destinée aux gens dans le besoin, selon l'esprit de l'article mis en lien. Elle est premièrement, drôlement plus chère que manger à la maison (donc pas économique); trop grasse et trop sucrée, elle encourage l'obésité et les mauvaises habitudes alimentaires. De toute façon, ce segment restauration est déjà largement présent partout en ville, pourquoi faudrait-il le reproduire en plus sur le trottoir?

 

En ce qui a trait aux exemples de villes où la bouffe de rue est répandue et abordable, il y a une corrélation entre ce phénomène et la pauvreté souvent très présente dans ces sociétés. On ne parle alors pas de la même réalité, ni du même mode de vie. Comparons des comparables. Montréal a trouvé à mon avis une formule fort intéressante, qui ne vient pas concurrencer les établissements qui ont pignon sur rue, et qui paient déjà des droits et des taxes en conséquence. Le but n'est pas de sortir le resto sur la rue, mais de répondre à une demande ponctuelle et saisonnière que l'on pourra améliorer et ajuster avec le temps.

 

Donc loin d'un échec, nous sommes en plein laboratoire grandeur nature. On garde aussi, de cette manière, un contrôle plus serré sur la qualité avec des règles strictes, pour assurer la salubrité des aliments. De toute évidence cette formule plait et attire son lot de curieux, mais aussi assurément développera une clientèle plus régulière. En plus à force d'essayer d'innover en recettes rapides, peut-être aussi inventerons-nous un nouveau plat, qui à l'instar de la poutine, fera le tour du monde?

 

Alors aux détracteurs un peu trop vite sur les conclusions, dont les critiques n'apportent rien de constructif. Je dis: attendez-donc de voir avant de juger. Comprenez la volonté derrière l'expérience. La bouffe de rue montréalaise s'adresse à un besoin exprimé par la population, et non à une population dans le besoin.

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Impossible de dire mieux. acpnc, tu as frappé directement sur le clou. Les gens s'attendaient à une soupe populaire et des hot dogs à 0,69$.

Pourtnat, la mode des "food trucks" s'adresse surtout aux Foodies et aux amateurs de bonne bouffe. Je dis mode parce que c'est exactement ce que c'est, une mode, donnez lui 4-5 and, peut-être 10, mais plus tard, vous verrez vos stands à patates que vous attendez de pied ferme.

 

Décidément il y aura toujours des insatisfaits dans ce monde, parce que les gens voient les choses uniquement selon leur point de vue et sans nuance. Personne à Montréal n'a jamais voulu instituer de la bouffe de rue afin de nourrir les pauvres et les immigrants. Ce n'est pas une oeuvre sociale! C'est un projet gastronomique qui tente de trouver sa niche, tout en faisant la promotion du bien manger, même sur le pouce. Ce projet n'a pas non plus pour objectif de faire la promotion de la cuisine traditionnelle, mais plutôt d'offrir de la cuisine locale et internationale, par toutes sortes de recettes originales. Elle est là la différence, et elle s'appuie sur la réputation des montréalais qui sont pour une majorité épicuriens.

 

Quant à la bouffe rapide supposément destinée aux gens dans le besoin, selon l'esprit de l'article mis en lien. Elle est premièrement, drôlement plus chère que manger à la maison (donc pas économique); trop grasse et trop sucrée, elle encourage l'obésité et les mauvaises habitudes alimentaires. De toute façon, ce segment restauration est déjà largement présent partout en ville, pourquoi faudrait-il le reproduire en plus sur le trottoir?

 

En ce qui a trait aux exemples de villes où la bouffe de rue est répandue et abordable, il y a une corrélation entre ce phénomène et la pauvreté souvent très présente dans ces sociétés. On ne parle alors pas de la même réalité, ni du même mode de vie. Comparons des comparables. Montréal a trouvé à mon avis une formule fort intéressante, qui ne vient pas concurrencer les établissements qui ont pignon sur rue, et qui paient déjà des droits et des taxes en conséquence. Le but n'est pas de sortir le resto sur la rue, mais de répondre à une demande ponctuelle et saisonnière que l'on pourra améliorer et ajuster avec le temps.

 

Donc loin d'un échec, nous sommes en plein laboratoire grandeur nature. On garde aussi, de cette manière, un contrôle plus serré sur la qualité avec des règles strictes, pour assurer la salubrité des aliments. De toute évidence cette formule plait et attire son lot de curieux, mais aussi assurément développera une clientèle plus régulière. En plus à force d'essayer d'innover en recettes rapides, peut-être aussi inventerons-nous un nouveau plat, qui à l'instar de la poutine, fera le tour du monde?

 

Alors aux détracteurs un peu trop vite sur les conclusions, dont les critiques n'apportent rien de constructif. Je dis: attendez-donc de voir avant de juger. Comprenez la volonté derrière l'expérience. La bouffe de rue montréalaise s'adresse à un besoin exprimé par la population, et non à une population dans le besoin.

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